Anne-Sophie Lapix confirme la présence des légionelles dans les futurs bureaux de Léa Salamé ?

À l’approche de la fin de son contrat sur France 2, Anne-Sophie Lapix se lâche sur les réseaux sociaux. Voici ce que la journaliste vient de déclarer sur les légionelles.

Anne-Sophie Lapix, visage emblématique du journal télévisé de 20 h sur France 2, a de nouveau créé la surprise.

Connue pour son ton maîtrisé à l’antenne, la journaliste s’est laissé aller à une publication Instagram à la fois inattendue et ironique, dans laquelle elle confirme – non sans humour – la présence de légionelles dans un bâtiment de France Télévisions.

Une sortie remarquée, qui intervient alors qu’elle s’apprête à tourner une page importante de sa carrière en rejoignant le groupe M6.

“Bye bye les légionelles” : un post Instagram en roue libre

C’est dans une story publiée en fin de journée que la journaliste a glissé cette petite bombe. Sur une photo floue d’un couloir vide, sans aucun contexte explicite, elle a simplement écrit : “Bye bye les légionnelles”.

Un message à la tonalité ironique, qui semble confirmer la rumeur d’un souci sanitaire dans les locaux de France Télévisions, et plus précisément une contamination à la légionellose, une bactérie qui se développe notamment dans les systèmes d’eau chaude mal entretenus.

Aucune précision supplémentaire n’a été donnée. Ni les services de communication de France Télévisions, ni ceux de Lapix n’ont réagi dans l’immédiat à cette sortie étonnante.

Alors qu’Anne-Sophie Lapix s’apprête à quitter le JT de 20 h sur France 2, le nom de sa remplaçante vient d’être annoncée. Il s’agit de Léa Salamé, figure phare de la chaîne qui présente notamment l’émission “Quelle Epoque”, le samedi soir.

Reste maintenant la question du salaire qui intrigue déjà beaucoup de curieux. Selon nos confrères de TV d’autres présentateurs de JT comme Anne‑Anne-Claire Coudray, Gilles Bouleau ou encore Laurent Delahousse. Anne-Claire Coudray aurait touché en 2019 un salaire “compris entre 30 000 et 45 000 euros par mois” contre “10 000 à 15 000 euros” pour son confrère Gilles Bouleau.

Sur France 2, Laurent Delahousse, toucherait quant à lui en moyenne 15 000 euros par mois. De quoi donner un ordre d’idée pour le futur salaire de Léa Salamé.

La nouvelle aurait pu passer inaperçue si elle ne touchait pas deux des plus grandes figures féminines du journalisme télévisé français. Alors que Léa Salamé s’apprête à investir les nouveaux locaux de France Télévisions pour reprendre les rênes du très prestigieux Journal de 20h de France 2, une rumeur inquiétante a commencé à circuler : les bureaux qui lui sont destinés seraient contaminés par des légionelles, une bactérie potentiellement dangereuse pour la santé humaine. Plus surprenant encore : cette information aurait été confirmée à demi-mot par Anne-Sophie Lapix, l’actuelle présentatrice du JT de 20h, sur le départ.

Une révélation en coulisses ?

L’information aurait filtré à travers les couloirs feutrés de la Maison de la Radio et de France Télévisions. Selon certaines indiscrétions, Anne-Sophie Lapix aurait fait mention d’un problème d’eau chaude dans les étages rénovés, et aurait évoqué la détection de traces de légionelles lors d’une réunion interne avec l’équipe technique. Aucun micro n’était allumé, aucun journaliste n’enregistrait la scène, mais comme souvent, les confidences de couloir finissent par fuiter.

Ce qui donne du crédit à cette rumeur, c’est le contexte. Les bâtiments de France Télévisions, notamment ceux destinés à accueillir le nouveau plateau du JT, font actuellement l’objet de travaux de modernisation, avec notamment la rénovation des circuits de ventilation et d’eau chaude sanitaire — deux éléments souvent liés aux risques de légionellose.

La légionelle, un danger invisible mais réel

La légionelle est une bactérie présente dans les réseaux d’eau, particulièrement lorsque la température est mal régulée ou que les canalisations sont vieillissantes. Elle peut provoquer la légionellose, une forme grave de pneumonie. Les bâtiments publics sont donc soumis à des contrôles stricts en matière d’hygiène et de sécurité sanitaire. Si la présence de cette bactérie venait à être confirmée, cela impliquerait des mesures immédiates : désinfection, interruption des installations, voire interdiction temporaire d’accès.

Cependant, à ce jour, aucune alerte officielle n’a été lancée par l’ARS (Agence régionale de santé), ni par France Télévisions. Ce qui pousse à croire qu’il s’agit soit d’un faux signalement, soit d’une rumeur amplifiée par la transition sensible entre Anne-Sophie Lapix et Léa Salamé.

Un contexte de passation sous haute tension

Le passage de relais entre Lapix et Salamé est scruté de près. Deux femmes, deux styles : Lapix incarne la rigueur sobre, là où Salamé affiche une posture plus incisive et engagée. Si les deux journalistes se respectent professionnellement, il se murmure que la transition ne serait pas totalement apaisée. Certains observateurs des médias se demandent même si cette “fuite sanitaire” ne serait pas une forme de tacle discret, une manière pour l’ancienne de prévenir la nouvelle des désagréments logistiques à venir.

Mais rien dans le comportement public de Lapix ne laisse penser à une intention malveillante. Connue pour son professionnalisme et sa discrétion, elle a toujours défendu une information rigoureuse. Si elle a effectivement évoqué les légionelles, cela pourrait être dans un souci de transparence ou de prévention.

Réactions discrètes mais préoccupées

Interrogée brièvement en marge d’un événement à Paris, Léa Salamé a éludé la question, se contentant de sourire et de répondre : « Je fais confiance aux équipes techniques pour garantir notre sécurité au travail. » Une manière élégante de ne pas alimenter la polémique, tout en indiquant qu’elle était au courant.

En interne, selon des journalistes proches de la rédaction, certains techniciens auraient demandé une vérification approfondie des circuits d’eau et de climatisation, notamment dans les nouveaux bureaux censés accueillir l’équipe du 20h dès septembre 2025. Les syndicats, eux, n’ont pas (encore) pris position.

Simple alerte ou début de scandale ?

Si le risque sanitaire est avéré, cela pourrait contraindre France Télévisions à retarder l’entrée en fonction de Salamé, voire à revoir l’organisation de ses équipes. Mais pour l’heure, aucun signe visible ne laisse penser à une telle issue. La rédaction se prépare, les plannings sont maintenus, et la chaîne communique davantage sur les nouveautés éditoriales que sur les questions logistiques.

Toutefois, cette affaire, bien que mineure en apparence, révèle les tensions souterraines qui accompagnent souvent les grandes transitions médiatiques. Derrière les sourires des JT et les génériques solennels se jouent aussi des enjeux de pouvoir, d’héritage symbolique et d’adaptation à des contraintes très concrètes, comme… un système de plomberie.