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L'amour est dans le pré, que sont-ils devenus : la suite diffusée ce soir  sur M6

L’amour est dans le pré – Version belge : entre malaise, humour et chaos romantique

Diffusée en avant-première en Belgique, la nouvelle saison de L’amour est dans le pré n’a pas manqué de faire réagir la communauté en ligne. Grâce à une vidéo-réaction particulièrement animée, les téléspectateurs ont pu redécouvrir cette émission emblématique à travers les yeux d’un commentateur drôle, incisif et souvent consterné face aux rebondissements absurdes de l’épisode.

Entre un Paul agacé, une prétendante allergique aux vaches (dans une émission centrée sur l’agriculture), et un Étienne en mode bachelor avec quatre femmes à la ferme, cette version belge de l’émission a offert un cocktail unique de malaise social, de situations cocasses et de moments improbables.

Paul : l’agriculteur grognon qui ne veut visiblement pas de l’amour

L’un des premiers personnages mis en avant dans cet épisode est Paul, un agriculteur au tempérament… disons-le franchement, un peu aigri. Dès les premières minutes, son attitude renfrognée et sa façon de recevoir ses prétendantes donnent le ton : l’ambiance est glaciale.

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La première prétendante arrive seule, sans qu’aucun membre de la production ne semble avoir informé Paul de son arrivée. Résultat : elle se retrouve à frapper au hasard à une porte et tombe… sur les parents. Malaise. Paul finit par apparaître, manifestement agacé, ne prenant même pas la peine de faire preuve de courtoisie. Ce manque de chaleur humaine choque aussi bien les internautes que le vidéaste : « Elles ont fait 800 000 km pour te voir, Paul, souris un peu ! »

Une prétendante allergique… aux vaches

Parmi les prétendantes de Paul, une autre séquence devient vite virale : une jeune femme annonce être allergique aux vaches, en pleine ferme laitière. Cela provoque l’incrédulité générale : pourquoi postuler à une émission où l’on doit cohabiter avec un agriculteur, si on ne supporte pas son environnement ? L’ironie de la situation est telle que même le vidéaste lâche : « Je suis obligé de réexpliquer le principe de l’émission ? C’est dans le pré, donc… il y a des vaches, voilà ! »

On assiste à une succession de phrases absurdes : elle gratte, éternue, cherche à s’éclipser – le tout alors qu’elle vient à peine d’arriver. Autant dire que Cupidon est probablement resté coincé à la douane belge.

Un accueil façon Airbnb : “Installez-vous, Paul n’est pas là”

Le traitement réservé aux prétendantes étonne également par son manque total d’organisation. Certaines arrivent à la ferme sans personne pour les accueillir, sont reçues par les parents, ou doivent attendre seules que Paul revienne de ses activités.

Ce désintérêt apparent n’échappe pas au vidéaste, qui multiplie les remarques acerbes mais justes : « C’est la première fois que je vois une prétendante obligée de toquer à une porte au pif, comme dans un escape game. » Il résume d’un ton ironique la situation : “Paul n’a pas le temps, mais il veut de l’amour… ou pas ?”

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Étienne : le contraire absolu de Paul

Heureusement, Étienne, autre agriculteur de l’émission, propose une approche bien plus accueillante. Avec lui, les choses sont certes un peu exagérées, mais au moins, l’envie de séduire est présente.

Il accueille ses prétendantes avec le sourire, leur présente ses parents, offre des roses à chacune, et même… une piscine en plastique faite maison. Si le geste est maladroit, il est aussi plein de sincérité, ce qui le rend presque attendrissant.

Il faut dire qu’Étienne a vu les choses en grand : quatre prétendantes sont attendues à la ferme, avec un rythme digne d’une émission de téléréalité type Bachelor. Le vidéaste ironise : “Il a demandé à la prod : le maximum, c’est combien ? Dix ? Ok, je commence avec quatre.”

Quatre femmes pour un agriculteur… et pas assez de chaises

L’arrivée de la quatrième prétendante surprise, Sandrine, provoque un léger désarroi mais est bien acceptée par les autres participantes. Étienne, soulagé, semble prêt à jouer les entremetteurs d’un harem rural. Le contraste avec Paul est frappant. Là où ce dernier offre du café froid et de l’indifférence, Étienne sort les grands moyens… quitte à frôler l’excès.

Les filles, bien que surprises, jouent le jeu. L’une d’elles apporte même un cadeau “au cas où”, craignant d’être en bas de la liste. L’ambiance se détend, les rires apparaissent. Une dynamique collective commence à naître – là où chez Paul, seule la tension règne.

Un peu de séduction… et beaucoup de maladresses

Alors que les prétendants doivent marquer des points, certains gestes sont particulièrement maladroits. Une tentative de rattraper une prétendante qui fait mine de tomber ? Raté. Une remarque de Paul à peine audible ? Encore raté. À plusieurs reprises, le vidéaste commente avec consternation les réactions masculines : “Paul, ce n’est pas toi qu’il fallait envoyer à Patron Incognito… l’amour, c’est pas ton objectif, on dirait.”

Pourtant, même dans le chaos, des instants sincères apparaissent, notamment avec les animaux. Le petit veau baptisé “Chamallo” fait fondre tout le monde, humanisant un peu plus les protagonistes dans ce cadre champêtre.

Une ambiance digne d’un sketch de comédie

Entre l’accueil glacial, les répliques lunaires, les maladresses sociales, et les invités surprises, cet épisode belge de L’amour est dans le pré s’apparente parfois à une comédie improvisée. Le vidéaste n’hésite pas à tourner les situations en dérision, renforçant l’effet burlesque de certaines séquences.

Mais sous l’humour se cache un constat plus profond : l’amour rural à la télévision, c’est parfois plus gênant que glamour, surtout lorsqu’il manque de sincérité, de préparation, ou simplement d’envie.

Conclusion : un épisode entre fou rire et facepalm

Si cette avant-première belge de L’amour est dans le pré a fait rire, c’est autant grâce à ses personnages que par le filtre décalé du vidéaste. Paul apparaît comme l’antihéros de la romance champêtre, tandis qu’Étienne incarne le bon élève (un peu trop motivé). Les prétendantes, elles, oscillent entre courage, maladresse, et abandon.

Cet épisode nous rappelle à quel point la recherche de l’amour, même à la campagne, peut être un terrain miné de malentendus, de silences gênants et de situations absurdes. Et si l’émission nous fait parfois rêver, elle nous fait surtout beaucoup rire… involontairement.