Pimprenelle se confie après son départ de “Secret Story” : surnoms farfelus, critiques et souvenirs marquants

Éliminée après cinq semaines d’aventure, Pimprenelle, candidate belge de la dernière saison de Secret Story, est sortie de la Maison des Secrets ce jeudi 17 juillet 2025. Si son prénom n’est pas passé inaperçu, sa personnalité non plus. Très présente à l’écran, elle a rapidement suscité l’attention des téléspectateurs, autant admirée que moquée. À peine sortie, elle revient sur son expérience haute en couleur dans une interview pleine de recul et d’humour accordée à Ciné Télé Revue.

Quand Pimprenelle rime avec Pamplemousse…

Dès son entrée dans la Maison des Secrets, un détail a immédiatement interpellé les internautes : son prénom. Peu commun, presque poétique, “Pimprenelle” a vite inspiré une avalanche de surnoms tous plus créatifs les uns que les autres. Sur les réseaux sociaux – TikTok, Instagram, et surtout X (ex-Twitter) – les utilisateurs ont laissé libre cours à leur imagination.

Résultat ? Un florilège de sobriquets : « Pamplemousse », « Paprika », « Pimp », « Perlimpinpin », ou encore le très insolite « Pédoncule ». Un phénomène qui aurait pu agacer, mais que la jeune femme prend avec beaucoup de philosophie.

« Toute ma vie on m’a donné des surnoms. J’ai un prénom atypique », explique-t-elle en souriant.
« Une fille sur TikTok qui a le même prénom se disait soulagée de voir que maintenant elle n’était plus toute seule », ajoute-t-elle, visiblement amusée.

Cette autodérision et cette capacité à relativiser ont de quoi séduire. D’autant plus que Pimprenelle semble parfaitement consciente de l’image qu’elle renvoie – et de ce que cela peut susciter.

Une personnalité affirmée… et critiquée

Mais l’humour des internautes n’a pas toujours été tendre. Outre les jeux de mots sur son prénom, Pimprenelle a aussi essuyé des critiques plus sérieuses, notamment sur son comportement. Plusieurs téléspectateurs l’ont décrite comme « bourgeoise », certains n’hésitant pas à pointer du doigt une attitude jugée condescendante.

Son langage soigné, sa posture droite et son ton parfois distant ont parfois donné une image de froideur. Même parmi les autres candidats, l’ambiance n’a pas toujours été au beau fixe. Vivian, figure emblématique d’une précédente saison et invité surprise de cette édition, n’avait d’ailleurs pas mâché ses mots lors de sa brève incursion dans la Maison.

« C’est vrai qu’on m’a souvent reproché d’être hautaine. Mais ce n’était pas du tout mon intention. Je suis comme ça, je m’exprime avec un certain vocabulaire, mais ça ne veut pas dire que je me crois supérieure », se défend Pimprenelle, qui dit préférer se concentrer sur le positif.

Des hauts et des bas : son bilan de l’aventure

Malgré les critiques, l’ancienne candidate garde un souvenir globalement positif de son aventure. Entre les rires, les conflits, les moments d’émotion ou d’unité, elle avoue avoir vécu des montagnes russes émotionnelles. Mais elle dit ne rien regretter, ou presque.

« J’ai des petits regrets vis-à-vis de l’aventure. Des moments étaient plus difficiles : des conflits, des ruptures, etc. Mais j’ai essayé de donner le meilleur de moi-même… »

Lorsqu’on lui demande ses meilleurs souvenirs, Pimprenelle n’hésite pas. Les deux retours de sas – synonymes de survie dans l’aventure – lui ont laissé un souvenir fort. Mais le moment qui l’a le plus marquée reste la soirée du 14 juillet, où un feu d’artifice a réuni les habitants dans une atmosphère de fête et de complicité.

« C’était un grand moment de complicité entre Waras », confie-t-elle, en évoquant le nom du clan auquel elle appartenait dans l’aventure.

En revanche, son pire souvenir est sans équivoque : la fameuse épreuve « Secret Story a un incroyable talent ».

« Ça m’a traumatisée, je déteste être sur scène. C’était difficile de jouer la carte du ridicule, heureusement Anita l’a fait aussi ! » dit-elle en riant.

Et maintenant ?

Alors que son parcours dans Secret Story s’achève, Pimprenelle ne semble pas regretter d’avoir participé à l’émission, malgré les remous. Pour elle, cette aventure restera une expérience humaine unique, une exposition médiatique qu’elle compte bien mettre à profit, sans pour autant perdre de vue ses valeurs.

« J’ai appris à mieux me connaître. J’ai aussi vu ce que je renvoie aux autres. Et même si parfois c’était difficile, je ne changerais rien. »

Pour la suite ? Rien n’est encore acté, mais il y a fort à parier que Pimprenelle ne disparaîtra pas tout de suite des radars. Son franc-parler, son sens de la répartie, et cette fameuse singularité qui divise tant, font d’elle une figure déjà incontournable de cette saison.

Et qui sait ? Peut-être reverrons-nous bientôt “Pamplemousse”, “Paprika” ou “Pédoncule” dans un autre programme. Mais une chose est sûre : Pimprenelle, elle, ne manque ni de piquant, ni d’autodérision.