Agathe Auproux : sur le point d’accoucher et sans domicile fixe, elle craque

À l’approche de son accouchement, Agathe Auproux fait face à une situation immobilière très instable.

Agathe Auproux : sur le point d'accoucher et sans domicile fixe, elle craque

Agathe Auproux nage dans le bonheur. Le 21 mars dernier, l’ex-chroniqueuse de Touche pas à mon poste annonçait en effet une merveilleuse nouvelle à sa communauté.

À 33 ans, la journaliste s’apprête à découvrir les joies de la maternité. Mais si elle savoure cette étape aux côtés de son mari, sa grossesse est loin d’être un long fleuve tranquille.

Agathe Auproux : la césarienne est inévitable

Déjà fragilisée par une dépression prénatale, elle ne pourra pas accoucher par voie basse en raison de complications médicales.

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J’ai la date de mon accouchement (depuis un petit moment maintenant). La mauvaise position de mon placenta empêche un accouchement par voie basse, le bébé ne peut littéralement pas sortir tout seul : donc césarienne programmée avant le terme. Plus précisément : avant le début du travail spontané, pour nous protéger et éviter une grosse hémorragie“, a-t-elle expliqué sur Instagram ce jeudi 31 juillet 2025. “S’il n’y a pas de complications d’ici là, je sais donc exactement quand je vais rencontrer mon fils. C’est imminent.”

Une situation immobilière instable

Au-delà de ces complications, Agathe Auproux doit également faire face à une situation immobilière très instable.

Agathe Auproux : sur le point d'accoucher et sans domicile fixe, elle craque  - Public

Je ne sais en revanche toujours pas où mon fils va habiter“, a-t-elle ajouté en story. “Ceux qui me suivent depuis le début de cette grossesse ont normalement suivi les déménagements successifs, et à + 8 mois on est toujours dans ce marasme immobilier, toujours ces retards, toujours ces déceptions, toujours ces angoisses, toujours cette urgence, toujours cet inconfort.

Et de poursuivre : “Alors que je vous promets qu’on fait tout bien, dans les règles. Je loge chez la famille de mon mari et pour plein de raisons il faut absolument qu’on ait un chez nous très vite. À 33 ans mdr, à deux doigts d’accoucher, je vis dans des sacs, je ne sais même plus où sont stockées mes affaires, je n’ai aucune visibilité. Ce contexte participe largement à mon état dépressif. Et les insomnies n’aident pas. Et il y a bien pire que moi, je le sais, et les choses vont rentrer dans l’ordre, je le sais, et je vais me sentir mieux un jour, je le sais. Je le sais.

Malgré ces nombreuses épreuves, Agathe Auproux garde la tête haute. Entre sa grossesse à risque, l’incertitude liée à son logement et une santé mentale fragilisée, la future maman reste optimiste !