“J’en peux plus, c’est trop dur” : Karine Lemarchand décide de ne plus suivre les infos et les réseaux sociaux en août.

Karine Le Marchand n’en peut plus. Sur Instagram, l’animatrice a indiqué suivre les conseils d’une amie avocate, en ne suivant plus les infos pendant au moins un mois. Y arrivera-t-elle ?

La grande résolution du… 1er août ! Sur Instagram, Karine Le Marchand a partagé son sentiment de stress et d’inquiétude au regard des informations qui terrassent le monde entier. Lasse de découvrir chaque jour un peu plus d’horreurs dans le monde, l’animatrice de L’amour est dans le pré, de retour dans deux semaines pour une nouvelle édition de Que sont-ils devenus qui sera suivie par le lancement de la nouvelle saison, a exprimé son inquiétude et le stress et l’insomnie qui en découlent.

“Encore des cauchemars. Je n’en peux plus” a expliqué Karine Le Marchand dans une longue story Instagram. Pendant plusieurs minutes, l’animatrice qui vient de passer quelques jours de vacances avec Christophe Licata a révélé avoir pris la décision de ne plus regarder les infos. Un premier test pendant tout le mois d’août, qui, elle l’espère, sera concluant. Une idée qu’elle doit à une amie avocate. En effet, celle-ci ne regarde plus aucune information depuis quatre ans. Depuis, elle l’assure, cette dernière depuis beaucoup mieux…

L’avocate de Karine Le Marchand l’a influencée

“J’ai décidé que je n’allais plus regarder les infos, voilà. J’ai une copine qui fait ça depuis quatre ans maintenant. Elle ne lit plus les infos, elle ne regarde plus les infos. Elle est avocate et elle m’a dit : Moi, pour am santé mentale, je ne regarde plus les infos car de toute façon, je ne peux pas influencer le monde. Et comme tout me touche, ça me perturbe le sommeil, la pensée, et c’est fini maintenant. Je lis deux bouquins par semaine. Je saurai bien s’il y a bien des choses importantes, on me le dira. Ses filles regardent, et elles la tiennent au courant” a ainsi déclaré Karine Le Marchand.

“Je vais essayer de faire ça, car je n’en peux plus. C’est trop dur” a ainsi déploré l’animatrice, qui a révélé en avoir marre de lire toutes les informations sur Donald Trump. Karine Le Marchand va ainsi pouvoir se concentrer sur Les Échos, un magazine qu’elle lit avec passion, et sur la littérature : “Ce que j’aime bien, moi, c’est lire Les Échos, les trucs de business… Et finalement, ça nous apprend aussi beaucoup sur le monde, puisque ça a aussi des incidences économiques, mais sans toutes les horreurs qu’on voit”.

Plus de romans, moins de stress

“C’est ma décision du jour. Je vous assure, si j’arrive à tenir un mois, je vous dirai comment je me sens. Mais je pense que les images sont beaucoup trop anxiogènes et c’est fait exprès pour faire de l’audience aussi, évidemment. Maintenant, la réalité, elle est horrible” a conclu Karine Le Marchand, qui indique à ses abonnés qu’une étude scientifique a prouvé que “lire dix minutes par jour diminuait de moitié son stress”. “Moi je le fais, et ça fait bien un fou” a-t-elle conclu. C’est à vous !

Karine Le Marchand, célèbre animatrice de télévision, a récemment partagé un moment de vulnérabilité avec ses abonnés sur Instagram. Le 1er août, elle a révélé avoir pris une grande décision pour sa santé mentale : arrêter de suivre les informations et les réseaux sociaux pendant un mois, un test qu’elle espère bénéfique. L’animatrice, connue pour ses émissions populaires comme L’amour est dans le pré et Que sont-ils devenus, a expliqué qu’elle était épuisée par la quantité d’horreurs rapportées chaque jour dans les médias. Ce stress constant avait des répercussions sur son bien-être, notamment des cauchemars, de l’insomnie et une angoisse grandissante face à un monde en crise.

Elle a confié qu’elle avait pris cette décision après avoir discuté avec une amie avocate, qui a cessé de suivre l’actualité il y a quatre ans. Cette amie lui a expliqué que cela avait profondément amélioré sa qualité de vie. Karine Le Marchand, sensible aux événements mondiaux, a reconnu que les informations la touchaient trop personnellement et perturbaient son sommeil et sa pensée. L’idée de s’éloigner des nouvelles qu’elle juge trop anxiogènes semble être, pour elle, une manière de se protéger mentalement.

Dans son message, Karine a aussi mentionné qu’elle pourrait continuer à s’informer par le biais de livres, ce qui lui permettrait de rester connectée au monde sans être submergée par le flot d’informations négatives. Pour elle, la lecture de Les Échos, un magazine économique qu’elle apprécie particulièrement, lui permet de mieux comprendre les enjeux actuels tout en étant moins exposée aux événements traumatisants. Cette démarche montre qu’il est possible de s’informer tout en préservant son équilibre mental.

Au-delà de son envie de se déconnecter, Karine Le Marchand a fait une observation intéressante sur le rôle des médias. Selon elle, les informations sont souvent présentées de manière sensationnaliste pour capter l’attention, ce qui peut rendre les événements encore plus oppressants. Elle souligne que, bien que la réalité soit souvent effrayante, les médias jouent un rôle dans l’intensification du stress collectif. Cela pose la question de la manière dont les informations sont traitées dans notre société et de l’impact qu’elles peuvent avoir sur notre psychologie.

Pour Karine Le Marchand, cette expérience n’est pas seulement un moyen de réduire son stress, mais aussi un moyen d’adopter une nouvelle perspective sur les choses qui comptent vraiment. En effet, elle espère que cette période de déconnexion l’aidera à trouver un équilibre entre la nécessité de rester informée et la préservation de sa santé mentale. Son objectif est de mieux gérer ses émotions tout en poursuivant ses passions, comme la lecture et l’appréciation de la littérature. En partageant son expérience, elle incite ses abonnés à réfléchir à leur propre rapport aux informations et à leur bien-être.

Il est intéressant de noter que cette démarche de Karine Le Marchand s’inscrit dans une tendance de plus en plus répandue dans la société actuelle : celle du digital detox, ou détoxification numérique. De plus en plus de personnes choisissent de réduire leur exposition aux écrans et aux réseaux sociaux pour se concentrer sur des activités plus enrichissantes et apaisantes. Des études ont d’ailleurs montré que la surcharge d’informations et la consommation excessive des réseaux sociaux peuvent entraîner des niveaux élevés de stress et d’anxiété. En ce sens, la décision de Karine de se déconnecter temporairement peut être perçue comme un acte de courage et de prise de conscience des impacts potentiels de la surconsommation médiatique.

En fin de compte, ce mois sans actualités pourrait bien être une bouffée d’air frais pour l’animatrice, mais aussi pour ses abonnés, qui pourraient être inspirés par son exemple et se lancer eux-mêmes dans une pause des informations. Comme elle l’a suggéré, si cette expérience se révèle positive, elle pourrait bien devenir une pratique régulière pour préserver la santé mentale et se recentrer sur l’essentiel.