Paul Belmondo évoque son divorce avec Luana et ce qu’il a mal vécu!

Paul Belmondo : l’homme derrière le silence — Confession d’un cœur blessé

En mai 2024, contre toute attente, une nouvelle tombe comme un coup de tonnerre dans le paysage médiatique français : Paul Belmondo et Luana annoncent leur séparation. Après plus de trente ans d’union, le couple emblématique, que l’on pensait indestructible, s’effondre sous les yeux d’un public stupéfait. Ils étaient devenus, au fil des décennies, le symbole discret d’un amour profond, solide, tissé dans la durée. Une histoire d’amour comme on n’en voit plus, bâtie dans l’ombre des projecteurs, mais empreinte d’une rare authenticité.

Mariés depuis 1990, Paul, fils du légendaire Jean-Paul Belmondo, et Luana, lumineuse Italienne au tempérament chaleureux, avaient traversé ensemble les tempêtes et les bonheurs de la vie. De leur union étaient nés trois enfants : Alessandro en 1991, Victor en 1993, et Jacomo en 1998. Une fratrie soudée, unie, reflet vivant d’un foyer stable et bienveillant. Et comme si cela ne suffisait pas à illustrer le bonheur familial, Alessandro, l’aîné, était devenu père à son tour, offrant à Paul et Luana la joie d’être grands-parents. Une dynastie en marche, dans la continuité des Belmondo.

Mais derrière les apparences et les sourires partagés sur les réseaux sociaux, quelque chose s’était fissuré. Le vernis d’une vie parfaite s’était craquelé, jusqu’à révéler les blessures d’un couple en perdition. Dans les colonnes de Paris Match, Luana avait brisé le silence, livrant une vérité crue et douloureuse : Paul l’aurait quittée sans préavis, pour une autre femme. Une trahison inattendue, survenue alors que rien ne semblait annoncer l’orage.

« J’ai commencé à avoir des soupçons en mai, lorsqu’il est parti à Antigua, » confie-t-elle avec une pudeur émue. « Deux amis m’ont appelée, gênés, pour me dire qu’ils l’avaient vu avec une femme blonde, française. Cette femme séjournait dans la maison que j’avais moi-même redécorée, où mes vêtements étaient encore dans les placards. C’était notre maison, notre refuge. »

Ces mots, chargés de peine, traversent l’intimité du couple et atteignent le cœur du public. Mais Paul, jusque-là resté en retrait, sort finalement de son silence dans une interview accordée au magazine Point de Vue, publiée ce 20 mai 2025. Et s’il ne contredit pas frontalement les propos de son ex-femme, il choisit de se livrer avec pudeur, dignité, et un mélange de tristesse contenue et de résilience.

« Je l’ai mal vécu », avoue-t-il simplement. « Ce sont des sujets qui devraient rester dans la sphère privée. Parce que c’est difficile à vivre, pour tout le monde. »

La douleur est palpable dans ses mots. Ce n’est pas la voix d’un homme en colère, ni celle d’un accusé qui cherche à se défendre. C’est celle d’un homme blessé, mais debout. Un père conscient que ses enfants ont été touchés, qu’un équilibre a été rompu, et que les cicatrices mettront du temps à se refermer. Il n’a pas souhaité entrer dans le jeu médiatique, ni alimenter le tumulte.

« Quand les médias s’en mêlent, on a deux choix : soit on entame des procès, et on nourrit encore plus la machine, soit on encaisse, et on attend que la tempête passe. J’ai choisi la seconde option. »

Un choix courageux. Un choix rare dans un monde où l’intimité se monnaie, où la vengeance se fait publique. Paul Belmondo ne veut pas jouer ce jeu-là. Il préfère le silence aux règlements de comptes, la dignité à l’exhibition.

Mais derrière cette philosophie, il y a aussi un homme meurtri. Un homme qui confesse que son ego a souffert. Que certaines choses, qu’il a lues ou entendues, l’ont profondément heurté. Et surtout, un homme qui avoue que tout cela ne regarde personne, sauf ceux qui ont été réellement impliqués : ses enfants, ses proches, son cercle intime.

« Mes enfants connaissent la vérité. Ils savent ce qui s’est réellement passé. Et cela suffit. »

Aujourd’hui, Paul Belmondo veut avancer. Tourner la page, sans renier les chapitres précédents. Il sait que la vie est pleine de rebondissements. Qu’on ne sort pas indemne d’une telle épreuve, mais qu’on peut en ressortir grandi, plus fort, plus lucide. Et surtout, plus reconnaissant.

« J’ai la chance de mener une vie incroyable. J’ai de beaux enfants. Et quand je vois certains, qui ne savent même pas comment nourrir leur famille, je relativise. »

Cette phrase résonne comme une leçon de sagesse. Paul Belmondo ne minimise pas sa douleur. Mais il refuse de s’y complaire. Il regarde autour de lui, prend conscience de sa chance, et tente de ne pas se laisser consumer par l’amertume. Il sait aussi que certains lui ont tendu la main dans l’ombre, dans le respect, sans rien attendre en retour.

Il évoque avec émotion les marques d’amitié reçues. Alexandre Brasseur, notamment, lui a envoyé un mot bouleversant, d’une immense délicatesse. Ce genre d’attention qu’on n’oublie jamais. À l’inverse, d’autres — qu’il ne nomme pas — ont préféré l’enfoncer. Des trahisons qui laissent des traces.

« Il y a ceux qui vous mettent le pied sur la tête. Je saurais m’en souvenir. On a la rancune tenace, chez les Belmondo. »

Un sourire amer, peut-être. Mais aussi la promesse de ne pas laisser ces blessures définir qui il est.

L’ancien pilote de Formule 3000 n’est pas homme à s’apitoyer. La nostalgie, il la réserve pour ses souvenirs heureux, pas pour les regrets. Il garde la tête haute, le regard tourné vers demain. Et s’il reste pudique, presque secret, sur sa vie amoureuse actuelle, il laisse entendre qu’un renouveau est possible, sans chercher à le précipiter.

Pour lui, l’essentiel est ailleurs. Dans le regard de ses enfants. Dans la fidélité de ses amis. Dans cette capacité à résister, à reconstruire, à se réinventer. Le divorce avec Luana n’est pas une fin. C’est une étape. Une épreuve douloureuse, mais surmontable.

Et au fond, peut-être que ce qui rend Paul Belmondo si touchant, c’est justement cette façon de ne pas chercher à paraître parfait. De dire les choses avec justesse, sans haine, sans revanche, avec cette classe un peu mélancolique qu’il tient sans doute de son père.

La vie continue, répète-t-il. Et il a raison. Car s’il y a bien une leçon à retenir de cette histoire, c’est que même les amours qui semblaient inébranlables peuvent un jour vaciller. Mais ce qui compte, c’est la manière dont on se relève.

Et Paul Belmondo, aujourd’hui, se relève. Lentement. Dignement. Humainement.

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Qui est Sandrine, la nouvelle compagne de Paul Belmondo ?

Paul Belmondo a fait la une après l’annonce de sa séparation avec Luana, sa femme depuis plus de 30 ans. Dans une interview accordée à Gala, l’acteur et ancien pilote s’est exprimé pour la première fois sur cette rupture difficile. Il a également évoqué sa nouvelle compagne.

Celle-ci, comme le rapportait le magazine « Voici », est Sandrine. Le comédien clarifiant certains points qui alimentaient les rumeurs. Contrairement à ce que certains pourraient penser, Paul n’a pas quitté Luana pour une « femme bien plus jeune ».

Touché par les critiques, il a pris soin de rappeler que l’âge ne devrait pas être un sujet de jugement dans les relations amoureuses.

“On ne devrait pas juger les histoires d’amour”, a-t-il confié, en prenant pour exemple descouples comme Hugues Aufray ou Brigitte Macron, où la différence d’âge est notable. Paul Belmondo a clairement voulu défendre le droit de chacun à vivre ses amours sans subir les commentaires de l’opinion publique.

Concernant Sandrine, les détails de leur relation ont été révélés par Voici. Leur histoire aurait débuté il y a deux ans, lors de la course cycliste Paris-Modène.

Artiste accomplie, Sandrine travaille dans le domaine du spectacle vivant et du cinéma, ayant même coréalisé un film intitulé L’Histoire de Jean. Outre leur passion commune pour les arts, ils partagent également un intérêt marqué pour le sport, une autre activité qui les rapproche.