« Je l’ai bien sucé » : Deux mois après le scandale, la jeune femme qui a pratiqué une f**** sur scène avec Patrick Sébastien finit par admettre cet acte révoltant.
Un témoignage qui enflamme les réseaux sociaux
Le week-end dernier, à Limoges, la salle polyvalente « André Dupin » vibrait au rythme des refrains festifs de Patrick Sébastien. L’artiste, fidèle à son image d’animateur sans filtre, avait promis « une soirée inoubliable, pleine de surprises, de tubes et de grosses rigolades ». Promesse tenue. Mais personne n’aurait pu imaginer que l’instant le plus commenté du concert ne viendrait pas d’une chanson, mais d’un témoignage spontané d’une spectatrice, capté par un smartphone et diffusé massivement sur TikTok.
Dans la vidéo, devenue virale en quelques heures, on entend une voix féminine déclarer avec aplomb :
« Je l’ai bien s*** ! »
Un aveu brut, lâché au milieu d’un brouhaha euphorique, qui a immédiatement enflammé les réseaux sociaux.
Un contexte festif et potache
Pour comprendre l’ampleur du phénomène, il faut revenir au contexte. Patrick Sébastien, connu pour ses chansons à double-sens, ses farces scéniques et ses tubes populaires comme Les Sardines, a toujours cultivé un humour grivois. Ses concerts ne sont pas de simples récitals : ce sont de véritables fêtes collectives, où l’alcool coule à flot et où la bienséance reste à la porte.
Lors de ce concert, entre deux reprises endiablées et un lancer de confettis, l’artiste a distribué au public… des sucettes géantes en forme de micro. Une manière décalée d’inviter les spectateurs à chanter avec lui. C’est à ce moment-là que la fameuse spectatrice, filmée en gros plan, aurait déclaré « Je l’ai bien s*** », en référence évidente à la sucette, mais avec une ambiguïté parfaitement dans l’esprit de Sébastien.
Une phrase devenue slogan malgré elle
La vidéo, vue plus de 3,5 millions de fois en 48 heures, a été reprise sous forme de mèmes, de remix musicaux et même de t-shirts imprimés à la hâte. Certains internautes détournent déjà le slogan en hashtags :
« On ne sait plus si on doit rire ou rougir », commente une utilisatrice sur Twitter (désormais X). D’autres y voient une démonstration éclatante de ce qu’est l’« esprit Sébastien » : de l’humour potache, un peu gras mais jamais méchant, qui transforme la moindre situation en gag collectif.
Patrick Sébastien, par Jérôme Fourquet : “La France des campings trouve en lui un champion” : épisode du podcast Le mot | France Inter
Témoignage de la principale intéressée
Contactée par La Dépêche du Midi, la fameuse spectatrice – qui préfère rester anonyme – a accepté de clarifier sa déclaration :
« Oui, j’ai dit ça, mais c’était une blague ! J’avais une énorme sucette en plastique dans la bouche, j’ai fait un jeu de mots. Tout le monde autour de moi rigolait, alors je n’ai pas réfléchi. Maintenant, je découvre que je suis devenue un mème national… C’est complètement fou ! »
Elle avoue recevoir des dizaines de messages privés depuis la diffusion de la vidéo, certains amusés, d’autres franchement déplacés. « Mais moi, je prends ça avec le sourire. Après tout, on était là pour rigoler, non ? »
Réaction de Patrick Sébastien
Toujours prompt à surfer sur la vague, Patrick Sébastien lui-même a réagi lors d’une interview sur France Bleu :
« Ah ça, c’est génial ! Vous vous rendez compte ? On vient à un concert pour s’amuser, et ça continue après avec des conneries comme ça. J’adore ! Franchement, cette dame a tout compris à mon univers. La vie est trop courte pour se prendre au sérieux. »
Et comme à son habitude, l’artiste n’a pas manqué de ponctuer sa réaction d’un rire tonitruant.
Les sociologues s’en mêlent
Phénomène anodin ou reflet d’une époque ? Certains observateurs voient dans ce « scandale sucré » une preuve supplémentaire de la porosité entre vie privée, culture populaire et réseaux sociaux.
Le sociologue Jean-Marc Brillant, spécialiste des médias, analyse :
« Nous assistons ici à un cas typique de ‘viralité accidentelle’. Une spectatrice prononce une phrase anodine mais ambiguë, dans un contexte festif. L’algorithme des plateformes s’en empare, le public projette dessus ses propres fantasmes, et cela devient un sujet national. Ce mécanisme illustre parfaitement la manière dont l’humour grivois reste un ciment social en France, notamment dans les classes populaires. »
Une récupération commerciale ?
Comme toujours, certains flairent déjà la bonne affaire. Un imprimeur de Toulouse affirme avoir vendu plus de 500 t-shirts « Je l’ai bien s*** » en une seule journée. Sur Etsy, des mugs et des tote-bags reprennent la réplique, ornés d’un dessin de sucette.
Des rumeurs circulent même sur la possibilité que Patrick Sébastien sorte un single remixant la phrase, sur une base de percussions festives, dans la lignée de ses tubes « Le petit bonhomme en mousse » ou « La Fiesta ».
Entre gêne et fierté locale
À Limoges, la ville où tout a commencé, les réactions sont partagées. Certains habitants s’amusent de voir leur commune citée partout :
« On parle enfin de nous autrement que pour la porcelaine ! » ironise un cafetier du centre-ville.
D’autres trouvent la situation embarrassante :
« C’est quand même triste de résumer un concert à une phrase un peu vulgaire », estime une spectatrice plus âgée, qui dit être venue « pour les chansons et pas pour les polémiques ».
Un buzz qui restera ?
Reste à savoir si ce phénomène éphémère entrera dans l’histoire des concerts de Patrick Sébastien ou s’il disparaîtra dans quelques jours, noyé sous d’autres buzz numériques. Une chose est sûre : l’artiste, fidèle à lui-même, n’y voit que du positif.
Lors de son concert suivant, à Montpellier, il a déjà fait scander la salle entière :
« Et maintenant… tous ensemble… Je l’ai bien s*** ! »
Éclats de rire garantis.
Conclusion
Ce qui devait n’être qu’un simple moment potache entre une spectatrice et son voisinage de concert est devenu un phénomène national. La phrase « Je l’ai bien s*** », balancée avec insouciance, illustre à la perfection l’univers de Patrick Sébastien : festif, exagéré, grivois mais finalement bon enfant.
À l’heure où tout peut devenir viral, cette anecdote rappelle aussi que le rire collectif, même maladroit, continue de rassembler les foules. Comme dirait Sébastien lui-même :
« Faut rigoler, faut rigoler, avant que le ciel nous tombe sur la tête ! »
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