🌾 L’amour est dans le pré : le cœur de Pierric balance entre tendresse et tentation
Le soleil déclinait doucement sur la ferme de Pierric, enveloppant le paysage d’une lumière dorée et paisible. Dans l’air flottait cette atmosphère si particulière des débuts d’automne, faite de promesses et d’incertitudes. Pour Pierric, éleveur breton au regard franc mais au cœur encore blessé par des désillusions passées, cette saison n’était pas seulement celle des récoltes : c’était celle des choix. Depuis plusieurs jours, il vivait au rythme des émotions, partagé entre deux prétendantes venues bouleverser son quotidien tranquille : Livy et Élodie.
Livy, la jeune femme à l’énergie débordante, n’avait pas peur de dire ce qu’elle pensait ni de montrer ce qu’elle ressentait. Dès les premiers instants, elle avait su attirer l’attention de Pierric par son sourire lumineux et sa manière spontanée d’aborder les choses. Là où Élodie semblait plus réservée, plus pudique, Livy, elle, osait. Et c’est justement cette audace qui allait, ce soir-là, créer un tournant inattendu dans leur aventure commune.
Tout avait commencé autour du fameux jacuzzi, installé au milieu du jardin, non loin des champs. Une idée soufflée par la production, sans doute, mais que Livy allait transformer en véritable scène de séduction. L’eau tiède, les bulles, les rires… tout invitait à la détente. Pourtant, sous cette apparente légèreté, la tension était palpable. Les regards s’observaient, les gestes se surveillaient, et chaque mot semblait peser plus lourd qu’à l’ordinaire.
Pierric, un peu mal à l’aise, avait tenté de garder un ton jovial, plaisantant sur la température de l’eau ou sur le travail du lendemain. Mais Livy, elle, avait d’autres intentions. Peu à peu, elle s’était rapprochée, cherchant le contact de sa main sous la surface claire. Le geste, discret mais assuré, n’avait échappé à personne. Même Élodie, installée à l’autre bout du jacuzzi, avait compris que quelque chose venait de se jouer.
— « J’aime bien être là », murmura Livy à voix basse, ses yeux fixés dans ceux de Pierric.
— « Moi aussi, je suis content que tu sois venue », répondit-il, un peu troublé.
Leurs doigts s’étaient effleurés, et un silence s’était installé. Dans ce moment suspendu, on sentait que les mots n’étaient plus nécessaires. Livy profitait de chaque seconde, consciente que la rivalité amoureuse se gagnait parfois dans ces instants de proximité silencieuse, là où les gestes parlent mieux que les discours.
Élodie, de son côté, restait digne. Elle observait la scène sans éclat, tentant de dissimuler la blessure qu’elle ressentait. Elle savait que dans ce jeu de la séduction, la spontanéité de Livy la mettait souvent en retrait. Mais elle refusait de se trahir. Ce n’était pas dans sa nature de forcer les choses, encore moins d’utiliser le charme comme une arme.
Quand la soirée toucha à sa fin, Pierric resta pensif. Le contact de Livy, sa façon directe de lui parler, tout cela l’avait déstabilisé. Il aimait cette énergie, cette vivacité, mais il se demandait aussi si elle ne cachait pas une part de calcul. Était-elle réellement sincère ou simplement en quête d’attention ? À l’inverse, Élodie, plus discrète, lui inspirait confiance, mais la passion semblait lui manquer. Entre le feu et la raison, son cœur hésitait.
Le lendemain, dans les allées de la ferme, le malaise persistait. Livy, confiante, croyait avoir marqué un point décisif. Élodie, plus fragile, s’interrogeait sur la suite. Pierric, lui, essayait de reprendre le cours de ses activités, mais son esprit restait ailleurs. Les images de la veille revenaient sans cesse : le rire de Livy, ses yeux pétillants, sa main dans la sienne… Ces souvenirs le troublaient plus qu’il ne voulait l’admettre.
À la tombée du jour, alors que le ciel se teintait de rose, il décida d’avoir une discussion à cœur ouvert avec chacune d’elles. Avec Livy d’abord, pour comprendre ce qu’elle recherchait vraiment. Elle lui parla sans détour, comme à son habitude : « Moi, Pierric, je suis venue ici pour vivre quelque chose de vrai. J’ai besoin de sentir qu’on me regarde, qu’on me choisit. Si je te plais, je veux que tu me le dises. » Ces mots résonnèrent en lui.
Puis il alla voir Élodie, qui l’attendait près du potager. Elle l’écouta sans l’interrompre, puis répondit simplement : « Je ne suis pas là pour séduire, mais pour aimer. Si tu veux de la sincérité, je suis là. Si tu veux du jeu, je ne suis pas la bonne personne. »
Cette phrase toucha profondément Pierric. Ce soir-là, il comprit que le véritable amour ne se mesure pas à l’intensité d’un geste, ni à la chaleur d’un regard, mais à la solidité d’un sentiment. Livy avait éveillé en lui le désir, Élodie lui rappelait la tendresse. Et au fond, entre ces deux univers, il devait choisir celui dans lequel il voulait vraiment vivre.
Peut-être que l’amour, au bout du compte, n’est pas dans le jacuzzi, mais dans la patience de celui ou celle qui sait attendre que l’eau cesse de bouillir pour redevenir claire.
News
𝙐𝙣 𝙢𝙞𝙡𝙡𝙞𝙖𝙧𝙙𝙖𝙞𝙧𝙚 𝙫𝙤𝙞𝙩 𝙪𝙣𝙚 𝙢𝙚̀𝙧𝙚 𝙖𝙫𝙚𝙪𝙜𝙡𝙚 𝙧𝙖𝙢𝙥𝙚𝙧 𝙨𝙤𝙪𝙨 𝙡𝙖 𝙥𝙡𝙪𝙞𝙚 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙨𝙚𝙨 𝙩𝙧𝙞𝙥𝙡𝙚́𝙨… 𝙨𝙤𝙣 𝙜𝙚𝙨𝙩𝙚 𝙨𝙪𝙧𝙥𝙧𝙚𝙣𝙙…
𝙐𝙣 𝙢𝙞𝙡𝙡𝙞𝙖𝙧𝙙𝙖𝙞𝙧𝙚 𝙫𝙤𝙞𝙩 𝙪𝙣𝙚 𝙢𝙚̀𝙧𝙚 𝙖𝙫𝙚𝙪𝙜𝙡𝙚 𝙧𝙖𝙢𝙥𝙚𝙧 𝙨𝙤𝙪𝙨 𝙡𝙖 𝙥𝙡𝙪𝙞𝙚 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙨𝙚𝙨 𝙩𝙧𝙞𝙥𝙡𝙚́𝙨… 𝙨𝙤𝙣 𝙜𝙚𝙨𝙩𝙚 𝙨𝙪𝙧𝙥𝙧𝙚𝙣𝙙… [Musique] C’est l’histoire d’une…
Elle lui dit : Papa, ne sors pas aujourd’hui… La vérité derrière ses larmes va vous bouleverser
Elle lui dit : Papa, ne sors pas aujourd’hui… La vérité derrière ses larmes va vous bouleverser Une fillette de…
PASTEUR TOBI, AU NIGERIA QUI A COUCHÉ AVEC LE DIABLE POUR BRILLER. Son HISTOIRE ÉMOUVANT…😢😭
PASTEUR TOBI, AU NIGERIA QUI A COUCHÉ AVEC LE DIABLE POUR BRILLER. Son HISTOIRE ÉMOUVANT…😢😭 Cette histoire est inspirée de…
TAXI: Les Femmes Qu’il a Conduit Cette Nuit N’étaient Pas Humaines!
TAXI: Les Femmes Qu’il a Conduit Cette Nuit N’étaient Pas Humaines! Quadjo, un homme d’une quarantaine d’années, était un taxim…
Elle vendait des bananes dans la rue… jusqu’au jour où un milliardaire s’est arrêté… et…
Elle vendait des bananes dans la rue… jusqu’au jour où un milliardaire s’est arrêté… et… il était 11h du matin…
Une dame riche renverse la table d’une pauvre vendeuse… sans savoir qui la regardait
Une dame riche renverse la table d’une pauvre vendeuse… sans savoir qui la regardait dans ce marché bruyant de ndogpassi…
End of content
No more pages to load