En quête désespérée d’un miracle : le combat de Jaś contre le cancer
La bataille de Jaś : l’appel désespéré d’une mère à l’aide
Certains jours, le poids du monde me paraît insupportable, tandis que je regarde mon petit garçon allongé dans son lit d’hôpital, enchevêtré dans un réseau de tubes et de fils, son petit corps tremblant de douleur. À la seconde où je le vois souffrir, mon cœur se brise. Jaś, mon précieux fils de quatre ans, a traversé bien plus d’épreuves qu’aucun enfant ne devrait jamais avoir à endurer.
Aujourd’hui, il en est à sa troisième séance de chimio-immunothérapie, et si le traitement nous donne de l’espoir, nous attendons toujours les résultats de ses analyses : la tumeur va-t-elle régresser ? Aurons-nous une chance de mettre enfin un terme à ce cauchemar ? Ou allons-nous devoir affronter des nouvelles encore plus terribles ?
J’essaie de rester forte pour lui, d’être la mère dont il a besoin. Mais la douleur de le voir souffrir me ronge peu à peu. Sa petite main serre la mienne, ses yeux me supplient de faire disparaître la douleur. Comment lui dire que malgré tous mes efforts, il y a des moments où je me sens impuissante ? Quand j’ai l’impression de le trahir de la manière la plus inimaginable ? Je le vois me regarder avec cette confiance inébranlable, persuadé que je le sauverai, et cela me brise.
Le plus dur, c’est de constater qu’une simple goutte de morphine suffit à apaiser sa douleur, et seulement pour un court instant. Ce n’est pas suffisant. Mon cœur souffre pour lui d’une manière indescriptible.
Mon petit garçon, si innocent et vulnérable, pris au piège d’un combat qu’il n’aurait jamais dû mener. Chaque jour, je le vois souffrir, ses yeux emplis d’espoir et de peur, et j’ai l’impression de le laisser tomber. Je vois l’espoir dans ses yeux – l’espoir de pouvoir le protéger du monde, de cette maladie – et je ne peux m’empêcher de penser que je le laisse tomber.
L’impuissance me ronge. La peur, l’inquiétude – c’est étouffant. Le pire, c’est de savoir que son avenir, sa survie même, dépend de quelque chose qui échappe à mon contrôle : l’argent. L’argent dont nous avons besoin pour son traitement, l’argent dont nous avons besoin pour lui donner une chance de vivre, et je ne l’ai pas. Nous ne l’avons pas.
C’est la seule chose que je ne peux pas changer. La seule chose que je ne peux pas réparer. Et ça me brise. Je déteste que ce combat se résume à une question d’argent. Je déteste que sa vie se mesure au coût des soins médicaux, un souci dont aucun parent ne devrait jamais avoir à se soucier. Nous avons besoin de votre aide. Sans elle, nous risquons de le perdre, et je ne peux même pas imaginer un monde où je perdrais mon précieux garçon.
Les mots de Jaś, sa petite voix fragile, me rappellent constamment la force qu’il a encore en lui, malgré toutes les souffrances. Quand il me voit pleurer, il essuie mes larmes, essayant de me réconforter quand c’est lui qui souffre. « Ne t’inquiète pas, maman », dit-il en essayant de sourire à travers ses larmes. « Je serai toujours avec toi, même si je ne suis pas là. Je serai là, dans l’autre monde, à veiller sur toi. » Son innocence, sa compréhension de ce qui se passe autour de lui – ça me brise à chaque fois.
Jaś sait ce qui est en jeu. Il sait que ce traitement est sa dernière chance. Il n’a que quatre ans, mais il est d’une sagesse extraordinaire. Le simple fait qu’il comprenne la situation, qu’il puisse comprendre l’urgence de notre appel, est déchirant. Il sait que l’argent dont nous avons besoin est un obstacle, et pourtant il garde espoir que nous trouverons un moyen de l’obtenir.
« J’ai peur, maman », admet-il doucement, sa petite voix tremblante. « Mais je sais que tu fais tout ce que tu peux. Et si on n’arrive pas à trouver l’argent pour mon traitement, c’est peut-être mon heure. Je suis désolé. » Ces mots, venant de mon petit garçon, sont les plus durs à entendre. Comment lui expliquer que quoi qu’il arrive, je n’abandonnerai jamais ? Comment lui dire que nous nous battrons jusqu’au bout, même si nous sommes épuisés, même si cela semble impossible ?
Je voudrais lui dire que nous trouverons un moyen, que nous parviendrons à réunir l’argent et à le sauver. Mais la vérité, c’est que le temps presse, et je suis à bout de forces. Je ne peux pas y arriver seule. Sans votre aide, le combat de Jaś prendra fin trop tôt. Chaque jour, chaque heure, je prie pour que quelqu’un entende notre appel, que quelqu’un de bienveillant se manifeste et nous aide dans ce combat. Chaque petit geste compte, chaque témoignage, chaque don est une bouée de sauvetage qui pourrait faire la différence entre la vie et la mort pour mon fils.
À tous ceux qui ont partagé notre histoire, qui nous ont témoigné leur soutien et leurs mots gentils, je leur suis éternellement reconnaissante. Votre aide est bien plus qu’une aide financière : elle nous apporte force et courage en cette période difficile. Elle nous donne l’espoir que, peut-être, Jaś a encore une chance de vivre, de grandir et de vivre comme chaque enfant le devrait.
Jaś, mon cher garçon, merci pour ton courage, pour m’avoir appris le vrai sens de la force. Malgré sa douleur, il reste gentil, doux et plein d’amour. Il croit encore aux miracles, à la bonté du monde, et rien que pour cela, il vaut la peine de se battre.
S’il vous plaît, nous vous le demandons du fond du cœur : aidez-nous à sauver Jaś. Il mérite un avenir. Il mérite une vie. Chaque don, chaque partage, nous rapproche un peu plus de l’obtention du traitement dont il a tant besoin. Je ne veux pas dire adieu à mon fils avant son heure, et j’ai besoin de votre aide pour éviter que cela n’arrive.
Merci d’avoir entendu notre appel. Merci de nous soutenir dans ce combat pour la vie de Jaś. Votre générosité et votre gentillesse sont notre plus grande source d’espoir.
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