Hervé Vilard n’est pas son vrai nom : la raison cocasse pour laquelle il l’a changé

Hervé Vilard cache encore des secrets à 79 ans. Par exemple, savez-vous pourquoi le chanteur a choisi de changer son nom et prénom, des décennies plus tôt ? La raison va vous surprendre…

Hervé Vilard n'est pas son vrai nom : la raison cocasse pour laquelle il l'a changé

Si Hervé Vilard s’était promis de ne plus jamais donner d’interview, il a fait une légère entorse à son propre règlement en août dernier. Contacté par nos confrères de La Montagne à l’occasion d’un concert à Vierzon, il a accepté de revenir sur son histoire et sur son enfance des plus difficiles. Et il a révélé pourquoi il avait changé de nom…

Hervé Vilard a changé de nom : quel est son vrai prénom ?

Séparé de sa mère à l’âge de six ans- une voisine l’ayant dénoncée pour alcoolisme-, le jeune garçon s’est retrouvé à l’orphelinat Saint-Vincent-de-Paul à Paris, avant d’être ballotté de famille d’accueil en famille d’accueil. Il en a connu sept au total, notamment dans le Berry où il a passé une grande partie de son enfance. À l’époque, il s’appelait encore René Villard. Mais, très vite, il a voulu effacer son passé en changeant de nom.

Résultat : il s’est fait appeler Hervé Vilard, son nom de famille ayant donc perdu un “l”, et son prénom étant quant à lui un clin d’œil à ses initiales. Une décision de carrière également comme l’explique La Montagne puisqu’il a choisi d’enlever un “l” à son patronyme pour que son nom apparaisse “en plus gros sur les affiches”. Et Hervé Vilard ne s’était visiblement pas trompé puisque ses titres Capri c’est finiNous ou encore Reviens ont fait de lui une star bien en dehors du seul Hexagone.

Hervé Vilard ruiné ? Cette décision radicale qu'il a dû prendre "la mort  dans l'âme", "Depuis un certain temps…"

Hervé Vilard, amoureux du Berry : où vit-il aujourd’hui ?

Attaché au Berry bien qu’il l’ait fui à l’âge de seize ans pour s’installer à Paris, Hervé Vilard a toujours rendu hommage à sa terre d’accueil. Et plus particulièrement à l’abbé Angrand, figure paternelle pour celui qui n’a jamais connu son père, qui lui a “appris à lire”, lui a “enseigné le catéchisme” et lui a donné “beaucoup de force dans la vie”.

D’ailleurs, à la mort de l’homme d’église, celui qui est aussi citoyen d’honneur de la ville de Capri a racheté le monastère de son village, La Celeste, pour s’y installer à plein temps. Mais en 2016, les vents l’ont à nouveau poussé vers la capitale. Il a alors revendu la propriété à une famille de sept enfants pour poser ses valises dans le quartier latin.