À 60 Ans, Pascal Obispo ne se RETIENT PLUS sur Laeticia Hallyday !
Qui ça ? Latitia ? Je ne sais pas. Je l’autre camp. Non mais c’est l’autre camp. L’autre camp. Ça m’intéresse pas. Moi moi je parle avec des gens positifs. À 60 ans, Pascal Obispo a décidé de tout balancer. L’homme qui a composé certains des plus grands tubes de Johnny Holiday ne se tait plus.
Et cette fois, il vise directement Latitia qu’il qualifie ouvertement de pseudo compagne du rocker. Pendant des années, il a gardé le silence sur son éviction brutale, sur les messages sans réponse pendant la maladie de Johnny et sur ce qu’il appelle une véritable manipulation. Mais aujourd’hui, les gants sont tombés. Pascal a choisi son camp, celui de David et Laura, et il balance des vérités qui dérangent.
Ce qui s’est vraiment passé dans l’entourage de Johnny avant sa mort. Pourquoi Pascal a été effacé alors qu’il était l’un de ses plus proches amis ? Et surtout, ce que cache cette guerre d’héritage qui n’en finit plus. Accrochez-vous parce que ce que Pascal révèle va bien au-delà de ce que vous imaginez. Pour comprendre pourquoi les déclarations actuelles de Pascal Obispo font autant de bruit, il faut remonter à la fin des années 90.
À cette époque, Johnny Holiday cherchait un nouveau souffle pour sa carrière. Il voulait quelque chose de différent, quelque chose qui marquerait les esprits. C’est là que Pascal Obispo entre en scène. Le compositeur, déjà reconnu pour son talent, reçoit un appel qui va changer sa vie. Johnny veut travailler avec lui, pas juste pour une chanson, mais pour un album entier et pas n’importe quel album.
En 1998, sort Ce que je sais, un projet qui deviendra l’un des plus grands succès commerciaux de Johnny. Sur cet album figureumer le feu, un titre cri est composé par Pascal Obispo qui va littéralement exploser. Le morceau devient instantanément culte, chanté dans tous les stades de France, repris en cœur par des milliers de fans. C’est le genre de tube qu’on entend encore aujourd’hui, 25 ans plus tard et qui fait vibrer les foules.
Pascal n’a pas juste offert une chanson à Johnny, il lui a donné un. Mais au-delà du succès commercial, quelque chose de plus profond se crée entre les deux hommes. Johnny et Pascal développent une vraie complicité, une connexion artistique rare. Il partagent la même exigence, la même passion pour la musique. Johnny respecte Pascal pour son talent mais aussi pour sa franchise.
Le rockur n’aime pas les gens qui lui lèchent les bottes. Il veut des collaborateurs qui osent lui tenir tête. Et Pascal, lui n’a jamais eu peur de dire ce qu’il pensait. Ce qui marque aussi cette relation, c’est l’intimité que Johnny recherchait avec Pascal. Le rockur avait besoin de moments d’authenticité, loin du cirque médiatique et des courtisans.
Pascal raconte que Johnny lui demandait souvent de travailler seul avec lui, loin de ce qu’il appelait la smala. Cette expression en dit long. Johnny voulait échapper à l’entourage permanent, au conseiller, aux proches qui gravitaient constamment autour de lui. Avec Pascal, il pouvait être lui-même sans filtre, sans masque.
Et puis il y a cette phrase que Johnny a confié à Pascal. Une phrase qui raisonne encore aujourd’hui avec une tristesse particulière. Dans la vie, on est toujours seul. Ces mots prononcés par l’homme le plus entouré de France révèlent une solitude profonde. Johnny, malgré la gloire, malgré les millions de fans, malgré les proches qui se disaient dévoués, se sentait seul.
Pascal était l’une des rares personnes avec qui il pouvait partager cette vérité. C’était ça leur lien juste de la musique mais une vraie connexion humaine. Travailler avec Johnny Holiday n’était pas une partie de plaisir. Le rocker avait la réputation d’être exigeant, parfois difficile et il testait systématiquement ses collaborateurs.
Pascal Obispo l’a appris à ses dépends lors d’une session d’enregistrement qui aurait pu tout faire basculer. Cette anecdote, Pascal l’a raconté plusieurs fois et elle montre à quel point leur relation était basée sur le respect mutuel mais aussi sur la confrontation. Ce jour-là, ils sont en studio pour enregistrer. L’ambiance est tendue.
Johnny n’est pas satisfait de ce qu’il entend et il commence à chanter d’une manière que Pascal qualifie de un peu, pas à fond, pas avec l’intensité qu’on attend du rockur français. C’est comme s’il testait Pascal pour voir jusqu’où il pouvait aller, pour voir si le compositeur oserait le remettre en question. Johnny a toujours fait ça.
Il aimait pousser les gens dans leur retranchement pour savoir s’ils avaient vraiment du cran. Pascal, lui ne se laisse pas impressionner. Il sait que si Johnny ne donne pas tout, l’enregistrement sera médiocre et il n’est pas là pour faire de la médiocrité. Alors, il ose peu de gens auraient fait.
Il confronte Johnny directement. L’atmosphère devient électrique. Les deux hommes se font face. Johnny, habitué à être le patron absolu, se retrouve face à quelqu’un qui ne baisse pas les yeux. Et puis il y a cette scène devenue mythique, celle de la banane. Les détails précis varient selon les versions, mais l’essentiel reste le même.
Johnny fait un geste peut-être provocateur, peut-être pour détendre l’atmosphère à sa manière. Pascal ne trouve pas ça drôle. La tension monte encore d’un cran. Les deux hommes sont au bord de l’explosion. C’est le genre de moment où tout peut basculer, où une collaboration peut se terminer avant même d’avoir vraiment commencé.
Pascal sent qu’il est à un tournant. Soit il accepte de se faire marcher dessus, soit il pose ses limites. Et Pascal Obispo n’est pas du genre à se laisser marcher dessus. Il regarde Johnny droit dans les yeux et lance une phrase qui va tout changer. Si c’est comme ça, je me casse. Tu te débrouilles sans moi. Le silence tombe dans le studio.
Tout le monde retient son souffle. Personne n’ose parler comme ça à Johnny Holiday. Mais c’est exactement ce que Johnny voulait entendre. Le recur respecte ceux qui lui tiennent tête, ceux qui ne se laissent pas intimider par sa légende. Il a besoin de collaborateurs qui croient en leur travail au point de tout risquer pour le défendre.
Pascal vient de passer le test. Johnny change complètement d’attitude. Il se met vraiment au travail. Il donne tout dans l’enregistrement et le résultat est à la hauteur. Cette confrontation musclée a scellé leur respect mutuel. Ils savent désormais qu’ils peuvent compter l’un sur l’autre, qu’ils ne se mentiront jamais, qu’ils iront toujours au bout des choses ensemble.
Cette anecdote montre quelque chose d’essentiel. Pascal n’était pas un courtisan. Il n’était pas là pour flatter Johnny ou pour profiter de sa gloire. Il était là pour faire de la musique, de la vraie, de celle qui marque. Et Johnny le savait. C’est pour ça qu’il le respectait. C’est pour ça que leur amitié était authentique.
Mais cette authenticité allait aussi devenir un problème plus tard quand d’autres personnes dans l’entourage de Johnny n’apprécierait pas qu’un ami aussi proche ait autant d’influence sur le recœur. Et puis tout a changé. Progressivement sans explication claire, Pascal Obispo s’est retrouvé mise à l’écart.
L’homme qui avait offert à Johnny l’un de ses plus grands tubes, celui avec qui le rockur partageait des moments d’intimité artistique, s’est fait éjecter de son cercle. Mais attention, Pascal est très clair là-dessus. Ce n’est pas Johnny qui l’a écarté, c’est l’entourage. Ces gens qui gravitaient autour de la star, qui contrôlait l’accès, qui filtraient les appels et les visites.
Pascal utilise des mots forts pour décrire ce qui s’est passé. On l’a rayé de la carte comme ça. Comment est-ce possible qu’un ami aussi proche, un collaborateur aussi important se retrouve soudainement exclu ? Pascal lui-même peine à comprendre. Il n’y a pas eu de dispute avec Johnny, pas de conflit ouvert, pas de rupture brutale, juste un éloignement progressif orchestré dans l’ombre, les appels qui ne passent plus, les messages qui restent sans réponse, les projets qui n’aboutissent jamais.
Pascal sent qu’on le tient à distance, mais il ne comprend pas pourquoi. La situation devient encore plus douloureuse quand Johnny tombe malade. En 2017, le cancer du recur est annoncé. Pascal, comme des millions de Français, est bouleversé. Il essaie de prendre des nouvelles, d’envoyer des messages de soutien. Il veut être là pour son ami comme il l’a toujours été. Mais quelque chose cloche.
Les réponses qu’il reçoit ne ressemblent pas à Johnny. Le ton est différent. Les mots ne sont pas les siens. Pascal commence à avoir un doute terrible. Je ne sais même pas si c’est lui qui répondait. Cette phrase est glaçante. Pascal va même plus loin dans ses déclarations. Il utilise un terme qui fait froid dans le dos.
Johnny aurait été gouroutisé à la fin de sa vie. Ce mot n’est pas choisi au hasard. Il sous-entend qu’on a exercé une emprise sur le rockur, qu’on a contrôlé son environnement, ses relations, peut-être même ses décisions. Johnny, l’homme libre par excellence, celui qui avait toujours fait ce qu’il voulait, aurait été manipulé dans ces derniers moments.
C’est une accusation extrêmement grave. Qui était ces gens dans l’entourage ? Pascal ne donne pas tous les noms, mais il est assez clair pour qu’on comprenne de qui il parle. Ceux qui avaient intérêt à isoler Johnny, à contrôler qui pouvait le voir ou lui parler. Ceux qui voulaient peut-être s’assurer que certaines voix ne seraient pas entendu, que certaines influences ne s’exerceraient plus.
Pascal fait partie de ces voix qu’on a voulu faire terire. Et ce n’est pas juste une question d’ego blessé ou de frustration personnelle. Pascal parle au nom de plusieurs proches de Johnny qui ont vécu la même chose, d’autres amis de longue date qui se sont retrouvés écartés. D’autres collaborateurs qui n’ont plus eu accès au rock dans ces derniers mois.
Tous racontent la même histoire. Un mur s’est dressé autour de Johnny et seuls certains privilégiés avaient le droit de franchir ce mur. Cette mise à l’écart a des conséquences qui vont bien au-delà de l’amitié. Elle pose des questions sur ce qui s’est vraiment passé dans les derniers mois de Johnny, qui prenait les décisions, qui influençait ses choix et surtout qui avait intérêt à isoler le rockur de ses amis les plus fidèles.
Pascal Obispo a ses réponses et maintenant à 60 ans, il a décidé qu’il était temps de les partager. En juin 2025, Pascal Obispo franchit un cap. Dans une interview qui fait l’effet d’une bombe. Il ne prend plus de pincette. Quand on lui parle de Latitia Holiday, il la qualifie ouvertement de pseudo compompagne de Johnny.
Pas la veuve, pas la compagne, mais pseudocompagne. Ce terme n’est pas un accident de langage. C’est un choix délibéré, pesé, assumé. En un seul mot, Pascal remet en question la légitimité même de Latitia dans la vie de Johnny. C’est une attaque frontale sans ambiguïé. Pourquoi Pascal utilise-t-il ce terme si violent ? Parce qu’il a vu des choses.
Il a été témoin de comportements qui l’ont profondément choqué. Pascal raconte des repas familiaux où l’ambiance était insoutenable. Des dîners où Latitia tenait des propos déplacés, blessants devant tout le monde et les cibles de ces remarques. David et Laura, les enfants de Johnny, les propres enfants du rockur.
Pascal évoque notamment des phrases que Latitia aurait prononcé sur l’héritage, des commentaires du genre “Il n’aurait besoin de rien parlant de David et Laura. Imaginez la scène. Vous êtes à table, en famille et quelqu’un sous-entend que les enfants du défunt n’ont pas leur place dans l’héritage, que leur père ne leur devrait rien. C’est exactement le genre de phrase qui crée des ruptures irréparables.
Pascal était là, il a entendu et il n’a jamais oublié. Ces témoignages éclairent d’un jour nouveau la bataille judiciaire qui a suivi la mort de Johnny. On a beaucoup parlé du testament américain, de l’exclusion de David et Laura, des millions en jeu. Mais ce que Pascal révèle, c’est que cette exclusion ne date pas de la mort de Johnny.
Elle se préparait depuis longtemps. Les remarques déplacées, l’ambiance toxique lors des repas, l’éloignement progressif des enfants. Tout ça faisait partie d’un plan plus large. Pascal n’est pas le seul à avoir remarqué cette atmosphère. D’autres proches de Johnny ont fait les mêmes observations, mais lui a décidé de parler.
Il raconte que les tensions familiales étaient palpables, que Johnny lui-même semblait parfois mal à l’aise avec certaines situations. Le rockur aimait ses enfants, tout le monde le sait. David, son fils aîné, était aussi son ami. Laura, sa fille, était sa fierté. Alors, comment expliquer qu’il se soit retrouvé exclu de l’héritage ? Pour Pascal, la réponse est claire.
Johnny n’était plus vraiment aux commandes dans ces derniers mois. L’homme libre, le rebelle, celui qui faisait toujours ce qu’il voulait, avait perdu le contrôle. pas de sa volonté, mais de son environnement. On avait créé autour de lui une bulle et dans cette bulle, certaines voix dominaient. Les voix qui disait ce que certains voulaient entendre, les voix qui poussaient dans une direction précise.
Ce que Pascal dénonce, c’est une manipulation en règle, une stratégie d’isolement qui a permis de couper Johnny de ses vrais amis, de ses enfants, de tous ceux qui auraient pu poser des questions gênantes. Et au centre de cette stratégie, selon lui, il y a Letia. Voilà pourquoi il refuse de l’appeler la compagne de Johnny.
Parce que pour lui, une vraie compagne n’aurait jamais créé de faussé entre un père et ses enfants. Une vraie compagne n’aurait jamais tenu des propos blessants sur l’héritage du vivant, même de Johnny. Une vraie compagne aurait rassemblé la famille, pas divisée. L’eau de Pascal sont durs, mais ils sont portés par une colère froide.
Ce n’est pas de l’émotion à chaud, c’est une indignation mûe pendant 7 ans. 7 ans à observer ce qui s’est passé après la mort de Johnny. 7 ans, voir David et Laura se battre pour récupérer ce qui leur revenait de droit. 7 ans a constaté que l’image publique de Latitia ne correspond pas à ce qu’il a vécu personnellement.
Alors maintenant, il balance tout. Pascal Obispo n’a pas seulement critiqué Latitia, il a fait quelque chose de beaucoup plus significatif. Il a publiquement choisi son camp et ce camp de David et Laura Holiday. On est obligé de choisir son camp quand on a du bon sens. Cette phrase, Pascal l’a prononcé avec une conviction totale.
Pour lui, il n’y a pas de zone grise, pas d’ambiguïté possible. Soit on soutient ceux qui ont été laisés, soit on cautionne l’injustice. Pascal a un respect immense pour David Haliday. Il le décrit comme quelqu’un de très digne, notamment lors des funérailles de Johnny. Ce jour-là, le décembre, des millions de Français ont suivi l’hommage national rendu au rockur et David était là stoïque malgré la douleur.
Il a porté le cercueil de son père avec dignité, sans faire de scandale. Pascal a été marqué par cette attitude, mais Pascal n’est pas resté dans les mots. Il est passé à l’acte. En 2022, il participe à un projet musical qui dit tout de ses alliances. Un clip hommage à Johnny intitulé Appelle-moi Johnny et qui apparaît dans ce clip Laura Smet. Uniquement Laura.
Pas Latitia, pas Jade ni Joy. Juste Laura. Ce choix n’est pas le fruit du hasard. C’est un positionnement assumé. Laura d’ailleurs ne s’y est pas trompée. Elle a déclaré publiquement que Pascal fait partie de la famille. Dans une famille déchirée où les camps sont clairement définis, dire que quelqu’un fait partie de la famille, c’est l’adopter officiellement dans son clan.
C’est reconnaître sa loyauté, son soutien, son authenticité. Ce qui est encore plus révélateur, c’est l’absence de Latitia dans les hommages récents à Johnny où Pascal est impliqué. Quand le compositeur organise ou participe à des événements en mémoire du recœur, Latitia n’est jamais invité et ce n’est pas un oubli, c’est un choix délibéré.
Pascal ne veut pas partager la scène avec celle qu’il considère comme responsable de la division familiale. Cette alliance entre Pascal, David et Laura va au-delà du symbolique. C’est aussi une question de vérité historique. Pascal refuse que l’histoire de Johnny soit réécrite par ceux qui l’ont manipulé à la fin de sa vie.
Il refuse que les documentaires, les biographies, les hommages officiels soient contrôlés par un camp qui a tout intérêt à présenter une version édulcorée des faits. D’ailleurs, Pascal n’est pas seul dans ce combat. Il maintient aussi son amitié avec Eddie Mitchell, une autre légende de la musique française et un proche de longue date de Johnny.
Eddie aussi a pris le parti de David et Laura. Ses vieux complices du rockur se serrent les coudes. Ils savent ce qui s’est vraiment passé et ils refusent le silence. En choisissant ce camp, Pascal s’expose. Il sait qu’il va être critiqué, attaqué, peut-être même poursuivi en justice. Mais il s’en fiche. À 60 ans, il a décidé que la vérité valait plus que sa tranquillité.
Et cette vérité passe par le soutien indéfectible aux enfants de Johnny, ceux qui ont été trahis, ceux qui se battent encore aujourd’hui pour faire respecter la mémoire de leur père. Pascal est avec eux jusqu’au bout. Ce qui choque le plus obispo. Ce n’est pas juste d’avoir été écarté, c’est ce qui s’est passé après la mort de Johnny.
Il le dit clairement, il a été très choqué par ce qui s’est passé après sa mort. La bataille juridique autour de l’héritage de Johnny Halliday est l’une des plus médiatisées et des plus sales de l’histoire du showbiz français. Et Pascal a regardé tout ça de l’extérieur, impuissant, révolté. Les faits sont connus.
Johnny décède le 5 décembre 2017 en Californie. Quelques jours plus tard, on découvre qu’il a rédigé un testament américain qui exclut totalement David et Laura de l’héritage. Tout va à Latitia ainsi qu’à Jade et Joy. David et Laura se retrouvent avec rien. Zéro. Le choc est immense. Pascal fait partie de ceux qui n’y croient pas une seconde.
Il connaissait Johnny. Il savait à quel point le rocker aimait ses enfants, surtout David. Johnny et David n’avaient pas qu’une relation père fils. Ils étaient amis, complices. Johnny était fier de son fils, de son talent, de sa carrière. Alors, comment imaginer qu’il ait pu consciemment décider de le déshériter complètement ? Pour Pascal, la réponse est évidente.
Johnny n’était plus en état de prendre ce genre de décision. Ou alors on a exercé une pression énorme sur lui pour qu’il signe ce testament. Peut-être même qu’il ne comprenait pas vraiment ce qu’il signait. Le cancer avait affaibli le rockur, les traitements l’avaient épuisé. Dans cet état de vulnérabilité, quelqu’un a pu profiter de la situation.
Les allusions de Pascal sont limpides. Il parle de manipulation, de contrôle, d’isolement. On a volontairement coupé Johnny de ses vrais proches pour mieux le manipuler. On a éloigné les amis fidèles comme Pascal. On a créé des tensions avec David et Laura. Et dans cet environnement contrôlé, on a fait signer à Johnny un testament qui dépouillait ses propres enfants.
La bataille juridique qui a suivi a été interminable. David et Laura ont contesté le testament devant les tribunaux français et américains. Pendant des années, ils se sont battus pour récupérer ce qui leur revenait de droit. Et pendant tout ce temps, Pascal a suivi l’affaire de près, de plus en plus révolté par ce qu’il voyait.
Ce qui l’a particulièrement choqué, c’est l’attitude de Latitia pendant cette période. Au lieu de chercher un arrangement à l’amiable, au lieu de reconnaître que David et Laura méritait leur part, elle a choisi l’affrontement. Elle s’est présentée en victime, accusant les enfants de Johnny de vouloir détruire la famille.
Elle a utilisé les médias pour se construire une image de veuve courageuse, mais Pascal n’est pas dupe. Il refuse cette version des faits. Aujourd’hui, la bataille juridique est en partie résolue. Un accord a été trouvé même si les détails restent confidentiels, mais pour Pascal, le mal est fait. David et Laura ont dû se battre pendant des années pour obtenir ce qui aurait dû leur revenir naturellement.
Ils ont été humiliés publiquement, traînés devant les tribunaux, accusés d’être cupides.
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