Il avait été éliminé une première fois avant de faire un retour inattendu dans “Koh-Lanta 2025”. Cette fois, Maxime quitte le jeu pour de bon ! En interview pour Purepeople, il revient sur sa deuxième partie d’aventure et évoque notamment ce qu’il s’est passé lors de son échec au jeu de confort.

Le parcours de Maxime dans Koh-Lanta, La Revanche des 4 Terres n’a rien de classique. Il a débuté chez les verts de l’Est avant d’être nommé capitaine de l’équipe jaune. Mais à la réunification, il a été éliminé par les ambassadeurs. Rapidement, alors que personne ne s’y attendait, Maxime a fait son retour dans le jeu, remplaçant ainsi Frédéric, obligé de quitter les Philippines sur décision médicale. A partir de là, une toute autre aventure a débuté pour le cow-boy du casting. Il a tout fait pour se venger de Louise et Pierre-Marie, ambassadeurs jaunes qui ont tenu un rôle capital dans sa première élimination. Mission réussie : ils ont tous les deux été éliminés ! Mais mardi 27 mai, à l’issue du treizième épisode de Koh-Lanta, Maxime a à son tour été contraint de s’en aller. En effet, il a perdu une épreuve éliminatoire. Auprès de Purepeople, le Vosgiens revient sur la suite de son aventure et évoque notamment son échec au bout de trois minutes lors du jeu de confort.

Que s’est-il passé lors du jeu de confort ? 

En tant que fan, quand je regardais l’épreuve à la télé, je me disais que ça avait l’air tellement simple. Mais une fois dans le jeu, au moment où je me place, instantanément, je comprends que non. J’ai une douleur aux hanches qui est difficilement supportable. C’est un blocage. J’ai essayé de trouver une position qui me permettait d’être le plus à l’aise, mais je ne l’ai jamais trouvée. Et en fait, j’ai glissé. J’aurais dû être plus fort sur les bras.

Sur l’île de l’exil, Claire et Jérôme le catalan vous proposent de partager le repas tandis que vous, vous gardez pour vous votre coco et votre canne à sucre. Pourquoi ?

Jérôme a eu des mots forts lors du dernier conseil. Je ne me vois pas partager un repas avec lui, j’ai préféré tout garder pour moi. J’ai essayé de faire un pas vers eux. J’ai voulu manger avec lui, il m’a dit d’aller voir ailleurs. Donc à partir de là, je ne partage pas.

Quel était votre état d’esprit avant l’épreuve éliminatoire ?

Je me disais que j’avais une chance sur trois de partir, donc deux chances sur trois de rester. C’était une manière de me rassurer.

Finalement, vous êtes éliminé. Que se passe-t-il dans votre tête à ce moment-là ?

C’est comme si je plongeais dans un bain froid qui m’a remis les pieds sur terre et ça fait mal. C’est très très dur à encaisser. A ce moment-là, je lâche toutes mes émotions.

Vous évoquez votre maman avec émotion. Qu’a-t-elle pensé de votre parcours ?

Elle n’a pas encore vu l’épisode de mon élimination. Mais elle m’a dit que je n’avais rien lâché, qu’elle me voyait à l’écran comme je suis dans la vie de tous les jours avec elle. Elle me surnomme le magicien et c’est quelque chose qu’elle a retrouvé à l’écran dans ma façon de faire.

Vous faites également le parallèle avec le parcours du regretté Bertrand-Kamal. Vous sentez-vous proche de lui ?

Oui, forcément. On était tous les deux membres de l’équipe de l’Est et on a tous les deux quitté le jeu sur une épreuve éliminatoire, à peu près au même moment du jeu d’ailleurs.

Lors du dernier épisode, vous avez profité d’un gros repas en confort. La question que tout le monde se pose est : comment avez-vous fait pour engloutir tout ça ?

Bonne question ! Moi-même, je ne sais pas comment j’ai fait. Car il y avait quand même beaucoup de plats. J’ai l’impression que les insectes ne m’ont pas suffi ! A Koh-Lanta, ce n’est même plus une faim de loup qu’on a, c’est une faim de Shrek, on a envie de tout manger. J’ai eu des soucis gastriques après. Le corps n’a pas l’habitude, mais ça reste supportable.

Aujourd’hui, quelle relation entretenez-vous avec les autres aventuriers, notamment les anciens bleus ?

J’ai une super relation avec Naïs, c’est une personne que j’apprécie énormément. Avec Pierre-Marie, je ne dirais pas que c’est le néant, mais presque. On se parle un peu dans un groupe, mais ça ne va pas plus loin que deux, trois vannes par-ci par-là. Je suis en très bons termes avec Jérôme catalan, je pense que c’est lui avec qui j’échange le plus par téléphone. Chez les bleus, il n’y a que Pierre-Marie avec qui ça n’a pas matché. Je m’entends bien avec tous les autres candidats.

A ce stade du jeu, qui voulez-vous voir gagner parmi les aventuriers encore en compétition ?

Je souhaite que le meilleur gagne. Je n’ai aucune préférence, je reste blanc jusqu’au bout des ongles .