MELONI RÉVÈLE le plan caché de MACRON – L’UE sous le CHOC !

Macrono elgesys vėl sukėlė audrą: vaizdo įraše – netikėta Meloni reakcija |  Žmonės.lt

L’Europe, ce géant aux pieds d’argile, est en pleine effervescence. Mais cette fois, le murmure n’est pas celui de l’harmonie, mais celui d’une discorde grandissante, d’une fracture qui se creuse entre deux piliers du continent : la France et l’Italie. Au cœur de cette tempête diplomatique se trouve Giorgia Meloni, Première ministre italienne, qui, par des déclarations récemment relayées à Rome, accuse indirectement mais fermement la France d’agir selon un “agenda dissimulé” dans les arcanes du pouvoir européen. Elle n’a pas prononcé le nom d’Emmanuel Macron, mais dans tous les cercles diplomatiques, l’écho est clair : c’est bien lui qu’elle vise, et c’est son plan secret qu’elle entend démasquer. Le choc est tel que l’Union Européenne tout entière semble désormais retenir son souffle, observant avec inquiétude cette confrontation inattendue.

Pour comprendre la gravité de ces accusations, il faut se pencher sur le contexte politique français, d’une instabilité sans précédent. Le 6 octobre 2025, la France a été le théâtre d’un épisode sidérant : la démission du gouvernement de Sébastien Lecornu après seulement quelques heures de fonctionnement, marquant ainsi l’un des mandats les plus éphémères de l’histoire de la Ve République. Une crise institutionnelle majeure qui a succédé à la chute du gouvernement Borne, laissant un Emmanuel Macron fragilisé et un pays en proie à une défiance généralisée. Malgré une reconduction de Lecornu le 10 octobre, dans une tentative désespérée d’éviter la dissolution de l’Assemblée nationale, la stabilité politique française reste vacillante. La France insoumise a menacé de déposer une motion de destitution, le Rassemblement National et le Parti Communiste ont annoncé leur intention de censurer le gouvernement, et Olivier Faure du Parti Socialiste a qualifié la situation de “folie politique”. Chaque mouvement de Macron est scruté, non seulement à Paris, mais dans toute l’Union Européenne.

C’est dans ce climat d’incertitude que Giorgia Meloni apparaît comme une voix alarmée, dénonçant un projet français qui, selon elle, viserait à remodeler l’équilibre de l’UE, à influencer ses institutions et à pousser ses pions là où Rome et d’autres capitales pourraient s’y opposer. Meloni exprime clairement sa volonté que l’Italie ne soit pas soumise à une hégémonie diplomatique, évoquant des “orientations imposées sans débat” et suggérant que certains États, la France en tête, “tirent les ficelles dans l’ombre”.

Sur le plan diplomatique, Emmanuel Macron n’a jamais caché son ambition de renforcer la défense européenne. Lors du sommet de Copenhague sur l’aide à l’Ukraine et l’Europe de la défense, le 1er octobre 2025, il a insisté sur la nécessité de consolider les capacités militaires européennes face à la Russie. Une semaine plus tard, à Bruxelles, il a de nouveau appelé à l’unité européenne, déclarant que “la guerre revient sur notre sol”. Ces prises de position fortes sont interprétées par de nombreux diplomates comme une tentative de Paris de s’arroger un rôle de “pilote continental”. Et c’est précisément ce que Meloni dénonce.

Les doutes se sont d’ailleurs installés au-delà de Rome. L’alliance récente entre Macron et le chancelier allemand Friedrich Mertz, visant à un “sursaut des démocraties européennes”, a révélé des désaccords sous-jacents. L’Allemagne, notamment, ne souhaite pas se laisser dicter sa ligne sur les dépenses de défense ou la stratégie nucléaire. Certains analystes soulignent que la France pousse l’idée d’une Europe de la défense capable de s’appuyer sur sa propre dissuasion nucléaire, ce qui, selon les critiques, donnerait à Macron une “carte maîtresse” qu’il pourrait déployer discrètement. L’idée que la France puisse étendre sa dissuasion nucléaire à d’autres pays européens avait déjà fait l’objet de vifs débats il y a quelques mois.

En parallèle, le malaise grandit au sein même de la majorité présidentielle française. Des figures comme Gabriel Attal, ancien ministre et poids lourd de Renaissance, ont publiquement exprimé leur désarroi en octobre 2025, accusant Macron d’un “acharnement à vouloir garder la main” et déclarant ne “plus comprendre les décisions du président”. Ce malaise interne est perçu par certains comme un signe que Macron ressent la pression et cherche à rassurer ses alliés européens en affichant un contrôle stratégique. Quand Meloni parle de “plan caché”, elle fait référence à toutes ces ambitions françaises en matière de défense, à cette tentation d’imposer des réformes au sein de l’UE et à une volonté de remodeler les équilibres institutionnels. Son message est clair : Rome ne veut pas être une “province dans un projet hexagonal”. Paris ne doit pas dicter ses choix stratégiques aux autres États européens. Meloni pose publiquement la question : “Que veut vraiment Macron ?”

La Première ministre italienne ne se contente pas de vagues reproches. Elle illustre ses critiques par des exemples précis. Elle rappelle que les décisions de défense européenne émanent souvent de comités où la France dispose d’un poids disproportionné, avec des initiatives financées majoritairement via Paris ou Bruxelles alignées sur la ligne française. Elle souhaite que ces mécanismes soient rendus plus transparents afin de limiter l’influence d’un seul État. À Rome, cette proposition trouve un écho favorable : l’Italie aspire à une Europe où chaque voix compte, et non à un forum sous une mainmise déguisée.

Des rapports dans les médias italiens indiquent que Meloni aurait interrogé ses conseillers sur une stratégie française de coordination qui consisterait à “encourager certaines coalitions européennes favorables à Paris”. Des diplomates italiens auraient même confirmé avoir soumis des notes de protestation à leurs homologues français, réclamant plus d’équité dans le processus décisionnel de Bruxelles. En coulisses, on chuchote que le plan français inclurait l’introduction d’orientations budgétaires coordonnées, de standards en matière de souveraineté technologique et un contrôle accru des orientations industrielles, le tout au nom de la compétitivité. Le fait que Macron insiste publiquement sur l’autonomie stratégique européenne, notamment dans le contexte ukrainien, renforce l’interprétation de Meloni. Elle y voit une “stratégie douce” visant à imposer une vision paneuropéenne conforme aux intérêts français, sans que cela ne soit trop ouvertement remarqué.

Quand l’Italie dit “assez”, ce n’est pas une simple posture politique, mais un signal fort au sein de l’Union Européenne. Les États ne sont pas censés être les satellites d’un centre unique. Meloni lance un défi public au cœur de la diplomatie européenne : “Paris, arrête de dessiner seul la carte, redistribue les lignes.” Derrière ce défi, se dessine l’ombre d’un Macron calculateur, prêt à user de missions et de relances stratégiques pour imposer sa marque. Ce n’est pas encore une accusation directe, mais un puzzle d’éléments – instabilité gouvernementale, affirmation stratégique française, voix de dissidence à Rome – que Meloni semble déterminée à rendre visibles, des fragments que beaucoup pressentaient, mais dont personne n’osait parler frontalement.

Depuis le 10 octobre 2025, la décision de Macron de reconduire Sébastien Lecornu comme Premier ministre, seulement quelques jours après sa démission, a été interprétée par certains comme une manœuvre visant à reprendre la main sur l’agenda politique. Cette reconduction intervient alors que la stabilité du gouvernement est plus qu’aléatoire, que l’opposition menace déjà un vote de censure et que la confiance est quasi inexistante. L’image internationale de Paris vacille. Le Guardian rapporte que Macron exige que son Premier ministre puisse livrer un budget 2026 à temps pour apaiser les marchés et les partenaires européens.

Dans les milieux diplomatiques italiens, l’analyse est claire : Macron joue avec le destin de l’Europe. Paris est aujourd’hui “le maillon faible de l’Union européenne”. Meloni voit donc dans l’instabilité française une fenêtre d’opportunité. Si Paris est fragilisé, pourquoi ignorer ses propres intérêts au profit d’un partenaire affaibli ? Et si Macron profite de ce moment pour “verrouiller des accords européens dans l’ombre”, sans que la contestation ne puisse s’organiser ?

Une autre pièce du puzzle concerne les calculs budgétaires. Le déficit français est sous étroite surveillance dans le contexte de l’Union européenne. Meloni redoute que l’Italie ne soit contrainte de suivre des orientations budgétaires dominées par Paris, sous couvert de préserver l’unité européenne. Elle met en lumière le risque d’une Europe à deux vitesses : “ceux qui peuvent dicter (ici Paris) et les autres qui doivent accepter”. Elle veut que l’Italie ne fasse pas partie des “autres”.

Au sein de l’Union Européenne, des diplomates s’interrogent désormais sur les circuits de décision : où sont les débats réels ? Quel est le poids des alliances non publiques ? Macron, par ses discours sur l’autonomie stratégique, semble défendre une Europe forte, mais à quel prix pour les États qui veulent demeurer libres ? Dans les colonnes italiennes, on lit que Meloni aurait demandé des comptes à ses conseillers lors d’une réunion diplomatique interne : “Avons-nous accepté sans résistance certains dossiers imposés par Paris ?” Des notes formelles auraient été envoyées à Paris, exigeant plus de transparence sur les décisions de défense commune, les coopérations industrielles et les orientations stratégiques. Cette posture publique rompt le silence diplomatique traditionnel et force Paris à répondre.

Dans l’agenda européen actuel, les sujets de suprématie technologique, d’industrie de défense, de souveraineté énergétique et de contrôle des chaînes d’approvisionnement sont omniprésents. Macron a multiplié les interventions publiques en octobre 2025 pour défendre l’idée que l’Europe ne pouvait rester passive face aux chocs géopolitiques. Mais derrière ces discours, selon Meloni, pourrait se cacher une tentative de faire basculer des agendas internes vers les intérêts français. Un accord européen sur des standards technologiques négocié dans des comités où la France exerce un lobbying intense pourrait être présenté comme un compromis paneuropéen, voté sans résistance faute d’alternative. Meloni avertit que ce procédé pourrait se répéter dans la défense, les choix énergétiques ou la gouvernance industrielle.

Et que répond Paris ? Jusqu’ici, Macron affirme qu’il appelle à l’unité, qu’il veut une Europe forte, qu’il invite au débat. Mais quand les oppositions françaises, de gauche comme de droite, réclament davantage de partage du pouvoir, ces mots restent souvent sans effet. Certains cadres de Renaissance admettent publiquement un malaise, une “surdose de concentration du pouvoir”. On entre ici dans le cœur du “plan caché” de Meloni. Ce n’est pas une révélation ponctuelle, mais une stratégie de long terme. Ce n’est pas une accusation claire, mais une invitation à regarder les faits avec suspicion. Elle pose un défi moral et politique : si Paris concentre, Rome exige un partage d’influence.

Une autre dimension que Meloni pointe est la légitimité. Si un État est perçu comme imposant ses vues, ceux qui subissent résistent, contestent, cherchent des alliances. Dans l’UE, le consensus est fragile. Quand un pays importe un agenda sans transparence, le fossé de défiance grandit. Meloni réclame que les grands projets soient validés avec plus de légitimité auprès de tous les États, sans pression ni chantage discret. C’est ici que l’onde de choc vers l’Union Européenne prend tout son sens. Car si d’autres dirigeants commencent à voir qu’un grand projet initié à Paris peut être imposé via des mécanismes opaques, d’autres à Budapest, Vienne ou Madrid pourraient reprendre ce modèle pour leurs propres intérêts. L’Union pourrait se fragmenter autour d’un modèle : “imposer ses vues par défaut plutôt que convaincre par le débat”. Meloni force donc l’UE à s’interroger : voulons-nous une Europe de puissance, ou une Europe où les puissants dictent aux plus petits ? Son message à Macron est clair : “Tu veux piloter l’UE ? Montre ton projet au grand jour, ne laisse pas d’ombre.”

Ce n’est pas un simple clash diplomatique ; c’est une bataille pour le futur du pouvoir dans l’Union Européenne. Paris est sur le gril face à une Meloni décidée à faire éclater les accords tacites et à exiger une transparence radicale. Le “plan caché” de Macron, tel que dénoncé par la Première ministre italienne, pourrait bien être le catalyseur d’une redéfinition majeure des rapports de force au sein du continent.