Claude François : 44 ans après sa tragique disparition, la fille de Gilbert Bécaud lâche un gros dossier sur le chanteur… “C’était une petite vengeance”

Ce vendredi 9 septembre 2022, la troisième chaîne mettra à l’honneur une anecdote sur Gilbert Bécaud et Claude François. Peu le savent, mais l’interprète de « Magnolias For Ever » a reconnu pendant six ans la fille de ce dernier… Confidences inédites !

France 3 diffusera ce vendredi 9 septembre 2022 un nouveau numéro « d’Archives secrètes » baptisé « Le temps des amours ». D’innombrables histoires axées sur les stars seront dévoilées au grand jour comme l’a indiqué Télé-Loisirs. Dans le show orchestré par Laurent Delahousse, une dénommée Jennifer va raconter la sienne. Cette dernière a eu la chance d’avoir deux icônes dans sa vie !

Leurs noms ? Gilbert Bécaud et Claude François. Alors jeune batteur, l’interprète de « Bélinda » rêve de se faire un nom dans le show-business. Très vite, il tombera sous le charme Janet Woollacott danseuse britannique qui n’a d’yeux que pour Gilbert Bécaud. Piqué au vif, le duo se sépare en 1962 ! Pour autant, Claude François continuera d’épier tous les faits de la jeune femme.

“Il a profité de ce flou artistique…”

En pleine tourmente, le chanteur se jure de faire de l’ombre à son rival sur la scène musicale. Après avoir vécu une belle idylle, Gilbert Bécaud et Janet Woollacott finissent par rompre à la surprise générale. Alors qu’il est toujours légalement marié à son ex-compagne, Claude François décide alors de se venger ! Il se rapproche à nouveau de Janet Woollacott qui a donné naissance à une petite Jennifer à l’abri des regards en 1965.

Pour rappel, Gilbert Bécaud toujours uni à Monique Nicolas avait demandé à sa maîtresse de se faire discrète quant à sa grossesse. L’occasion étant trop belle, Claude François reconnait Jennifer à la mairie. « Il a profité de ce flou artistique pour me reconnaître avant papa », a avoué cette dernière au cours d’une séquence du programme. « J’ai porté son nom pendant six ans : j’avais sur mon passeport la mention ‘Jennifer François’. C’était une petite revanche pour lui ! ». Toutefois, l’artiste qui s’illustre sous le pseudo de Jennifer Kay ne lui en veut pas : « Je le comprends très bien, honnêtement. Il a toujours dit à papa qu’il lui avait volé sa femme et qu’il ne l’aimait pas. On était sur un petit combat de coqs ».

Le 9 septembre 2022, France 3 met en lumière une histoire inédite et pleine de révélations dans son émission « Archives secrètes » consacrée aux amours et rivalités des grandes stars françaises. Ce jour-là, une certaine Jennifer, la fille de Gilbert Bécaud et ancienne protégée de Claude François, brise le silence en dévoilant une anecdote étonnante qui remonte à plusieurs décennies. Ce qu’elle révèle ? Une petite revanche de Claude François, en réponse à une rivalité amoureuse et professionnelle qui les opposait à l’époque.

L’histoire débute dans les années 60, au cœur de la scène musicale française. Claude François, jeune batteur ambitieux, rêve de percer dans l’industrie musicale. C’est à ce moment-là qu’il rencontre Janet Woollacott, danseuse britannique et maîtresse de Gilbert Bécaud, la star incontournable de l’époque. Les deux hommes sont alors rivaux, chacun luttant pour s’imposer sur la scène musicale et, bien entendu, pour gagner le cœur de la belle Janet. Mais ce qui semble être une simple compétition artistique se transforme rapidement en une guerre personnelle, à la suite de la rupture entre Gilbert Bécaud et Janet en 1962.

Alors que Bécaud tente de se remettre de cette séparation et de préserver sa famille, Claude François profite de la situation pour se rapprocher de Janet. Peu après, cette dernière donne naissance à une petite fille en 1965, cachant soigneusement l’identité du père. Claude François, toujours dans cette quête de revanche, s’engage alors dans une démarche surprenante : il reconnaît la petite Jennifer comme sa fille, bien avant que Gilbert Bécaud ne le fasse. « Il a profité de ce flou artistique pour me reconnaître avant papa », confie Jennifer avec une certaine émotion. Un geste audacieux de la part de celui qui a toujours vu en Bécaud un concurrent redoutable, non seulement dans la musique, mais aussi dans sa vie personnelle.

Jennifer raconte que, pendant six ans, elle a porté le nom de « Jennifer François » et que cette reconnaissance, bien qu’inattendue, n’a rien d’anodin. Sur son passeport, cette mention faisait écho à un petit bras de fer personnel, un coup de semonce dans une bataille qui, selon elle, a été alimentée par des rancunes anciennes. « C’était une petite revanche pour lui », dit-elle, tout en admettant que, bien qu’elle ait pris cette situation avec recul, elle comprend parfaitement l’état d’esprit de Claude François à l’époque. « Il a toujours dit à papa qu’il lui avait volé sa femme et qu’il ne l’aimait pas », précise Jennifer.

Ce secret, resté enfoui pendant des années, éclate enfin au grand jour grâce à l’émission « Archives secrètes ». Pourtant, malgré cette révélation spectaculaire, Jennifer ne garde aucune rancune envers Claude François. « On était sur un petit combat de coqs », ajoute-t-elle, désignant l’enjeu comme une rivalité amoureuse et artistique que seuls les intéressés pouvaient pleinement comprendre.

Le public français, toujours friand de ces histoires d’amours contrariés et de batailles de célébrités, ne peut qu’être fasciné par ce secret bien gardé. Si Claude François et Gilbert Bécaud sont aujourd’hui des légendes de la chanson française, cette anecdote rappelle que, derrière les paillettes, il y avait aussi des rivalités et des drames personnels qui ne demandaient qu’à éclater. Jennifer, aujourd’hui artiste sous le nom de Jennifer Kay, semble avoir pris cette histoire avec une forme de sagesse. « Je le comprends très bien, honnêtement », conclut-elle, soulignant l’humanité et les fragilités des géants de la musique. Un témoignage précieux et poignant sur la face cachée de ces artistes légendaires.