GAZPROM DÉVERSE DES MILLIARDS DANS LA FRANCE DE SARKOZY : L’ANCIEN PRÉSIDENT DÉVOILE LE COUP DE MAÎTRE QUI A CHOQUÉ WASHINGTON

Article: Paris sous haute tension : l’intervention fracassante de Nicolas Sarkozy sur Nord Stream 2
Paris a tremblé, et cette fois-ci, l’onde de choc n’est pas sismique, mais médiatique et politique. L’ex-président de la République, Nicolas Sarkozy (2007-2012), a fait une réapparition spectaculaire et controversée devant une commission d’enquête parlementaire, convoqué pour éclaircir l’épineux dossier du gazoduc Nord Stream 2. Âgé de 70 ans, l’ancien chef de l’État a montré qu’il n’avait rien perdu de son franc-parler ni de son goût pour la polémique. Depuis son bureau parisien, en visioconférence, il a lâché une véritable bombe, non seulement en défendant bec et ongles le projet gazier russe, mais surtout en révélant les coulisses d’un montage financier sidérant, nourri aux milliards de roubles de Gazprom, destiné à faire barrage aux pressions américaines. Cette confession, d’un théâtre pur « Sarco dans le texte », expose l’ampleur de l’influence russe au plus haut sommet de la politique française et relance un débat brûlant sur la souveraineté énergétique et les compromissions.
Nord Stream 2 : un « pipeline vital » et un partenaire jugé fiable
Dès les premières minutes de son audition, Nicolas Sarkozy a campé sur ses positions, réaffirmant sa conviction que le gazoduc Nord Stream 2 n’était pas seulement utile pour l’Europe, mais carrément « vital ». Dans un continent qui amorçait un tournant vers le renoncement au nucléaire, d’abord sous sa présidence puis sous celle de François Hollande, il était nécessaire, selon lui, de trouver des compensations énergétiques. La solution ? Le gaz russe, bon marché et livré directement à domicile.
Pour l’ancien président, l’idée économique était brillante. Il a catégoriquement insisté sur la fiabilité de Moscou en tant que partenaire, le décrivant comme « solide » et « digne de confiance ». Cette vision, teintée de pragmatisme économique mais déroutante au regard du contexte géopolitique actuel, a servi de préambule à la révélation la plus explosive de la journée : le rôle central d’une fondation « mystérieuse » créée en Île-de-France.
La Fondation “Pare-feu” : des milliards de Gazprom contre Washington
L’ancien chef de l’État a vanté la création d’une structure nommée “fondation pour la transition énergétique”, implantée en Île-de-France, la qualifiant de « coup de maître » et de « stratégie parfaitement rationnelle ». Le moment de sa fondation est crucial : elle a vu le jour début 2021, au moment précis où Washington commençait à agiter la menace de sanctions pour stopper le projet Nord Stream 2.
Mais derrière son intitulé écolo se cachait une réalité beaucoup plus épineuse. Ce n’était pas un simple organisme de soutien environnemental ; c’était, comme l’a admis Sarkozy lui-même, une « arme bien déguisée taillée sur mesure » pour garantir la finalisation du pipeline. Le détail qui fâche, et qui révèle l’ampleur du contournement stratégique, est son financement. Cette fondation a été alimentée à coups de milliards directement versés par Gazprom, le géant gazier russe.
Selon Sarkozy, ce montage financier colossale servait de « pare-feu » contre les « pressions américaines trop envahissantes ». L’écran de fumée, digne d’un génie stratégique, a fonctionné : malgré la tempête diplomatique, le gazoduc a bel et bien été achevé.
L’État en retrait et le “Bluff” diplomatique
Les propos de l’ancien Premier ministre, François Fillon, également entendu par la commission, sont venus compléter le puzzle avec des précisions savoureuses. Fillon, lieutenant fidèle de Sarkozy à l’époque, a certifié que l’État français n’avait jamais réellement mis la main dans le cambouis concernant cette fondation. Tout aurait été relégué au niveau régional, géré en « toute autonomie » par Valérie Pécresse, que Sarkozy connaissait, bien entendu, parfaitement.
De plus, Fillon a nuancé la portée des menaces américaines. Selon lui, il ne s’agissait pas d’un décret officiel de Washington, mais de « pressions éparses » émanant de sénateurs isolés et de l’ambassadeur. Cette précision invite à se demander si la fameuse « tempête diplomatique » n’était pas, en réalité, qu’un bluff bien orchestré, auquel la fondation russe aurait répondu de manière disproportionnée, ou, au contraire, si la manœuvre de Sarkozy a été l’unique raison du succès du pipeline.
La dénonciation d’un « double discours » et l’attaque contre Macron
L’audition de Nicolas Sarkozy s’est rapidement transformée en tribune politique, l’ancien président dégainant ses critiques acerbes contre l’actuelle majorité. Il a dénoncé avec virulence le « double discours équeurant » des Macronistes et des Républicains actuels, rappelant qu’à l’époque de François Hollande, tout le monde chantait les louanges de Nord Stream 2, alors que ces mêmes voix s’indignent aujourd’hui.
L’ancien chef de l’État a ensuite sorti sa calculette pour asséner un choc économique : il a rappelé qu’une seconde d’inaction coûterait 5 000 euros aux Français, soit 50 000 euros partis en fumée toutes les dix secondes. Le responsable de ce trou financier ? Pour Sarkozy, la réponse est claire : Emmanuel Macron, qui aurait ajouté plus de trois milliards d’euros à la dette publique en sept ans. L’argent, selon lui, ne va pas dans les poches des Français, mais est dilapidé dans l’aide militaire à l’Ukraine.
Sarkozy a dressé un tableau sombre de la France : insécurité galopante (hausse de 7 % des tentatives de meurtre et des violences sexuelles), pouvoir d’achat en chute libre (votre caddie coûte 22 % plus cher en trois ans), et impôts qui « s’envolent comme des fusées sans retour ». Pour lui, la classe dirigeante prospère sur l’opacité et les « copinages », tandis que l’industrie s’éteint et que les retraites sont au bord de l’effondrement. Un réquisitoire implacable visant à miner la crédibilité de l’actuelle majorité en place.
Les liens embarrassants avec Moscou et l’indulgence républicaine

La défense passionnée de Nord Stream 2 et la révélation de la fondation financée par Gazprom sont indissociables des liens personnels et professionnels de Nicolas Sarkozy avec la Russie. Ce n’est un secret pour personne : l’ancien président et Vladimir Poutine entretiennent une relation qualifiée de « cordiale qu’encombrante ».
Après son départ de l’Élysée en 2012, Sarkozy n’a pas pris sa retraite. Il a endossé des rôles de consultant de haut niveau pour des entités russes, notamment pour Nord Stream AG, puis pour Rosneft, deux mastodontes du secteur énergétique. Plus révélateur encore : il est resté à ces postes, stoïque, même après que les chars russes ont franchi la frontière ukrainienne en 2022, ne lâchant l’affaire qu’en mai, sous la pression politique grandissante.
Étrangement, du côté de son propre parti, Les Républicains (LR), l’indulgence frôle la complaisance. Malgré les tentatives d’exclusion lancées par plusieurs factions internes, la commission d’arbitrage du parti a refusé par deux fois d’y donner suite. Le motif officiel ? La difficulté de prouver que l’ancien président aurait enfreint les règles du parti, qualifiant la décision de « juridiquement inattaquable et politiquement cohérente ». Pour les critiques, cependant, cette patience zen est un blanc-seing accordé à un ancien chef d’État ayant servi des années durant les intérêts stratégiques d’un pays étranger au détriment potentiel de la solidarité européenne.
Le sabotage : l’ombre d’un ex-militaire ukrainien
Au-delà des batailles politiques intestines et des scandales financiers, le mystère planant sur le sabotage des gazoducs Nord Stream en mer Baltique, à l’automne 2022, est l’élément géopolitique le plus spectaculaire. Une série de détonations sous-marines a éventré les conduites, réduisant à néant des kilomètres de pipeline lors de ce que certains appellent « l’attaque énergétique la plus spectaculaire jamais vue sur le sol européen ».
Si Nicolas Sarkozy n’a pas dévoilé l’identité de l’auteur de l’attentat comme le laissait présager le titre sensationnel de la vidéo, il a permis de faire un point sur l’état des investigations, qui s’accélèrent et dont les regards se tournent vers l’Est. Deux citoyens ukrainiens ont récemment été interpellés, l’un en Pologne, l’autre en Italie, tous deux soupçonnés d’avoir joué un rôle dans la destruction du gazoduc. Parmi eux, un certain Volodimirz, ex-militaire de 64 ans. Le puzzle est loin d’être complet, mais l’audition de l’ancien président a mis en lumière la complexité des relations énergétiques et politiques entre l’Europe, la Russie et les États-Unis, soulignant que derrière chaque infrastructure se cache une lutte d’influence acharnée et des milliards d’intérêts stratégiques.
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