HAUTE TRAHISON ET CHUTE DE L’ÉLYSÉE : LA DÉCLARATION EXPLOSIVE DE GEORGIA MELONI QUI MET MACRON À NU ET PLONGE LA FRANCE DANS LE CHAOS

Tổng thống Pháp Macron sẽ bổ nhiệm thủ tướng mới trong vài ngày sau khi  Bayrou

Un tsunami politique et diplomatique d’une ampleur inédite a frappé la France et l’Europe en ce mois de juillet 2025, menaçant de faire s’effondrer l’Élysée sous le poids de la colère populaire et des révélations fracassantes. La détonation est venue de Rome, de la bouche de Georgia Meloni, Première ministre italienne et figure emblématique de la droite souverainiste européenne.

Lors d’une interview explosive accordée à la chaîne RAI 1 le 21 juillet, Meloni a lâché une bombe atomique politique : une accusation directe et frontale contre Emmanuel Macron, Président de la République française. Qualifiée d’« incroyable » par les observateurs, cette déclaration met Macron au pied du mur, l’accusant de manipuler l’Union européenne pour servir des intérêts personnels et de trahir la nation française au travers d’« accords secrets » avec des puissances financières opaques.

Des documents présumés fuités, des accusations de collusion avec des cabinets de conseil ultra-puissants comme McKinsey, et une tempête de réactions sur les réseaux sociaux ont plongé la France dans un chaos médiatique, politique et diplomatique. La question n’est plus de savoir si le président est en danger, mais s’il survivra à cet assaut de vérité, venu de l’étranger, au moment où la France est déjà un volcan sur le point d’exploser.

La France, un volcan pré-éruption : le contexte d’une crise annoncée

Pour comprendre l’impact dévastateur de la déclaration de Meloni, il est essentiel de saisir l’état de la France avant le 21 juillet 2025. Le pays n’était déjà plus qu’instabilité chronique. Depuis la dissolution surprise de l’Assemblée nationale, décidée par Emmanuel Macron le 9 juin 2024 après la percée historique du Rassemblement National (RN) aux élections européennes, l’équilibre politique s’est brisé.

Les législatives anticipées de juillet 2024 ont enfanté une Assemblée nationale fragmentée, rendant toute gouvernance stable impossible : Renaissance peine avec 150 sièges, le RN en compte 130, la NUPES 120, et Les Républicains (LR) 80, selon les chiffres rapportés par Le Monde. Cette paralysie parlementaire a mené à la censure du gouvernement de Michel Barnier dès le 4 décembre, laissant la place à François Bayrou, nommé Premier ministre le 13 décembre 2024.

Le gouvernement Bayrou, confronté à un déficit public abyssal estimé à 110 milliards d’euros d’ici 2027, a dévoilé un plan d’austérité d’une brutalité inouïe : 60 milliards d’euros de coupes budgétaires pour 2026. Ce plan, perçu comme une véritable trahison par une population à bout, prévoit le gel des pensions pour 15 millions de retraités (soit en moyenne moins 500 euros par an), la suppression des jours fériés symboliques (8 mai et 11 novembre) et des coupes massives dans les services publics. L’Éducation Nationale doit perdre 10 000 postes, 50 hôpitaux régionaux sont menacés de fermeture, et 30 % des lignes TGV régionales doivent être éliminées.

Sur les réseaux sociaux, ces mesures ont ravivé la flamme des grandes manifestations de 2023 contre la réforme des retraites, transformant le désaccord en une véritable haine de classe. La colère est alimentée par une économie au bord du gouffre : inflation galopante (4,5 % en 2025 selon l’Insee), flambée des prix de l’énergie (plus 20 % pour le gaz depuis 2024) et une insécurité croissante (hausse de 12 % des délits violents en 2024). Des fleurons industriels, symboles de la souveraineté française, tels que Renault ou Alstom, sont en péril face à la concurrence internationale, attestant d’une désindustrialisation galopante.

Dans ce climat d’une rare toxicité, un sondage Toluna Harris Interactive de mars 2025 révélait que seuls 4 % des Français accordaient encore leur confiance à Emmanuel Macron, tandis qu’une majorité écrasante (67 %) le tenait personnellement responsable de la crise. Le cri de rage de l’internaute Patriote7515 résume l’état d’esprit général : « Macron sacrifie la France pour Bruxelles. Nos retraites et nos hôpitaux sont bradés. » La scène était prête pour l’explosion.

La déflagration de Rome : “Macron manipule l’Union européenne”

L’Italie, sous la direction de Georgia Meloni, est une autre pièce maîtresse de l’échiquier européen. Malgré son positionnement souverainiste, Meloni a jusqu’ici adopté une ligne pragmatique, collaborant avec l’UE sur des dossiers cruciaux comme l’immigration et le soutien à l’Ukraine, la distinguant de ses alliés plus radicaux. C’est donc dans un contexte de collaboration forcée que son attaque a eu l’effet d’un coup de tonnerre inattendu.

Le 21 juillet, interrogée sur la crise française et l’avenir chancelant de l’UE, Meloni a livré une déclaration d’une violence inouïe, qui restera dans les annales de la diplomatie franco-italienne.

« Emmanuel Macron manipule l’Union européenne pour ses intérêts personnels et ceux de ses alliés financiers. Ces accords secrets avec des cabinets comme McKinsey et des lobbies étrangers trahissent les Français et fragilisent l’Europe. »

Avec un style incisif et une assurance glaciale, Meloni a brandi à l’antenne un document, présenté comme un rapport confidentiel de l’UE, accusant explicitement le président français d’avoir orchestré des deals opaques pour favoriser des multinationales, tout en imposant simultanément le carcan de l’austérité à son propre peuple.

Elle n’a pas hésité à enfoncer le clou, ajoutant : « Macron n’est pas un leader pour l’Europe, il est un danger pour la souveraineté des nations. »

Le choc fut immédiat et sismique. L’interview a été relayée en boucle par BFM TV, CNews et France Info, électrifiant l’atmosphère. L’Élysée, manifestement pris de court, a réagi par un communiqué d’une brièveté et d’une faiblesse frappantes, qualifiant les accusations d’« infondées » et visant à « déstabiliser la France ». Mais le mal était fait. La parole officielle n’avait aucune chance face à la force de l’image de Meloni brandissant son document, relayée par des millions de partages.

La tempête du web et les documents qui accablent

Le terrain avait été préparé par des mois de défiance, et la déclaration de Meloni a servi de catalyseur. Les réseaux sociaux se sont enflammés instantanément. Des hashtags comme #MacronTrahit, #MeloniExplose, #FranceEnColère et #ÉlyséeFini ont explosé en tête des tendances, portés par une vague d’indignation populaire sans précédent. Les clips viraux de l’interview, montrant Meloni avec son regard perçant, ont été visionnés des dizaines de millions de fois.

L’effet amplificateur est venu des prétendus documents fuités. Rapidement publiés par des médias d’investigation comme Mediapart, mais aussi par des organes plus conservateurs comme Valeurs Actuelles et Le Canard Enchaîné, ils ont donné du corps aux accusations de Meloni. Ces rapports non authentifiés suggèrent que l’Élysée aurait signé des contrats exorbitants avec McKinsey – plus de 2 milliards d’euros depuis 2017 – pour des conseils sur la mise en œuvre de l’austérité. Plus grave encore, des échanges présumés indiquent que Macron aurait poussé l’UE à adopter des politiques favorables à de grandes multinationales françaises, dont TotalEnergies, au détriment des PME et des services publics français.

L’idée d’un « complot » globaliste a pris une ampleur folle. Des comptes conspirationnistes ont évoqué une « mainmise de l’OTAN » ou de fonds d’investissement américains. La rumeur, alimentée par un contact suspect sur le téléphone de Meloni lié à un conseiller de la Commission européenne, a créé un narratif : Meloni aurait agi sous la pression de cercles anti-Macron, notamment des pays de l’Est, pour affaiblir la France avant les européennes de 2026. L’attaque n’était plus seulement diplomatique ; elle était perçue comme la preuve que le président vendait la France pour une poignée de dollars et des intérêts étrangers.

La fracture politique : l’opposition saisit l’occasion

Dès le 22 juillet 2025, le scandale a explosé à l’Assemblée nationale. Jordan Bardella, président du RN, a sauté sur l’occasion lors d’un débat houleux retransmis en direct sur LCP. Il a accusé sans détour Emmanuel Macron de « haute trahison ».

« Meloni a dévoilé ce que tout le monde savait. Macron vend la France à des intérêts étrangers. Il doit partir. »

Cette formule choc a provoqué un tumulte tel que la séance a dû être suspendue. Marine Le Pen, sur X, a immédiatement enfoncé le clou, tandis qu’à gauche, l’eurodéputée LFI Manon Aubry a salué le « courage » de Meloni tout en critiquant son alliance avec l’UE, résumant l’atmosphère par : « Macron est un problème, mais Meloni n’est pas la solution. » François Ruffin a réclamé une enquête parlementaire immédiate sur les contrats de McKinsey.

Au sein de la majorité présidentielle, les fissures se sont transformées en gouffre. Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, a immédiatement commencé à manœuvrer en coulisse, se positionnant en recours pour l’échéance de 2027. Des sources anonymes de Renaissance, citées par Le Manteau Paris, ont révélé l’isolement du président : « Macron est isolé, Meloni l’a mis à nu, et Darmanin veut en profiter. »

Le Premier ministre Bayrou a tenté de défendre son président sur France Inter, qualifiant l’attaque de « manipulation populiste », mais son manque de conviction criant n’a fait qu’affaiblir encore la position de l’exécutif. Même Yael Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée, a été critiquée sur les réseaux pour son silence jugé protecteur vis-à-vis de l’Élysée.

Les médias se sont retrouvés divisés. Le Figaro titrait sobrement « Meloni contre Macron : une crise diplomatique sans précédent », tandis que Libération dénonçait une « attaque opportuniste » de l’Italie. Sur CNews, l’émission spéciale de Sonia Mabrouk, avec Éric Zemmour, accusait sans nuance l’Élysée de collusion avec les élites « globalistes ». Pendant ce temps, la presse internationale a fait ses gros titres, de The Guardian évoquant une « crise européenne » à Fox News célébrant Meloni en « héroïne anti-globaliste ». Le consensus médiatique, ou du moins son absence, confirmait l’ampleur du séisme.

La révolte de la rue : un pays à l’arrêt

Le scandale a dépassé le simple débat politique ou médiatique : il a cristallisé la fracture entre les Français et leurs élites, une défiance nourrie par des années de politique jugée impopulaire.

Les manifestations ont éclaté spontanément et violemment dans les grandes villes : Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux, Nantes et Toulouse. Des pancartes ont fleuri dénonçant « Macron le banquier », exigeant « sauver la France » et proclamant « Meloni dit la vérité ». Des vidéos largement partagées sur X montraient des scènes de guérilla urbaine, avec des affrontements violents avec la police, des barricades en feu et le slogan « Macron Démission » scandé par des milliers de gorge.

Les syndicats n’ont pas tardé à agir. La CGT et FO ont appelé à une grève générale illimitée dès le 23 juillet, paralysant le pays. Les transports (SNCF à 80 % à l’arrêt), les écoles et les hôpitaux ont été touchés. Étudiants bloquant la Sorbonne, agriculteurs rappelant les blocages de 2024, tous ont fusionné leur colère sous le même drapeau : le rejet du plan d’austérité et la dénonciation des trahisons présidentielles.

L’impact économique a été immédiat et brutal. Les agences de notation Moody’s et S&P ont placé la France sous surveillance renforcée, laissant craindre une dégradation imminente de sa note souveraine. La Bourse de Paris a chuté de 4 % le 22 juillet, touchant de plein fouet TotalEnergies, LVMH et Airbus. Le pays, jadis puissance diplomatique incontournable, a vu son influence s’évaporer, éclipsé par d’autres nations et d’autres priorités internationales.

Conséquences et avenir : l’Élysée sur un fil

Diplomatie. Propos de Darmanin sur l'immigration : Giorgia Meloni met en  garde la France

Pourquoi Meloni a-t-elle choisi ce moment précis ? Les analystes avancent plusieurs thèses. Certains y voient une manœuvre opportuniste pour affaiblir la France au sein de l’UE et renforcer l’Italie comme nouveau leader des forces souverainistes. D’autres, s’appuyant sur les rumeurs de X, suggèrent un calcul diplomatique complexe : Meloni aurait sacrifié Macron pour apaiser ses alliés populistes au Parlement européen ou même conclu un deal avec la Commission pour marginaliser le président français avant l’échéance de 2026.

Quelles que soient les motivations, les conséquences pourraient être explosives. À l’Assemblée nationale, le RN et la NUPES se sont unis pour déposer une motion de censure contre le gouvernement Bayrou, accusé d’être le paravent des dérives macronesques. Le Conseil constitutionnel est pressenti pour examiner la légalité des contrats passés avec McKinsey.

Emmanuel Macron, plus isolé que jamais, envisage une allocution télévisée, mais il court le risque de n’être plus écouté, ou pire, d’attiser davantage la rage populaire. Les rumeurs d’une nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale après le 14 juillet 2025 circulent, une option jugée extrêmement risquée par La Croix.

Le scandale Meloni n’est pas une simple crise diplomatique franco-italienne. Il est le cri de révolte d’un peuple contre une élite déconnectée et soupçonnée d’avoir vendu sa souveraineté pour des intérêts privés. Comme le résume Meloni elle-même, « Les peuples d’Europe méritent la vérité, pas des leaders qui les trahissent. » Face à la tempête, la France exige la transparence et des comptes.

Le Pen et Bardella appellent désormais à une « révolution citoyenne » pour « la vérité, pour le peuple », exigeant que « ces trahisons doivent cesser, ces secrets doivent éclater. » Le pays est au bord du gouffre, suspendu à la prochaine manœuvre du palais, de l’opposition ou de la rue. La question n’est plus de savoir s’il y aura un tremblement de terre, mais de quelle magnitude il sera. Ce n’est que le début de l’effondrement.