Macron CRAQUE à la TV — Le Pen s’impose dans la foulée

C’était une soirée qui devait “réconcilier les Français”. Elle restera dans l’histoire comme celle qui les a figés devant leur écran, témoins d’un moment de télévision aussi rare qu’impitoyable : l’effondrement en direct d’un Président de la République. Ce 20 octobre 2025, sur le plateau conjoint de TF1 et France 2, 15 millions de téléspectateurs n’ont pas seulement assisté à un débat ; ils ont vu un homme perdre pied et son adversaire, d’un seul regard, ramasser la mise.
L’ambiance était électrique bien avant que les lumières ne s’allument. La France sortait d’une année de tensions extrêmes. Le Rassemblement National, porté par une vague de mécontentement populaire, avait “cartonné” aux élections européennes de juin, forçant la main d’un pouvoir déjà affaibli. Emmanuel Macron, dans un geste que beaucoup avaient qualifié de “pari risqué”, avait lui-même défié Marine Le Pen pour ce face-à-face, espérant réitérer l’ascendant psychologique de 2017 et 2022.
Mais nous n’étions plus en 2017. Le Président, usé par huit années de pouvoir, de crises – des Gilets Jaunes à l’inflation galopante – et de réformes impopulaires, jouait gros. Avec une popularité à peine à 25%, une dette publique de 3200 milliards d’euros et une inflation à 6% rongeant le portefeuille des classes moyennes, chaque mot comptait. Ce débat n’était pas une joute, c’était une tentative désespérée de reprendre le contrôle du narratif national.
Pendant plus d’une heure et demie, le débat fut tendu, mais convenu. Gilles Boulot et Léa Salamé tentaient de maintenir un semblant d’ordre entre deux visions de la France radicalement opposées. Puis, à 22h45, sur le terrain miné de l’immigration, le drame s’est noué.
Marine Le Pen, calme et préparée, lance son attaque la plus tranchante : “Vous avez laissé entrer 2 millions de clandestins depuis 2017, au prix de notre sécurité.”
La réaction d’Emmanuel Macron fut instantanée, non pas celle d’un chef d’État, mais celle d’un homme poussé à bout. “Le Président hausse le ton, les yeux exorbités”, comme le décrira un journaliste présent sur le plateau. Il lâche une phrase qui fait le tour du monde : “Vous parlez de souveraineté, Marine, mais c’est vous qui vendez la France aux idées extrêmes, comme vos électeurs qui fuient la réalité au lieu de bâtir l’avenir !”
Sa voix tremble. Il tape du poing sur la table. Et soudain, le trou noir.
Il bafouille, perd le fil de sa pensée, et termine par un “C’est inacceptable, je…”

Puis, le silence. Un silence assourdissant, gênant, qui dure cinq longues secondes. Cinq secondes où 15 millions de Français voient leur Président le visage rouge, les mains crispées sur son pupitre, incapable de poursuivre. Léa Salamé, visiblement mal à l’aise, tente de relancer. Macron la coupe : “Non, attendez ! Je ne laisserai passer ça. C’est la France qui est en jeu !”
Mais le mal était fait. Sa sortie, au lieu de sonner comme une riposte solide, avait l’écho d’un “cri de désespoir”. Les analystes, dès la coupure publicitaire, parleront d’un moment “condescendant”, rappelant le mépris tant reproché au Président, mais cette fois, couplé à une panique palpable. L’homme qui se voulait le maître des horloges venait de perdre le contrôle du temps.
Et c’est là que Marine Le Pen, dans un contre-pied politique magistral, a transformé l’essai.
Elle n’a pas ri. Elle n’a pas jubilé. Elle n’a pas profité du KO verbal pour achever son adversaire. À la place, elle a posé sur Emmanuel Macron un regard décrit par tous comme “compatissant, presque maternel”. Elle a attendu que le silence s’installe pleinement, puis, d’une voix posée, presque douce, elle a lancé la phrase qui allait sceller la soirée :
“Emmanuel, je vois que vous êtes épuisé par ces années de mensonge. Les Français le voient aussi. Ils ne veulent pas un président qui explose. Ils veulent un président qui écoute. Moi, je suis là pour eux. Pour reprendre le contrôle de notre pays.”
Boom. En une réplique, le script était retourné. Macron, le jeune loup dynamique de 2017, passait pour le “fragile”, l’homme “usé” et “agressif”. Elle, l’éternelle opposante “agressive” de 2017, devenait la figure “stable”, “présidentiable”, presque protectrice. Dans le public, quelques applaudissements discrets fusent. Les sondages en direct, projetés sur les écrans de la régie, basculent instantanément : +5 points pour Le Pen sur “l’impression de compétence”.
L’onde de choc fut immédiate. Avant même la fin de l’émission, les réseaux sociaux s’étaient emparés du “craquage”. Les hashtags #MacronCrack et #LePenGagne trustaient le top mondial sur X (anciennement Twitter). Des mèmes montrant un Macron essoufflé face à une Le Pen stoïque inondaient TikTok, cumulant 10 millions de vues en moins d’une heure.
Les faits politiques ont suivi. Jordan Bardella, son bras droit, tweetait : “Marine domine. Macron s’effondre. Les Français ont choisi.” Même Éric Zemmour y allait de son analyse : “Macron a craqué. Le Pen triomphe. La France se réveille.”
Plus révélateur encore, les médias traditionnels, souvent plus mesurés, ne pouvaient nier l’évidence. Le Monde titrait sur un “Débat tendu, Le Pen sort renforcée”. France Inter admettait que la candidate du RN avait “su incarner la sérénité” face à un président “agressif et fatigué”, un sentiment partagé par 62% des téléspectateurs selon un sondage Elabe réalisé en direct.
Les conséquences de ces cinq secondes de silence ne se sont pas fait attendre. Dès le lendemain, des manifestations anti-Macron reprenaient de plus belle à Paris. Des “Gilets Jaunes 2.0”, comme ils se sont eux-mêmes baptisés, bloquaient des ronds-points en province, scandant “Démission !”.
Politiquement, c’est un camouflet. Le gouvernement, déjà fragilisé, voyait sa majorité s’effriter, des députés macronistes murmurant en coulisses qu’il était “fini”. À l’inverse, le meeting de Marine Le Pen à Marseille, le lendemain, attirait 50 000 personnes dans une ambiance d’euphorie.

L’humiliation est aussi internationale. Le tweet (fictif) de Donald Trump – “Macron cracks under pressure. Weak!” (Macron craque sous la pression. Faible !) – faisait le tour des chancelleries, tandis que le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, proposait une “alliance avec Le Pen pour une Europe des nations”.
Ce craquage n’est pas un simple lapsus. C’est le symptôme d’une usure profonde, celle d’un pouvoir qui, à force de se vouloir vertical et jupitérien, a oublié l’humanité de ceux qu’il gouverne et a fini par exposer la sienne de la pire des manières.
Alors que les sondages pour 2027 projettent désormais une Le Pen en tête avec 10 points d’avance, la question n’est plus de savoir si le macronisme touche à sa fin, mais comment il va s’achever. Le Président tentera sans doute un coup d’éclat, un référendum, un sommet international pour se refaire une image. Mais l’image qui restera est celle d’un homme au visage rouge, les mains crispées, réduit au silence par une adversaire qui n’a eu besoin que d’une phrase pour incarner l’alternative.
Les élites paniquent. Le peuple, lui, semble avoir choisi. Ce 20 octobre 2025 n’était peut-être pas une “réconciliation”, mais c’était, sans aucun doute, le début d’autre chose. Peut-être le début de la révolte.
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