🌟 Lucie Bernardoni et Fanny Delaigue (Star Academy) font une annonce importante pour les candidats

Une semaine à peine après leur entrée au château de Damarie Leslis, les 10 à 7 académiciens de la Star Academy ont déjà plongé dans le grand bain. Le rythme est intense. Les journées s’enchaînent entre cours de chant, de danse, de théâtre et répétition sous l’œil attentif du corps professoral.

Le château, autrefois symbole de rêve et de promesses, est désormais devenu un véritable champ d’apprentissage où se mêle passion, fatigue et compétition. Les premiers jours ont permis aux téléspectateurs de découvrir les fortes personnalités de cette nouvelle promotion marquée par une diversité de profils impressionnantes, des voix puissantes, des sensibilités variées et surtout une envie partagée de briller sur scène.

Très vite, certains élèves se sont démarqués, attirant la curiosité du public et la bienveillance des professeurs. Victor, Jeanne et Sarah en particulier ont conquis le classement hebdomadaire occupant les trois premières places grâce à leur prestation aboutie et leur régularités. Leur assurance et leur capacité à progresser rapidement laissent entrevoir de beaux parcours.

Mais à la Star Academy, chaque semaine apporte son lot d’émotion et de rebondissement. Alors que certains goûtent déjà à la lumière, d’autres doivent affronter la crainte du banc dénominé. Cette fois, ce sont, Emma et Medy qui ont vu leur nom s’afficher lors de la première évaluation. Une situation toujours difficile, vécu avec stress et humilité.

Les trois jeunes artistes se sont accrochés, redoublant d’efforts pour convaincre leurs professeurs et espérer être sauvés par le public. Cette première semaine a aussi été celle des premiers cours marquants. Entre les conseils précis d’Adline Tonyuti, l’énergie communicative de Yanis Marchall et la douceur exigeant de Lucy Bernardenis, les académiciens ont pris conscience de la rigueur que demande cette aventure.

Les caméras de la quotidienne ont capté des instants de complicité, des éclats de rire, mais aussi des larmes d’émotion et de fatigue. La magie de la Star Academy, c’est aussi ça. Un condensé d’humanité où chaque élève se dévoile peu à peu à l’approche du 2uxè prime prévu pour le samedi 25 octobre. La pression monte d’un cran.

Le souvenir du premier show entre track et émerveillement est encore frais. Mais cette fois les enjeux sont plus clairs. Confirmer ses progrès, séduire les artistes invités et surtout prouver qu’on mérite sa place. Car au-delà de la compétition, chaque prime est une vitrine, une opportunité unique de se faire remarquer par le public, les professionnels et peut être décrire le début d’une carrière.

Dans ce contexte, la quotidienne du jeudi 23 octobre revêtait une importance particulière. C’est ce jour-là que Lucy Bernardoni et Fanny de Leg, les fidèles répétitrices, sont venues au château pour annoncer les duos du second prime et une grande nouveauté liée à la tournée. Autant dire que l’excitation était à son comble parmi les élèves entre impatience et appréhension.

Tous savaient que cette journée pouvait changer le cours de leur aventure. Ce jeudi 23 octobre, l’ambiance était électrique au château de Damarie Leslis. Les élèves savaient que la journée ne serait pas comme les autres. Lucy Bernardoni et Fannie de Leg, les deux répétitrices les plus complices du corps professoral, avaient promis de venir leur annoncer une nouvelle de taille et elles n’ont pas déçu.

Dans la salle de champ, les académiciens, visiblement nerveux, attendaient en rencerré le verdict du jour, la révélation des duos pour le deuxè prime de la saison. Tout au long de la semaine, les élèves ont eu le privilège de répéter au côté d’artistes confirmés. Parmi eux, Benjamin Biolet, le groupe Ky Lily Wood and the Prick, Louisa et Amel Bent.

Chacun d’eux a passé du temps avec plusieurs académiciens observant leur voix, leur énergie et leur personnalité. À l’issue de ces répétitions, les invités ont eu la liberté de choisir l’élève avec lequel ils souhaitait partager la scène samedi soir en direct sur Tun. Un moment décisif pour ces jeunes chanteurs où talent et authenticité ont fait la différence.

C’est Lucy Bernard qui a ouvert la série d’annonces Sous les regards fébriles des élèves. Jeanne a été choisie par Benjamin Bioley pour interpréter “Ton héritage”, a-t-elle déclaré avec un sourire ému. “La jeune femme émue aux larmes a à peine réussi à contenir sa joie. Pour elle, chanter au côté d’un artiste aussi respecté que Bioy représente bien plus qu’un honneur.

C’est une consécration, un signe fort de confiance en sa sensibilité. Le nom de Léo a ensuite raisonné. Le jeune artiste au tempérament calme et réfléchi aura la chance de partager le titre Le Graal avec Ky un groupe emblématique des années 2000 qui continue de marquer les générations.

Une annonce accueillie par des cris et des applaudissements tant l’association paraît évidente, la voix grave et posée de Léo devrait parfaitement s’accorder à l’univers poprock du groupe. Lily quant à elle se produira avec Lily Wood and the prick sur une reprise attendue. Sa fraîcheur et sa douceur vocale avait séduit le duo dès les premières répétitions.

De son côté, Mélissa interprétera Soleil Bleu avec Louisa, une rencontre artistique pleine de promesses entre deux voix lumineuses. Mais c’est l’annonce du duo entre Ambre et Amel Bent qui a le plus ému le château. Malgré une semaine difficile marquée par une fatigue vocale, Ambre a su toucher tout le monde par sa sincérité et son courage.

On sait que ça a été compliqué vocalement pour toi, lui a confié Lucy Bernardi. Mais tu as prouvé que tu pouvais émouvoir même dans la fragilité. Une reconnaissance qui a fait fondre l’émotion dans la salle entre cri de joie, larme de soulagement et accolade, cette séance d’annonce a transformé le château en véritable scène d’émotion.

Pour ces jeunes artistes, deuxème prime s’annonce non seulement comme un défi artistique mais aussi comme un moment de rêve. chanter avec des figures de la musique française sous les projecteurs de tphun devant des millions de téléspectateurs. Un pas de plus vers la professionnalisation et peut être pour certains le début d’une belle carrière.

Après l’effervescence provoquée par les annonces de duo, Lucy Bernardoni et Fanny de Leg avaient encore une surprise en réserve. Lorsque les applaudissements se sont calmés, Lucy a pris la parole avec son ton bienveillant mais toujours ferme. Cette semaine, on a aussi une nouveauté à vous annoncer qui concerne la tournée.

Aussitôt, les regards se sont croisés, intrigués, une nouvelle règle pour la tournée de la Star Academy. Le silence s’est fait dans la salle. Lucy a alors révélé une innovation de taille. À partir de cette semaine, chaque académicien serait désigné à tour de rôle pour présenter un exercice créatif lors du prime. Deux catégories seront désormais mises en avant.

L’autoportrait chanter où l’élève devra se raconter en musique et le tableau chanter danser. Un numéro collectif ou chant mise en scène et performance physique se mêle. Cette nouveauté ne relève pas du simple divertissement, elle devient un véritable critère de sélection pour la grande tournée qui suivra l’émission. Celui qui d’ici le prime de la tournée aura réalisé le meilleur tableau chanté et danser sera directement qualifié pour la tournée a précisé Lucy sous les yeux écarquillé des élèves.

Autrement dit cette initiative ajoute une dimension supplémentaire à la compétition. Il ne s’agit plus seulement de chanter juste, mais de proposer une vision artistique complète capable de séduire le public et les professeurs. Pour inaugurer cette nouvelle formule, les répétitrices sont désignés deux premières candidates.

Léa aura la lourde responsabilité d’ouvrir le bal avec l’exercice de l’autoportrait, chanter un moment très personnel, souvent chargé d’émotion où l’artiste se met à nu à travers ses mots et sa voix. De son côté, Léan a été choisi pour lancer le premier tableau chanté dansé de la saison sur le titre Please don’t Stop the music, un morceau énergique et fédérateur parfait pour tester la cohésion et la dynamique du groupe.

Les réactions ne se sont pas fait attendre. Entre excitation et pression, les académiciens ont compris que ce nouveau défi allait exiger d’eux encore plus d’investissement. Certains comme Victor ou Sarah y voi une opportunité de se démarquer autrement que par la technique vocale. D’autres redoutent l’exercice conscient que la mise en scène et l’expression corporelle ne s’improvise pas.

Pour les professeurs, cette évolution s’inscrit dans la volonté de moderniser la formation de la Star Academy. Comme l’a souligné Fanny Deig, être artiste aujourd’hui ce n’est plus seulement savoir chanter. Il faut raconter une histoire, capter le regard du public, donner de l’émotion dans le geste autant que dans la voix.

Cette approche plus globale de la performance s’inscrit dans la lignée des spectacles modernes où l’artiste est à la fois chanteur, interprète et compteur. Donc en quelques minutes, la nouvelle règle a transformé l’atmosphère du château. L’excitation du prime s’est mêlée à une concentration nouvelle.

Les élèves savent désormais que chaque semaine, un numéro pourra changer le cours de leur aventure et que derrière la scène du prime se joue déjà une autre compétition, celle pour une place dans la tournée officielle de la Star Academy 2025. Avec cette quotidienne du 23 octobre, la Star Academy a offert à ses téléspectateurs un condensé de ce qui fait son charme, émotion, suspense et renouveau.

Une semaine seulement après la rentrée, l’émission a déjà trouvé son rythme de croisière et le public semble conquis. Les réseaux sociaux s’enflamment chaque soir, commentant les prestations, les annonces et les moments de vie du château. Les duo révélés par Lucy Bernardoni et Fanny De ont sans surprise fait réagir.

L’association de Jeanne avec Benjamin Biolet par exemple a été largement saluée par les internautes qui voient une rencontre artistique pleine de sensibilité et de poésie. Les fans apprécient particulièrement la diversité des univers proposés de la pope solaire de Louisa à la profondeur mélancolique de Violet en passant par le rock nostalgique de Ky mélange de génération et de style contribue à maintenir l’identité de la Star Academie.

Un lieu où la variété française rencontre la modernité. Les artistes invités ne se contentent pas de venir chanter. Il joue un rôle de mentor apportant aux élèves un regard professionnel et humain. C’est cette dimension intergénérationnelle qui séduit toujours le public 20 ans après la première édition.

Mais au-delà de la magie des duos, c’est surtout le grand changement annoncé autour de la tournée qui a retenu l’attention. En introduisant un nouveau mode de sélection basé sur la performance scénique, la production semble vouloir moderniser le format tout en renforçant la méritocratie. Fini les récompenses purement symboliques.

Désormais, chaque tableau chanter ou danser aura un impact concret sur la suite de l’aventure. Une stratégie maligne qui entretient la motivation des élèves et la curiosité du public. Les observateurs du programme saluent également l’audace pédagogique de cette saison. En ajoutant ces exercices créatifs, la Star Academy s’aligne sur les standards des télécrochets internationaux où l’artiste doit être complet.

Chanter, bouger, interpréter. Ce virage initié par la nouvelle équipe pédagogique redonne à l’émission une dimension artistique forte, plus exigeante, moins centrée sur la télé réalité classique. Du côté des élèves, les réactions sont à la hauteur des enjeux entre enthousiasme et appréhension. Beaucoup dans cette réforme une opportunité de révéler une facette plus intime ou plus audacieuse de leur personnalité.

Pour les professeurs, c’est aussi une manière de repérer ceux qui sauront briller sur scène lors de la future tournée. Véritable consécration de l’aventure. Enfin, pour le public, cette nouvelle dynamique relance la saison avec un souffle inédit. Les fans ont désormais deux raisons de suivre chaque prime. Découvrir les duos prestigieux et observer l’évolution des tableaux créatifs qui mèneront peu être à une qualification directe pour la tournée.

Un double enjeu qui promet de belles émotions tout en consolidant la place de la Star Academy comme l’un des divertissements musicaux les plus suivis et les plus fédérateurs de TFUN. Avec cette deuxième semaine, la Star Academy prouve une fois encore qu’elle n’est pas qu’une simple émission de divertissement.

C’est un véritable laboratoire artistique et humain. L’épisode du 23 octobre a marqué un tournant symbolique dans cette 13e saison. En dévoilant les duo prestigieux du prime et en annonçant une refonte partielle du système de sélection pour la tournée, la production réussit à conjuguer tradition et renouveau. La formule reste fidèle à ce qui a fait le succès historique de l’émission.

des élèves passionnés, des professeurs exigeants mais bienveillants et un public profondément attaché à cette aventure collective. Mais cette saison, la Star Academy assume pleinement son ambition former de véritables artistes complets capables de chanter, danser, interpréter et créer. Le château de Damarie Leslis n’est plus seulement un décor mythique, c’est une école exigeante où chaque émotion se transforme en apprentissage.

L’annonce de Lucy Bernardis sur le nouveau format des exercices autoportrait chanter, tableau chanter, danser, apporte une dimension inédite. Pour la première fois, les élèves sont invités à prendre la main sur leur art, à se raconter eux-mêmes, à construire leur univers. Ce geste pédagogique est fort. Il replace la créativité au cœur du programme et en offrant une place automatique pour la CTU, tourner à l’auteur du meilleur tableau, la production donne un sens concret au travail fourni chaque semaine. Ce n’est plus seulement une

compétition, c’est une formation vivante où la progression vaut autant que la victoire. Pour le public, cette évolution entretient un attachement renouvelé. Les fans de la première heure retrouvent la magie d’autrefois tandis que les nouvelles générations découvrent une version plus moderne, plus exigeante et plus inclusive du programme.

La Star Academy réussit ainsi à fédérer toutes les générations autour d’un même rêve, voir naître sous leurs yeux les artistes de demain. Le prime du 25 octobre s’annonce déjà comme un moment fort entre la tension des nominations et la féerie des duos. Jeanne, Léo, Lili, Mélissa et Ambre auront la lourde tâche de prouver qu’ils méritent leur place sur scène mais aussi dans le cœur du public.

Ce deuxième rendez-vous musical sera l’occasion de confirmer les espoirs, de révéler des surprises et sans doute d’émouvoir des millions de téléspectateurs. Plus qu’un show, la Star Academy 2025 secondes impose comme une aventure humaine un miroir du travail, de la passion et du dépassement de soi. Derrière les paillettes et les caméras, ce sont avant tout des jeunes artistes en construction qui chaque jour apprennent à se découvrir et à grandir.

Et c’est peu là dans cette sincérité que réside la vraie magie du programme, celle de rappeler que le talent ne suffit pas. Il faut y ajouter le cœur, la persévérance et l’envie de partager. Chaque saison de la Star Academy raconte une histoire, celle d’une génération en quête d’expression, de reconnaissance et de sens.

Mais cette 13e édition diffusée à l’automne 2025 semble aller plus loin que les précédentes. Elle capture avec justesse les contradictions de notre époque entre vitesse et profondeur, authenticité et performance, émotion et exigences. En cela, elle dépasse le simple cadre du divertissement pour devenir un véritable reflet culturel de la jeunesse française.

23 ans après sa première diffusion, la Star Academy n’a rien perdu de sa puissance émotionnelle. Mieux encore, elle a su se réinventer, prouvant qu’un format ancré dans la nostalgie peut redevenir moderne s’ils se mettent au diapason du temps présent. M.