Femme de Nicolas Sarkozy, Carla Bruni (57 ans) tombée dans cette addiction, elle en consomme “jusqu’à 40 par jour”

Carla Bruni s’est confiée sans détour sur son tempérament addictif au cours d’une interview accordée au podcast contre-addictions. Sucre, tabac et alcool, elle a en effet longtemps dû lutter contre ces trois excès avant de parvenir à les dompter.

Personnalité singulière et artiste aux multiples facettes, Carla Bruni a toujours cultivé une image à la fois douce et mystérieuse. Derrière cette élégance apparente se cache pourtant une femme lucide sur ses failles. Invitée du podcast « Contre-addictions », la chanteuse s’est ainsi livrée à cœur ouvert sur ses tendances addictives qui ont marqué plusieurs périodes de sa vie. C’est avec sincérité qu’elle a reconnu avoir dû lutter contre trois vices particulièrement dangereux, à savoir le sucre, le tabac et l’alcool.

Carla Bruni a longtemps lutté contre ses addictions

Tout a commencé, raconte-t-elle, par une véritable dépendance au sucre. « J’ai commencé par le sucre, très assidûment, grande adepte du sucre, des vrais shots de sucre. J’ai pu boire jusqu’à 40 Coca-Cola par jour », a-t-elle confié. Une consommation excessive, presque inimaginable, qui illustre bien le caractère obsessionnel que l’artiste s’attribue elle-même. Cette addiction, loin d’être anodine, peut en tout cas mener à des troubles métaboliques graves. Heureusement que Carla Bruni semble aujourd’hui en avoir pris pleinement conscience.

Un combat particulièrement compliqué

Autre combat de taille pour Carla Bruni, le tabagisme dans lequel elle a été plongée depuis son adolescence, vers 14 ou 15 ans. Sur ses réseaux sociaux, la femme de Nicolas Sarkozy a ainsi récemment exprimé un profond regret : « Je n’ai pas beaucoup de regrets dans ma vie, mais j’en ai un : d’avoir fumé. C’est terriblement dangereux et incroyablement inutile ». Une mise en garde sincère adressée aux plus jeunes. La preuve que la chanteuse veut désormais transformer son expérience personnelle en message de prévention.

Une confession pleine d’humour et de lucidité

Carla Bruni a également évoqué sa relation compliquée avec l’alcool. « J’aime une douce ivresse. Le problème, c’est que comme je suis une addict, je ne m’arrête pas à la douce ivresse, donc je suis obligée d’arrêter l’alcool », a-t-elle expliqué dans le même podcast. Une confession pleine d’humour et de lucidité, marquée par une phrase révélatrice : « Si je bois, il me vient la mauvaise idée de dire tout ce que je pense aux gens ! ».

Une femme consciente de ses excès

Entre autodérision et franchise, Carla Bruni dresse donc le portrait d’une femme consciente de ses excès, mais surtout capable de les surmonter. Sucre, cigarette, alcool, autant de tentations désormais mises à distance. L’artiste semble toutefois aujourd’hui avoir trouvé un nouvel équilibre, fruit d’un travail personnel exigeant. Il reste à espérer, comme elle le dit si bien, que cette paix retrouvée « dure le plus longtemps possible ».