Les services de renseignement russes accusent Macron de «rêver d’être Napoléon» et de préparer secrètement 2 000 soldats pour l’Ukraine : Paris garde un silence suspect

Une information choquante vient d’être divulguée par Moscou, susceptible d’exacerber les tensions entre la Russie et l’Occident. Le Service de renseignement extérieur russe (SVR), dirigé par Sergueï Narychkine, a publiquement accusé le président français Emmanuel Macron de préparer secrètement un plan audacieux : le déploiement d’un corps d’armée de 2 000 hommes directement sur le champ de bataille ukrainien.
Il ne s’agit pas d’une accusation vague. Le communiqué du SVR, publié par les principales agences de presse russes le 28 octobre 2025, le détaille. Selon ce communiqué, l’état-major français aurait reçu l’ordre de constituer une force, dont le noyau serait composé de soldats de la Légion étrangère.
Cette déclaration a immédiatement déclenché une tempête géopolitique. Il ne s’agissait pas seulement d’un fait divers, mais aussi d’une violente attaque psychologique, visant directement le président français.
« Les rêves de Napoléon »
Ce qui rend cette accusation particulièrement cinglante, c’est le ton employé par le SVR. Les services de renseignement russes ne se contentent pas de parler de chiffres ou d’effectifs ; ils s’attaquent aussi aux motivations de M. Macron. Le SVR accuse le dirigeant français de « rêver d’une intervention militaire en Ukraine » et de nourrir l’ambition de « devenir une légende militaire ».
Des sources à Moscou sont allées plus loin, qualifiant sarcastiquement cette situation de « fantasme napoléonien ». Elles comparent les ambitions de M. Macron à celles de figures historiques ayant lamentablement échoué dans leurs invasions de la Russie, comme Napoléon Bonaparte ou le roi Charles XII de Suède. Le message russe est clair : l’histoire punira ceux qui ne tirent pas les leçons du passé.

Il s’agissait d’une attaque personnelle directe, une tentative de dépeindre le président français comme un dirigeant aventurier et rêveur qui, sous l’effet de ses « illusions », entraîne l’Europe dans une guerre destructrice. La partie russe n’a pas manqué de lancer un avertissement glaçant : tout soldat français apparaissant sur le territoire ukrainien sera immédiatement considéré comme une « force d’occupation » et deviendra une « cible prioritaire et légitime » pour les forces armées russes.
Contexte : « L’ambiguïté stratégique » de Macron
L’accusation du SVR, bien que choquante, n’était pas totalement infondée. Elle s’inscrivait dans un terrain fertile préparé depuis des mois par M. Macron lui-même.
C’est le président français qui a brisé le plus grand tabou de l’OTAN en déclarant à plusieurs reprises qu’il « n’excluait pas » l’envoi de troupes occidentales en Ukraine. Ces déclarations, qui ont débuté en février 2024, ont provoqué un véritable séisme au sein de l’Alliance. L’Allemagne, les États-Unis et la plupart des autres alliés clés les ont rapidement dénoncées, insistant sur le fait qu’il n’y aurait pas de troupes au sol en Ukraine.
Mais M. Macron s’en tient à sa position d’« ambiguïté stratégique ». Il affirme que fixer des lignes rouges à l’Occident ne profite qu’à la Russie. Il souhaite que la Russie continue de spéculer sur les limites de l’intervention européenne. Cette « ambiguïté », perçue comme une tactique habile par Paris, est celle que Moscou utilise pour étayer son argumentation : « Voyez, nous vous l’avions dit, Macron veut vraiment envoyer des troupes. »
Pièce ancienne, nouveau scénario ?
Il est intéressant de noter que ce n’est pas la première fois que la Russie formule des accusations similaires. En mars 2024, peu après les déclarations fracassantes de Macron, le directeur du SVR, Sergueï Narychkine, avait également annoncé que la France préparait l’envoi de 2 000 soldats en Ukraine.
Mais il existe une différence fondamentale entre les deux époques.
En mars 2024, Paris a réagi presque immédiatement. Le ministère français des Armées a publié un communiqué ferme, rejetant catégoriquement les informations russes, les qualifiant de « fake news », d’« irresponsables » et d’éléments de la « campagne de désinformation systématique » de Moscou.
Cette fois, fin octobre 2025, la réponse de l’Élysée fut… le silence. À ce jour, ni la présidence de Macron ni le gouvernement français n’ont fait de commentaire officiel sur les dernières informations du SVR.
Ce silence est précieux et peut s’interpréter de bien des manières. Paris a-t-il choisi de l’ignorer, ne souhaitant pas s’engager dans une vaine guerre des mots avec les services de renseignement russes ? Ou bien ce silence relève-t-il d’une politique d’« ambiguïté stratégique » – ne confirmant ni n’infirmant, laissant Moscou dans le flou ? Ou encore, scénario le plus inquiétant, les accusations russes contiennent-elles une part de vérité ?
Pourquoi la Légion étrangère ?
La mention explicite de la Légion étrangère par le SVR mérite également d’être analysée. La Légion étrangère est une unité militaire unique au monde. Bien qu’elle fasse partie de l’armée française, elle recrute principalement des volontaires étrangers.
Historiquement, la Légion étrangère a été déployée dans les zones de conflit les plus intenses. Son évocation fait naître l’image d’une force mercenaire d’élite et professionnelle. Pour la Russie, accuser la France d’utiliser cette force à la place de l’armée régulière présente deux avantages :
-
Cela renforce le récit selon lequel des « mercenaires occidentaux » combattent en Ukraine, récit que Moscou propage depuis longtemps.
Cela laisse entendre que M. Macron tente d’éviter une réaction négative de l’opinion publique intérieure, car le sacrifice de légionnaires étrangers serait moins choquant politiquement pour Paris que celui de soldats français réguliers.
Jeu d’échecs dangereux
Le monde retient son souffle en attendant la réaction de Paris. L’accusation du SVR est plus qu’une rumeur : c’est une escalade délibérée.
Quel est l’objectif de la Russie ? Il pourrait s’agir de diviser l’OTAN, afin d’accroître la crainte des alliés comme l’Allemagne face à l’« aventurisme » français. Il pourrait également s’agir de dissuader Paris, en le contraignant à réduire son soutien croissant à Kiev. Ou encore, il pourrait tout simplement s’agir d’une tactique de guerre psychologique visant à renforcer le moral des troupes et à semer la confusion en Occident.
Quel que soit le motif, la balle est dans le camp de l’Élysée. À chaque heure qui passe sans que Paris ne prenne la parole, les soupçons s’accroissent. La guerre des mots entre Moscou et Paris est entrée dans une nouvelle phase, plus tendue et imprévisible que jamais. Et au cœur de ce jeu de puissances, le sort de l’Ukraine est en jeu.
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