L’ex-épouse Marie-Dominique Culioli a enfin dévoilé l’envers du décor sur Nicolas Sarkozy.

Elle était la première épouse du président et pendant 30 ans, on l’a effacé comme si elle n’avait jamais existé. Aujourd’hui, elle parle pour la première fois. Lettre jamais envoyée, photos truquées, enfant sacrifiés sur l’hôtel de l’image. Ce que vous allez entendre va faire vaciller la légende Sarkozy. Restez jusqu’à la fin.

La dernière révélation concerne votre propre silence. Au cœur des années 1980, Nicolas Sarkozi, un avocat plein d’ambition encore dans la vingtaine, commence à gravir les marches du pouvoir politique à Neuyi sur scène sous l’aile protectrice puis concurrente de Jacques Chirac. Marie-Dominique Culioli, issue d’une famille bourgeoise où son père exerce comme pharmacien dans un quartier upé, vit une existence paisible, imprégnée d’une éducation catholique rigoureuse et de principes familiaux solides. Leur union nît non d’un compte

de fait romantique mais d’une alliance pragmatique, lui aspire à une apparence de stabilité pour asseoir sa carrière naissante. Elle perçoit en cet homme dynamique une opportunité d’élévation sociale. Les premiers instants sont tendres, rythmés par des échanges profonds et une complicité naissante. Bientôt, le mariage est célébré dans une simplicité élégante.

Il a 23 ans, elle s’établit à Neuyi où naissent deux fils, Pierre et Jean. Pourtant, dès l’arrivée du premier enfant, Marie Dominique sans poindre une fissure invisible, un éloignement que ni les attention sporadi les paroles passionnées ne parviennent à masquer. Nicolas, déjà lancé dans une ascension effrainée, avocat, adjoint au maire puis mère, consacre son énergie à surpasser ses rivaux avec Jacques Chirac comme figure tutellaire puis adversaire.

Ses journées s’allongent, ses nuits racourcissent. Il s’éloigne inexorablement de son foyer. Relégué au rôle de mère et de gestionnaire du quotidien, elle élève seule les enfants. “Je me sentais effacé”, confit-elle dans un témoignage diffusé par un organe de presse alternatif. “Il ne me voyait plus, ne m’adressait plus la parole.

Sa présence n’était que pour l’apparence, jamais pour le partage vrai. En 1988, tandis que Nicolas se rapproche de Cécilia Atias, alors marié à Jacques Martin, Marie Dominique perçoit les indices d’une infidélité. Appel anonyme, déplacement inexpliqué, weekend soi-disant professionnel. s’ajoute une froideur croissante des silences presque hostiles.

Elle décrit deux facettes de l’homme. L’une publique, charismatique et ambitieuse. L’autre privée, distante et autoritaire. Plus tard, elle apprend que la séparation était orchestrée depuis des mois avec une liaison parallèle maintenue près de 2 ans avant la demande officielle de divorce en 1996. La rupture légale arrive tardivement. émotionnellement, elle était déjà consommée.

Pourquoi tant d’années sans un mot ? Marie Dominique explique avec une émotion contenue. Je tenais à préserver mes fils. Je refusais que leur père soit publiquement ridiculisé ou que l’on me cantonne au rôle d’une ex-épouse rancunière. J’ai choisi le mutisme jusqu’à ce jour. Elle évoque des pressions subtiles, appel sans identification, recommandation de l’entourage de Nicolas pour qu’elle s’abstienne de toute déclaration et même des propositions monétaires pour qu’elle demeure dans l’ombre.

Allégation non corroborée par le camp adverse mais qui illumine ce qu’elle nomme une ère de falsifications orchestrées. L’apogé du cynisme survient en 1988 lorsque Nicolas préside lui-même le mariage de Jacques Martin et Cécilia malgré une relation déjà entamée avec cette dernière. “Je ne supportais plus les écrans, relate-t-elle, son image partout, son assurance et moi isolé avec nos deux garçons relégués à l’oubli.

Cette période marque le début d’une dépression sévère soutenue seulement par sa famille proche. Par orgueil, elle rejette toute assistance thérapeutique se réfugiant dans une routine de survie quotidienne. Pour Marie Dominique, il ne s’agit pas seulement d’une trahison amoureuse, mais d’un plan délibéré pour réinventer l’histoire dictée par un individu obsédé par son mythe personnel.

À chaque avancée politique de Nicolas, du ministère du budget à celui de l’intérieur de la présidence de l’UMP à l’Élysée en 2007, sa première femme devient un vestige encombrant, une chapitre à effacer radicalement. Les médias ne mentionnent que Cécilia, puis Carla Bruni, comme si elle n’avait jamais existé, comme si Pierre et Jean étaient orphelin de mer.

Photos de nos disparu des registres officiels directive aux journalistes pour terre son nom a mis écarté s’ilsent l’évoquer. Tout concours à son invisibilisation. Pierre, aujourd’hui producteur de musique rap et Jean, excélu local à Neuyi ont maintenu une discrétion notable. Mais selon leur mère, ce mutisme n’était pas libre.

Il était incité voire imposé. Jean s’est engagé en politique pour plaire à son père mais a été mis à l’écart dès qu’il a exprimé des idées autonomes. Nicolas, intolérant à toute dissidence familiale, annulit des rencontres, ignorait des appels, déserter des rassemblements familiaux et contestait parfois les choix de ses fils s’il heurtèrent son image publique.

Pendant trois décennies, malgré son statut d’épouse initial d’un président, aucun grand média n’a exploré son parcours. Elle aimait l’hypothèse d’un pilotage occulte des informations. Aucun quotidien majeur ne m’a approché. Mon manuscrit a été refusé sous prétexte de sensibilité du sujet. Elle rapporte des incidents alarmants, appelle l’enjoignant à ne pas ternir l’image républicaine, sous-entendu menaçant envers son cercle et une fouille domiciliaire invoquant un contrôle administratif fortuiti.

En 2007, peu après son investiture, Nicolas unit sa vie à Carla Bruni dans une effusion médiatique totale. Couverture de gala, Paris Match, le Figaro, TF1. Ce nouveau duo éclipsé relègue Marie-Dominique aux abises de l’oubli. Elle y discerne une tactique car là comme emblème glamour, bouclier contre les souvenirs, moyen ultime de la rayée des anales. Le contraste est poignant.

Pendant que Carla Bruni para dans visites officielles, elle bataillait pour une mention fugace de ses enfants dans les allocutions présidentielles. La brèche s’ouvre en 2023 avec un ouvrage sur l’intimité des chefs d’état où son nom ressurgit éphémèrement. Des utilisateurs en ligne redécouvrent cette première épouse méconnue.

Encouragée par son entourage, elle opte pour la parole, non par ranqueur, mais pour témoigner, ancrer une vérité, éviter que son récit ne soit qu’une annotation marginale dans la saga sarcosiste. “Ni gloire ni compassion ne m’intéresse”, déclare-t-elle. “Seule la vérité compte pour que mes fils sachent que je n’ai pas abdiqué, mais que j’ai été gommé.

” Pierre et Jean- Sarkozi, né respectivement en 1985 et 198 ont grandi dans l’œil du cyclone médiatique sans jamais en être les bénéficiaires. Leur mère, Marie Dominique Culioli, affirme que l’effacement systématique de sa propre existence a directement modelé la trajectoire de ses fils, les plaçant dans une position ambigue, héritier d’un nom illustre, mais orphelin d’une reconnaissance équilibrée au sein de leur propre famille.

Leur silence public, longtemps perçu comme une discrétion volontaire, serait en réalité le fruit d’une pression diffuse, parfois explicite, exercée par leur père pour préserver une image lisse et unifiée. Pierre, aujourd’hui producteur de rap sous le pseudonyme de Mosé, a toujours fui les projecteurs politiques.

Selon Marie-Dominique, ce choix n’est pas anodin. Dès l’adolescence, il aurait été témoin des tensions domestiques, les absences répétées de son père, les disputes étouffées, les promesses non tenues. “Pierre a vu comment Nicolas traitait ceux qui ne rentraient son pit pas dans son moule”, confit-elle. “Un épisode marquant en 2008, alors que Nicolas Sarkozy est à l’Élysée, Pierre, alors âgé de 23 ans, refuse une proposition informelle de rejoindre l’équipe de communication de l’UMP.

Il m’a dit, je ne veux pas être un fervaloir, rapporte sa mère. Ce refus aurait provoqué une rupture froide. Pendant près de deux ans, les échanges perfiles se limitent à des SMS laconiques. Pierre choisit la musique, un domaine où il peut exister sans porter le poids du patronyme. Pourtant, même là, l’ombre persiste. Plusieurs collaborateurs lui auraient suggéré de changer de nom de scène pour éviter les comparaisons.

Il refuse mais avec une amertume contenue. En 2024, dans une interview rare accordée à Bouska Pepo, il lâche “Mon père a construit une légende. Moi, je construis ma vie. Ce n’est pas la même chose. Jean, l’aîné a suivi un chemin inverse mais tout aussi douloureux. En 2008, à 22 ans, il est élu conseiller municipal de Neil sur scène, fief historique de son père.

Marie-Dominique révèle que cette candidature n’était pas un désir personnel, mais une injonction implicite. Nicolas voulait un Sarkozy à Neuilli après son départ. Jean s’est senti obligé. Rapidement, Jean tente de s’émanciper. Il défend des positions plus centristes, critique publiquement certaines décisions présidentielles notamment sur l’éducation et refuse de voter certaines motions internes à l’UMP.

La sanction est immédiate. Exclusion des réunions stratégiques, absence de soutien logistique pour sa réélection en 2014 et surtout un silence radio de son père pendant des mois. Jean a compris qu’on ne lui pardonnait pas d’avoir une voix propre, explique Marie Dominique. En 2016, il abandonne la politique locale et se reconvertit dans le conseil en stratégie d’entreprise.

Interrogé en 2025 par le Parisien, il déclare : “J’ai été un pion sur les chiquers. Ma mère a raison. On nous a demandé de nous taire pour ne pas fissurer l’image. J’ai payé le prix de vouloir exister autrement.” Marie-Dominique décrit des scènes récurrentes qui ont marqué les garçons. Les anniversaires où Nicolas brillait par son absence, justifié par des obligations d’état.

Les Noël où il arrivait en retard, téléphone à l’oreille où ne venait pas du tout. Pierre et Jean attendaient faux des heures, racontent-elle quand il daignait apparaître. C’était pour poser pour les photographes, jamais pour jouer avec eux. Un épisode particulièrement douloureux. En 2009, pour les 24 ans de Pierre, Nicolas annule un dîner familial la veille prétextant une réunion avec Angela Merkel.

Pierre, blessé refuse dorénavant toute invitation à l’Élysée. Jean, lui, tente encore quelques années de maintenir un lien, mais chaque tentative est accueillie par des remarques singlantes. Tu veux faire de la politique ? Alors, sois parfait. Pas de fausses notes. Les deux fils ont développé des stratégies différentes face à ce vide affectif.

Pierre s’est réfugié dans une forme de détachement ironique utilisant l’humour et la musique pour désamorcer les questions sur son père. Jean, plus introspectif, a suivi une thérapie discrète à partir de 2018. Marie Dominique révèle qu’il lui a confié. J’ai passé des années à essayer de comprendre pourquoi il ne m’a jamais regardé comme un fils, mais comme un risque potentiel pour son image.

Les deux frères restent proches de leur mère qui est devenue leur ancre. Pierre vit à Los Angeles, Jean à Londres, mais ils reviennent régulièrement en France pour l’avir. Ils ne veulent plus de la France médiatique, dit-elle. Ils veulent une vie où on les appelle par leur prénom, pas par leur nom de famille.

Lors des révélations de leur mère en Pierre publie un message laconique sur Instagram. C’est l’histoire de mes parents. Je respecte les deux. Point. Jean plus explicite accorde une interview au Parisien. Ce que dit ma mère n’est pas une surprise. Ce qui m’étonne, c’est qu’elle ait eu le courage de le dire.

Enfin, je la soutiens. Ce soutien, bien que mesuré marque une rupture. Pour la première fois, les fils Sarkozy prennent position publiquement au côté de leur mère contre le récit officiel dominé par leur père. Aujourd’hui, Pierre et Jean tentent de se réapproprier leur histoire. Pierre prépare un album conceptuel sur l’héritage invisible où il semple des discours de son père pour les déconstruire.

Jean lui envisage un livre sur les enfants d’eux explorant la difficulté d’exister à l’ombre d’un parent omniprésent. Marie Dominique conclut : “Mes fils ne sont pas des victimes, ils sont des survivants. Ils ont appris tôt que l’amour paternel peut être conditionnel, mais ils ont aussi appris, grâce à moi, que la vérité finit toujours par trouver sa place.

” Pierre a 10 ans. Marie-Dominique a passé la semaine à préparer un gâteau au chocolat, son préféré, et a emballé un cadeau modeste. Une maquette de bateau à voile. Nicolas a promis de rentrer à 18h pour couper le gâteau en famille. À 17h30, il appelle. Une réunion imprévue avec Chirak. Je serai là à 20h. À 20h30, nouveau coup de fil.

Désolé, c’est repoussé à deux mains. Pierre attend jusqu’à deux heures assis devant la porte, les yeux rivés sur la rue. Marie Dominique éteint les bougies seul avec lui. Le lendemain, Nicolas en voitur qu’un coursier avec un cadeau hors de prix, une console de jeux dernier cri. Pierre la déballe, la regarde à peine puis la range dans un placard. Il n’y jouera jamais.

Il voulait juste que je sois content sans qu’il ait à être là. confiera-t-il des années plus tard à sa mère. Jean, 12 ans, ramène un excellent bulletin 17 de moyenne. Félicitations du conseil de classe. Il court jusqu’au bureau de son père à mère de pour le lui montrer. Nicolas est en réunion avec des promoteurs immobiliers.

Jean attend dans le couloir. Quand la porte s’ouvre enfin, son père jette un œil distrait. C’est bien, mais tu peux faire mieux en math. Pas de câlin, pas de sourire. Jean retourne à la maison, le bulletin froissé dans la poche. Marie Dominique le retrouve en larme dans sa chambre. Il n’a même pas vu que j’ai eu en histoire, sanglotte-t-il.

Elle le sert dans ses bras et lui dit : “Ton père voit les chiffres, pas les efforts. Moi, je vois tout.” Des Jean, 15 ans, joue un match décisif avec son équipe de collège. Marie Dominique a prévenu Nicolas 2 mois à l’avance. C’est important pour lui. Viens. Le jour J, elle est dans les gradins avec une pancarte à Nicolas n’arrive pas.

À la mi-temps, elle reçoit un SMS bloqué à Matignon. Bravo à Jean. L’équipe perd 3 à de Jean marque un but mais rentre tête baissée. Dans la voiture, il demande “Il est venu ?” Marie Dominique ment. Il a essayé. Jean ne lui reparle pas pendant trois jours. Plus tard, elle découvrira que Nicolas était en réalité à un dîner avec Cécilia à la closerie des Lilas.

Lors de l’investiture de Nicolas à l’Élysée, une photo officielle est prise avec Carla Bruni et leurs enfants respectifs. Pierre et Jean, invités par protocole posent à l’extrême droite du cadre. Deux jours plus tard, la photo circule dans la presse sans eux. Marie Dominique appelle le service communication de l’Élysée.

Pourquoi mes filles ont-ils été coupées ? Réponse laconique. Problème technique de cadrage. Elle sait que c’est faux. Pierre 22 ans, hausse les épaules. On n’existe que quand on sert l’image. Jean lui garde la version originale de la photo dans son portefeuille. Il la montre parfois à ses amis. Regardez, on était là. On nous a juste effacé.

Pierre donne son premier concert sous le nom Mosé dans une petite salle du 11e arrondissement. 150 personnes ambiance électrique. Marie Dominique est au premier rang, téléphone à la main pour filmer. Elle a envoyé l’invitation à Nicolas trois fois. Pas de réponse. À la fin du 7, Pierre descend de scène, trempé de sueur et cherche sa mère dans la foule. Elle le serre fort.

Tu as été incroyable. Il demande presque par habitude. Il est venu. Elle secoue la tête. Pierre sourit mais ses yeux sont humide. Tant pis. Ce soir c’était pour moi. Jean, 29 ans, quitte la politique. Il enregistre un message vocal pour son père. Papa, j’arrête. Je ne peux plus être ton ombre. J’ai besoin d’être moi.

Il l’envoie. Pas de réponse. 3 mois plus tard, il croise Nicolas à un dîner familial imposé. Son père lui glisse l’air de rien. Tu as fait ton choix, assume-le. Jean rentre chez lui, efface le message de son téléphone, mais le garde en mémoire. Il le racontera à Marie-Dominique des années plus tard. J’ai compris ce jour-là que pour lui, l’amour c’est l’obéissance.

Lors des révélations de Marie Dominique, Pierre écrit une lettre à son père, quatre pages. Il y parle de l’anniversaire oublié. du bulletin ignoré, du match raté, de la photo coupée. Il termine par je ne te demande pas de t’excuser. Je te demande juste de comprendre que nous aussi on a une histoire.

Il ne l’envoie pas, il la donne à sa mère. Elle la lit en silence, les larmes aux yeux. “Garde-la”, lui dit-elle. Un jour, tu la lui donneras ou tu la brûleras, mais elle est à toi. Marie-Dominique organise un dîner chez elle pour les 39 ans de pierre. Elle invite Nicolas pour la première fois depuis des années. Il accepte. Le jour J, il annule à 17h.

Problème avec un déplacement à Bruxelles. Pierre, Jean et leur mère ditent à trois. Ils rient, ils pleurent, ils trinquent. À la fin, Pierre lève son verre à nous, à ceux qui restent. Marie-Dominique ajoute doucement et à ceux qui choisissent de de partir. Pierre, Jean et Marie-Dominique continuent de tisser leur propre récit, loin des caméras et des projecteurs qui ont autrefois dicté leur silence.

Pierre produit un nouvel album à Los Angeles où il semple des voix d’enfants jouant dans les rues de Neil, un clin d’œil discret à son passé. Jean, installé à Londres conseille des start-ups sur la résilience organisationnelle. Il donne parfois des conférences sur le sur l’héritage toxique sans jamais nommer son père. Marie-Dominique, elle cultive son jardin en Corse, répond aux lettres qu’elle reçoit encore des femmes, des hommes, des jeunes qui lui écrivent.

Vous m’avez appris à parler. Ils ne savent pas encore quand ils le publieront. Peut-être jamais, peut-être demain. Ce qui est sûr, c’est qu’ils ne demandent plus la permission. Leur histoire n’est plus une note de bas de page. Elle est en train de s’écrire, phrase après phrase autour d’une table dans la lumière douce d’une lampe qui ne clignote plus. M.