Star Academy : La Question “Antisèche” de Théo P. Qui a Sidéré Michael Goldman et Révélé la Fissure Culturelle d’une Génération
L’air est devenu soudainement électrique. Au château de Dammarie-lès-Lys, l’atmosphère de la deuxième semaine de compétition à la Star Academy 2025 s’est alourdie, non pas sous le poids des notes, mais sous celui d’une interrogation d’une simplicité désarmante, mais aux répercussions colossales. Au centre de ce tremblement de terre culturel et pédagogique : Théo P., un élève confronté à l’exigence du répertoire, et Michael Goldman, le directeur, soudainement figé, sidéré par une demande qu’il n’aurait jamais cru entendre.
Alors que les académiciens tentaient à peine de reprendre leur souffle après le départ déchirant de Medie lors du dernier Prime, la réalité du marathon artistique a frappé de plein fouet. Cette seconde semaine, c’est celle de la confirmation des talents, une étape où l’on ne peut plus se contenter d’esquisser un potentiel ; il faut le démontrer, le chanter, l’incarner. Et pour garantir que l’épreuve soit à la hauteur des enjeux, la production a mis les petits plats dans les grands en intégrant Charlotte Cardin, la marraine exceptionnelle de cette saison, aux côtés des professeurs pour les évaluations.
Le Niveau d’Exigence Relevé

Pour motiver les troupes et élever le niveau, Michael Goldman avait déjà lancé un indice de taille : le prochain Prime serait un événement international, rendant hommage aux deux parrains de la saison, Charlotte Cardin et la superstar Ed Sheeran. C’était une occasion en or, le rêve de tout jeune artiste : prouver sa valeur sur une scène digne des plus grands. Mais avant la gloire du Prime, il y a le baptême du feu des évaluations, et cette semaine-là, l’épreuve était particulièrement sélective.
Charlotte Cardin n’était pas là pour faire de la figuration. Sa participation aux évaluations était un gage de qualité, une manière d’observer de près non seulement la technique vocale des élèves, mais aussi leur sensibilité et leur culture artistique. La consigne était limpide : chaque candidat devait choisir un morceau issu de la playlist personnelle de l’artiste québécoise. Un répertoire riche, exigeant, qui puisait dans des titres français et internationaux iconiques.
Parmi les titres imposés figuraient des monuments de la chanson francophone. On parlait de la puissance vocale et de l’émotion pure d’« Encore » de Lara Fabian (bien que le transcript mentionne Céline Dion, le titre exact souvent cité dans ces contextes, « Pour que tu m’aimes encore », est une référence sacrée), et de l’introspection poétique de « C’est écrit » de Francis Cabrel. Ce n’était pas une évaluation technique ; c’était un test de culture, de mémoire, et de respect pour l’ADN de la musique française.
L’Impensable Question Qui Stoppe Tout
C’est dans la quotidienne du lundi 27 octobre, alors que les élèves découvraient la liste des chansons imposées, que le temps s’est figé. La pression était déjà palpable, chacun mesurant l’ampleur de la tâche et l’exigence du répertoire. C’est à ce moment précis que Théo P. a levé la main, l’air concentré, pour adresser une question à Michael Goldman. La séquence a captivé les téléspectateurs, car il y avait une nervosité dans l’air, l’anticipation d’une question sur l’arrangement musical ou la tonalité.
Mais la question qui est sortie de la bouche de l’académicien fut tout autre, et pour Michael Goldman, elle fut un véritable coup de tonnerre.
« Au niveau des paroles, on peut s’appuyer sur un texte ? » a demandé Théo [02:11].
Une « antisèche » pour les paroles. Pour les non-initiés, demander une feuille de secours pour un examen est une démarche étudiante. La demander pour chanter un classique indémodable, un hymne national de la variété lors d’une évaluation pour devenir une star… c’est une tout autre histoire.

Le directeur de la Star Academy, habituellement mesuré et pédagogue, a été pris de court, totalement interloqué [02:14]. Sa réaction ne s’est pas fait attendre, empreinte d’une surprise à la limite de l’incrédulité, mêlant gêne et amusement sidéré.
« Ne me dis pas que tu en connais aucune par cœur ! » s’est-il exclamé, avec l’intonation d’une personne qui ne peut croire ce qu’elle entend. « Genre ‘Pour que tu m’aimes encore’, tu ne la connais pas ! » [02:24].
La question, la réaction, l’écho. Le silence gêné qui a suivi [02:26], entre rires nerveux des autres élèves et regards complices, a révélé l’ampleur du choc. Michael Goldman, le fils de Jean-Jacques Goldman, un homme qui a le patrimoine musical français dans le sang, était confronté à l’impensable : un élève aspirant à faire carrière dans la musique n’avait pas mémorisé l’un des plus grands succès du répertoire.
La Leçon Pédagogique et le Refus Catégorique
Le moment de sidération passé, Michael Goldman a tenu à rappeler une vérité fondamentale du métier d’artiste, un rappel à l’ordre d’une importance capitale [02:37]. Dans un monde où l’immédiateté règne et où les paroles sont accessibles en un clic sur un écran, le directeur a insisté sur l’importance de la mémoire et de la culture musicale [02:38].
« La mémoire et la culture musicale font partie intégrante du métier d’artiste », a-t-il affirmé sans appel. La demande de Théo P. fut, sans surprise, refusée. « Pour ces évaluations, aucune antisèche ne sera tolérée » [02:46].
Ce n’est pas seulement une question de tricherie ou de paresse. C’est une question de respect pour l’œuvre, de professionnalisme, et de capacité à s’approprier pleinement un titre pour y injecter sa propre émotion. Comment peut-on livrer une performance pure, habitée, et émouvante si l’on dépend d’un texte déroulant pour se souvenir de la prochaine ligne ? La vérité est que les classiques de la chanson française comme ceux de Céline Dion, Stromae, ou Cabrel sont plus que des chansons ; ils sont le socle de l’identité musicale francophone, et les connaître par cœur est un prérequis, un badge d’honneur pour quiconque prétend marcher sur les traces de ces géants.
La Tempête sur les Réseaux Sociaux
Comme toujours, la Star Academy est un miroir des débats sociétaux, et cette séquence n’a pas manqué d’enflammer les réseaux sociaux. L’extrait a fait le tour des plateformes, provoquant un déluge de réactions, notamment sur X (anciennement Twitter).
D’un côté, les internautes ont salué la réaction « culte » et sincère de Michael Goldman. Beaucoup ont trouvé que le directeur avait dit « tout haut ce que tout le monde pensait » [03:09]. Son incrédulité était un reflet de l’étonnement général face à une telle lacune. « Quand tu veux faire carrière dans la musique, ne pas connaître Céline Dion ou Stromae… » s’est indigné un fan [03:01]. Pour ces puristes, l’incident est la preuve d’une déconnexion dangereuse entre les jeunes artistes et les piliers de leur propre culture.
De l’autre côté, certains ont tenté de tempérer le jugement, rappelant que les élèves sont sous pression et que les répertoires sont vastes. Cependant, l’argument a vite été balayé : les chansons en question sont des succès planétaires, des titres que l’on entend depuis l’enfance. Ne pas les maîtriser par cœur dans le cadre d’une évaluation professionnelle est perçu non comme une simple étourderie, mais comme un manque de préparation fondamentale, voire un désintérêt pour l’histoire de la musique qu’ils prétendent servir.
Un Avertissement Solennel
La scène impliquant Théo P. et Michael Goldman restera gravée comme un moment clé de cette saison. Elle transcende la simple anecdote de la quotidienne pour devenir un avertissement solennel. À la Star Academy, rien ne s’improvise [03:17]. Le travail d’un artiste ne se limite pas à la justesse de sa voix ou à son charisme scénique. Il commence dans l’ombre, par l’humilité de la culture musicale, par la mémorisation du répertoire qui a fait l’histoire, et par le respect des œuvres qui ont tracé la voie.
Pour Théo P., cette gaffe involontaire est un rappel cinglant que le chemin vers la gloire est semé d’embûches, et que l’exigence pédagogique de Michael Goldman est impitoyable. Il devra non seulement exceller dans sa prestation vocale pour les prochaines évaluations, mais aussi prouver qu’il a retenu la leçon : pour être un grand artiste, il faut d’abord être un connaisseur passionné de son art. Cette séquence aura eu le mérite de redéfinir, en un instant de gêne et de sidération, les véritables enjeux de la compétition.
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