“La justice française…” : le témoignage “horrible” de Steffy Alexandrian, vi*lée par son père, bouleverse les téléspectateurs, “Je hurle derrière ma télé”

La justice française…" : le témoignage "horrible" de Steffy Alexandrian, vi* lée par son père, bouleverse les téléspectateurs, "Je hurle derrière ma télé "

Invitée dans Sept à Huit, Steffy Alexandrian est revenue sur son parcours, des agissements de son père au suicide de son petit frère.Ce dimanche 26 octobre 2025, les téléspectateurs de TF1 ont eu droit à un « portrait de la semaine » particulièrement poignant d’Audrey Crespo-Mara dans l’émission Sept à HuitSteffy Alexandrian, une femme de 27 ans, victime d’inceste de la part de son père, est venue témoigner du calvaire vécu durant toute son enfance (voir la vidéo ci-dessous). Des années de cauchemar, qui auront des conséquences dramatiques sur le reste de la famille, bien des années plus tard.

L’histoire de Steffy Alexandrian n’est pas un cas isolé, mais il est rare que des détails aussi sordides et horribles soient exposés à une telle audience. Et le mot « horrible » n’est peut-être pas assez fort pour décrire ce qu’a enduré cette jeune femme pendant toutes ces années. Les agissements de son père ont commencé très tôt. « Mes premiers souvenirs remontant à l’école primaire, j’ai 6-7 ans et j’ai le souvenir d’un père qui met sa main dans ma culotte et qui outre ça a des propos et des gestes déplacés, c’est presque quotidien », raconte-t-elle.

Steffy Alexandrian confie sa terrible expérience à Audrey Crespo-Mara : « Que je me taise… »

À 11 ans, elle trouve le courage de parler à sa mère après un énième viol particulièrement violent. Mais le soutien qu’elle espérait trouver n’est pas celui qu’elle reçoit (voir la vidéo ci-dessous). Après avoir confié l’innommable à sa mère, alors enceinte, l’adolescente doit affronter une nouvelle épreuve : sa mère protège son père« Elle se ressaisit très vite et me dit qu’il va falloir que je me taise. Qu’il faut le garder pour moi. Son discours est le suivant : si je parle elle va faire une fausse-couche et elle me laisse en disant qu’elle doit aller parler avec son père », confie-t-elle.

Ces confidences ne changent donc rien au quotidien de Steffy Alexandrian dans les années suivantes. Son père continue ses agissements, bénéficiant du silence coupable de sa mère. À 13 ans, l’adolescente décide une nouvelle fois d’échapper au huis clos familial en se confiant aux autorités. Une policière lui tend enfin la main et lui permet de s’extirper du foyer. « Peut-être qu’elle m’a sauvée la vie cette dame, je ne sais pas, je n’ai jamais pu la retrouver pour lui dire », avoue-t-elle.
Un adulte en colère contre un enfant© Shutterstock

Steffy Alexandrian a été abusée par son père durant son enfance.

Steffy Alexandrian affronte la mort de sa mère et de son petit frère

Mais une fois encore, le cauchemar se poursuit. Son père est condamné à trois ans de prison, dont un seul ferme. De son côté, Steffy, envoyée de foyer en foyer, subit de nouvelles violences. Elle parvient à survivre jusqu’à son émancipation, mais doit ensuite s’occuper de son petit frère, Carl, qui n’avait que deux ans lorsque leur père est sorti de prison (voir la vidéo ci-dessous).

Le petit garçon a, lui aussi, peur de son père. Et plus Steffy voit son état se dégrader, plus elle ressent l’urgence de le protéger. Ce besoin devient vital lorsque leur mère met fin à ses jours, alors que frère et sœur passent une semaine ensemble. Carl supplie sa sœur de le sauver de leur géniteur. Elle entame alors deux années de procédure pour obtenir sa garde, qu’elle finit par avoir. Malheureusement, et de manière incompréhensible, la justice oblige Carl à renouer avec son père. L’épreuve de trop pour le jeune garçon. Steffy Alexandrian retrouve son petit frère, âgé de 12 ans, pendu chez elle.

Ce dimanche 26 octobre 2025, les téléspectateurs de TF1 ont eu droit à un « portrait de la semaine » particulièrement poignant d’Audrey Crespo-Mara dans l’émission Sept à HuitSteffy Alexandrian, une femme de 27 ans, victime d’inceste de la part de son père, est venue témoigner du calvaire vécu durant toute son enfance (voir la vidéo ci-dessous). Des années de cauchemar, qui auront des conséquences dramatiques sur le reste de la famille, bien des années plus tard.

Sept à huit - "Son histoire me bouleverse", "Je suis émerveillé par sa  résilience", "La justice est la plus grosse défaillance" : victime  d'inceste de la part de son père, le témoignageSept à huit - "Son histoire me bouleverse", "Je suis émerveillé par sa  résilience", "La justice est la plus grosse défaillance" : victime  d'inceste de la part de son père, le témoignageSept à huit - "Son histoire me bouleverse", "Je suis émerveillé par sa  résilience", "La justice est la plus grosse défaillance" : victime  d'inceste de la part de son père, le témoignage

L’histoire de Steffy Alexandrian n’est pas un cas isolé, mais il est rare que des détails aussi sordides et horribles soient exposés à une telle audience. Et le mot « horrible » n’est peut-être pas assez fort pour décrire ce qu’a enduré cette jeune femme pendant toutes ces années. Les agissements de son père ont commencé très tôt. « Mes premiers souvenirs remontant à l’école primaire, j’ai 6-7 ans et j’ai le souvenir d’un père qui met sa main dans ma culotte et qui outre ça a des propos et des gestes déplacés, c’est presque quotidien », raconte-t-elle.

Steffy Alexandrian confie sa terrible expérience à Audrey Crespo-Mara : « Que je me taise… »

À 11 ans, elle trouve le courage de parler à sa mère après un énième viol particulièrement violent. Mais le soutien qu’elle espérait trouver n’est pas celui qu’elle reçoit (voir la vidéo ci-dessous). Après avoir confié l’innommable à sa mère, alors enceinte, l’adolescente doit affronter une nouvelle épreuve : sa mère protège son père« Elle se ressaisit très vite et me dit qu’il va falloir que je me taise. Qu’il faut le garder pour moi. Son discours est le suivant : si je parle elle va faire une fausse-couche et elle me laisse en disant qu’elle doit aller parler avec son père », confie-t-elle.

Ces confidences ne changent donc rien au quotidien de Steffy Alexandrian dans les années suivantes. Son père continue ses agissements, bénéficiant du silence coupable de sa mère. À 13 ans, l’adolescente décide une nouvelle fois d’échapper au huis clos familial en se confiant aux autorités. Une policière lui tend enfin la main et lui permet de s’extirper du foyer. « Peut-être qu’elle m’a sauvée la vie cette dame, je ne sais pas, je n’ai jamais pu la retrouver pour lui dire », avoue-t-elle.
Un adulte en colère contre un enfant© Shutterstock

Steffy Alexandrian a été abusée par son père durant son enfance.

Steffy Alexandrian affronte la mort de sa mère et de son petit frère

Mais une fois encore, le cauchemar se poursuit. Son père est condamné à trois ans de prison, dont un seul ferme. De son côté, Steffy, envoyée de foyer en foyer, subit de nouvelles violences. Elle parvient à survivre jusqu’à son émancipation, mais doit ensuite s’occuper de son petit frère, Carl, qui n’avait que deux ans lorsque leur père est sorti de prison (voir la vidéo ci-dessous).

Le petit garçon a, lui aussi, peur de son père. Et plus Steffy voit son état se dégrader, plus elle ressent l’urgence de le protéger. Ce besoin devient vital lorsque leur mère met fin à ses jours, alors que frère et sœur passent une semaine ensemble. Carl supplie sa sœur de le sauver de leur géniteur. Elle entame alors deux années de procédure pour obtenir sa garde, qu’elle finit par avoir. Malheureusement, et de manière incompréhensible, la justice oblige Carl à renouer avec son père. L’épreuve de trop pour le jeune garçon. Steffy Alexandrian retrouve son petit frère, âgé de 12 ans, pendu chez elle.

Une petite fille

Le témoignage de Steffy Alexandrian bouleverse les téléspectateurs : « La justice est pourrie… »

Malgré ce passé insoutenable, Steffy a toujours avancé avec une seule mission : tout faire pour que ce qu’elle a vécu n’arrive plus jamais à un autre enfant. Pour cela, elle s’est lancée dans des études de droit afin d’agir directement sur le terrain judiciaire, qu’elle estime défaillant. « Dans le cas de Carl, la chaîne s’est rompue plusieurs fois, les maillons ont failli. La justice fait ce qu’elle peut avec les moyens qu’elle a. Est-ce qu’ils ont été suffisants ? J’ose répondre que non. Est-ce qu’ils le sont aujourd’hui ? J’ose répondre que non, non plus ».

Un constat largement partagé par les téléspectateurs, qui ont réagi sur les réseaux sociaux après la diffusion de son témoignage : « Désolée mais la justice est coupable aussi. Pas besoin de moyen pour défendre un enfant. Laisser un parent incestueux en liberté, c’est juste à vomir ! »« La justice est pourrie »« Je hurle derrière ma télé, quelle reine ! elle est si forte purée » ou encore « Je suis émerveillée par sa résilience, sa force, elle brille cette femme malgré son vécu, Bravo madame ».