Laura Smet (41 ans) : découvrez sa maison “à deux minutes à pied de la mer”, un héritage de son père, Johnny Hallyday

À 41 ans, Laura Smet est une femme apaisée. Et elle adore se retrouver dans sa maison proche de la mer, héritée de son père.

Fille de deux monuments de la culture française, Johnny Hallyday et Nathalie Baye, Laura Smet, qui adore ce parfum, a grandi entre tournages, concerts et vie sous les projecteurs. Aujourd’hui âgée de 41 ans, l’actrice revendique une existence plus apaisée, tournée vers la nature et la mer, un univers qui, selon ses confidences à Madame Figaro, reste profondément lié à la mémoire de son père.

C’est d’ailleurs grâce à lui qu’elle possède aujourd’hui une maison située à deux minutes à pied de l’océan, un lieu chargé d’émotion et d’histoire familiale. Dans cet entretien, Laura Smet s’est souvenue avec tendresse de ses années passées aux côtés du rockeur : “J’ai découvert Saint-Tropez, où il avait une maison, sa passion pour la Méditerranée, les bateaux et… un peu pour la vitesse aussi.”.

Un refuge hérité de son père Johnny Hallyday

Ces souvenirs de bord de mer ont profondément marqué l’actrice, qui a confié être tombée amoureuse du Cap Ferret à l’âge de 13 ans, un lieu où elle a tissé des liens indéfectibles. C’est là qu’elle a reçu une petite maison, héritée de Johnny Hallyday, un bien modeste mais symbolique, niché entre les pins et l’océan. “J’ai hérité d’une petite maison à deux minutes à pied de la mer”, a-t-elle confié.

Ce coin de paradis est devenu au fil des ans son refuge personnel, un endroit où elle aime se ressourcer loin de Paris et du tumulte médiatique. Mariée à Raphaël Lancrey-Javal et maman d’un petit garçon prénommé Léo, Laura Smet explique que la proximité de la mer lui est devenue indispensable : “Le contact avec la nature m’est essentiel. Sans lui, je n’arrive à rien”, confie-t-elle.

La mer, une source d’équilibre et d’apaisement pour Laura Smet

L’actrice y puise calme et énergie, trouvant dans l’océan une forme de renaissance. “L’eau me nettoie des mauvaises énergies”, ajoute-t-elle. Elle évoque aussi avec émotion ses moments de grossesse passés au bord de l’eau : “J’adorais nager enceinte, car je me sentais légère, et mon fils bougeait dans mon ventre, ce qui me rassurait.”. Aujourd’hui encore, elle prend plaisir à le voir jouer sur la plage : “Lorsque j’observe mon petit garçon fou de joie dans l’océan, je me dis que c’est une vraie source de bien-être”.

Un engagement pour les océans Au-delà du simple attachement affectif, Laura Smet s’investit aussi dans la préservation de l’environnement marin. “Je fais à mon niveau et je ramasse systématiquement les déchets sur les plages”, confie-t-elle. Une manière pour elle d’agir concrètement, par respect pour la nature… et peut-être aussi pour prolonger l’héritage d’un père qui aimait tant la mer.

Pour perdre 5 kilos en un mois , la science recommande de remplacer le café par cette boisson

Chaque matin, pour des millions de personnes à travers le monde, la journée ne débute vraiment qu’après la première gorgée de café. Espresso, cappuccino ou latte, cette boisson chaude est devenue un rituel incontournable, presque sacré. Pourtant, une nouvelle tendance santé venue de la science et relayée par de nombreux témoignages remet en question cette habitude. De plus en plus de personnes troquent leur café pour une alternative naturelle, sans caféine, au goût doux et légèrement torréfié : la chicorée. Et d’après plusieurs études, ce simple changement pourrait aider à perdre jusqu’à cinq kilos en un mois, tout en améliorant digestion, sommeil et énergie.

La chicorée, une boisson ancienne devenue tendance… et un allié minceur

Issue de la racine de la plante Cichorium intybus, la chicorée est une boisson que l’on consomme depuis des siècles, bien avant que le café ne conquière les tables européennes. Longtemps utilisée comme substitut pendant les périodes de guerre, elle revient aujourd’hui en force grâce à ses vertus nutritionnelles et digestives reconnues. Contrairement au café, la chicorée ne contient aucune trace de caféine. Elle offre donc une énergie douce et constante, sans provoquer les pics d’adrénaline ni les “crashes” de fin de journée souvent associés au café. Cette particularité en fait une alternative idéale pour celles et ceux qui souhaitent réduire leur consommation de stimulants tout en conservant un rituel matinal réconfortant.

Ce qui distingue la chicorée, c’est sa richesse en inuline, une fibre soluble naturellement présente dans sa racine. L’inuline agit sur plusieurs leviers essentiels pour la perte de poids. En premier lieu, elle procure une sensation de satiété durable, ce qui limite les envies de grignotage. Elle soutient également le transit intestinal et nourrit les bonnes bactéries du microbiote, ces alliées précieuses de notre digestion et de notre immunité. Mais ses effets ne s’arrêtent pas là. En stabilisant la glycémie, l’inuline évite les fringales liées aux variations de sucre dans le sang. Elle aide aussi à réduire les ballonnements et à réguler le métabolisme, rendant la perte de poids plus fluide et naturelle. Consommer de la chicorée chaque matin permet donc non seulement d’alléger sa silhouette, mais aussi de retrouver un confort digestif durable.

Une boisson validée par la science

Sur le site Journée-Mondiale, le témoignage de Sophie, 42 ans, ancienne adepte du café, a suscité beaucoup de réactions. Après un mois sans café, remplacé chaque matin par une tasse de chicorée, elle affirme avoir constaté des transformations visibles. “Je ne pensais pas remarquer des changements aussi flagrants, confie-t-elle. Mon sommeil s’est amélioré, je m’endormais plus facilement, et je n’avais plus ces gros coups de fatigue en fin d’après-midi. Ma digestion était meilleure, j’avais moins de ballonnements, et sur la balance, j’ai vu la différence : cinq kilos en moins, sans régime particulier”. Plus surprenant encore, Sophie raconte avoir vu des bénéfices sur sa peau et son humeur. “Ma peau était plus lumineuse, plus hydratée, et je me sentais plus apaisée, moins nerveuse. J’ai réalisé que le café, que je croyais inoffensif, me rendait en réalité plus irritable et fatiguée”. 

La science, de son côté, commence à valider ce que les amateurs de chicorée ressentent depuis longtemps. Une étude publiée dans le Journal of Functional Foods en 2022 a mis en évidence que la consommation régulière d’inuline de chicorée améliorait la régulation du poids et réduisait l’appétit. D’autres recherches ont montré une baisse du taux de cholestérol, une meilleure tolérance au glucose et une réduction de l’inflammation intestinale. En outre, l’absence de caféine dans la chicorée réduit la production de cortisol, l’hormone du stress. Cela explique pourquoi ceux qui remplacent le café par cette boisson se sentent souvent plus calmes, plus concentrés et plus reposés.

Sophie Davant : qui est sa fille Valentine, déjà bien partie pour lui voler la vedette à la télévision ?

Encore une “fille de” ! Mais celle-ci a assurément le talent en héritage. Son nom ne révèle rien de sa prestigieuse filiation. À 29 ans, Valentine Sled affiche un pedigree 100 % télévision. La jeune femme, destinée à crever l’écran, est la fille de Pierre Sledziewski, dit Pierre Sled, journaliste et dirigeant de télévision français, et de Sophie Davant, présentatrice que l’on ne présente plus.

Qui est Valentine Sled, la digne fille de Sophie Davant ?

Le CV télévisuel de Valentine Sled s’étoffe doucement, mais sûrement. Actuellement aux commandes de l’émission Le goût des rencontres, dans laquelle elle parcourt la région Nouvelle-Aquitaine, la jeune femme vient de faire ses débuts dans un nouveau programme. Depuis le lundi 3 novembre, elle anime sa propre chronique dans le programme Flavie en France, présenté par Flavie Flament et diffusé sur France 3.

Récemment, Valentine Sled s’est livrée dans un entretien exclusif accordé au magazine Gala, l’occasion d’en apprendre davantage sur celle qui est en train de se faire un prénom. Première chose à savoir sur elle : c’est une journaliste de terrain et tout-terrain.

Valentine Sled marche dans les pas de ses célèbres parents…

“À la base, je voulais être journaliste culinaire, écrire des articles, sillonner la France, rencontrer des agriculteurs, des artisans ainsi que des chefs et raconter leur histoire”, explique-t-elle. “Je voulais le faire à l’écrit, à la radio et à la télé en même temps. Pour moi, c’est important de continuer de le faire sous toutes ces formes-là, car tous les exercices m’intéressent.”

Marcher dans les pas de ses parents est rapidement devenu une évidence pour Valentine Sled. Ils n’ont d’ailleurs pas vraiment été surpris par son choix de carrière. “Mes parents m’ont toujours dit que j’étais faite pour la télévision. Au début, je ne comprenais pas trop ce qu’ils voulaient dire (rires). Très vite, j’ai compris que j’avais un petit peu ça dans les gènes”, confie-t-elle.

… tout en traçant sa propre route

Depuis toute petite, Valentine Sled fréquente les plateaux télé. “Cela m’a permis d’intégrer leur manière de travailler et de la reproduire assez rapidement. Je me suis vraiment inspirée d’eux et je crois qu’ils ont toujours accueilli ça de façon très positive. Je pense qu’ils sont contents”, ajoute la journaliste, qui a été à bonne école.

Bien que décidée à tracer sa propre route, Valentine Sled reste attentive aux précieux conseils de ses parents, qui connaissent mieux que personne le monde du petit écran.  “Tous les jours, je les sollicite en leur montrant ce que je fais pour avoir leurs retours et leurs conseils. Je leur demande toujours s’il y a des choses à améliorer et il y en a (rires). Je me nourris de tout ce qu’ils me disent et je l’applique. Avoir les conseils de deux personnes qui ont une immense carrière, c’est inestimable. Je prends bien volontiers toutes les critiques et les commentaires”, conclut-elle.