Elle croyait épouser un homme… en réalité, c’était un chien

Elle force sa fille à épouser un homme chien pour sortir la famille de la pauvreté. Bienvenue dans French African Folkal. Amélia était trop belle. Après la mort de leur père, la misère avait frappé la famille. Sa mère Abou voyait en elle le seul espoir. Elle a forcé sa fille à épouser un homme riche sans savoir que cet homme n’était pas un homme. C’était Rex, un chien.

 À partir de ce jour, la vie d’Amélia ne sera plus jamais la même. Ce jour-là, la maison était silencieuse, trop silencieuse. On revenait du cimetière. Le père venait d’être enterré. La seule personne qui prenait soin d’eux venait de mourir. Seulange, la maman était assise dans le salon. Les yeux rouges, la voix tremblante.

 Mes filles, à partir d’aujourd’hui, on n plus personne. Tout repose sur vous, dit-elle. Clara, l’aîné, ne répondait pas. Elle sortait d’un mariage difficile. Isaline, la deuxième, avait vécu dans une famille pleine d’histoire de sorcellerie. Et Amélia, la petite dernière, savait déjà que depuis la mort de son père, sa vie ne serait plus jamais la même.

 À la maison, Solange parlait souvent avec sa fille Amélia. Les soirées étaient calmes. Les deux grandes sœurs, Clara et Isaline restaient dans leur coin. Mais la mère et la cadette discutaient beaucoup. Pas question que tu épouses un pauvre, disait Solange. Tes sœurs ont souffert. Toi, il te faut un homme qui a les moyens, quelqu’un qui peut t’honorer. Amélia écoutait en silence.

Elle ne voulait pas répondre. Dans sa tête, elle pensait à Patrick, le mécanicien. Elle savait que sa mère n’accepterait jamais. Les soirs, Amélia retrouvait Patrick derrière les petites maisons. Il s’asseyait sur un vieux banc en bois. Les lampadaires éclairaient à moitié la rue. Amélia, je n’ai pas grand-chose mais je t’aime, disait Patrick. Je sais, répondait Amélia.

Patrick travaillait beaucoup. Ses mains étaient toujours couvertes de graisse à cause des voitures, mais il venait la voir dès qu’il pouvait. Il parlait d’avenir, de mariage, de maisons à construire. Amélie souriait. Elle ne parlait pas beaucoup. Elle aimait l’écouter, mais chaque fois qu’elle rentrait à la maison, elle avait peur que sa mère découvre tout.

 Elle savait que ce jour-là, tout allait basculer. Un soir, Amélia avait rejoint Patrick comme d’habitude. Il s’était assis sur un vieux banc derrière les petites maisons. Patrick avait acheté du pain et deux bouteilles de Fanta. “Quand j’aurais fini d’économiser, je veux qu’on construise quelque chose ensemble”, dit Patrick.

 “Quelle chose ?” demanda Amélia. Une maison, un vrai foyer, pas comme ici, répondit Patrick. Il riait, il parlait d’avenir. Soudain, Solange, la mère d’Amélia, apparut. Personne ne l’avait vu venir. Elle revenait de chez une voisine quand elle avait aperçu sa fille assise avec Patrick. Elle marcha vide vite vers eux.

 Son visage était fermé. “Amélia, c’est quoi ça ?” cria Solange. Amélia sursauta. Patrick se leva vite, les mains tremblantes. “Maman, on parlait seulement”, dit Amélia. Solange regarda Patrick droit dans les yeux. “Toi, si tu veux vivre longtemps, éloigne-toi de ma fille.” Sa voix était sèche. Patrick voulut parler. “Maman, je Seulange leva la main.

 Ne dis rien. Le jour où je te vois encore à côté d’elle, tu vas comprendre, dit-elle, le ton encore plus dur. Amélia avait baissé la tête. Patrick recula d’un pas. Maman, je l’aime, dit Patrick. Ce l’ange tapa du pied par terre. Tu l’aimes ? Mais avec quoi ? Même pour acheter un savon. Tu n’as rien. Laisse ma fille tranquille.

 cria d’une voix pleine de colère. Patrick finit par s’éloigner sans dire un mot de plus. Amélia suivit sa mère en silence. Depuis le jour où elle avait surprise avec Patrick, Solange avait changé. À la maison, l’ambiance n’était plus la même. Plus de rire. Même Clara et Isaline parlaient moins. Ce lange surveillait Amélia comme une ombre.

 Dès qu’elle s’approchait de la porte, elle demandait : “Tu vas où ? Avec qui ? Et tu rentres à quelle heure ? Amélia répondait à peine. Elle faisait juste un signe de tête et allait s’asseoir dans la cour silencieuse, le regard perdu. Deux semaines passèrent comme ça. Ce ange ne lâchait pas sa fille. Elle voulait être sûr qu’aucun autre garçon n’allait l’approcher.

 Un matin, une voiture s’arrêta devant la maison. Une grosse voiture noire. Un homme en descendit. Costume bien repassé. lunette sombre. Il marcha droit vers la parcelle. Lucas frappa à la porte. C’est vous, madame Solange ? Demanda-t-il. Oui, c’est moi, répondit-elle. On m’a parlé de votre famille. Je voulais vous voir. Pour quelle raison ? Demanda Solange.

 C’est pour votre fille, dit Lucas. À côté de Lucas, il y avait un gros chien noir, immobile, les yeux qui brillaient. Seolange le regarda et le chien là demanda-t-elle. Ne vous inquiétez pas, c’est Rex. Il me suit partout, répondit Lucas. Seulange resta silencieuse un moment. Entrez, on ne parle pas debout comme ça dit-elle en ouvrant la porte.

 Il s’assirent dans la cour. Je m’appelle Lucas, dit l’homme. J’aimerais rencontrer votre fille, mais je voulais d’abord parler avec vous. Ma fille n’est pas n’importe qui”, répondit Solange. “Je sais”, dit Lucas. “C’est pour ça que je suis venue vous voir directement dans la maison.” Amélia entendait tout. Elle ne comprenait pas encore ce qui se passait.

 Après avoir parlé avec Lucas, Solange entra dans la maison. “Amélia, viens ici”, dit-elle. “Habille-toi bien, il y a quelqu’un qui veut te voir”, ajouta-t-elle. Amélia se changea rapidement. Elle sortit dans la cour. “Bonjour”, dit-elle doucement. Lucas hocha la tête. Rex ne bougeait pas, ses yeux fixés sur Amélia. “Bonjour, Amélia”, répondit Lucas. Il s’assirent.

Lucas posa quelques questions simples. Amélia répondit calmement. Seang observait tout, le visage fermé mais satisfaite. “Et ton chien, Lucas ? Il te suit partout comme ça ?” demanda Solange. “Oui, Rex est avec moi depuis toujours. Il ne me quitte jamais”, dit Lucas. La rencontre ne dura pas longtemps. Lucas promis de revenir.

 Deux jours plus tard, Lucas revint. Il parla avec Solange quelques minutes, puis il laissa une enveloppe sur la table. “C’est pour la maison, dit Lucas.” Solange ouvrit. à l’intérieur 1500 dollars. Elle leva les mains au ciel. “Merci, Seigneur Jésus, la pauvreté va finir dans cette maison”, criait-elle en dansant de joie.

 Amélia regardait en silence. Le lendemain, Lucas revint encore. Avant de partir, il demanda le numéro d’Amélia. Solange répondit calmement. Non, on choisit entre manger et acheter un téléphone. Donc on mange. D’accord. J’ai pris bonne note. Dit Lucas. Quelques jours plus tard, Lucas revint avec un sac. Voici quatre téléphones neufs.

 Comme ça, on pourra communiquer facilement, dit-il. Rex, toujours à ses côtés, ne quittait jamais la maison. C’est comme ça que Lucas avait gagné la confiance de la famille. Les cadeaux arrivaient, les provisions, les vêtements, l’argent, tout change. Amélia, elle avait complètement changé aussi.

 Mais au fond, elle pensait encore à Patrick. Elle savait que sa mère n’en voulait pas. Seulange, elle encourageait sa fille. Regarde, il nous a sorti de la pauvreté. Aime-le. Lucas avait même acheté une maison pour la famille. En quelques mois, leur vie avait changé. Puis Lucas avait épousé Amélia. Le mariage s’était terminé dans la joie.

 Le même jour, Lucas remités d’une maison flamb neuve à Amélia. Une voiture brillante les attendait dans la cour. Ce l’ange souriait. “Ma fille, Dieu t’a béni. Ta vie de changer”, disait-elle. Amélia y croyait. Tout semblait parfait mais dès la nuit des noces, tout bascula. Arrivé à la maison, Lucas décida d’aller se laver.

 Il disait qu’il se sentait un peu fatigué. Amélia l’attendait sur le lit. Comme toutes les jeunes mariées, elle voulait ce moment. Mais avant même qu’il ne revienne, une fatigue étrange tomba sur elle. Sans comprendre, elle s’endormit. Le matin, elle se réveilla à côté de Lucas. Lui dormait paisiblement comme si de rien n’était.

 Et la même chose se répéta nuits suivantes. Des jours, des semaines, des mois, toujours ce sommeil lourd, toujours ce vide, comme si la nuit lui cachait quelque chose. Lucas n’avait jamais quitté son chien. Il était toujours accompagné de Rex. Les jours passaient, les semaines aussi. Chaque nuit, c’était pareil. Amélia s’endormait lourdement, comme si quelque chose l’endormait de force.

 Elle ne comprenait jamais ce qui se passait. Elle ne savait même pas quand elle avait eu un vrai moment d’intimité avec son mari. Un matin, en secouant les draps, Amélie découvrit des poils bruns partout sur le lit. Beaucoup trop pour être normaux. Mais ça veut dire quoi ça ? murmura-telle, le cœur qui battait vite.

Une autre nuit, elle se réveilla au milieu du silence. Elle voulut aller boire de l’eau. En ouvrant la porte, elle s’arrêta net. Dans le couloir, le chien de Lucas, Rex, était là, assis, immobile. Ses yeux brillaient dans le noir. Il la fixait sans bouger. Un soir, Amélia se réveilla au milieu de la nuit. Elle ouvrit les yeux.

Rex était là, assis près du lit, immobile. Ses yeux brillaient dans le noir. Il la fixait. “Non, non, non, ce n’est pas possible. Comment ce chien peut me regarder comme ça ?” murmura Amélia, glacé de peur. Quelques jours plus tard, elle se réveilla avec des griffures sur le corps. Les seuls moment d’intimité avec Lucas, c’était en pleine journée.

 La nuit, elle ne comprenait plus rien. Un matin, Amélie prit son courage. En tout cas, Lucas, ton chien me fait peur. Il est partout avec toi, même dans notre chambre. Lucas la regarda calmement. Rex, c’est mon frère. Mon frère, s’il te plaît, ne parle jamais mal de lui. Amélia ne répondit pas. Elle pensa que c’était juste une façon de parler parce qu’il avait vécu longtemps avec ce chien.

 Un jour, Amélia n’en pouvait plus. Elle alla parler à sa mère. Maman, ce chien me fait peur. Il est toujours là, même la nuit, il reste dans notre chambre. Solange la regarda visiblement agacée. Amélia. Tu es toujours en train de chercher des histoires. Un homme qui nous sort de la misère. Et toi, tu viens te plaindre pour un chien ? Mais maman ? Non.

 Tu trouves un mari avec de l’argent, une maison, une voiture et tu veux commencer à tout gâcher pour un animal ? Si le chien te dérange, apprends à le gérer toi-même. Amélia se tue. Elle comprit que sa mère ne la soutiendrait pas. Pour ce, Lucas était une chance. Le reste ne comptait pas. Un soir, Amélie prit une décision.

 Cette nuit, je ne veux pas dormir, se dit-elle. Elle avait bu tout ce qu’elle pouvait. Elle voulait rester éveillée coûte que coûte, mais la fatigue revenait quand même. Ses yeux étaient lourds. Elle regarda autour d’elle. Lucas n’était pas dans la chambre. Elle sortit doucement. Elle vérifia le salon. vide.

 Son cœur battait fort. En passant près de la cuisine, elle vit une lumière filtrée sous la porte du petit magasin où il gardait la nourriture. Elle s’approcha, le souffle coupé. Amélia colla ses yeux à la petite ouverture. Lucas était là. Il avait tracé un grand cercle au sol. Des bougies rouges brûlaient tout autour. Et au milieu, Rex, le chien parlait.

 Oui, il parlait et avec une voix grave sortait de sa gueule. Faites attention, si elle découvre tout, vous êtes perdu. Amélia sentit ses jambes trembler. Amélia avait vu la scène. Elle était prise de panique. Son cœur battait vite. En voulant reculer, son pied heurta une pierre. Elle tomba. Lucas se retourna aussitôt.

 “Qu’est-ce que tu fais là ?” cria-t-il. Il s’avança vers elle, le visage fermé. C’est fini, tu as tout vu ? Amélia tremblait. Lucas parla d’une voix froide. Toi et moi, nous sommes en danger maintenant. Si tu racontes ça, on est foutu. Moi aussi, je suis fini. Il montra Rex au milieu du cercle. Ce chien, c’est mon frère. Dans notre famille, on a sacrifié l’enfant du milieu. C’est lui.

 Tout ce que j’ai aujourd’hui, c’est grâce à lui. Il soupira. Chez nous, quand on veut protéger la famille et avoir la richesse, on choisit toujours l’enfant du milieu. C’est spirituel. Amélia ne bougeait plus. Elle venait de comprendre que tout son mariage n’était qu’un mensonge. Lucas avait tout expliqué.

 Dans notre famille, on devait sacrifier un enfant pour protéger les autres et obtenir la richesse, dit-il d’une voix froide. Il marqua une pause. L’enfant du milieu, c’était mon grand frère. On l’a sacrifié. On l’a transformé en chien. C’est lui, Rex. Amélia tremblait. C’est lui qui nous protège. C’est lui le gardien de tout ce que nous avons. Continua Lucas.

 Puis il ajouta : “Mais pour faire terre les rumeurs, pour que personne ne découvre la vérité, il fallait qu’il ait une femme, une épouse.” Il la fixa droit dans les yeux. Cette femme, Amélia, ce n’était pas pour moi, c’était pour lui. Le monde d’Amélia s’écroula. Les nuits étranges prenaient enfin un sens.

 Ce sommeil lourd, les poils sur le lit, les griffures sur son corps. Elle vivait avec un chien qui parlait. Un chien qui prenait la place de son mari la nuit. Malgré tout ce que Lucas avait avoué, Amélia n’avait pas le choix. Elle continua à vivre dans cette maison. La nuit, c’était Rex. La journée c’était Lucas. Amélia se laissait faire.

Elle ne priait pas. Elle n’était pas une femme de prière. Les jours passaient. Elle s’enfonçait dans le silence. Amélia ne supportait plus rien. Elle allait voir sa mère et ses sœurs. Maman Clara, Isaline, je dois vous dire la vérité, dit-elle, la voix tremblante. Alors, elle raconta tout.

 Le sommeil étrange, les nuits silencieuses, les poils sur le lit, les griffures sur son corps. Rex, les paroles de Lucas. Solange l’écoutait choqué. Ma fille, “Mais qu’est-ce que je peux faire ?” murmura-t-elle perdue. Ses sœurs restaient silencieuses. Personne ne savait quoi dire. Mais en revenant, en entrant dans la cour, elle trouva toute la famille de Lucas déjà là. Ils la regardèrent froidement.

 “Tu as parlé ! Tu es foutu. On connaît notre secret. Tu es foutu.” Amélia recula, le cœur battant. Elle retourna vite chez sa mère pour lui dire que la belle famille l’attendait déjà. Seulange, désemparé courut chercher un pasteur. Mais quand le pasteur arriva, il était trop tard. Amélia avait déjà perdu la raison.

 5 ans de folie, 5 ans à vivre comme une ombre. Aujourd’hui, elle n’a ni beauté ni éclat. Tout ce qu’elle avait avant n’est qu’un souvenir. Les hommes ne la regardent même plus. La mère d’Améia n’avait pas survécu à tout ça. Quelques mois plus tard, elle était décédée, rongée par la culpabilité. Les sœurs d’Améia, ell avaient refait leur vie.

Elles s’étaient mariées, chacune de leur côté. Amélia, elle vivait chez son aîné. Celle-ci prenait bien soin d’elle. Mais Amélia répétait toujours que sa propre vie était finie, qu’elle attendait juste le jour de sa mort pour partir en paix. L’histoire d’Amélia nous rappelle une chose.

 Tout ce qui brille n’est pas de l’or. La pauvreté pousse parfois à faire des choix dangereux, mais l’argent ne doit jamais remplacer la prière, la vigilance et le discernement. Un mariage sans Dieu peut ouvrir la porte à la honte, à la douleur et même à la destruction. Peu importe la souffrance, ne vendez jamais votre âme pour de l’argent ou du confort.

 La vraie bénédiction ne vient que de Dieu. Merci à tous ceux qui ont suivi cette histoire. jusqu’à la fin. Et vous, si vous aviez été à la place d’Amélia, qu’uriez-vous fait ? Dites-le nous dans les commentaires. Votre avis peut aider quelqu’un qui traverse une situation difficile. N’oubliez pas de liker, de partager cette vidéo et de vous abonner pour ne pas manquer les prochaines histoires.