Star Academy 2025 : Marlène Schaff explose Léane après un prime où elle ignore ses conseils !

L’air est encore lourd au château de Dammarie-lès-Lys. Les murs, d’ordinaire témoins de rires et de répétitions acharnées, portent les stigmates d’un prime-time qui restera dans les annales de la Star Academy 2025. Un prime bouleversant, non pas à cause d’une élimination ordinaire, mais par le coup de théâtre le plus inattendu qui soit : le départ volontaire d’Ema. Un geste qui a eu l’effet d’une bombe, sauvant in extremis sa camarade Léane, alors sur la sellette. Mais si Léane pensait avoir échappé au pire, elle se trompait. Le véritable orage n’avait pas encore éclaté. Il attendait, patient, sous les traits de Marlène Schaff et l’impitoyable séance du débriefing.
Revivons la scène. Vendredi soir. La tension est palpable. Léane joue sa place dans l’aventure. Elle a choisi une chanson-monument, un cri du cœur d’Amel Bent, “Tu n’es plus là”. Un morceau puissant, délicat, à double tranchant. Un choix audacieux, peut-être trop. La prestation est livrée, le public retient son souffle, les professeurs délibèrent. Et puis, le choc. Ce n’est pas le public ni les professeurs qui sauvent Léane. C’est Ema. Dans un geste d’une générosité folle, ou d’un épuisement profond, elle annonce quitter l’aventure. Le règlement est formel : son départ annule l’élimination. Léane est sauvée.
Mais le sauvetage a un goût amer. Le château est sonné. Léane est en larmes, incapable de processer ce qui vient de se passer. Victor, son binôme, est dévasté. Le départ d’Ema n’est pas une victoire, c’est un séisme émotionnel qui laisse chacun K.O. debout. La soirée s’étire dans une ambiance de veillée funèbre. Le lendemain, Michael Goldman, le directeur, tente bien de détendre l’atmosphère en invitant Leni à une “situation” impromptue, ramenant un semblant de légèreté. Mais la trêve sera de courte durée. Car le dimanche, c’est le jour de Marlène. Et Marlène, elle, n’a rien laissé passer.
Dimanche matin. L’heure du débrief. La salle est silencieuse. Les élèves, encore marqués par les émotions de la veille, savent que cette séance sera différente. Et elle le fut. Lorsque le tour de Léane arrive, l’atmosphère se glace. Marlène Schaff, la professeure d’expression scénique, connue pour sa bienveillance mais aussi pour sa franchise chirurgicale, prend la parole. Et le verdict tombe, sec, immédiat.
“Number one,” commence-t-elle, “ce n’était pas la bonne tonalité.” Le premier coup est porté. Marlène ne reproche pas à Léane un manque de justesse, non. Elle lui reproche un manque d’intention. “Tu as choisi une tonalité pour montrer de la voix”, analyse-t-elle, “mais ce n’était pas ce qu’on attendait de toi.” Pour la professeure, le problème est fondamental : l’ego artistique a pris le pas sur l’émotion pure. La chanson, déjà extrêmement difficile, exigeait une narration, une vulnérabilité. Léane, en voulant prouver sa puissance vocale, a “brouillé le message”. “Léane doit désormais choisir une tonalité en fonction de ce qu’elle veut raconter, pas seulement pour prouver”, martèle Marlène. C’est une leçon essentielle, un rappel à l’ordre brutal à ce stade de la compétition. L’artiste doit servir la chanson, et non l’inverse.
Mais le pire est à venir. Ce qui a véritablement “particulièrement déçu” Marlène, ce n’est pas cette erreur technique, c’est une trahison artistique. Une trahison de la confiance. “C’est un conseil que je t’avais donné à plusieurs reprises”, poursuit Marlène, sa voix se durcissant. Le conseil était simple. Un seul mot : “Simplifie.”
Et là, la critique devient personnelle, presque douloureuse. Marlène fixe Léane, visiblement déçue, et lâche la phrase qui résonne encore : “Tous les mots que tu tiens au début… ils sont faux.” La sentence est terrible. “Si tu les avais dit simplement, avec ton timbre voilé, ça aurait été nickel.”
Marlène ne parle plus de notes, elle parle d’authenticité. Elle reproche à Léane d’en “faire trop”, de se cacher derrière une performance, derrière des effets vocaux qui sonnent creux parce qu’ils ne sont pas habités. Le reproche n’est pas là pour blesser, insiste-t-elle, mais pour faire franchir un cap. Léane doit arrêter de vouloir être une “chanteuse” et commencer à être une “interprète”. Elle doit se faire confiance, comprendre que son naturel, ce fameux “timbre voilé”, suffit largement. C’est un déshabillage en règle, une mise à nu de ses insécurités d’artiste.

Voyant la jeune académicienne au bord des larmes, “visiblement déçue”, Marlène adoucit enfin le ton. La professeure reprend le dessus sur la juge. Elle reconnaît les “énormes progrès” de Léane depuis le début de l’aventure. Elle lui dit qu’elle est “un plaisir à coacher”. La critique était dure, mais elle est constructive. “Continue comme ça, mais simplifie.” Le message est passé. La méthode Schaff : déconstruire pour mieux reconstruire.
Avant de clore ce débrief intense, Marlène ne peut s’empêcher de jouer les “curieuses gossip girl”, comme elle le dit elle-même. Elle doit savoir comment Léane vit ce sauvetage si particulier. La question est directe : comment gère-t-on le fait d’être encore là grâce au sacrifice d’une autre ?
Léane se confie. La gratitude se mêle encore au choc. Elle avoue qu’elle ne “savait même pas qu’un départ volontaire était possible”. Elle parle du geste d’Ema comme d’un acte “incroyable et hyper courageux”. Puis, avec une émotion palpable dans la voix, elle ajoute : “Je ne la remercierai jamais assez.” Loin de la voir comme un fardeau, Léane transforme cette dette morale en moteur. “Maintenant, ça me donne envie de tout donner pour la suite.”
Léane ressort de ce débrief “secouée”, mais paradoxalement plus forte. Entre le choc du départ d’Ema, le soulagement d’être sauvée, et les critiques franches de Marlène, la jeune artiste a vécu 48 heures qui pèseront lourd dans la balance. Cette leçon d’authenticité, payée au prix fort, pourrait bien être le véritable tournant de son aventure. Elle n’a plus le droit d’être “fausse”. Elle le doit à Marlène. Elle le doit à Ema. Et surtout, elle se le doit à elle-même. La compétition vient de prendre une toute autre dimension.
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