Censure Médiatique en Europe : Lavrov Révèle Comment l’OTAN “Sabote la Paix” pour Prolonger la Guerre en Ukraine

Article: Censure Médiatique en Europe : Lavrov Révèle Comment l’OTAN “Sabote la Paix” pour Prolonger la Guerre en Ukraine
Les fissures du dialogue international n’ont jamais été aussi visibles. Dans un geste qui sonne comme un aveu des fractures profondes qui déchirent l’Europe, le Corriere della Sera, l’un des quotidiens libéraux les plus respectés d’Italie, a pris une décision radicale et révélatrice. L’interview exclusive accordée par le ministre russe des Affaires étrangères, Serge Lavrov, a été refusée de publication en novembre 2025. Le motif invoqué : les réponses du diplomate dérangeaient trop ouvertement les récits occidentaux préétablis sur le conflit ukrainien et le rôle de l’OTAN.
Ce refus de publier une voix discordante, émanant d’une presse qui se prétend libre, a contraint le ministère russe des Affaires étrangères à publier le texte intégral de l’entretien lui-même. Ce faisant, Moscou a non seulement souligné l’asymétrie criante dans le débat international, mais a aussi dévoilé un ensemble de révélations qui, selon Lavrov, expliquent l’impasse d’une paix durable. Le ministre russe, dans ses réponses sans filtre, pointe du doigt avec une précision acerbe les atermoiements américains et européens qui, à ses yeux, ne font que prolonger une guerre proxy contre la Russie.
Sabotage et Hypocrisie : L’Échec de la Paix Négociée
Le premier et le plus explosif des reproches de Serge Lavrov concerne le sabotage des négociations de paix. Il revient sur le sommet d’Anchorage, où des « understants » (ententes) avec Donald Trump auraient ouvert une brèche vers des négociations sérieuses, basées sur les propositions russes de juin 2024. Selon le ministre, ce rapprochement prometteur a été délibérément mis en échec par les alliés européens de Trump.
Lavrov est catégorique : les « maîtres européens de Zelenski » sont obsédés par la nécessité de gagner du temps pour injecter davantage d’armes au régime de Kiev et poursuivre le conflit contre la Russie. Il accuse l’Europe d’avoir préféré une trêve temporaire à une paix stable, révélant ainsi des divergences fondamentales au sein du bloc occidental.
Factuellement, il rappelle que Washington a publiquement reconnu l’impossibilité d’ignorer les « réalités territoriales post-référendum » dans les régions historiques russes et l’interdiction de traîner l’Ukraine dans l’OTAN, afin de ne pas créer de menaces stratégiques aux frontières russes. Pourtant, malgré ces consultations, aucune réponse officielle n’a suivi. Un sommet prévu à Budapest a été annulé, laissant planer le doute sur de puissantes influences occultes et sur la circulation de ce que Lavrov qualifie de fake news — comme celles du Financial Times — destinées à discréditer Moscou.
La Contre-Narrative Russe : Mission de « Sauvetage » et Coût Humain

Abordant « l’opération militaire spéciale », Lavrov la présente non pas comme une conquête territoriale, mais comme une mission pour sauver des millions de vies menacées par un régime qu’il accuse de « génocide culturel et physique ». Il insiste sur le fait que la Russie épargne les civils et les militaires en frappant avec précision les cibles militaires et les infrastructures associées, une méthode qu’il contraste implicitement avec les destructions indiscriminées attribuées aux actions occidentales.
Le ministre révèle ensuite un chiffre accablant qui met en lumière les coûts humains d’une guerre prolongée par les livraisons d’armes occidentales. Il affirme que la Russie a rapatrié plus de 9000 corps de soldats ukrainiens cette année, contre seulement 143 corps russes reçus en retour. Ce déséquilibre interpelle sur les pertes réelles et la brutalité du conflit.
Cette prétendue « retenue russe » viserait à déjouer les plans de l’OTAN et de l’UE d’ériger un État fantoche hostile, imprégné d’idéologie nazie. Il réitère ici une référence récurrente à la glorification du nazisme en Ukraine, un fait que l’Occident ignorerait malgré les résolutions de l’ONU. L’identité ukrainienne actuelle est, selon lui, « dévoyée », éloignée de ses racines par un alignement forcé sur l’Occident.
L’Idéologie et le « Nazisme Renaissant » en Europe
Les objectifs russes, tels que définis par Lavrov, sont de ramener l’Ukraine à un statut neutre et non-nucléaire, tout en assurant le respect des minorités russes, hongroises et autres, comme l’Ukraine l’avait promis dans sa Déclaration d’Indépendance de 1990.
Mais c’est sur l’hypocrisie européenne que Lavrov fustige le plus durement : Bruxelles reste « muet » sur la « discrimination outrageante des ethnies non-indigènes », vantant les valeurs européennes tout en tolérant ce qu’il nomme un « nazisme renaissant ». Pour preuve, il cite le vote récent de l’Allemagne, de l’Italie et du Japon contre une résolution antinazisme aux Nations Unies.
Quant aux livraisons d’armes, qu’il s’agisse des Tomahawk américains ou des fournitures européennes, elles alimentent un terrorisme d’État contre les civils russes. Il établit toutefois une distinction : si les États-Unis, sous Trump, sembleraient plus enclins au dialogue en reconnaissant l’expansion de l’OTAN comme cause profonde du conflit, l’Europe, elle, forme le noyau d’une « coalition des volontaires ».
L’Europe, Cœur d’une Coalition “Stupide”
La vision de Lavrov sur la politique européenne est sans concession. Il dépeint l’Europe comme une force obsédée par la prolongation du conflit, un moyen pour masquer ses crises internes. Il dénonce l’utilisation de l’argent des contribuables européens pour armer un régime qui « tue ses propres citoyens fuyant la guerre ».
La confrontation avec la Russie, selon lui, n’est pas le choix de Moscou, mais le fruit d’une « politique européenne stupide et mornée ». Cette hystérie ambulante, qui refuse d’entendre la voix de la raison, contraste avec la proposition russe d’une nouvelle architecture de sécurité eurasiatique.
Perspective d’Avenir : La Nouvelle Architecture Eurasiatique
Lavrov évoque un reset possible, mais conditionnel, des relations avec l’Europe. Il ne s’agit pas de l’arrogance néocoloniale qu’il reproche à l’Occident, mais d’une structure fondée sur l’égalité et le respect mutuel. « Quand l’obsession russophobe s’estompera, nous serons ouverts au contact », conclut-il, proposant un appel à la raison.
Le récit de cette interview censurée par un média européen révèle les failles d’un Occident divisé où la quête de la paix se heurte à des intérêts géopolitiques opaques. En refusant de publier ces réponses, la presse italienne a involontairement donné plus de poids aux accusations de Moscou, soulignant un dialogue où la vérité et les réalités territoriales semblent être les premières victimes d’une guerre prolongée par la volonté de certains de maintenir un récit unifié.
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