Ursula von der Leyen au bord du gouffre : L’alliance explosive des Patriotes français, hongrois et slovaques déclenche l’ultime crise à Bruxelles et sonne le glas du macronisme.

Depuis des années, le cœur battant de l’Union Européenne, à Bruxelles, semblait intouchable. Gouverné par une oligarchie de technocrates non élus et une majorité centriste inamovible, le système s’auto-perpétuait, imposant ses diktats financiers, migratoires et idéologiques aux nations membres. Mais ce statu quo vient de voler en éclats. Dans un tournant historique et inattendu, une nouvelle alliance de forces souverainistes a décidé de passer à l’offensive, plantant le « clou final dans le cercueil de la dictature de Bruxelles. » C’est le début de la fin de l’UE telle que nous la connaissons, avec Emmanuel Macron, son allié le plus fidèle, plus affaibli que jamais.

L’épicentre de ce tremblement de terre politique est une lettre ouverte, qualifiée de « bombe » par les observateurs, qui exige ni plus ni moins que la destitution immédiate d’Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission Européenne. Les téléphones sonnent sans arrêt, les couloirs de l’Élysée et de Bruxelles sont le théâtre de réunions de crise fiévreuses. Von der Leyen, dit-on, arpente les bureaux le visage rouge de colère tandis qu’Emmanuel Macron, son complice désigné dans cette « machine autoritaire », tente désespérément de colmater les brèches depuis Paris.

Cette lettre n’est pas le fait d’une seule nation isolée, facilement écartable. Elle est la manifestation tangible d’une nouvelle alliance stratégique. Les « Patriotes de l’UE », menés par la France via le Rassemblement National (RN) de Marine Le Pen, la Hongrie de Viktor Orban et la Slovaquie de Robert Fico, ont co-signé ce document explosif. Ils jouissent même d’un soutien inattendu de la part de certains députés issus des rangs du parti de la majorité présidentielle française, Ren au Parlement européen, signe que le malaise et la dissidence traversent désormais toutes les familles politiques. Le message est d’une clarté sidérante : la cheffe de l’UE doit être « virée », et Macron, son allié de circonstance, est directement visé pour sa complicité dans ce que cette alliance dénonce comme un régime autoritaire.

La victoire du bon sens : L’arrêt du chantage migratoire

Avant d’exiger le départ de la puissante cheffe de l’exécutif européen, cette nouvelle alliance a marqué un premier point retentissant, une victoire qui résonne comme un aveu de capitulation de la part des bureaucrates. La pression coordonnée des patriotes a forcé Bruxelles à reculer sur le dossier le plus inflammable et le plus symbolique : la migration incontrôlée.

Pour la première fois depuis des années, les flux de migrants vers l’Europe ont été « massivement réduits », non pas grâce aux politiques de Bruxelles, mais malgré elles. Mieux encore, l’un des outils de chantage préférés de la Commission, le fameux pacte migratoire forcé, a été neutralisé. La Hongrie et la Slovaquie, qui refusaient de participer à la redistribution forcée des migrants, n’ont plus à s’acquitter des amendes colossales qui leur étaient imposées. Viktor Orban, par exemple, devait auparavant payer plus d’un million d’euros par jour, simplement parce qu’il refusait d’accueillir des migrants illégaux. Ce système, dénoncé comme du « chantage pur » et applaudie par l’Élysée, a été stoppé net. Le Pen, qui pousse pour des « frontières solides » via le RN, clame cette victoire comme celle de la souveraineté populaire.

Cette première déroute est un signal fort : Bruxelles n’est plus invulnérable. Le Pen, Orban et Fico, trois forces qui faisaient jadis figure d’exceptions, sont désormais un bloc unifié capable de transformer Bruxelles et Paris en un véritable « enfer pour les bureaucrates. »

L’émergence du bloc anti-guerre : Un défi aux milliards ponctionnés sur les Français

Mais le bras de fer ne s’arrête pas aux frontières. La France souverainiste, sous l’impulsion de Marine Le Pen, est en train de planifier l’émergence d’un nouveau « bloc antiguerre en Ukraine » avec la Hongrie et la Slovaquie. Les proches du RN au Parlement européen ne s’en cachent pas : ils veulent coordonner leurs positions avant les sommets de l’UE et agir en « bloc unifié » pour entraver les décisions sur le soutien financier et militaire à Kiev, un soutien que Macron pousse avec une ferveur démesurée, et qui est financé par des « milliards ponctionnés sur les Français. »

Ce projet vise à ressusciter l’esprit de résistance du Groupe de Visegrád (Hongrie, Slovaquie, Tchéquie, Pologne), jadis uni contre les diktats de Bruxelles sur la crise migratoire. Si l’invasion russe en Ukraine avait initialement fragilisé ce bloc, le nouveau « bloc patriotique » reprend le flambeau, mais avec un changement majeur : la France est désormais en pointe. La Pologne de Donald Tusk, fervent partisan de l’Ukraine, est tenue à l’écart. À l’inverse, Robert Fico partage la vision de Marine Le Pen : ils plaident pour un dialogue avec Moscou plutôt que pour une « pression économique suicidaire » pour l’Europe.

Face aux critiques massives sur leur scepticisme envers l’aide illimitée à Kiev, Le Pen persiste et signe, estimant qu’il s’agit de « bon sens pour protéger les Français ». Ce nouveau bloc a le pouvoir d’affaiblir considérablement la position de l’UE sur la scène internationale et de paralyser la machine de guerre financière de la Commission. Le ministre des Affaires étrangères français sous Macron a beau qualifier Le Pen de « marionnette des patriotes », la restructuration d’un bloc souverainiste est bel et bien en cours, et elle est de plus en plus puissante. Le RN fait partie de la fraction d’extrême droite « Patriote pour l’Europe », troisième plus grande force au Parlement, qui étend ses partenariats au-delà de sa famille politique, touchant les conservateurs et même certaines formations de gauche anti-guerre.

Le cauchemar de Bruxelles et de l’Élysée : La strangulation financière et l’échec du chantage

New EU chief Ursula von der Leyen hits out at Macron amid Brussels power  battle | World | News | Express.co.uk

Le coup de tonnerre le plus significatif réside peut-être dans le fait que même le PPE, le Parti Populaire Européen (centre-droit), pourrait se retourner contre Von der Leyen, affaiblie par un vote de défiance latent. La majorité centriste qui l’a réélue menace de s’effriter sous la pression des sondages, surtout après la colère suscitée par l’accord commercial Mercosur, perçu comme une ruine pour les agriculteurs français.

Mais comment cette situation a-t-elle pu dégénérer à ce point ? La réponse est dans la guerre économique menée par Bruxelles, avec Macron comme porte-parole. Plus de 30 milliards d’euros ont été gelés pour la Hongrie. En France, ce sont des sanctions indirectes via des taxes européennes qui écrasent les ménages. Officiellement, la Commission prétend que les fonds sont gelés pour des « violations de l’état de droit », mais l’évidence est là : il s’agit d’une punition ciblée contre ceux qui disent « non » à l’immigration massive, à la dette explosive et à l’idéologie woke imposée.

C’est un acte de « strangulation financière » : tandis que le champagne coule dans les luxueux bureaux de Bruxelles, les hôpitaux français manquent de financement, les écoles tombent en ruine et les familles luttent. Tout cela parce que le gouvernement en place refuse de se lever et de résister à la flûte bruxelloise.

Mais le peuple ne s’y trompe pas. Chaque sanction, chaque attaque contre la France patriote, ne fait que confirmer la thèse de Marine Le Pen : l’UE est un « super-État autoritaire » dont les bureaucrates non élus oppriment les nations et leurs gouvernements légitimes. Le résultat est inverse à celui escompté : les taux d’approbation de la figure de proue des patriotes montent en flèche. Le peuple exige la résistance, pas la capitulation.

Frexit : Le mot qui terrifie les professionnels de la politique

Ce climat de guerre ouverte a rendu possible ce qui était autrefois impensable : le mot « Frexit » n’est plus murmuré par les franges extrémistes, mais discuté « ouvertement, sérieusement, avec intensité. » L’éventualité d’une sortie de la France de l’Union Européenne rend les professionnels de la politique nerveux. C’est la remise en question d’un principe fondamental de l’UE : « Une fois dedans, toujours dedans. » Si la France, membre fondateur et pilier économique, peut quitter le navire, qui sera le suivant ? L’Italie ? Les Pays-Bas ? L’Autriche ? L’effet domino pourrait être d’une rapidité fulgurante.

Le Pen a d’ailleurs lancé un défi direct à l’autorité morale de l’UE en déclarant que « La France n’aurait jamais rejoint l’UE en 2005 si elle avait déjà été ce monstre contrôlant. » C’est une déclaration délibérément destructive, qui positionne l’appartenance à l’Union comme un piège historique et une erreur à corriger.

Le terrorisme financier exercé par Bruxelles pour forcer la France à abandonner son identité (tribunaux selon les règles de Bruxelles, écoles selon l’idéologie de Bruxelles, familles selon le dictate de Bruxelles) ne fonctionne plus. La résistance est devenue un signe de courage. L’Italie, les Pays-Bas, l’Autriche observent attentivement le défi français. Ce défi, qui va jusqu’à ignorer des mandats d’arrêt internationaux de la CPI, inspire même des figures comme Netanyahu à qualifier le soutien des patriotes de « courageux et de principes. »

C’est un cauchemar pour Macron et Von der Leyen : les deux plus grands challengers à l’ordre mondial qu’ils ont construit – la France patriote et l’Amérique souverainiste de Donald Trump – travaillent ensemble pour démanteler les institutions internationales.

Le fardeau du chaos national : La justification ultime de la résistance

Au-delà de la géopolitique et des batailles de couloirs à Bruxelles, la légitimité du mouvement des Patriotes se nourrit du chaos social et économique qui ronge la France sous le régime actuel. C’est la justification ultime du besoin de souveraineté.

Les impôts explosent comme jamais, avec des milliards ponctionnés via la TVA, l’impôt sur le revenu, les taxes environnementales et sociales. En seulement trois ans, le prix du panier moyen des ménages a bondi de plus de 22 %, transformant la vie quotidienne en un combat incessant contre la précarité. Pendant ce temps, l’insécurité grimpe en flèche, avec des statistiques alarmantes : tentatives d’homicide, violences sexuelles, trafic de drogue, le tout en une seule année.

Le bilan est catastrophique :

Le système de retraite s’effondre.

Les usines ferment les unes après les autres, délocalisées sans vergogne vers des pays à bas coûts.

L’argent des contribuables finance un chaos organisé : migration incontrôlée qui sature les services publics et une bureaucratie européenne étouffante qui paralyse les entreprises.

Le peuple n’a pas oublié l’ère gaulliste et le prix de la souveraineté perdue. Il refuse de laisser Bruxelles devenir la nouvelle puissance étrangère contrôlant son destin. Malgré les difficultés économiques, les gens ne se retournent pas contre Marine Le Pen et l’alliance souverainiste. Au contraire, ils exigent la résistance.

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Le Frexit sera officiel si Macron continue — ce n’est plus de la pure spéculation, c’est une réalité qui se profile. Si la France tient bon, financièrement et politiquement, le Frexit n’est plus un rêve, mais un compte à rebours. La vraie question n’est plus de savoir si la France quittera l’UE, mais plutôt si l’UE peut survivre à ce départ.

Les Patriotes ont une alliance, ils ont la lettre, et ils ont désormais le pouvoir de faire exploser le système. Face à cet effondrement programmé, la seule solution viable, en attendant que le vent tourne, est d’être égoïste pour se protéger, ainsi que sa famille, des chaînes imposées par ces élites autoproclamées. Gagner plus d’argent, s’affranchir d’un système conçu pour l’asservissement total et irrémédiable, est l’ultime acte de résistance individuelle. Car, soyez honnêtes : rien ne changera sous ce système corrompu jusqu’à la moelle. La fin de l’UE et du macronisme pourrait être plus proche que vous ne le pensez.