Marine Le Pen VISÉE par une députée LFI, elle RIPOSTE et ça part en VRILLE !

Madame, moi je ne fais pas de fake. Moi je ne fais pas je ne dis pas des choses pour faire des captures TikTok. C’est au final un amendement de bon sens que de dire qu’une association condamnée définitivement par la justice française ne doit pas être financée par l’argent des Français. Tension explosive à l’Assemblée nationale ce jeudi 13 novembre lors d’un débat houleux sur un amendement visant à supprimer les avantages fiscaux des associations condamné pour intrusion, entrave ou destruction de bien. La députée LFI An

Stamback Ternoir attaque frontalement Marine Le Pen sur sa posture concernant la défense des animaux provoquant un vif clash dans l’hémicycle. Face à cette confrontation, la députée écologiste Julie Laernoes remet en question la présidence elle-même provoquant une réplique singlante du président. Contrairement à ce que vous prétendez, là vous ne défendez pas l’agriculteur.

L’agriculture vous vous protégeer la maltraitance animale parce que vous vous attaquez directement au lanceur d’alerte de la cause animale qui font un travail absolument capital. Il s’agit de montrer, de dévoiler les dérives insoutenables d’une agroindustrie que vous soutenez mais qui traite les animaux sensibles comme des objets.

Or, c’est un travail d’intérêt général. Souvenez-vous, il y a à peine quelques jours dans cet hémicycle, tout le monde se réjouissait du fait qu’aujourd’hui en France, il est interdit de broyer vivant les poussins à mâles de la filière des poules pondeuses. Et bien ça c’est le résultat concret direct d’une enquête de l’association L214 que vous visez particulièrement à travers cet amendement.

Donc oui, ils font œuvre publique, œuvre d’utilité publique et il faut leur laisser les moyens de travailler. Et enfin, je je ne peux pas ne pas pointer la duplicité hypocrite du Rassemblement national. Comme à chaque fois, tout le monde a bien vu les jolies photos très émouvantes de Madame Le Pen avec ses petits chats, mais quand l’agroindustrie entasse des animaux dans des fermesusines, dans des conditions et des souffrances intélérables, ça vous pose aucun problème.

Les actes font plus que les selfies. Collègues, vous êtes les meilleurs ennemis des animaux. Merci. Nous allons évidemment venir en soutien à ces amendements qui sont des amendements de bon sens et qui viennent en soutien à eux-mêmes, notamment à nos agriculteurs. Vous pouvez hurler hein, justement, c’est ce qu’on dénonce là en ce moment.

subito toutes ces pratiques de gauche qui consistent à hurler à être violent. Vous demanderez la parole, vous aurez la parole plus tard. Pas la peine d’hur d’abord d’abord madame la ministre, on vous a entendu dire que systématiquement les associations condamnées étaient dissoutes. Bon, désolé mais c’est faux. C’est faux.

à un moment, il faut arrêter euh d’extrapoler les choses. Toutes les associations ne sont pas dissoutes. On connaît un certain nombre d’associations euh qui ont des manœuvres qui sont pour le moins violentes et qui euh ne respectent pas la loi de manière la plus violente comme je viens de le dire et qui existe toujours et qui n’ont aucune difficulté à bénéficier de subvention ou de soutien de leurs adhérents de manière défiscalisée.

Je je note également qu’encore une fois quand il s’agit de soutenir des associations violentes, il n’y a qu’une seule partie de l’hémicycle qui se soulève. Ce sont les voyou de gauche qui viennent soutenir les associations violentes. Associations violentes d’extrême gauche. Et ce que je déplore juste une seconde, ce que je déplore, c’est que ça fait des années Voilà. Stop.

J’ai une demande de rappel au règlement de la présidente Le Pen. Madame, moi je ne fais pas de fake. Euh moi je ne fais pas je ne dis pas des choses pour faire des captures TikTok et je ne fais pas de selfie avec des châons, madame. Je suis éleveuse depuis plus de 15 ans et je prends ce travail au sérieux et par conséquent je pense que cette mise en cause n’est pas justifiée.

Oui, nous sommes très attachés à la protection animale. J’y viens, j’y viens. Mais nous sommes également attachés à la propriété privée. Et si nous soutenons chers collègues, si nous si et je vais vous expliquer 2 minutes. Seule la présidente Le Pen Attendez vous non vous allez immédiatement arrêter. J’ai pour les mêmes raisons permis à monsieur Ruffin de s’exprimer sur sa situation personnelle et professionnelle.

Exactement les mêmes raisons sur le même article. Je laisse la présidente Le Pen terminer son rappel au règlement. C’est pour les mêmes raisons. Je l’ai fait pour monsieur Ruffin. Exactement. Et il a pu même le faire deux fois. Madame la présidente, vous avez la parole. Donc si nous soutenons évidemment ceux qui sont des danseurs d’alerte pas contre la maltraitance animale, nous ne pouvons pas admettre que les procédés qui soient utilisés soient des procédés qui attendent à l’intégrité des biens ou des personnes.

Termine là, madame la présidente, on va en terminer là madame la présidente sur le rappel au règlement. On va en terminer là. Vous écoutez madame Lernos, c’est moi qui vais vous faire un rappel au règlement si vous continuez à remettre en cause ma présidence. Donc on en arrête là si vous voulez bien madame la présidente.

Le rappel au règlement a été fait. La situation a été a été expliquée et on poursuit dans le calme. Et vous ne remettez pas en cause ma présidence. Madame l’ernaus. Encore une fois, je vous fais un rappel au règlement moi-même. Monsieur le président, nous avons convenu qu’il y avait un pour, un contre sur l’ensemble des discussions.

Un rappel au règlement et le rappel au règlement de madame Leben était pas un réel rappel au règlement mais était un un deuxième pour défendre ces amendements. Et donc, monsieur le président, excusez-nous qu’on n’ pas d’autres moyens. J’ai fait ce rappel au règlement pour vous expliciter mon opposition au fait que ce rappel au règlement de madame Le Pen n’en était pas un.

quand on parle de ces vidéos TikTok avec des châons, je suis désolé, on s’éloigne du rapport rappel au règlement. Et donc monsieur le président, stop, stop. Je souhaite simplement clarifier qu’il faut un pour un contre et qu’il n’y ait pas de des interventions qui viennent alimenter la discussion pour défendre des amendements qui par ailleurs sont inacceptables dans un état de droit et donc de fait respecter le un pour un contre et pas des rappels au règlement déguisés pour défendre des amendements du de la part du Rassemblement national.

Madame la députée vous êtes bien aimable de m’expliquer ce que je dois faire. Je vous rappelle que sur la base du même article monsieur Ruffin m’a fait une demande de rappel au règlement. J’avais même suspendu la séance et je lui ai donné la parole. Il avait été mis en cause personnellement.

Il a expliqué sa situation personnelle en s’éloignant évidemment de l’amendement en question. Il l’a fait le temps qui lui a permis que je lui ai permis. Il a exprimé sa situation exactement sur le même fondement, la même chose. C’est ainsi que j’ai présidé. C’est ainsi que je préside et je vous en remercie. C’est un amendement pour faire en sorte que les associations qui se rendent coupables d’intrusion dans les élevages et qui sont condamnés comme tels ne puissent pas bénéficier d’un seul euro d’argent public. C’est une mesure de bon sens.

Vraiment vous pouvez pas imaginer le mal que font ces associations, la détresse dans les campagnes. Elles bousillent des familles, elles bousillent des éleveurs qui sont traumatisé par des intrusions qui se font chez eux dans des propriétés privées, dans des familles et qui dissuent toute une profession de continuer à pratiquer l’élevage.

C’est évidemment catastrophique parce que si on n plus d’élevage en Bretagne ou en France, on va se retrouver à importer des produits alimentaires, produits à l’étranger qui ne respectent pas nos normes environnementales, qui ne respectent pas nos normes sanitaires, qui ne respent pas nos normes sociales. Donc c’est un amendement important.

Je rappelle aussi que c’est un amendement qui permet de rapporter de l’argent public. C’est un amendement qui avait euh qui est soutenu par la ministre de l’agriculture. Le code général des impôts dit que l’administration est tenue de suspendre les avantages fiscaux des association au titre des dons, versement et lorsqu’une décision pénale définitive a été rendue au titre de certaines infractions.

Cette liste d’infractions a été progressivement modifiée et étendue pour s’adapter à de nombreuses infractions. Cet amendement propose donc d’élargir la suspension des avantages fiscaux aux associations en cas de condamnation définitive, notamment pour l’entrave aux conditions de travail, l’introduction dans le domicile d’autrui ou encore pour la destruction d’un bien par l’emploi d’un engin explosif ou incendiaire.

C’est au final un amendement de bon sens que de dire qu’une association condamnée définitivement par la justice française ne doit pas être financée par l’argent des Français. Encore une fois, on ne propose pas d’interdire ces associations. On ne propose elles peuvent même recevoir de l’argent si les gens veulent faire des dons.

C’est tout à fait normal. On propose juste que ces dons ne soient pas défiscalisés. C’est d’une mesure de bon sens. Des associations qui ne respectent pas la loi, qui sont condamnées n’ont pas ne peuvent pas prétendre à recevoir de l’argent public. Et je vous incite, mes mes chers collègues, je sais que c’est un débat important, à faire attention.

On a reçu un lobbing très très important, extrêmement déterminé, extrêmement violent de ces associations de pas vous laisser influencer. Ces associations ne peuvent pas bénéficier d’argent public à partir du moment où elles détruisent une profession. Et encore une fois, vous n’imaginez pas la détresse d’un certain nombre d’éleveurs et de familles qui ont été confrontés à cette association ou alors qui vivent dans la peur panique de ces associations au point de vouloir arrêter leurs profession, au point de vouloir arrêter

leur leur ferme ? Monsieur Le Fur, vous prenez aciis un amendement qui était défendu par votre père et je vais vous faire la même remarque et en lisant bien votre amendement, je trouve que j’ai fortement raison. Ce que je lui avais fait observer, c’est que ce que vous demandez ici, selon la cible que vous avez peut se retourner sur des associations, des syndicats qui pour lequel vous n’auriez pas les mêmes, j’allais dire les mêmes colères ou les mêmes les mêmes acrymonies que les associations que vous citez et que il faut faire attention

qu’à partir du moment où vous ouvrez une jurisprudence qui est celle que la ministre a rappelé, c’estàdire que là, c’est plus seulement la justice. C’est-à-dire qu’automatiquement après un traitement de justice, on pénalise l’association en tant que telle. Vous pourrez y trouver des gens avec à qui vous n’avez pas du tout envie de vous en prendre qui serait susceptible de de d’être d’être touché. Merci.

Je suis fatigué. Et je relie votre amendement. Mais votre dans votre exposé des motifs, vous dites à qui vous vous adressez. vous dites que vous attaquez des associations et cetera qui s’en prend notamment qui veulent rentrer dans les abattoirs et autres. Mais dans votre article, c’est pas le cas.

Dans votre article, vous parlez des associations de manière générale. Alors moi, je vais vous donner un exemple. Par exemple, vous parlez d’occupation sans droit d’un terrain appartenant au trui. En quoi ça pourrait pas toucher par exemple des syndicats qui en tant que tel occupent une usine ? Vous parlez par exemple de la destruction ou la menace de destruction de bien, en quoi ça ne pourrait pas toucher par exemple un syndicat agricole en tant que tel qui s’en prend à une permanence de députés ou à une préfecture et cetera et cetera. Autrement dit,

votre amendement tel qu’il est écrit aujourd’hui en réalité s’en prend sur des thématiques absolument tout le monde associatif ou syndical. Et alors là, je serais curieux que vous vous puissiez me prouver que tout ce que je viens de vous citer, il y en a d’autres là, je vous ai cité syndicat ouvrier et cetera ne serait pas susceptible de d’être pénalisé sur les sur les les sur les articles que vous citez là.

C’est impossible. Donc ça ça va se retourner contre absolument tout le monde associatif ou syndical et pas seulement contre les associations que vous visez. Moi en glcurrence, je pense que je suis pas d’accord avec le fait de les de les viser spécifiquement, c’est la justice s’en charger.

Mais juste pour vous dire que ce cet article-là, tel qu’il est formulé, il a exactement les défauts que je formulais par rapport à à celui euh que vous défendez votre père, que vous défendez aujourd’hui.