ELLE A MIS UN BALAI DANS LE CERCUEIL DE SON FILS DÉCÉDÉ POUR QU’IL SE VENGE AVANT DE REPOSER EN PAIX
Elle a placé un balai sur le cercueil de son fils décédé pour qu’il venge sa mort. Les histoires d’épu. Le soleil se couchait doucement sur la petite maison de maman Cafoui, baignant la cour de terre battue d’une lumière dorée. À travers la fenêtre ouverte, on pouvait entendre les rires joyeux de la famille.
Boris, un adolescent de 15 ans aux yeux pétillants d’intelligence, était assis à la table de la cuisine. Ses livres de classe de troisème étalés devant lui. Sa mère, Cafoui, une femme au sourire chaleureux, préparait le dîner en fedonnant une mélodie traditionnelle. Monsieur Koda, le père rentrait du travail, sa chemise légèrement froissée par la journée, mais son visage rayonnant de satisfaction.
Il embrassa tendrement sa femme sur le front et ébourriffa affectueusement les cheveux de Boris. “Papa, regarde mes notes de mathématiques”, s’exclama Boris, brandissant fièrement son cahier. “Madame l’institutrice dit que je suis le meilleur de ma classe.” Monsieur Coda prit le cahier, ses yeux s’illuminant de fierté paternelle.

“Mon fils, tu feras de grandes choses dans la vie. Ton avenir sera brillant, j’en suis certain.” Maman Cafou s’approcha, essuyant ses mains sur son pagne coloré. Boris a hérité de ton intelligence et de ta détermination, mon chéri. Nous avons de la chance d’avoir un fils pareil. Tout allait bien dans la maison de maman Cafoui jusqu’à ce qu’un soir mari, monsieur Koda, décide de sortir pour récupérer son véhicule à la station de lavage car ils avaient prévu une sortie en famille avec leur fils Boris, un jeune brillant de 15 ans en classe de
trise. Le crépuscule commençait à tomber quand monsieur Koda consulta sa montre. Il se leva de sa chaise, ajusta sa ceinture et prit ses clés sur la petite étagère près de la porte. “Chérie, toi et Boris, allez vous préparer. Je pars chercher mon véhicule.” Il se retourna vers sa famille, son regard d’amour.
“Nous passer une merveilleuse soirée tous les trois. Boris, tu pourras choisir le restaurant.” Boris leva les yeux de ses devoirs, un sourire radieux aux lèvres. “Vim papa, même le restaurant chinois du centre-ville, monsieur Kodari de Bonœur. Même le restaurant chinois, mon champion.” Il embrassa une dernière fois sa femme, serra l’épaule de Boris avec affection.
Ce f un derniers mots qu’il prononça avant de partir. Cafoui et Boris se mirent à se préparer avec enthousiasme. Elle sortit sa plus belle robe, celle que monsieur Koda aimait tant, tandis que Boris sirait soigneusement ses chaussures du dimanche. Une heure passa puis deux. Cafoui commença à s’inquiéter, regardant sans cesse par la fenêtre.
Le téléphone sonna soudainement, déchirant le silence de la maison. Kafoui décrocha rapidement. Allô ? Une voix inconnue, froide et professionnelle. raisonna dans l’écouteur. Madame Koda, ici le commissariat central. Il y a eu un accident. Les mots suivants se perdirent dans un brouillard. Cafoui sentit ses jambes se dérober sous elle.
Le téléphone glissa de ses mains tremblantes et s’écrasa au sol. Boris a couru en entendant le bruit. Maman, qu’est-ce qui se passe ? Mais quelques minutes plus tard, un numéro inconnu avait appelé maman qui était en train de se préparer pour lui annoncer que son mari, monsieur Koda, n’était plus. Il avait été heurté par un véhicule roulant à grande vitesse et avait perdu la vie sur le cou.
Cafoui s’effondra dans les bras de son fils, ses sanglots déchirant le silence de la nuit. À cet instant, le foyer heureux dans lequel maman Cafoui vivait se transforma en cauchemar pour elle et son fils Boris. Les trois jours qui suivirent passèrent dans un brouillard de douleur. L’enterrement de monsieur Koda fut simple mais digne.
Toute la communauté était venue présenter ses condoléances. Cafoui, vêtu de noir, tenait fermement la main de Boris qui pleurait en silence. Mais le répit fut de courte durée. Trois jours après l’enterrement de monsieur Koda, sa famille d’origine débarqua avec des convocations de justice afin de retirer tous les biens de la possession de Cafoui.
Ils arrivèrent comme une nuée de corbeau menée par le frère aîné de monsieur Koda. Kafoui ! Dit-il sans préambule, cette maison et tout ce qu’elle contient appartiennent à la famille Koda. Tu n’es qu’une épouse, pas une héritière. Mais mais mon mari m’a tout légué. Nous avons des papiers. Balbusaka foui serant contre elle les documents importants.
Ses papiers ne valent rien devant la tradition. Boris peut rester s’il veut mais toi tu pars. Boris malgré ses 15 ans, se dressa devant sa mère. Je ne laisserai jamais ma mère. Si elle part, je pars avec elle. C’est ainsi qu’elle et son fils finirent à la rue sans personne pour leur porter raide. Les premiers jours dans la rue furent les plus difficiles.
Cafoui et Boris dormirent d’abord sous un abribus, puis dans l’arrière-cour d’une mosquée abandonnée. Cafoui regardait son fils maigrir de jour en jour et puisa dans ses dernières forces pour trouver une solution. Très vite, Cafoui contracta des prêts financiers auprès d’usurier du quartier pour louer une chambre minuscule et humide et s’y installa avec son fils Boris qui avait raté son examen en raison du drame de son père.
La chambre était si petite qu’ils devrent déplacer la table pour pouvoir étendre leur nat la nuit. L’eau coulait par le toit troué pendant la saison des pluies, mais c’était leur refuge. Cafoui ne se laissa pas abattre. Elle postula à un emploi de vendeuse dans une boutique du grand marché et fut engagée grâce à sa détermination et son honnêteté.
Le propriétaire de la boutique, un vieil homme bienveillant nommé Papa Quamé, fut touché par son histoire. “Tu commences demain à l’aube, Cafoui. Je vois dans tes yeux la force d’une lionne qui protège son petit.” Mais son maigre salaire ne suffisait pas à les nourrir ni même à scolariser Boris. Les journées de Boris étaient devenues un mélange de tristesse et de responsabilité précoce.
Celui-ci commença alors à l’accompagner au grand marché pour l’aider. Il apprenait vite, observant sa mère négocier avec les clients, calculer les prix, gérer les stocks. Ses mains d’adolescence s’habituèrent au travail physique, porter les cartons, nettoyer la boutique, arranger les marchandises. “Maman,” dit-il un soir en comptant les maigres recettes de la journée.
“Je n’ai pas besoin de retourner à l’école. Je peux t’aider à faire grandir notre petit commerce.” Cafou le regarda, les larmes aux yeux. Son fils avait grandi trop vite, mais elle était fière de l’homme qu’il devenait. Quelques années plus tard, Boris, âgé de 20 ans, avait acquis une connaissance remarquable du commerce.
Il était devenu un jeune homme séduisant et intelligent, respecté par tous les commerçants du marché. Mais il rêvait de plus grands horizons. Un matin, il prit sa mère par les mains et lui dit : “Maman, je dois partir pour la ville. Ici, je resterai toujours l’assistant de papa Quamé. En ville, je peux créer ma propre entreprise, nous faire sortir définitivement de la pauvreté.
Sa décision fut dure à accepter pour maman Cafoui, qui avait peur de perdre son unique trésor, mais elle comprenait ses ambitions. Elle lui donna toutes ses bénédictions et le laissa partir avec ses dernières économies cousues dans la doublure de sa veste. Arrivé en ville, Boris logea d’abord dans une pension modeste près du grand marché urbain.
C’est là qu’il fit la connaissance de trois autres jeunes hommes venus eux aussi récemment chercher du travail dans le commerce. Jean, un garçon à l’apparence charmante mais au cœur sombre, Lucas, toujours prompte à la plaisanterie mais rongé par l’envie et Simon, le plus silencieux du groupe mais aussi le plus manipulateur. Comme il partageait le même objectif, ils devinrent de bons amis et Boris les considérait comme des frères.
Ils passaient leurs soirées ensemble, partageant leurs rêves et leurs stratégies pour réussir dans le commerce. “Nous sommes comme les quatre mousquetaires”, disait souvent Boris en riant, “Un pour tous, tous pour un. Mais derrière leur sourire, Jean, Lucas et Simon observèrent Boris avec une jalousie grandissante.
Petit à petit, Boris et ses trois amis trouvèrent du travail dans différentes boutiques du grand marché. Les choses commencèrent à aller mieux. Boris, grâce à son bon cœur, son honnêteté et sa connaissance approfondie du commerce hérité de sa mère, se distingua rapidement. Les clients l’appréciaient, les fournisseurs lui faisaient confiance.
En quelques mois, il avait économisé suffisamment pour ouvrir sa propre boutique de vêtements. Sa boutique, baptisée Élégance Cafoui, en l’honneur de sa mère, devint rapidement l’une des plus prospères du quartier. Boris choisissait personnellement chaque vêtement, négociait les meilleurs prix et traitait chaque client comme un membre de sa famille.
Il loua une petite villa en ville et fit venir sa mère pour qu’elle s’installe avec lui. Quand Cafoui découvrit la maison, avec sa cuisine moderne et ses deux chambres, elle pleura de joie. Mon fils, tu as réalisé ce dont ton père rêvait pour nous”, murmura-t-elle en le serrant dans ses bras. Contrairement à ses amis qui vivaient toujours tous les trois dans une chambre salon, Boris avait réussi à s’élever socialement.
Très vite, la jalousie s’installa. Jean, Lucas et Simon ne supportaient plus de voir Boris réussir là où il stagnait. Leurs conversations du soir changèrent de ton. “Il se prend pour qui Boris ?” gromla Jean un soir. Il a oublié d’où il vient. Et sa mère qui se pavane maintenant dans sa belle maison. ajouta Lucas avec amertume.

Simon, plus calculateur planta la graine du mal. S’il n’était plus là, ses clients viendraient chez nous. Sa boutique pourrait être à nous. Ils passèrent des semaines à planifier et finalement les amis de Boris complotèrent pour mettre fin à sa vie en glissant une substance mortelle dans son jus lors d’une sortie festive. Le soir fatidique, ils invitèrent Boris dans un bar branché pour célébrer leur amitié.
Boris, toujours confiant, accepta avec plaisir. À notre fraternité éternelle, porta Jean comme Toast, levant son verre avec un sourire perfide. Boris but son jus de fruits sans méfiance. Leur plan mis à exécution, Boris se sentit rapidement mal et décida de rentrer. Une fois chez lui, Boris titubait, la tête lui tournait.
“Maman,” appela-t-il faiblement, je ne me sens pas bien. Cafoui, qui regardait la télévision, se leva immédiatement. Inquiète. “Mon fils, que se passe-t-il ? Boris se coucha sur le canapé près de sa mère, posant sa tête sur ses genoux comme quand il était enfant. Juste Juste un peu de repos au maman. Elle lui caressa doucement les cheveux, sentant qu’il brûlait de fièvre.
Je vais appeler le docteur. Mais Boris ferma les yeux et ne se réveilla jamais. Maman Cafoui était brisée. Boris était tout ce qu’elle avait dans ce monde cruel. Quelques jours plus tard, eut lieu l’enterrement de Boris. Toute la communauté était venue témoignant de l’affection qu’il portait au jeune homme.
Même papa Cuamé avait fait le voyage depuis le village. Ce jour-là, maman Cafoui pleura de façon incontrôlable, exprimant sa souffrance devant la tombe de son unique enfant. Ses sanglots raisonnaient dans tout le cimetière, déchirant le cœur de tous les présents. “Mon fils, mon unique raison de vivre”, criait-elle, ses ongles griffant la terre fraîchement retourné.
À la fin de la cérémonie, tous partirent mais Cafoui resta prostré près de la tombe jusqu’au coucher du soleil. Puis d’une démarche déterminée, elle se rendit au marché pour acheter un nouveau balai africain fabriqué selon les traditions ancestrales. Puis à minuit pile, elle se rendit en larme sur le tombeau de son fils.
Il déposa le balai avec l’instruction qu’il l’utilise pour se venger avant de reposer en paix. Puis repartit. “Boris, mon fils chéri”, murmura-t-elle dans l’obscurité. Les méchants qui t’ont pris à moi doivent payer. Use de ce balais pour leur faire subir le mal qu’ils t’ont fait. Après cela seulement, tu pourras reposer en paix.
Au lever du soleil, le balai avait disparu du tombeau de Boris. Sa vengeance avait commencé. Le lendemain, à h précises, Jean se rendit au marché pour ouvrir la boutique où il travaillait. Il s’y flottait, insouciant, pensant peut-être à la façon dont il allait profiter de la disparition de Boris. Soudain, un véhicule noir lancé à grande vitesse surgit de nulle part et le heurta de plein fouet.
Jean eut même pas le temps de crier. Il mourut sur le coup. Son corps projeté plusieurs mètres plus loin. Le véhicule disparut aussitôt comme s’il n’avait jamais existé. Les témoins jurèrent avoir vu une ombre tenant un balai dans le véhicule fantôme. À midi, la boutique où travaillait le deuxième ami Lucas prit feu sans raison apparente.
Les flammes jaillirent simultanément de tous les coins du magasin, piégeant Lucas à l’intérieur. Ses collègues entendirent ces cris déchirants, mais personne ne put l’approcher tant le feu était intense et mystérieux. Il périt dans les flammes consumés par le feu de la vengeance. Vers 16h, le troisième ami Simon fut aperçu en train de courir dans les rues, fuyant des coups de fouet invisibles qui l’asserrèent sa peau.
Les passant le voyait danser une danse macabre frappée par une force surnaturelle que seul ne voyent pas. Simon courut jusqu’à ce qu’il atteigne la maison de Boris. Là, épuisé et terrorisé, il s’effondra devant la porte et confessa leur acte criminel à Cafoui. Pardonnez-nous, nous avons empoisonné Boris par jalousie.
Arrêtez cette malédiction. Puis il mourut sur le cou, ses yeux révulsés de terreur. Le soir, à minuit pile, maman Cafoui retourna sur le tombeau de Boris. Le balai qu’elle y avait laissé était revenu, cette fois taché de sang, le sang de la justice rendu. Elle prit le balai ensanglanté et le brûla selon le rituel ancestral, libérant ainsi l’âme de Boris de sa mission de vengeance.
“Maintenant, mon fils”, murmura-t-elle en regardant les flammes consumées l’instrument de la justice divine. “Tu peux reposer en paix. Ta mère a obtenu justice pour toi. Une brise douce souffla soudain dans le cimetière silencieux comme si Boris lui envoyait un dernier baiser d’adieux. Merci d’avoir suivi cette histoire jusqu’ici et n’oubliez pas de vous abonner pour plus d’histoires captivantes.
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