“Dossier Algérien”, Chantage et Financement de 2017 : Les Révélations Interdites qui Font Trembler l’Élysée

C’est une onde de choc qui traverse les réseaux d’initiés et qui pourrait bientôt ébranler les fondations mêmes de la République. Dans une intervention explosive, un écrivain et enquêteur proche des milieux du renseignement a brisé l’omerta, dévoilant ce qu’il qualifie de “vérité interdite” sur les relations occultes entre Emmanuel Macron et le pouvoir algérien. Au menu : chantage, identités troubles et financement de campagne par une “mafia organisée”.

Loin des discours officiels sur la “réconciliation mémorielle”, c’est un tableau bien plus sombre et criminel qui est dépeint. Selon ces révélations, la soumission apparente de la France face aux exigences d’Alger ne serait pas diplomatique, mais le résultat d’un chantage d’État impliquant les plus hautes sphères du pouvoir.

Le “Dossier Algérien” et l’Ombre de Jean-Michel Trogneux

L’enquêteur affirme avoir remis à la presse étrangère un “document algérien” explosif concernant l’affaire dite “Jean-Michel Trogneux”. Alors que la presse française est accusée de collusion et de silence complice, les journalistes internationaux se montreraient beaucoup plus curieux, voire hilares, face à ce que l’intervenant qualifie de “naufrage” de la justice française.

Le cœur de l’intrigue remonte à décembre 2017. Emmanuel Macron, alors fraîchement élu, se rend en Algérie. Selon les éléments dévoilés, Brigitte Macron aurait émis le souhait de visiter la faculté centrale d’Alger, un lieu lié à son passé supposé ou à celui de sa famille. Des articles de la presse algérienne et internationale de l’époque (L’Expression, Le Point Afrique, Al-Sayidati) évoquaient alors des “souvenirs” de la Première dame sur place.

Mais soudainement, tout est annulé. La raison officielle ? Sécurité. La raison officieuse avancée par le lanceur d’alerte ? La peur panique que la vérité n’éclate sur place. “Ils se sont rendu compte que si Brigitte allait là-bas, on allait savoir”, explique-t-il, suggérant que les traces administratives et mémorielles en Algérie ne correspondaient pas au récit officiel de l’Élysée.

Bouchouareb : Le “Fantôme” qui tient Macron ?

Mais le volet le plus gravissime de ces révélations concerne l’argent. L’enquêteur pose une question qui fâche : pourquoi la France refuse-t-elle obstinément d’extrader Abdeslam Bouchouareb, ancien ministre de l’Industrie algérien ?

Cet homme n’est pas n’importe qui. Condamné par contumace à 100 ans de prison en Algérie pour des faits de corruption massive, il vit pourtant “pénard” sur le sol français. Selon l’intervenant, la protection dont il bénéficie est la contrepartie d’un secret inavouable : Bouchouareb ferait partie des oligarques qui ont financé la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron en 2017.

“Cette bande d’escrocs qui font la leçon aux Français… c’est une mafia organisée qui est au pouvoir”, s’insurge l’auteur. Il décrit un système où la corruption a gangrené les institutions, empêchant toute justice de passer. Alger détiendrait ainsi les preuves de ce financement illégal, tenant de fait le président français “par la barbichette”. Cela expliquerait, selon lui, les concessions incessantes faites au régime algérien, au détriment des intérêts stratégiques de la France et de ses alliés historiques comme le Maroc.

Une Guerre Souterraine des Services

Enfin, ces révélations mettent en lumière une fracture inquiétante au sein même de l’appareil d’État. L’auteur décrit des “patriotes” au sein de la DGSE et de la DGSI, écœurés par les ordres reçus de leur hiérarchie politique. Il cible nommément Laurent Nuñez et Nicolas Lerner, les accusant de protéger des intérêts privés plutôt que la sécurité nationale.

“Il n’y a pas un service secret au monde qui vous estime crédible”, lance-t-il à l’adresse des dirigeants actuels du renseignement. L’image d’une France affaiblie, infiltrée et soumise à des puissances étrangères se dessine.

Face à ce qu’il appelle une “fraude électorale” et une trahison d’État, l’auteur, qui affirme avoir saisi le Conseil constitutionnel, appelle les Français à ouvrir les yeux. Si ces accusations sont avérées, nous ne sommes pas face à une simple affaire politique, mais devant le plus grand scandale d’État de l’histoire contemporaine. La question reste posée : jusqu’à quand le verrou médiatique tiendra-t-il face à la pression de la vérité ?