« DELPHINE ERNOTTE DOIT DÉMISSIONNER » : MARION MARÉCHAL PULVÉRISE LA PRÉSIDENTE DE FRANCE TÉLÉVISIONS SUR LE SCANDALE DE LA CORRUPTION ET LA GABEGIE DES FONDS PUBLICS.

Article: « DELPHINE ERNOTTE DOIT DÉMISSIONNER » : MARION MARÉCHAL PULVÉRISE LA PRÉSIDENTE DE FRANCE TÉLÉVISIONS SUR LE SCANDALE DE LA CORRUPTION ET LA GABEGIE DES FONDS PUBLICS
Dans un paysage politique français marqué par l’instabilité et la défiance croissante envers les élites, la voix de Marion Maréchal résonne comme un réquisitoire implacable. Invitée sur RTL Matin, l’eurodéputée et présidente du mouvement Identité-Libertés n’a pas seulement critiqué le gouvernement : elle a dressé le portrait d’un système politique et médiatique en pleine dérive, obsédé par l’argent public et coupé des réalités. Avec une précision chirurgicale, elle a exposé des chiffres vertigineux et mis en lumière un scandale de corruption présumée au sommet de l’audiovisuel public, exigeant la démission pure et simple de la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte.
Le Macronisme Agonisant : Un Appel Radical au Retour aux Urnes
L’entretien a débuté par un constat d’une lucidité glaciale : celui de la fragilité du pouvoir en place. Évoquant la confession attribuée à Sébastien Lecornu, se décrivant comme « le premier ministre le plus faible de la Ve République », Marion Maréchal n’a pas masqué son désespoir. Pour elle, le gouvernement actuel n’est que « la continuation d’une forme de macronisme agonisant qui tente de survivre par tous les moyens ». Loin de prôner un soutien au nom d’un hypothétique intérêt national, elle a fustigé le « bricolage artificiel » à partir de partis minoritaires qui conduit à l’illégitimité et, par conséquent, à l’impuissance politique.
Sa solution est radicale et sans appel : le retour aux urnes. Une dissolution de l’Assemblée nationale est la seule voie, selon elle, pour sortir le pays du blocage institutionnel. Poussant l’audace plus loin, elle n’a pas hésité à suggérer la démission d’Emmanuel Macron lui-même. Un acte qui, contrairement aux idées reçues, ne serait pas « antigolliste », rappelant que de Gaulle avait démissionné en 1969 après la simple perte d’un référendum. « Il a fallu l’égo d’un Chirac ou d’un Mitterrand pour préférer la cohabitation plutôt que le respect de l’esprit des institutions », a-t-elle asséné, soulignant que la démission présidentielle serait un signe de respect pour l’esprit de la Ve République.
L’Indécence des Dépenses Publiques : Le Vrai Débat Manqué
Marion Maréchal a ensuite dénoncé avec force l’éternel faux-débat sur les finances publiques. Alors que des rumeurs évoquaient la résurrection de l’ISF (Impôt sur la fortune) pour tenter de renflouer les caisses, elle a exprimé son « désespoir » face à la focalisation sur les recettes. La France n’a pas un problème d’entrée d’argent, a-t-elle insisté, chiffres à l’appui. Le taux de prélèvement obligatoire dans le pays s’établit à un niveau faramineux de 42,8 % du PIB en 2024, ce qui représente une ponction globale de 1501 milliards d’euros, soit environ 22 000 euros par habitant.
Ce n’est pas aux Français, déjà lourdement taxés, de payer la note, ni de céder à ce qu’elle appelle la « gauche de la jalousie et du ressentiment » en s’attaquant aux « ultra-riches » via l’ISF, une mesure qu’elle juge « malhonnête » car risquant de favoriser l’évasion fiscale. Pour l’eurodéputée, l’obsession doit se concentrer sur le seul sujet qui compte vraiment.
Le Vrai Fléau : L’Hémorragie des Dépenses de l’État
Le sujet qui devrait « obséder » la classe politique est tout autre : la réduction drastique des dépenses. L’État central, les collectivités locales et la sécurité sociale affichent des dépenses publiques globales estimées à 1670 milliards d’euros en 2024. Un gouffre financier qui s’explique par « un train de vie de l’État trop important » et une multitude de « millefeuilles administratifs ».
Pour illustrer l’ampleur du problème au sommet, elle a pointé du doigt le coût de la présidence, notant que le budget de l’Élysée est fixé à 122,6 millions d’euros pour l’année 2024, employant 817 agents. Elle a également évoqué les organismes comme l’ADEME, souvent perçus comme des « moyens de replacer les petits copains socialistes qui ont perdu aux élections ».
Mais c’est sur l’audiovisuel public que la colère de Marion Maréchal s’est concentrée avec le plus d’intensité, offrant l’exemple parfait de cette déconnexion et de cette gabegie.
L’Explosion du Scandale à France Télévisions : Des Frais de Réception Indécents
« L’actualité devrait nous interpeller », a lancé l’eurodéputée, avant de livrer des chiffres ahurissants concernant France Télévisions, un groupe pourtant en déficit de 40 millions d’euros. Le diffuseur public s’autoriserait, selon ses dires, pas moins de 126 000 euros par jour de frais de réception ou encore 40 000 euros par jour de frais de taxi. Une indécence financière qui montre l’ampleur de la déconnexion et que l’opinion publique ne peut plus tolérer.
Cependant, le cœur de son attaque est le scandale de détournement de fonds présumé autour de l’affaire dite du Nice Climate Summit et de l’Eurovision Junior 2023, visant directement la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte.
L’affaire, qui a débuté par un signalement au parquet de Nice, porte sur d’importantes subventions municipales (526 000 € pour le sommet écologique, 605 000 € pour l’Eurovision Junior), suscitant des soupçons d’utilisation indue de fonds publics municipaux au profit de prestataires ou d’intervenants ayant des liens personnels avec le couple Estrosi (le maire de Nice, Christian Estrosi).
La Mise en Cause Directe de Delphine Ernotte
Les soupçons se sont rapidement focalisés sur Laura Estrosi, épouse du maire et chroniqueuse sur France 2. Les enquêteurs se sont interrogés sur la pertinence de subventions municipales accordées à des événements coorganisés ou diffusés par des médias partenaires qui l’employaient ou collaboraient avec elle. L’enquête a pris une tournure majeure en avril 2025 avec la perquisition de la mairie de Nice et d’une filiale de France Télévisions.
Le point culminant a été la convocation de Delphine Ernotte elle-même en juin 2025. Les enquêteurs soupçonnent que « certaines conventions passées entre la mairie et France Télévision auraient pu être surévaluées ou comporter des contreparties non déclarées », servant de « canal détourné de financement » ou d’« outil de promotion personnelle ou politique ».
Face à ces faits, l’exigence de Marion Maréchal est nette : « Demandez-lui si elle s’est prête à démissionner, ce qui serait quand même la moindre des choses quand on joue comme ça avec l’argent des Français. » Avant de demander davantage d’efforts aux citoyens, c’est par cette exemplarité que l’État devrait commencer. La présidente d’une institution publique au cœur d’une affaire de financement douteux doit, selon elle, assumer ses responsabilités en quittant ses fonctions.
L’Ultime Combat : Démographie, Immigration et l’Alerte sur le « Grand Remplacement »

Après la crise des dépenses et de la corruption, Marion Maréchal a abordé le sujet de la crise civilisationnelle et démographique, confirmant avoir signé la pétition sur l’immigration de Philippe de Villiers. Elle voit dans cette initiative le révélateur d’un large consensus populaire, attesté par les sondages : « 75 % des Français sont favorables à l’instauration de quotas d’immigration par pays » et « 79 % souhaitent un durcissement de la politique migratoire ». Loin d’être une « surenchère populiste », elle y voit le point de départ d’une « coalition des droites » nécessaire, réunissant les signatures d’Éric Zemmour, de personnalités du RN et de Laurent Wauquiez.
Dans un passage qui a suscité une vive attention, elle a lancé un appel aux jeunes pour qu’ils « aient des enfants », expliquant que c’était le premier devoir pour lutter contre le « grand remplacement ». L’argument est double : d’une part, il s’agit d’une nécessité économique pour apporter une réponse durable au système des retraites, d’autre part, il s’agit de la perpétuation d’un « mode de vie, des mœurs, des traditions, une langue ».
L’eurodéputée a été d’une clarté totale sur ses craintes : si la tendance actuelle se maintient (avec 500 000 entrées légales par an, plus l’immigration clandestine, pour l’essentiel familiale), et si les Français deviennent « de plus en plus minoritaires sur le plan statistique » face à des arrivées massives de personnes ne s’assimilant pas et portant une culture extra-européenne ou musulmane, la France changera de visage. Elle a conclu sans ambages : « Oui, je fais partie de ceux aujourd’hui qui se battent pour que demain l’islam ne soit pas majoritaire en France », craignant les conséquences directes sur le Code civil, le rapport hommes-femmes, et l’avancée potentielle de la charia. Elle a rappelé les chiffres de la fécondité européenne, autour de 1,4 enfant par femme, contrastant avec les 4,2 enfants par femme du continent africain, justifiant son alerte sur le changement démographique.
Une Solution Radicale pour l’Ordre et les Finances
Interrogée sur l’immigration dans les hôpitaux, elle a refusé de tomber dans le piège de l’argument pratique, rappelant que la France faisait fonctionner ses institutions « avant l’immigration de masse ». Elle a également noté que l’argument consistant à pallier les métiers en tension par l’immigration s’avère inefficace, puisque après quarante ans, ces métiers sont toujours en tension, sans compter un taux d’inactivité plus important parmi les populations étrangères.
Pour mettre fin au désordre, elle a exposé une politique d’expulsion claire et catégorique. Les personnes qui doivent être renvoyées dans leur pays d’origine sont, selon Marion Maréchal :
Celles qui ont été condamnées (délinquants et criminels).
Celles qui sont entrées clandestinement.
Celles qui se trouvent en situation de chômage longue durée, car, dit-elle, « vous n’avez pas durablement à peser » sur la collectivité en tant qu’étranger.
La prestation de Marion Maréchal n’est pas passée inaperçue. À travers le démantèlement du système de dépenses, la mise en lumière des scandales de l’audiovisuel public et son appel alarmiste sur la démographie, elle a confirmé sa position d’opposante frontale au macronisme. Son message est unifié : face à une crise politique, financière et civilisationnelle, seuls des choix radicaux, allant de la démission des responsables corrompus à un changement total de cap migratoire et démographique, pourront sauver la France de l’impasse actuelle.
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