Elle voulait briller plus que tous ses collègues… mais ce qu’elle a fait dépasse l’imagination.
La ville de Quintola ne dormait jamais vraiment. Le jour, c’était un mélange de claxons, de vendeurs ambulants et de gratciel dont les vitres reflétait le soleil brûlant. La nuit, elle brillait d’enseignes lumineuses et de barres animées. Au milieu de cette agitation vivait Dorka Embala, une femme de 30 ans comptable dans une grande société de transport.
Dorka n’avait rien d’une femme ordinaire. sa silhouette sculptée, ses perruques importées et ses tenues toujours impeccables faisaient d’elle une véritable apparition à chaque fois qu’elle entrait dans une pièce. Elle avançait toujours avec la tête haute, les épaules parfaites, le parfum délicat laissant une trace derrière elle comme un rappel silencieux de son passage.

Mais ce que personne ne savait ou ne voulait voir, c’est que tout cela n’était que façade. Dorka n’était pas née dans le luxe, loin de là. Elle venait d’un quartier modeste où enfin elle regardait les femmes ais passer avec leurs voitures rutilantes, leurs bijoux et leurs sacsignéers. Elle se répétait toujours un jour, moi aussi je brillerai.
Je ne resterai pas invisible. En grandissant, cette simple ambition se transforma en obsession. Elle ne voulait plus seulement vivre décemment. Elle voulait être admirée, enviée, respectée, même si cela signifiait vivre au-dessus de ses moyens. Dans l’entreprise, les collègues parlaient souvent d’elle à voix basse.
Regarde Dorka, on dirait une épouse de ministre. Elle change de perruque comme on change de chemise. Elle doit avoir un homme puissant quelque part. Dorka souriait intérieurement quand elle les entendait. Cela nourrissait son ego. Elle aimait être au centre des regards, être celle dont on parle, celle qu’on en vit.
Mais ce que personne ne savait, c’est que ses cartes de crédit étaient bloquées, que sa banque lui envoyait des messages d’alerte, que le propriétaire de son studio menaçait de la mettre dehors s’il ne recevait pas bientôt un paiement. Un lundi matin, alors que Dorka faisait son entrée théâtrale dans le bureau comme à son habitude, un murmure étrange parcourut la salle.
Toutes les têtes étaient tournées vers une nouvelle employée. Nadine, une jeune femme élégante mais dans une simplicité qui dérangeait. Cheveux naturels impeccables, bijoux discret mais visiblement authentiques. Sac de marque véritable, pas une imitation. Quand Nadine sourit timidement pour se présenter, Dorka a senti une sensation étrange dans sa poitrine, de l’envie et une peur soure.
Car Nadine, contrairement à elle, était naturellement éblouissante, sans artifice, sans exagération et surtout tout chez elle était réelle. À l’heure du déjeuner, les collègues étaient déjà en admiration. Elle a étudié en Afrique du Sud. Son père possède des magasins à Lubumbashi. Elle parle anglais comme une native. Dorka frança les sourcis.
Ce n’était pas acceptable. C’était elle qui devait être la star du bureau. Ce soir-là, Dorka retrouva Alissa, sa meilleure amie, pour un repas dans un petit restaurant local. Alissa, infirmière, avait toujours été la voix de la raison. Dorka, j’ai entendu parler de la nouvelle et j’ai peur que tu entres encore dans une compétition inutile.
Alissa, je t’en supplie, tu ne vas pas commencer toi aussi. Tu vis à crédit, tu te fatigues, tu t’épuisses pour impressionner des gens qui ne payeront jamais ta dette. Tu veux rivaliser avec une fille qui a réellement les moyens ? Pourquoi ? Dorka serra ses lèvres. Parce que l’image, c’est tout. Dans cette ville, si tu n’es pas vu comme quelqu’un d’important, tu n’es rien.
Tu te trompes, Dorka, tu joues un rôle dangereux. Elle ne se parlèrent plus pendant quelques minutes. Une tension froide flotta entre elles. En rentrant chez elle ce soir-là, Dorka consulta son téléphone. Un message de sa banque clignotait. Alerte, votre compte est en déficit. Veuillez régulariser immédiatement. Elle inspira profondément, paniquée, puis son regard tomba sur une publicité en bas de l’écran.
Grand galat de prestige hôtel Mirabella dress code élégance suprême et juste en dessous votre entreprise est partenaire. Présence recommandée. Dorka a senti son cœur s’accélérer. Un gala, une soirée de luxe, des photos, des caméras, des collègues et surtout Nadine. Sans s’en rendre compte, Dorka venait d’entrer dans un engrenage dont elle ne pourrait plus sortir.
Les jours qui suivirent l’annonce du gala furent pour Dorka un mélange étrange d’excitation et d’angoisse. Chaque collègue en parlait comme de l’événement le plus attendu du mois. Les affiches élégantes placardées dans les couloirs de l’entreprise annonçaient une soirée grandiose. Hôtel Mirabella, salon de cristal, vendredi 20h.
Costume surmesure, robe de gala, lumière scintillante. Un vrai monde de prestige. Le monde où Dorka rêvait d’appartenir. Pourtant, elle ne pouvait ignorer ses finances catastrophiques. Son compte bancaire était en déficit, ses cartes refusées, ses créanciers impatients et son propriétaire lui rappelait chaque semaine le retard du loyer.
Mais dans sa tête, une seule idée prenait toute la place. Je ne peux pas laisser Nadine me voler la vedette. Déterminé, Dorka se rendit dans un salon de stylisme au de gamme du centre-ville. Les décorations dorées, les lumières tamisées et l’odeur du parfum coûte lui donnait l’impression d’être enfin dans son élément. Elle demanda une robe unique, luxueuse, inoubliable.
Le styliste, un homme vif au geste délicat, lui présenta une robe longue dorée incrustée de cristaux. Une tenue magnifique, mais accompagnée d’un prix qui fit battre le cœur de Dorka plus vite que de raison. 600000 francs. Dorka senti le sol se dérober. Je je peux payer en plusieurs fois seulement avec un accomte francs madame 300000 francs un montant qu’elle n’avait pas qu’elle n’aurait probablement même pas dans les mois à venir.
Elle sortit du salon avec un sourire figé mais le cœur en miette. Pourtant au lieu d’abandonner, la pression intérieure augmenta encore plus. Le lendemain au bureau, Nadine arriva vêtu d’une robe simple mais tellement chic que tout le monde la complimenta. Son parfum subtil embaumma la pièce. Ses bijoux affinés brillaient discrètement.
Dorka la regarda de loin, le visage crispé. Nadine ne semblait même pas consciente de cette rivalité silencieuse. Elle salua Dorka avec un sourire sincère. Tu vas au gala vendredi ? Tu seras sûrement magnifique. Cette gentillesse inattendue fit bouillir Dorca davantage. Elle y vit une provocation, un défi.
Elle sait que je ne peux pas rivaliser avec elle. Elle joue avec moi. La rage masquée sous un sourire éclatant. Dorka répondit : “Oh, moi bien sûr. J’ai déjà prévu une tenue exceptionnelle. Mensonge. Mensonge dangereux. car maintenant elle devait tenir sa promesse. Ce même jour, un événement malheureux mais décisif se produisit.
La directrice financière, Madame Kanza, une femme stricte mais respectée, quitta son bureau précipitamment après avoir reçu un appel urgent concernant sa fille malade. Dans la précipitation, elle oublia de verrouiller son tiroir. Dorka, qui passait dans le couloir juste après, remarqua la porte entrouverte. Elle jeta un coup d’œil rapide.
Et aperçu, posé dans un tiroir ouvert, une enveloppe brune épaisse marquée fond interne dépenses opérationnelles. Son cœur cogna violemment contre sa poitrine. Elle fit un pas, puis un autre. Une voix en elle murmura. Tu vas tout gâcher. Une autre répliqua. C’est juste un prêt. Tu remettras l’argent après le gala.
Personne ne saura. Ses mains tremblaient. La pièce semblait tourner autour d’elle. Elle entendit des pas au loin et dans un geste rapide, presque incontrôlé, elle attrapa 300000 francs dans l’enveloppe. Elle referma le tiroir, sortie du bureau en gardant un air neutre. Mais sous sa robe, son corps tremblait d’un mélange d’euphorie et de panique.
Elle venait de franchir une ligne dangereuse. Une ligne qu’on ne franchit qu’une fois et qui change tout. Avec l’argent volé, Dorka retourna au salon de stylisme, paya la compte et fit ajuster la robe de ses rêves. Elle acheta une nouvelle perruque, un parfum coûteux, des talons italiens brillants. Le soir du gala arriva enfin.
Dorka se regarda dans le miroir et eut un frisson d’orgueil. Elle était sublime, magnifique, impressionnante. Elle murmura. Maintenant, Nadine, regarde-moi briller. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que la soirée qui s’annonçait glorieuse allait devenir le début de sa destruction. La nuit du gala arriva enfin. L’hôtel Mirabella saintillait comme un palais moderne.
Lustres immenses, escaliers en marbre, hautesses élégantes accueillant les invités, flash des photographes qui crépitaient à l’entrée. Tout dans l’air respirait le luxe, exactement le monde dans lequel Dorka rêvait de briller. Lorsqu’elle descendit de sa motoxi, ses talons claquèrent au sol avec une assurance calculée. La robe dorée épousait sa silhouette à la perfection.
Sa perruque flambant neuf tombait délicatement sur ses épaules et le parfum qu’elle avait payé si cher lui donna l’impression d’être une reine. Dès qu’elle franchit les portes de l’hôtel, les têtes se tournèrent. Quelques collègues restèrent même boucheb. Waouh ! Dorka, elle est magnifique. On dirait une star de cinéma. Cette admiration, elle l’absorba comme une bouffée d’air frais.
Elle flottait presque puis elle aperçu Nadine simple, classe mais éclipsée. Ce soir, c’était elle Dorka qui brillerait. Nadine lui sourit gentiment. Tu es splendide ce soir, un compliment sincère. Dorka répondit d’un sourire forcé. Ce soir, la victoire était à elle. La soirée se déroulait parfaitement. Les gens venaient lui parler.
la complimenté, lui demander qui était son styliste. Dorka savourait chaque seconde jusqu’à ce qu’elle remarque quelque chose d’étrange. Des regards furtifs entre certains collègues, des chuchotements qu’elle ne comprenait pas. Elle essaya d’ignorer ses signes, mais quelque chose se brisait doucement dans l’air, comme si la lumière autour d’elle commençait à trembler.
Puis vers 21h30, un vigile s’approcha discrètement de la direction financière qui venait d’arriver après avoir accompagné sa fille malade à l’hôpital. Madame Kans affronça les sourcis en recevant l’information du vigile. Un frisson parcouru DOCA sans qu’elle comprenne encore pourquoi. À 22h, le micro du Digi fut éteint.
La musique s’arrêta brutalement. Madame Kans prit la parole. Mesdames et messieurs, excusez-moi. Je dois demander à toute l’équipe comptable de rester après la soirée. Il y a un problème urgent dans les fonds internes. Des murmures éclatèrent dans la salle. Dorka sentit ses poumons se contracter. Madame Kanza continua d’une voix froide.
Nous avons vérifié les caméras du service. Une enveloppe contenant 300000 francs a été déplacée hier. Nous devons identifier la personne responsable. Le cœur de Dorka cessa presque de battre. Le sang se retira de son visage. Elle compit. Ils avaient vérifié les caméras. Il savaient. Alors que les invités commençaient à partir, deux agents de sécurité se dirigèrent discrètement vers Dorka.
Mademoiselle Dorka Embala, veuillez nous suivre s’il vous plaît. Elle tenta de garder contenance mais ses jambes tremblaient. Toute la soirée parfaite, tout le glamour soigneusement construit s’effondra d’un seul coup comme une façade de carton. Autour d’elle, les regards changèrent. Admiration, suspicion, émerveillement d’égût, respect, murmure blessant.
Je savais que c’était trop beau pour être vrai. Elle vit au-dessus de ses moyens. Une voleuse en robe de luxe. Chaque mot frappait d’Orka comme une gifle. Dans une petite salle isolée de l’hôtel, madame Kanza posa devant elle l’enveloppe vide. Dorka, les caméras t’ont filmé entrant dans mon bureau hier. Justifie-toi. Dorka ouvrit la bouche mais aucun s’en en sortit.
Les larmes commencèrent à couler. Elle tenta de balbucer quelque chose sans succès. Tu es suspendu. L’entreprise portera plainte. Prépare-toi aux conséquences. Cette phrase tomba comme une sentence de mort. Quand Dorka rentra chez elle vers minuit, sa robe était froissée, son maquillage coulé. Elle marcha jusqu’à son studio sous la pluie, seule, trempée, humiliée.
À sa porte, elle trouva son propriétaire, les bras croisés. Demain matin, si tu n’as pas payé au moins un mois de loyer, tu quittes les lieux. Le monde s’effondrait autour d’elle. Elle entra dans son studio, se laissa tomber au sol au milieu de ses perruques, sacs et vêtements, ses objets qu’il avait détruite.
À 1 heure du matin, Alissa arriva en courant après avoir appris ce qui s’était passé. Elle trouva Dorka effondré, murmurant : “J’ai tout perdu, Alissa ! Pour une robe, pour une soirée, pour de l’apparence.” Alissa l’a pris dans ses bras. “Je t’avais prévenu, Dorka, mais ce n’est pas la fin. C’est ce que tu feras maintenant qui définira ta vie.
Dorka pleura encore, réalisant enfin que sa quête de briller l’avait plongé dans la nuit la plus sombre de son existence. La vanité avait un prix et elle venait de le payer en entier. Les semaines qui suivirent furent parmi les plus difficiles de la vie de Dorka. Elle dut affronter les enquêtes, la honte, les regards accusateurs de ses anciens collègues et l’inévitable jugement du monde extérieur.
Elle perdit son emploi, son logement et surtout l’image qu’elle avait mis des années à fabriquer. Mais paradoxalement, c’est dans ce moment de ruine totale qu’elle recommença à respirer réellement. Alissa resta à ses côtés, l’aidant à se relever petit à petit. Dorka trouva un petit travail temporaire, chercha un logement modeste et commença à rembourser ce qu’elle devait.

Elle découvrit enfin ce qu’elle n’avait jamais pris le temps de voir. La paix intérieure n’a rien à voir avec les vêtements, ni les perruques, ni les parfums. Elle apprend à être vrai, simple, honnête. Un soir, assise devant un miroir sans maquillage, Dorka murmura : “J’ai passé ma vie à vouloir briller aux yeux des autres alors que je ne me regardais même plus moi-même.
” Ce jour-là, elle choisit d’être authentique. Moral de l’histoire, la lumière n’est pas dans les apparences mais dans la vérité. Tu peux acheter une image mais jamais le respect. Et ce qui est construit sur le mensonge finit toujours par s’écrouler. Briller n’a de valeur que lorsque la lumière vient de l’intérieur.
Voilà les amis, c’était l’histoire incroyable et tragique de Dorka, une femme qui a cherché à briller plus que tout le monde mais qui a fini par s’effondrer sous le poids de ses propres illusions. Retenez bien cette leçon. Dans la vie, ce que tu montres n’est rien. Ce que tu eses réellement, c’est ça qui compte.
Si cette histoire vous a touché, abonnez-vous, laissez un j’aime et surtout dites-moi en commentaire. Est-ce que vous pensez que Dorka mérite une seconde chance ? On se retrouve dans une prochaine histoire encore plus intense. Prenez soin de vous et n’oubliez jamais la vraie richesse, c’est d’être soi-même. À très bientôt pour une nouvelle histoire incroyable.
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