Elle couchait avec les hommes mariés de l’église…mais son châtiment a choqué l’église entière !
À 25 ans, Amina se tenait devant son miroir, ajustant soigneusement son foulard émeraude qui reposait élégamment sur sa chevelure. Dans sa robe en dentelle dorée, son allure respirait la maturité et la confiance. Sa chambre reflétait son organisation, un lit parfaitement fait, des étagères ordonnées, un vase de fleurs fraîches, tout témoignait de sa discipline.
Amina chantonnait un cantique de sa voix mélodieuse, celle qui captivait les fidèles depuis son enfance. Depuis ses 7 ans, elle faisait partie de la chorale de son église assemblée de la grâce et sa nomination comme chef de cœur 3 ans plus tôt n’avait surpris personne. Le dimanche matin, Anina suivait un rituel bien rodé.
Elle se réveillait tôt, s’agenouillait près de son lit et priait avec ferveur, demandant force et guidance pour la journée. Ensuite, elle préparait un petit déjeuner simple, du thé, du pain beurré et une tranche de mangue fraîche. Elle aimait ce moment de calme avant de partir pour l’église assemblée de la grâce où elle dirigeait la chorale.

Ce jour-là, elle enfila sa robe en dentelle dorée, ajusta foulard émeraude et vérifia son reflet dans le miroir. Elle sourit satisfaite de son allure élégante et soignée qui reflétait sa discipline intérieure. En quittant son petit appartement, son téléphone vibra. C’était Fati, sa meilleure amie, toujours pleine d’énergie.
“Alors, tu portes quoi aujourd’hui ?” “Tu vas encore faire tourner toutes les têtes ?” lança Fati avec un rire taquin. Anina répondit en riant, un foulard émeraud et marotes doré. Tu me connais toujours fidèle à mon style. Fati plaisanta encore, mais Amina sentit une chaleur dans son cœur. L’amitié de Fatti était un pilier dans sa vie.
Elle rangea son téléphone, prit son sac et marcha vers l’église à 10 minutes de chez elle. À son arrivée, l’église bourdonnait déjà. Les fidèles s’installaient, les enfants couraient entre les bancs et les anciens discutaient à voix basse. Anina monta sur l’estrade, salua les choristes et donna le ton : “Nous commençons avec grand état fidélité.
” Sa voix puissante et mélodieuse emplit la salle. Les choristes suivirent leur voix s’unissant en une harmonie parfaite. Les fidèles transportés fermaient les yeux ou levaient les mains, emporté par l’émotion. Amina dirigeait avec assurance son corps suivant le rythme, ses gestes précis guidant chaque note. Mais dans l’assemblée, un regard pesait sur elle.
Frère Thomas, un homme d’une quarantaine d’années assis à côté de sa femme, ne la quittait pas des yeux. Son expression n’était pas celle d’un fidèle admirant le chant. Il y avait quelque chose de plus intense, presque troublant. Anina, concentré ne le remarqua pas tout de suite. Elle continuait de diriger sa voix portant chaque parole avec une conviction qui captivait l’église.
À la fin du champ, les applaudissements éclatèrent et elle sourit, heureuse d’avoir touché les cœurs. Après le culte, alors qu’elle rangeait les partitions, Thomas s’approcha. Sœur Amina, vous avez encore brillé aujourd’hui ? Dit-il, un sourire charmeur aux lèvres. Amina, Poly le remercia mais son on l’ mis mal à l’aise.
Il ajouta : “J’aimerais qu’on échange plus souvent pour disons une fraternité spirituelle. Puis-je avoir votre numéro ?” Amina hésita. Elle ne voulait pas sembler impolie, mais quelque chose dans son insistance la dérangeait. Pourtant, par courtoisie, elle accepta et lui donna son numéro. Thomas s’éloigna, satisfait, tandis qu’Amina se demandait si elle avait bien fait.
Ce soir-là, son téléphone sonna. C’était Thomas. La conversation commença de manière anodine. Il parla du culte, de la chorale, de sa foi. Mais rapidement, ces mots devrent plus personnels. Vous savez, Amina, vous êtes différente. Vous avez une lumière qui attire. Amina, gêné, tenta de ramener la discussion sur un terrain neutre.
Mais Thomas insista : “Je ne fais rien de mal, juste une discussion entre frères et sœurs en Christ.” Non. Anina raccrocha troublé. Elle se demanda si elle avait mal interprété ses intentions, mais au fond, un léger malaise s’installait comme une ombre sur son dimanche parfait. Un soir, il alla plus loin. “Je pense à vous tout le temps.
Vous me comprenez mieux que ma femme.” Ses mots choquèrent Amina. Elle tenta de poser des limites. Frère Thomas, restons sur des sujets spirituels, s’il vous plaît. Mais il insistait, ignorant ses demandes. Vous savez que je ne veux que votre bien, répondait-il, sa voix mielleuse. Puis les cadeaux commencèrent. Un jour, il lui offrit un flacon de parfum coûteux, prétendant que c’était un petit geste d’amitié.
Anina, gêné, voulut refuser, mais il insista : “Ça vient du cœur, ne me vexais pas. Quelques jours plus tard, ce fut un sac de luxe, puis une paire de boucles d’oreilles en or. Anina, troublée, rangeait les cadeaux dans un tiroir, se disant qu’elle les rendrait. Mais une partie d’elle se sentait flattée.
Personne ne lui avait jamais offert de telles attentions. Un soir, Thomas lui tendit une enveloppe. En l’ouvrant, Anina découvrit des billets, une somme importante. “C’est pour toi, pour t’aider ?” dit-il. Anina protesta. Je ne peux pas accepter ça. Mais Thomas balay ses objections considère ça comme une bénédiction. Dieu veut qu’on partage.
Amina, confuse, garde à l’enveloppe, mais une alarme raisonnée en elle. Elle savait que ce n’était pas innocent. Les appels de Thomas devar quotidien. Il lui parlait de sa vie, de ses frustrations, de son mariage. “Ma femme ne me comprend pas, mais toi Amina, tu es spéciale”, répétait-il. Amina ? partagé entre malaise et curiosité, écoutait.
Elle se surprenait à apprécier son attention, même si elle savait que c’était dangereux. Elle priait pour avoir la force de couper les ponts, mais chaque fois qu’elle voulait arrêter, Thomas trouvait les mots pour la retenir. Dans l’église, les regards changeaient. Certains fidèles murmuraient en la voyant discuter avec Thomas après le culte.
Les épouses, en particulier semblaient méfiantes. Amina sentait leur froideur, mais elle se disait qu’elle n’avait rien fait de mal. Pourtant, une voix intérieure lui chuchotait qu’elle jouait avec le feu. Elle repensait à son rôle de chef de cœur, à la confiance que l’église lui avait donné.
Mais l’attention de Thomas, ses cadeaux, son insistance lui donnait un sentiment de pouvoir qu’elle n’avait jamais ressenti. Un jour, alors qu’elle rangeait les cadeaux dans son tiroir, elle se regarda dans le miroir. Son foulard émeraude semblait moins éclatant, son sourire moins sûr. Elle murmura une prière, demandant à Dieu de la guider, mais au fond, elle savait qu’elle s’éloignait du chemin qu’elle avait toujours suivi.
Thomas avec ses mots et ses gestes l’entraînit dans une direction qu’elle n’aurait jamais imaginé. Et pourtant une partie d’elle voulait voir Josecou cela irait. Amina savait que sa relation avec Thomas était dangereuse mais une partie d’elle se sentait valorisée par son attention. Les cadeaux, les compliments, les appels constants lui donnaient un sentiment de puissance.
Elle se surprenait à attendre ses messages, à sourire lorsqu’il la flattait. Pourtant, chaque fois qu’elle priait, une voix intérieure l’avertissait. Elle jouait un jeu risqué, mais elle se rassurait en se disant “Je ne fais rien de mal, c’est lui qui insiste.” Peu à peu, elle céda. Les appels se transformèrent en déjeuner secrets dans des restaurants discrets, loin de l’église.
Thomas, charmeur, lui parlait de ses rêves, de sa solitude et Amina l’écoutait, fasciné malgré elle. Ces moments, bien que cachés lui donnaient une montée d’adrénaline. Elle se sentait vivante, désirée, différente de la chef de cœur sage et discipliné que tout le monde connaissait. Mais Thomas n’était pas le seul à s’intéresser à elle.

Les hommes de l’église, remarquant sa proximité avec lui, commencèrent à la courtiser. Frère Idriss, un diacre respecté, lui faisait des compliments appuyés après chaque culte. Sœur Amina, votre voix est un don divin, tout comme votre beauté, disait-il, un sourire ambigu aux lèvres. Amina, flatté répondait avec un rire léger, sans encourager ni repousser.
Puis il y eu frère Jacques, un veuve d’une cinquantaine d’années qui allait plus loin. Un soir, après une répétition, il lui prit la main et murmura : “Amina, je pourrais te chérir comme tu le mérites.” Choqué mais intrigué, elle se dégagea doucement sans le froisser. Ses attentions multiples la troublaient. Elle se regardait dans le miroir, ajustant son foulard et se demandait pourquoi tant d’hommes la voyait ainsi.
Une pensée nouvelle germa en elle. Ils choisissent de m’approcher. Je n’impose rien. Cette idée la grisait. Elle se sentait puissante comme si elle contrôlait ses jeux d’admiration. Elle se surprenait à jouer le jeu, à sourire plus longtemps, à laisser ses gestes être plus chaleureux. Elle se disait qu’elle restait fidèle à ses valeurs, qu’elle ne faisait que répondre à leurs avances.
Pourtant, les murmures grandissaient dans l’église. Les épouses des hommes concernés la regardaient avec méfiance. Lors des réunions de femmes, elles sentaient leur regard froid, leur silence lourd. Fati, son ami, tenta de la mettre en garde. Amina, fais attention. Les gens parlent. Ils disent que tu es trop proche de Thomas et d’autres.
Amina balaya l’avertissement d’un rire. Les gens parlent toujours Fati, je ne fais rien de mal. Mais au fond, elle savait que la vérité était plus complexe. Elle continuait, jonglant entre ses rendez-vous secrets avec Thomas et les attentions d’Idrce et Jacques. Elle se persuadait qu’elle maîtrisait la situation, qu’elle pouvait arrêter quand elle voulait.
Mais chaque compliment, chaque regard admiratif renforçait son sentiment de pouvoir. Elle se sentait comme une reine, entourée d’hommes prêts à tout pour elle. Pourtant, une petite voix lui rappelait ses responsabilités, son rôle de chef de cœur, l’exemple qu’elle devait donner. Un soir, seule chez elle, elle ouvrit le tiroir où elle gardait les cadeaux de Thomas, le parfum, le sac, les bijoux.
Elle toucha l’enveloppe de billets, hésitant à la rendre. Elle murmura une prière, demandant à Dieu de l’éclairer, mais au lieu de chercher la lumière, elle referma le tiroir et se regarda dans le miroir. Son foulard émeraude brillait toujours, mais ses yeux trahissaient une lueur nouvelle, celle d’une femme qui s’éloignait de celle qu’elle avait toujours été.
Les rumeurs s’intensifaient dans l’église assemblée de la grâce. Les murmures circulaient comme une brise persistante. Amina voit Thomas et même Jacques. Les épouses des hommes concernés devenaient méfiantes, leurs regards assérrés suivant Amina à chaque culte. Lors des réunions de femmes, les conversations s’arrêtaient lorsqu’elle entrait.
Elles sentaient leur hostilité, mais elle continuait à sourire, à diriger la chorale, à jouer son rôle de chef exemplaire. Pourtant, au fond, elle savait que sa réputation changeait. Anina jonglait avec ses relations secrètes. Les déjeuners avec Thomas se poursuivaient et ses compliments la faisaient toujours rougir. Frère Idriss le diacre trouvait des excuses pour lui parler après les répétitions, lui offrant parfois des fleurs.
Frère Jacques, le veuf devenait de plus en plus audacieux, lui envoyant des messages tard le soir. Anina, au lieu de reculer, se laissait porter par cette attention. Elle se répétait “Je ne fais rien de mal, ils viennent vers moi.” Cette pensée la rassurait, mais une part d’elle savait qu’elle jouait un jeu dangereux.
Puis un nouvel élément bouleversa l’équilibre. André, un nouveau fidèle, arriva à l’église avec sa femme Nadia et leur petite fille. Jeune, charismatique, il avait une présence qui attirait les regards. Talentueux musicien, il rejoignait rapidement la chorale où sa voix grave et son aisance impressionnèrent tout le monde.
Amina, intrigué remarqua son charme discret et sa gentillesse naturelle. Contrairement aux autres hommes, André restait poli, presque distant, ne cherchant jamais à flatter autre mesure. Anina, fasciné, multiplia les occasions de lui parler. Après les répétitions, elle lui posait des questions sur sa vie, son travail, sa famille.
“Tu es vraiment un atout pour la chorale, André ?” disait-elle avec un sourire charmeur. André répondait toujours avec courtoisie, mentionnant souvent sa femme Nadia ou sa fille. Mais Amina, habituée à l’admiration des autres hommes, voyait sa réserve comme un défi. Elle voulait capter son attention, briser sa distance. Un soir, après une répétition, elle lui proposa de le raccompagner chez lui, prétextant qu’il était tard.
André refusa poliment. Merci Amina, mais Nadia m’attend à la maison. Déu déterminé, Amina insista les jours suivants, trouvant des excuses pour rester près de lui. Elle ajustait son foulard avec soin, porter des robes plus ajustées, espérant attirer son regard. Mais André restait fidèle, ses réponses toujours marquées par une politesse distante. Les rumeurs s’amplifièrent.
Les épouses, déjà suspicieuses, remarquaient ses attentions envers André. Une femme murmura à une autre. Elle ne s’arrête jamais. Maintenant, c’est le nouveau qu’elle veut. Amina, consciente des chuchotements, haussait les épaules. Elle se disait qu’elle ne faisait rien de mal, qu’elle testait simplement les limites de son charme.
Mais au fond, elle sentait une tension montée comme si les taux se resserraient. Un soir, seule chez elle, elle repensa à André. Pourquoi résistait-il ? Elle n’était pas habituée à être ignorée. Elle ouvrit son tiroir, regarda les cadeaux de Thomas et une idée germa. Si André ne venait pas à elle, elle trouverait un moyen de la tirer.
Elle murmura une prière, mais cette fois elle ne demandait pas la guidance. Elle voulait du pouvoir, celui de contrôler, de séduire. Son foulard émeraude posé sur la table semblait briller moins fort. Amina se regardait dans le miroir et dans ses yeux, une lueur d’audace remplaçait la douceur d’autrefois. Anina voyait le refus d’André comme un défi.
Habitué à l’admiration des hommes, elle ne supportait pas son indifférence polie. Elle redoublait d’efforts pour attirer son attention, ajustant ses gestes, ses sourires, ses tenues. Lors des répétitions de la chorale, elle s’arrangeait pour se tenir près de lui, lui lançant des regards charmeurs. “André, ta voix ajoute tellement à notre harmonie”, disait-elle, sa main efflorant son bras.
André répondait toujours avec un sourire courtois, mentionnant sa femme Nadia ou sa fille, mais Amina ne se décourageait pas. Un soir, après une répétition tardive, elle tenta une approche plus directe. La salle était presque vide, les autres choristes partis. Amina s’approcha d’André qui rangeait ses partitions.
Elle posa sa main sur son torse, un sourire suggestif aux lèvres et murmura : “André, tu ne trouves pas qu’on pourrait être plus proche, toi et moi ?” Choqué, André recula d’un pas. Que Dieu te réprimande, s’écria-t-il, la voix tremblante de colère. Je suis marié, Amina. Respecte-toi et respecte ma famille.
Il ramassa ses affaires et partit sans se retourner. Amina, humiliée, sentit une chaleur montée à ses joues. Elle n’avait jamais été repoussée aussi fermement. En rentrant chez elle, elle tenta de se calmer, se répétant que ce n’était rien qu’André exagérait, mais au fond, elle bouillonnait. Comment osait-il la rejeter ainsi ? Elle, qui captivait tant se sentait soudain vulnérable, presque insignifiante.
Elle passa la nuit à ressasser, aussi entront et colère. Pendant ce temps, André, bouleversé, rentra chez lui et raconta tout à Nadia. Il lui décrivit la scène, insistant sur son refus clair. Nadia, furieuse, ne pouvait tolérer qu’Amina s’emprene à son mari. “Elle va trop loin”, s’exclama. Elle manipule les hommes, détruit les familles et maintenant elle ose s’approcher de toi.
André tenta de la calmer mais Nadia était décidée. Ça ne peut pas continuer. Il faut que tout le monde sache qui elle est vraiment. Nadia passa les jours suivants à réfléchir. Elle parla à d’autres épouses qui confirmèrent leur propre soupçon sur Amina. Elle a fait pareil avec mon mari, confia l’une et avec le mien, ajouta une autre.
Les rumeurs déjà présentes prirent de l’ampleur. Les femmes se sentaient trahies, non seulement par Amina, mais par l’église qui semblait fermer les yeux. Nadia décida qu’une confrontation publique était nécessaire pour mettre fin aux agissements d’Amina. Elle attendit le dimanche suivant. Après le culte, alors que les fidèles discutaient dehors, Nadia s’avança vers Amina qui ajustait son foulard émeraude.
D’une voix forte, elle lança : “Laisse mon mari tranquille, arrête de détruire les familles de cette église.” Les mots raisonnèrent, attirant l’attention. Les fidèles se rassemblèrent curieux. Amina, prise de cours, tant de nier, de quoi parles-tu ? “Je n’ai rien fait.” Mais d’autres femmes s’avancèrent. Elle a essayé avec mon mari aussi, cria l’une. Et le mien ajouta une autre.
La foule murmurait, certains lançant des accusations. Jésabelle détruit ménage. Anina, acculé sentit la panique monter. Le pasteur Samuel, alerté par le tumulte, intervint. “Calmez-vous, frères et sœurs”, ordonna-t-il. Puis se tournant vers Anina, il ajouta : “Sœur Anina, nous parlerons de cela en privé.
” Humilié, Anina suivit le pasteur, son foulard semblant soudain lourd sur ses épaules. Dans son cœur, la honte se mêlait à une colère grandissante. Dans le bureau du pasteur, Anina tenta de se défendre. “Pasteur, je n’ai rien fait de mal. Ce sont eux qui viennent vers moi”, dit-elle, la voix tremblante. Samuel, un homme d’une cinquantaine d’années au regard sévère, l’écouta en silence.
Puis il répondit : “Amina, tu es un leader dans cette église. Ton rôle est d’inspirer, pas de semer la discorde. Même si tu n’as pas cherché ces attentions, tu les as encouragé. Ta réputation est entachée et cela affecte l’église entière.” Amina, furieuse, sentit les larmes monter. Ce n’est pas juste. Pourquoi suis-je la seule accusée ? Samuel soupira.
Parce que tu es un exemple, Amina. Les gens te regardent. Tu devras comparaître devant le comité disciplinaire pour clarifier tout cela. Ces mots la frappèrent comme une gifle. Le comité disciplinaire. Elle, la chef de cœur respectée, jugeait comme une fauteuse. L’humiliation était insupportable. En quittant le bureau, Anina sentit une colère nouvelle naître en elle.
Elle n’acceptait pas d’être la seule blâmée. Thomas, Idriss Jacques, ils l’avaient tous approché et maintenant elle portait seule le poids des accusations. Dans son esprit, une idée germa. Si l’église voulait la juger, elle ne se laisserait pas faire. Elle trouverait un moyen de reprendre le contrôle, de se venger de ceux qui l’avaient humilié.
Son foulard émeraude posé sur ses épaules semblait maintenant un symbole de défi, non plus de foi. Dans son appartement, elle s’effondra sur une chaise, repensant à la confrontation publique, aux accusations de Nadia, au cri de Jésabelle. Elle revoyait les visages des épouses, leur mépris et celui du pasteur si sévère.
“Il me jugent tous”, murmura-t-elle, les points serrés. Une colère profonde montait en elle, mêlée d’un désir de vengeance. Elle ne pouvait pas laisser cette humiliation sans réponse. Elle ouvrit son tiroir ou reposait les cadeaux de Thomas, le parfum, le sac, les bijoux, l’enveloppe de billets. Ces objets, autrefois symboles de son pouvoir, lui semblaient maintenant des chaînes.
Elle les repoussa avec des goûts, mais une pensée s’insinua. Si l’église voulait la briser, elle r postrait. Elle pensa à Nadia, qu’il avait humilié publiquement et au pasteur Samuel qui l’avait convoqué comme une criminelle. Elle voulait leur faire payer. Cette nuit-là, Amina ne pria pas. Au lieu de cela, elle chercha sur son téléphone des moyen de reprendre le contrôle.
Une amie d’enfance lui avait un jour parlé d’un marabou puissant, capable de résoudre tous les problèmes. Amina, autrefois si pieuse, hésita, mais la colère l’emporta. Elle nota l’adresse du marabou, déterminé à agir. Elle se regarda dans le miroir, son foulard émeraude toujours en place, mais ses yeux brillaient d’une lueur nouvelle, celle de la revanche.
“S’ils veulent me détruire”, murmura-t-elle, “je vais leur montrer de quoi je suis capable.” Elle ignorait encore que ce choix l’entraînerait sur un chemin sans retour, loin de la foi et de la lumière qu’elle avait autrefois portée. Amina, consumée par la colère, décida de passer à l’action. L’humiliation publique et la convocation du comité disciplinaire l’avait brisé.
Elle ne pouvait accepter d’être jugée seule alors que Thomas, Idriss et Jacques avaient eux aussi joué un rôle. Elle trouva l’adresse et se rendit dans un quartier discret de la ville. La maison du marabou était modeste mais une odeur d’herbe brûlé emplissait l’air. À l’intérieur, un homme d’âge mû vêtu d’une tunique blanche l’accueillit.
Ses yeux perçants semblaient lire en elle. Que désires-tu ma fille ? Demanda-t-il d’une voix grave. Amina, hésitante répondit : “Je veux du pouvoir, de la protection et de la vengeance.” Le marabou sourit. Tout cela est possible mais chaque choix a un prix. “Es-tu prête ?” Amina, déterminé aucha la tête. “Tout”, dit-elle.
Il lui tendit une petite fiole contenant une poudre noire. Disperse cela devant la maison de ton ennemi, celle qui t’a humilié”, expliqua-t-il. Cela lui apportera malheur. Puis il lui donna une huile parfumée soit-disant d’attraction. “Mais en sur ton visage avant de rencontrer l’homme que tu veux séduire”, ajouta-t-il. Amina, pensant au pasteur Samuel, imagina un plan, le séduire pour le manipuler, le faire tomber et ainsi reprendre le contrôle de sa réputation.
De retour chez elle, Amina prépara son plan avec soin. Elle choisit une robe rouge moulante, bien différente de ses tenues habituelles, et appliqua l’huile sur son visage. Son foulard émeraude, qu’elle portait toujours avec fierté, resta dans son tiroir. Elle se regarda dans le miroir à peine reconnaissable.
Ses yeux brillaient d’une détermination froide. Elle se sentait puissante, prête à renverser ceux qui l’avait jugé. Elle prendrait rendez-vous avec le pasteur sous prétexte de discuter du comité, puis elle utiliserait l’huile pour le charmer. Ensuite, elle irait chez Nadia pour disperser la poudre. Elle répéta plan mentalement, convaincue qu’il fonctionnerait.
Elle ne pensait plus à sa foi, à la chorale, à la femme qu’elle avait été. La colère avait pris le dessus, éteignant la lumière qui guidait autrefois ses pas. Elle rangea la fiole de poudre dans son sac, vérifia son apparence une dernière fois et se prépara à sortir. Elle imaginait la tête de Nadia, affaiblie par la malédiction et celle du pasteur succombant à son charme.
Elle sourit, croyant avoir repris le contrôle, mais une petite voix enfouie au fond d’elle murmurait un avertissement. Elle l’ignora. Elle ne voyait plus que son désir de vengeance, son besoin de prouver qu’elle n’était pas la faible femme que l’église voulait voir en elle. En quittant son appartement, elle marcha d’un pas décidé, la fiole dans son sac, l’huile sur son visage.
Elle ne pria pas ce soir-là pour la première fois depuis des années. Son foulard, laissé sur la table semblait un vestige d’une autre vie. Amina s’éloignait de tout ce qu’elle avait été, convaincue que ce chemin sombre lui rendrait sa dignité. Mais le destin, lui, avait d’autres plans. Amina sortit de chez elle, déterminé à mettre son plan à exécution.
La fiole de poudre noire était dans son sac, l’huile d’attraction sur son visage. Sa robe rouge moulante contrastait avec l’image sache qu’elle avait toujours projeté. Elle avait rendez-vous avec le pasteur Samuel prétendant vouloir discuter du comité disciplinaire. En réalité, elle comptait le séduire pour le manipuler, puis se rendre chez Nadia pour disperser la poudre maléfique.
Elle marcha d’un pas rapide, son cœur battant d’une étrange excitation mêlée de colère. Elle se sentait puissante, prête à reprendre le contrôle, mais le destin en décida autrement. Alors qu’elle traversait une rue animé, un camion dont les freins avaient lâchés surgit à pleine vitesse. Amina n’eut pas le temps de réagir.
Le véhicule la percuta violemment et elle s’effondra inerte. Les passants crièrent, certains tentèrent de l’aider mais il était trop tard. Anina mourut sur le cou, son sac renversé, la fiole de poudre roulant sur le bitume. La nouvelle de l’accident se répandit rapidement, laissant la communauté sous le choc.
À l’église assemblée de la grâce, la nouvelle frappa comme un coup de tonner. Les fidèles, encore marqués par les récents scandales, se réunirent pour discuter. Certains pleurèrent Amina, se souvenant de sa voix angélique et de son dévouement à la chorale. D’autres, plus durs, murmurèrent que c’était la justice divine.
“Elle a joué avec le feu, dit une épouse. Dieu ne se laisse pas moquer”, ajouta un ancien. Les hommes qu’il avaient courtisé, Thomas, Idriss Jacques, baissaient les yeux, honteux. Ils retournèrent auprès de leurs épouses, cherchant à réparer les dégâts causés par leur propre faiblesse. Nadia, encore bouleversé par sa confrontation avec Amina, pleura en apprenant sa mort.
Malgré sa colère, elle n’avait jamais souhaité un tel dénouement. André, son mari, la consola lui rappelant qu’ils avaient agi selon leur foi. “Nous avons fait ce qui était juste”, dit-il. Mais Nadia, troublé, se demandait si sa colère publique n’avait pas contribué à pousser Anina sur ce chemin sombre. Elle pria pour le pardon pour elle-même et pour Anina.
Le dimanche suivant, l’église était pleine. Le pasteur Samuel monta en chair, son visage marqué par la gravité. Il prit la parole d’une voix claire. Frères et sœurs, la perte d’Amina est une tragédie. Mais elle nous enseigne une leçon essentielle. Nos choix ont toujours des conséquences. Amina était une femme talentueuse, mais elle s’est laissée emporter par la vanité et la vengeance.
Que son histoire nous rappelle de rester humble, de chercher la lumière de Dieu, même dans les moments de colère ou de douleur. Les fidèles écoutaient en silence, certains hchant la tête, d’autres essuyant des larmes. Le pasteur poursuivit : “Nous ne sommes pas ici pour juger, mais pour apprendre. Que chacun examine son cœur.
Les hommes, les femmes, nous avons tous une part de responsabilité dans ce qui s’est passé. Que cette leçon nous rapproche de Dieu et les uns des autres. À la fin du culte, la chorale chanta grand et ta fidélité, le chant préféré d’Amina. Mais sans sa voix, l’harmonie semblait incomplète. L’église retrouva peu à peu son calme.
Les rumeurs s’estompèrent, remplacées par un désir de réconciliation. Les hommes honteux demandèrent pardon à leurs épouses. Les femmes apaisées choisirent de pardonner mais tous retin la leçon, les choix même ceux qui semblent à noun peuvent mener à des conséquences irréversibles. Sur la table d’Amina, son foulard émeraude resta seul témoin d’une vie éteinte trop tôt. Merci d’avoir regardé.
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