Liora : La Sorcière d’Aneké..
Il était une fois dans le village d’Anke, une étrangère du nom de Laura. Ce petit village paisible vivait au rythme simple de ses habitants où tout le monde se connaissait. La vie était calme, sans surprise, jusqu’à l’arrivée de Lora. Liora n’était comme personne que les villageois avaient connus. Elle avait de longs cheveux soyeux, un teint éclatant et une allure élégante.
Elle se tenait avec une assurance naturelle qui la rendait immédiatement différente. Elle portait toujours les plus belles robes faites de tissus délicats qui cintillaient au soleil accompagné de bijoux qui brillaient comme des étoiles. Elle était arrivée à Hanquer quelques mois plus tôt sans prévenir. Les jeunes femmes l’observaient de loin, fasciné, chuchotant entre elles pour deviner son secret.
Comment pouvait-elle se permettre un tel luxe ? Quel genre de crème faisait briller sa peau de cette façon ? Beaucoup essayèrent de l’imiter, espérant capter ne serait ce qu’une partie de sa beauté, mais aucune ni parvin. Les hommes, de leur côté étaient complètement obsédés par elle. Il la regardait de loin, hypnotisé par sa beauté et l’ura de mystère qui l’entourait.

Certains lui offraient des cadeaux, d’autres lui envoyaient des fleurs. Tous étaient attirés par elle, mais aucun ne savait vraiment qui elle était, ni d’où elle venait. Dès son installation à Hanqué, elle devint la cocluche du village. Elle acheta un petit cottage à la lisière du hameau, mais ne donna aucune information sur son passé.
Elle restait discrète, ne participait jamais au comérage ni au fête du village. Les rumeurs se multiplièrent. Certains disaient qu’elle était une noble en fuite, d’autres pensaient qu’elle était la veuve d’un riche marchand et qu’elle vivait de son héritage. Mais la vérité, personne ne la connaissait. Les jeunes filles du village l’admiraient, certaines l’enviaient.
Toutes, en revanche, rêvaient de lui ressembler. Un après-midi, un groupe de jeunes filles se rendit chez elle, déterminé à percer son mystère. Elle l’abordèrent avec des sourires enthousiastes, les yeux brillants d’admiration. Iora, tu es toujours si belle, nous aimerions en te ressembler. Dis-nous ton secret.
Quelle crème utilises-tu ? Comment fais-tu pour vivre une vie aussi luxueuse ? Liora sourit, ses yeux brillants d’un éclat mystérieux. Elle baissa la voix comme si elle s’apprêtait à révéler quelque chose de sacré. “Je n’utilise pas de crème”, répondit-elle. “Il existe une eau miraculeuse que ma mère m’a transmise. J’en bois chaque jour pour entretenir ma beauté et elle attire aussi le succès dans ma vie.
” Les filles poussèrent des exclamations enthousiastes. “J’en ai assez. continua elle d’une voix douce et rassurante. Je peux vous en donner si vous le souhaitez. Leur visage s’illumina. Oui, nous voulons cette eau miraculeuse. Nous voulons te ressembler. Liora se retourna, entra chez elle puis revint avec un petit flacon contenant un liquide clair.
Elle leur tendit avec un sourire gracieux. Buvez mes chers amis, que la beauté et le succès vous trouve. Sans hésiter, les filles burent, la remerçant avec enthousiasme avant de repartir le cœur léger. Très vite, la nouvelle se répandit dans tout le village. D’autres jeunes femmes, avides de briller comme Yora, se pressèrent devant sa porte.
Une à une, elle leur remit le précieux flacon. Bientôt, même les jeunes hommes vinrent à elle, espérant devenir plus beau et plus riches. Liora les accueillait tous avec le même sourire calme, leur tendait les petits flacons et les regardait boire avec empressement. Chaque fois qu’un villageois buvait de cette eau, le sourire de Liora s’élargissait.
Mais derrière ce sourire parfait, il y avait autre chose, quelque chose de plus sombre. Eh bien, murmura Liora pour elle-même. Ma mission s’accomplit peu à peu. Les jours passèrent, mais ceux qui avait bu l’eau offerte par Liora ne voyit aucun changement. Leur peau ne rayonnait pas comme la sienne.
Leur beauté restait la même et aucune richesse ne leur tombait dessus. Au lieu de cela, un phénomène bien plus inquiétant commença à se produire. Chaque nuit, dès qu’il fermait les yeux, il se retrouvait transporté dans un lieu étrange, un sombre sabbat. L’air était épais, saturé de fumée et d’une odeur acre d’herbe brûlé et il n’était pas seul.
Tous ceux qui avaient bu l’eau de Liora était là, vêtus de longues robes noires. Au centre du cercle, sur un trône de pierre noire, était assise une sorcière effrayante. Sa peau idée tombait en lambeau, ses yeux jaunes brillaient dans la pénombre et une couronne sombre trônait sur sa tête. Elle souriait d’un air malveillant, révélant des dents cassés et aiguisés sous ses lèvres fendillées.
“Bienvenue, mes enfants”, déclara-elle d’une voix grave et résonnante, glaçant chacun sur place. “Vous m’avez enfin rejoint !” La panique gagna le groupe. “Nous sommes-nous ? “Qui êtes-vous ?” cria l’un des hommes pris de peur. La vieille sorcière éclata d’un rire rque. Pauvres imbéciles, vous avez bu l’eau du sabbat.
Vous faites partie de nous désormais. Les villageois se regardèrent torrifiés. La vérité leur sauta aux yeux. Cette eau n’était pas un miracle, c’était un piège. Liora avait menti. Elle les avait attiré un par un, leur avait fait boire le liquide maudit. Et maintenant, ils étaient prisonniers de ce lieu, convoqués chaque nuit contre leur gré.
Certains tentèrent de fuir, mais l’air devint plus dense. Une force invisible les maintenait immobile, leurs membres refusant de bouger. Il n’y a pas d’échappatoire, siffla la sorcière. Vous m’appartenez désormais et bientôt vous me servirez pour toujours. Les villageois voulurent crier mais aucun son ne sortit de leur bouche.
Leur corps semblait s’enfoncer dans l’obscurité elle-même. Pendant ce temps, dans sa belle maison, Liora contemplait son reflet dans le miroir. Un sourire cruel se dessina sur ses lèvres. Le sabbat devient plus fort. Bientôt, je prendrai le contrôle de ce village. Mais une fille du nom d’Amaya commençait à se méfier de Lira. Elle observait.
Elle avait remarqué que ceux qui buvaient la fameuse eau ne devenaient ni plus beau ni plus riche. Au contraire, leur regard trahissait une étrange fatigue presque vide. Quelque chose n’allait pas à Maya en était convaincu. Déterminé à découvrir la vérité, elle prit une décision. Aller affronter Liora directement.

Un matin, le cœur battant, elle se rendit chez elle. Forçant un sourire, elle s’approcha alors que Liora l’accueillait avec sa grâce habituelle. “Bonjour, Liora”, dit-elle d’un ton doux. Je suis venue chercher mon eau miraculeuse. Je veux moi aussi être belle comme toi. Un sourire en coin se dessina sur le visage de Li venu.
Je savais que tu finirais par venir. Elle se retourna et revint avec un petit flacon contenant le liquide clair. Tiens ma chère, bois maintenant et la beauté t’enveloppera. Amaya hésita un instant puis elle secoua la tête. Je veux l’emporter chez moi”, dit-elle avec un sourire doux. “Je veux en boire chaque jour pour devenir aussi belle que toi.
” “Non, encore mieux, je veux être ta sœur jumelle.” Le sourire de Lira vacilla brièvement, à peine perceptible, puis elle éclata rire léger en hachant la tête. “Bien sûr, ma chère, prends-la et bois-la comme il faut.” Amaya la remercia puis repartit rapidement, serrant le petit flacon contre elle. Mais elle ne rentra pas chez elle. Elle avait une autre destination en tête.
Elle se rendit directement chez la prophétesse du village, une femme puissante, connue pour ses visions divines et ses prières redoutaiées des forces obscures. Quand Amaya arriva, elle raconta tout. L’arrivée soudaine de Liora, l’histoire de l’eau miraculeuse et comment presque tout le village y avait goûté.
La prophétesse écouta, son visage s’assombrissant à mesure que les mots sortaient de la bouche de la jeune fille. Puis elle prit le flacon et le porta près de son visage. Elle murmura une prière. Soudain, le liquide devint noir comme de l’encre et une odeur nausée à bonde de soufre remplit la pièce. Amaya recula choqué. Qu’est-ce que les yeux de la prophétesse brillèrent d’une colère sacrée ? Ce n’est pas une eau miraculeuse, mon enfant, c’est une potion d’asservissement.
Liora trompe le village. Elle est liée aux ténèbres. Le sang d’Amaya se glaça. “Que devons-nous faire ?” souffla-elle. La prophétesse se redressa, empoigna son bâton. “Nous devons l’exposer. Mais d’abord, je dois prier.” La force derrière cette malédiction est puissante. Elle leva les mains vers le ciel et entama une prière.
Sa voix raisonna dans la petite maison, en plissant l’air d’une énergie vibrante. Le sol vibra légèrement sous leurs pieds. Loin de là, dans l’ombre de sa demeure, les yeux de Liora s’ouvrirent brusquement. Elle sentit le trouble dans l’air. Ses points se serrèrent et un grandement source s’échappa de ses lèvres.
Qui ose me défier ? La bataille entre la lumière et les ténèbres venait de commencer. Liora n’est pas celle que le village croit, déclara la prophétesse. C’est une vieille sorcière dans un autre corps. Conduis-moi à elle. Elle doit avouer de sa propre bouche. Amaya et la prophétesse se mirent en route vers la maison de Liora.
En chemin, des villageois curieux les virent passer et les suivirent, cherchant à comprendre ce qui se passait. Quand ils arrivèrent, ils virent Liora assise devant sa maison. Surprise de voir une foule s’approcher, elle se leva lentement. La prophétesse s’avança. Qui es-tu et quelle est ta mission dans ce village ? Parle maintenant avant que le feu du Saint-Esprit ne te consume.
Liora, habituellement si posée et élégante, vailla une seconde. Puis elle afficha un sourire charmeur. Prophétesse, je ne comprends pas ta question. Je suis simplement une femme qui vit paisiblement dans ce village. La prophétesse frappa le sol avec son bâton. Ne me mens pas Liora. Qui es-tu et que veux-tu réellement ici ? Les yeux de Liora s’assombrirent un bref instant, mais elle reprit vite son calme.
Je n’ai aucune mission, prophétesse répondit Yora. J’aide simplement les gens avec mon eau miraculeuse menteuse tona la prophétesse. Cette eau est une malédiction. Elle enchaîne les âmes de ces gens au royaume des ténèbres. Tu n’es pas celle que tu prétends être. Les villageois poussèrent un cri de stupeur. Une malédiction.
Qu’est-ce qu’elle raconte ? Murmura l’un d’eux. Amaya s’avança, la voix tremblante mais ferme. Nelle dit la vérité. J’ai apporté l’eau miraculeuse à la prophétesse et lorsqu’elle a prié dessus, elle est devenue noire avec une odeur de pourriture. Ce n’est pas une bénédiction, c’est du mal pur.
Les regards se tournèrent vers Liora. Une expression d’horreur se répandit sur les visages. La prophétesse leva son bâton bien haut. Par la puissance du tout-puissant, je te l’ordonne, Liora. Révèle ta véritable forme devant tous. Liora recula et soudain sous leurs yeux la belle étrangère disparu à sa place se tenait une vieille sorcière voûtée aux yeux vidéos dans déformé.
Les villageois hurlèrent, certains s’enfuirent, d’autres tombèrent à genoux abazourdi. La prophétesse pointa son bâton vers la sorcière. Tu as trompé ce village bien trop longtemps. Confesse tes crimes la vieille sorcière releva la tête. Mon nom n’est pas Liora. Mon vrai nom est Mara.
Autrefois, je faisais partie de ce village, mais il y a de nombreuses années, j’ai été banni pour avoir pratiqué la magie noire. Des cris de surprise éclatèrent dans la foule. Certains anciens échangèrent des regards choqués. Ils reconnaissaient ce nom oublié depuis longtemps. Mara continua. Sa voix s’assombrissant encore. Après mon bannissement, je me suis retrouvée dans un royaume de ténèbres.
Là-bas, j’ai gagné en puissance. J’ai initié de nombreuses âmes à l’art de la sorcellerie, mais je voulais revenir. Je voulais ma revanche. Elle éclata d’un rire sec et grinçant. Alors, j’ai changé. J’ai pris un nouveau corbeau, riche, séduisant. Je savais que si je revenais sous le nom de Mara, personne ne m’accepterait.
Mais en tant que la femme la plus belle et élégante que le village ait jamais vu, ah, que ce fut facile de les faire désirer ce que j’avais. Les villageois frémirent, certains se couvrirent la bouche horrifiés. “Je savais que les filles m’admireraient”, reprit Mara, qu’elle voudrai me ressembler.
Et les hommes a eux furent les plus faciles à manipuler. “J’ai utilisé leur désir à mon avantage.” Elle montra les dents dans un sourire cruel. Je leur ai donné mon eau miraculeuse, une potion d’initiation. À chaque gorgée, ils vendaient leur âme à mon royaume sans même s’en rendre compte. Ses dents cassés brillèrent sous la lumière.
Désormais, chaque personne qui en a bu fait partie de mon monde. Sorcier, sorcière, qu’ils en soient conscients ou non. La nuit, leurs esprits quittent leur corps et viennent me rejoindre. Dans le sabbat, j’allais transformer ce village en royaume des ténèbres, déclara Mara avec un sourire glacé. J’allais le diriger.
Un vent de terreur souffla sur les villageois. Certains tombèrent à genoux, désespérés. D’autres fixèrent leurs proches avec horreur, réalisant qu’ils avaient été transformés à leur insu en quelque chose d’impur. “Monstre !”, hurla une femme en serrant sa fille contre elle. Tu nous as trompé, Mararikana, moqueuse. L’imbécile, vous vouliez tous la beauté, vous vouliez la richesse.
Je ne vous ai donné que ce que vous désiriez. La prophétesse leva son bâton, sa voix raisonnant avec autorité. Ton temps de tromperie est terminé, Mara. La puissance de Dieu est plus grande que tes ténèbres. Mara éclata d’un rire sauvage. Vous croyez pouvoir effacer ce que j’ai fait ? Les villageois m’appartiennent désormais.
Même si vous me tuez, ils resteront des sorciers pour toujours. La prophétesse leva son bâton plus haut encore. Pas tant que je suis debout. Elle se tourna vers la foule. Tous ceux qui ont bu l’eau avancé. Les villageois obéirent lentement, les yeux pleins de peur. Si vous voulez être libéré, tombez à genou et renoncez à toute alliance avec le royaume des ténèbres.
Un Ils tombèrent au sol en larme. Je renonce, je renonce à cette alliance. Je n’appartiens qu’à Dieu. La terre trembla. Mara porta une main à sa poitrine, son pouvoir s’ffritant. Non non, hurlatelle, la voix déformée par la rage. Ce n’est pas possible. La prophétesse leva son bâton une dernière fois.
Feu du Saint-Esprit, consume toute œuvre des ténèbres. Une lumière éclatante descendit du ciel entourant Mara. Elle poussa un cri d’agonie tandis que son corps s’enflamma, brûlant jusqu’à ne laisser qu’un tas de cendre. Le ciel s’éclaircit, le vent se calma. Une grande paix descendit sur le village. Les villageois, enfin libérés, éclatèrent en sanglot de soulagement.
Ceux qui avaient été transformés à leur insu sentir un pois immense s’élevait de leur âme. Amaya se tourna vers la prophétesse, les larmes aux yeux. C’est fini. La prophétesse aucha doucement la tête. Oui, mon enfant, les ténèbres sont partis. Le village est libre. Et dès ce jour, les habitants d’Anke n’oublièrent jamais la leçon apprise.
Ne jamais envier la beauté ou la richesse d’autrui, car on ignore toujours quel prix a été payé pour les obtenir. Merci d’avoir regardé. Si vous avez aimé ce récit, laissez un pouce bleu pour soutenir la chaîne.
News
💥 Michael Goldman et Sofia Morgavi (Star Academy) reprochent à Mélissa d’être trop “drama”
Dans la quotidienne de la Star Academy du mardi 18 novembre sur TF1, Mélissa a échappé de justesse à la…
🌟 Helena Bailly : la chanteuse qui a fait dire à Pierre Garnier “parler fort” sur scène Pourquoi ?
Dans un entretien avec Nouvelle 24, Pierre Garnier, figure montante de Star Academy 2023, a provoqué un véritable émoi en…
Elle a sauvé une sirène enceinte dans la rivière. 7 jours plus tard, voici ce qui s’est passé…
Elle a sauvé une sirène enceinte dans la rivière. 7 jours plus tard, voici ce qui s’est passé… Les larmes…
Elle a couché avec tous les milliardaires de la ville, elle finit par le regretter…
Elle a couché avec tous les milliardaires de la ville, elle finit par le regretter… il était une fois dans…
SALIMA, LA REINE QUI PERSÉCUTE SA BELLE FILLE ENCEINTE…
SALIMA, LA REINE QUI PERSÉCUTE SA BELLE FILLE ENCEINTE… il y a longtemps dans un joli village verdoyant d’Afrique vivait…
Une femme sans enfant a porté un bébé sirène et voici ce qui lui est arrivé plus tard…
Une femme sans enfant a porté un bébé sirène et voici ce qui lui est arrivé plus tard… Retourne mon…
End of content
No more pages to load






