N’oubliez pas les paroles (France 2) : Laurens grand vainqueur des Masters 2024 ! Le champion nous confie sa fierté.

Il l’a fait ! Laurens est parvenu à remporter la finale des Masters face à la grande Margaux, numéro 1 du jeu de Nagui. Une belle revanche pour le champion qui nous a confié sa fierté face à cette victoire bien méritée !

Vous remportez les demi-finales face à Etienne, et vous rapprochez donc un peu plus de la victoire finale. Dans quel état d’esprit étiez-vous ?

Laurens : En fait, j’étais déjà extrêmement heureux (rires) d’être en demi-finale parce que là, pour le coup, c’est le vrai prime de la finale. Dans tous les cas, je sais qu’à 21h00, je joue. C’est une sensation énorme. Et après, que ce soit Étienne ou n’importe qui en face, je fais mes chansons sans me préoccuper de qui chante en face. Mais après, oui, je connais le niveau d’Étienne parce que pour le coup, on se connaît avant même que lui passe dans N’oubliez pas les paroles et que j’y passe. On faisait des matchs entre nous pour rigoler en janvier 2023, donc six mois avant que lui passe et dix mois avant que moi, je le fasse. On sait très bien l’un l’autre qu’on a du niveau, qu’on est très solide. C’était un plaisir de jouer avec lui et franchement, s’il gagnait, j’aurais été à 100% pour lui pour la finale !

Remporter cette demi-finale face à lui, c’était boucler la boucle ? 

C’est drôle ! C’est une sorte de consécration parce que déjà, quand on est devant son ordi et qu’on joue ensemble, c’est déjà sympa, mais là, c’est le vrai jeu avec le vrai micro, le vrai Nagui, les vraies caméras. Les conditions sont géniales. Après, moi, c’est le cas à chaque émission où je profite et je trouve ça extraordinaire comme cadre, mais là, le partager avec un pote, forcément… C’est vrai qu’après tous les matchs qu’on a fait par écrans interposés, se retrouver à 50 centimètres l’un de l’autre pour jouer, c’était un sentiment énorme !

Direction donc la finale face à Margaux, belle revanche de vous retrouver face à la numéro 1 ? 

Je me qualifie pour la finale en premier et ensuite, Margaux, juste après. Elle gagne d’une manière extraordinaire en faisant une remontada complètement folle ! La phrase de Nagui m’a fait rire parce qu’il a dit si on avait truqué l’émission, on l’aurait fait exactement comme ça pour avoir le numéro un et le numéro deux en face à face. C’est vrai que symboliquement, ce match, c’était génial. Ce qui m’a changé, c’est que pour la première fois, je jouais contre quelqu’un mieux classé que moi. Du coup, ce n’est pas moi qui ai commencé. Elle m’a grave mis la pression au début en trouvant ses mal-aimés (rires).

Vous avez discuté de ce match avec Margaux après votre victoire ? 

Elle m’a d’abord félicité et m’a dit que c’était hérité. Après, on en a discuté le soir-même quand on a fêté la fin des Masters. Je n’ai plus le souvenir exactement de ce qu’elle m’a dit mais je me rappelle qu’elle m’a dit quand même que j’étais très, très fort et que j’allais les embêter pendant plusieurs années (rires). Elle m’a dit que j’étais imprenable et du coup, c’est une fierté parce que Margaux quand je l’ai regardée à l’émission, je n’avais pas commencé à réviser et je connaissais aucune chanson et j’étais là : “Mais comment elle fait ?”.

Comptez-vous dépenser vos gains remportés dans les Masters ? 

Je n’ai presque rien utilisé de mes premiers gains même si j’ai un peu élevé mon niveau de vie qui était celui d’un étudiant. Mais à part ça, je n’ai pas vraiment touché au pactole que j’ai touché il y a un an (rires). Ce qui est drôle c’est qu’avec ma cagnotte remportée dans Les Masters, au cumul avec ma cagnotte initiale je suis ex-aequo avec celle de Margaux. C’est marrant ce clin d’œil et ça m’a fait sourire quand je l’ai réalisé.

Avez-vous déjà des objectifs pour les prochaines compétitions ? 

Pour le Tournoi des Maestros, je vais faire comme l’année dernière, venir avec l’objectif de m’amuser (rires). Après, pour les Masters, c’est trop loin pour que je me projette encore mais ça va dépendre du temps que je vais avoir l’été prochain pour réviser, parce que certes, il y a de l’ambition, mais il y a le travail qu’on met derrière et le temps qu’on arrive à se dégager pour ça. Parce que si jamais je n’ai pas le temps, tant pis. J’ai déjà gagné les masters une fois, maintenant, j’ai envie de dire, je vais y retourner chaque année pour du bonus. Je vais pas viser le doubler alors que personne n’a jamais réussi à faire ça (rires). Même si j’y arrive, je serai très content, mais je ne vais pas le poser en objectif parce que le risque d’être déçu.

Que retenez-vous des Masters ? 

Ce que je retiens des masters, surtout, c’est l’ambiance géniale que j’ai découverte dans ce milieu. C’est la première fois que je faisais des Masters, on m’avait dit que c’était un peu moins détente et qu’il y en a qui étaient plus stressés et là, je n’ai pas du tout trouvé. Tout le monde s’est amusé. J’ai passé ces jours de tournage comme un enfant (rires). C’était vraiment génial.