La “Coalition des Droites” : Marion Maréchal révèle le plan secret pour une victoire historique et sonne l’alarme face à la “sortie d’histoire” de la France.

Face à une crise politique que l’on qualifie désormais d’« inédite », et tandis que l’instabilité gouvernementale semble être devenue la norme du régime, une voix s’élève avec la conviction inébranlable des pionniers : celle de Marion Maréchal. Députée européenne et figure centrale de la droite nationale, elle ne se contente plus d’appeler à une simple « union » mais forge un concept stratégique puissant : la « Coalition des Droites ». Ce n’est pas un vœu pieux, mais la feuille de route détaillée et pragmatique d’une alliance qui pourrait non seulement rebattre les cartes de la politique française d’ici 2027, mais surtout, garantir la survie de la France face à des enjeux globaux terrifiants.
Après 13 ans de combat politique au cours desquels cette idée fut souvent moquée ou reléguée au rang de pure « politique fiction », la conjoncture a changé, et l’optimisme de Marion Maréchal est aujourd’hui « plus que jamais » justifié. L’événement n’est pas seulement hexagonal ; il est souligné par le soutien puissant de Giorgia Meloni, la Première ministre italienne, qui a honoré la députée d’un message appelant explicitement à une « coalition des droites » française sur le modèle du gouvernement italien. Ce soutien international offre une légitimité spectaculaire à l’ambition.
Le grand fossé : L’élite politique déconnectée de son socle électoral
La véritable dynamite de cet appel repose sur des chiffres froids mais implacables, révélés par un sondage de Valeurs actuelles. Le désir d’alliance n’est plus une lubie de militants, mais une exigence transversale de l’électorat : 88 % des sympathisants du Rassemblement National le réclament, un score logique mais massif. Plus saisissant encore, 82 % des sympathisants Les Républicains (LR) attendent cette union. Ces chiffres exposent un abîme entre une base électorale prête à l’addition des forces et une classe politique, notamment chez LR, qui s’accroche encore à des divisions jugées obsolètes.
Le plus grand coup de semonce vient peut-être du centre-droit : 41 % des électeurs de Renaissance/Horizon souhaitent également une coalition de droite. Cet indice révèle que le malaise et la soif de solutions fortes traversent désormais l’ancien « en même temps » macroniste.
Marion Maréchal décrypte ce phénomène avec clarté : « C’est le décalage entre la base militante et les élus ». Le schisme est patent : les représentants ne suivent plus les aspirations de ceux qu’ils sont censés incarner. Pour la députée, cette pression populaire, conjuguée à l’urgence nationale, est le véritable moteur qui poussera les réticents à sauter le pas. Elle note d’ailleurs une évolution récente où « un certain nombre même de Républicains s’autorisent à appeler directement à voter pour des candidats issus du Front national face à la gauche », preuve que le « cordon sanitaire » se fissure.
La Stratégie du Centre-Droit : La clé de la victoire en 2027
L’analyse stratégique de Marion Maréchal se concentre sur l’enjeu principal des prochaines années : le positionnement du centre. « C’est le grand enjeu politique d’ici 2027 : de quel côté va pencher le centre ? »
Elle rappelle une loi non écrite de la politique française : lorsque le centre-droit s’allie avec le centre-gauche, c’est toujours la gauche qui gagne, « culturellement, intellectuellement, programmatiquement ». L’exemple du macronisme est, pour elle, la démonstration la plus récente de cette dérive progressive vers la gauche. La victoire de la droite en 2027 passera donc nécessairement par le ralliement de ce centre-droit.

La « Coalition des Droites » qu’elle défend est explicitement conçue pour intégrer les forces allant « du centre droit jusqu’à la droite nationale ». Cela inclut, bien sûr, les figures majeures du paysage politique de droite : Bruno Retailleau, Nicolas Dupont-Aignan, Éric Ciotti, le RN, et Reconquête. Mais elle insiste sur l’importance d’une partie d’Horizon, citant l’exemple concret et spectaculaire de Christel Morançais, présidente de la région Pays de la Loire, qui a réalisé des économies massives en coupant dans les subventions culturelles destinées à la gauche. Ce sont ces personnalités et ces actions, qui incarnent la bonne gestion et le bon sens, qui peuvent être intégrées à la coalition.
Le Programme Commun : Plus de convergences que de divergences
Pour faire taire les sceptiques qui brandissent la bannière des différences programmatiques, Marion Maréchal affirme, à l’issue de ses discussions « en off » avec des personnalités de toutes les familles politiques de droite, que les points de convergence sont bien plus nombreux qu’on ne le pense. Loin d’une « compromission », il s’agit d’un « compromis qui fasse consensus ».
Le socle programmatique de cette coalition future se dessine autour de thèmes régaliens et économiques majeurs :
Immigration et Sécurité : Un accord quasi total sur la nécessité de « réduire, contrôler, voire d’arrêter » l’immigration. De même, la politique pénale et carcérale doit être rendue plus efficace et surtout « moins laxiste ».
Écologie et Énergie : La volonté partagée de mettre fin à l’« écologie punitive » et d’ouvrir de nouvelles perspectives pour un plan énergétique national ambitieux, incluant la géothermie.
Souveraineté et Europe : La critique des dérives de l’Union européenne est désormais un point de consensus, un fait « impensable il y a encore 10 ans », illustré par le refus commun de voter le maintien d’Ursula von der Leyen.
Économie et Finances Publiques : Malgré des nuances libérales ou protectionnistes, la majorité des familles de droite s’accordent sur l’urgence de réduire le train de vie de l’État, d’assainir les dépenses publiques et de mettre fin à l’augmentation des impôts sur les classes moyennes, voire de les réduire.
La question des retraites reste un point de crispation, mais elle doit être abordée dans la logique d’un programme commun où « chacun doit faire un pas ». Pour Maréchal, ce point de désaccord ne doit pas faire obstacle à l’union face à l’urgence nationale.
Bruxelles, le Laboratoire de la Coalition : La preuve par l’Europe
L’argument le plus tangible en faveur de la faisabilité de cette alliance réside dans le travail déjà accompli au Parlement européen. Ce qui semble impossible à Paris est une réalité quotidienne à Bruxelles, où la coalition des droites « prend déjà corps ».
Marion Maréchal, membre du groupe des Conservateurs et Réformistes européens (ECR) — qui compte notamment le parti Fratelli d’Italia de Giorgia Meloni et qui ne souffre d’aucun « cordon sanitaire » scandaleux contrairement au RN — explique que les groupes de droite se renforcent. Régulièrement, ils sont en capacité de négocier avec le groupe du centre-droit (PPE) et, en trouvant un accord, d’aligner leurs votes avec la délégation du RN et même celle de LR, créant ainsi des « contre-majorités à droite ». Elle cite l’exemple éloquent du rejet du texte sur les pesticides, jugé « complètement délirant » et menant à la « décroissance ».
« Si ça marche au Parlement européen », demande-t-elle avec une logique implacable, « pourquoi on n’y arrive pas [à l’Assemblée nationale] ? » Cette synergie européenne, qui voit les élus français travailler ensemble sur des sujets comme la démographie ou la défense de l’agriculture française, démontre que la « pudeur » des élus parisiens est un artifice, un vestige d’un clivage Gaulliste-Anti-Gaulliste qu’elle qualifie de « nécrologie politique ». Ce clivage, né de la fracture de la guerre d’Algérie, n’a plus aucune force structurante aujourd’hui.
Le Grand Risque : La France en « sortie d’histoire »

L’appel à la coalition est aussi un cri d’alarme face à la déperdition nationale. Marion Maréchal élargit la perspective à l’échelle mondiale, alertant sur le « grand retour du rapport de force politique » et de la « puissance guerrière ».
Dans un monde où les « États-Civilisations » comme l’Inde, la Chine, la Russie et les États-Unis se préparent à la « grande révolution numérique » de l’intelligence artificielle et s’organisent pour être le plus productif possible afin de « survivre finalement au grand conflit », la France se trouve dans une posture suicidaire.
« Quand on regarde ça et qu’on se dit aujourd’hui le débat qui anime la France […] c’est de savoir comment on va travailler moins et combien d’années on va travailler moins… il faut prendre conscience que on organise notre sortie d’histoire ». Ce diagnostic est brutal et rappelle l’urgence absolue de reprendre le contrôle du destin national, en passant d’une logique de l’« assistanat » à une politique qui remet « l’esprit de l’entrepreneur au cœur ».
La Solution Institutionnelle et le Cabinet Rêvé
Pour mettre fin à l’instabilité, l’élue de Reconquête pose les conditions d’un retour au sérieux politique. Idéalement, elle appelle à la démission d’Emmanuel Macron, rappelant le précédent gaullien de 1969. À défaut, un « retour aux urnes » par la dissolution est le seul moyen d’espérer reconstruire une majorité et éviter que l’instabilité actuelle ne se transforme en une véritable « crise de l’État ».
Enfin, interrogée sur la composition d’un gouvernement hypothétique dont elle serait Première ministre sous une présidence Marine Le Pen, Marion Maréchal livre une liste symbolique visant à intégrer l’ensemble de la droite :
Les Politiques Clés : Jordan Bardella, Éric Zemmour, Bruno Retailleau, Éric Ciotti, Nicolas Dupont-Aignan, et Christel Morançais.
L’Économie : Pour « casser la mainmise de l’énarchie et de l’administration », elle nommerait des acteurs de l’économie réelle (des entrepreneurs) pour réinstiller l’esprit de l’entreprise au plus haut sommet de l’État.
La Justice : Elle choisirait quelqu’un issu de la défense des victimes ou des forces de l’ordre, citant l’avocat des policiers Thibault de Montbrial pour garantir une justice enfin du côté des victimes.
La Culture : Stéphane Bern serait le candidat idéal pour recentrer la politique culturelle sur le patrimoine et la restauration de nos églises et châteaux, aujourd’hui « parent pauvre de la politique histoire ».
Le message de Marion Maréchal est clair : l’alliance n’est pas un luxe, mais une nécessité existentielle. La « Coalition des Droites » est la seule voie pour échapper au chaos, non pas en faisant fusionner les partis, mais en additionnant leurs forces autour d’un programme commun fort, et en répondant enfin à l’aspiration pressante de la quasi-totalité de leurs électeurs. Le temps des tergiversations est révolu ; c’est un tournant historique qui se joue, et la droite, si elle veut survivre et gouverner, doit regarder au-delà de ses anciennes querelles pour embrasser une ambition partagée, celle de sauver la France.
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