Disparition insolite au musée Grévin : quand Vianney rebondit avec humour sur le vol de la statue d’Emmanuel Macron

Emmanuel Macron : sa statue dérobée au Musée Grevin, Vianney se saisit de  l'affaire - Public

Paris, le 2 juin 2025 – Une scène digne d’un film de braquage a secoué le célèbre musée Grévin, ce lundi, avec la disparition spectaculaire de la statue de cire d’Emmanuel Macron. Le plus étonnant dans cette affaire ? La revendication de Greenpeace… et la réaction pleine d’humour du chanteur Vianney, récemment statufié lui aussi.

Un vol audacieux orchestré par Greenpeace

C’est dans la matinée que le musée Grévin a constaté l’absence de la statue du président de la République. Très vite, les faits ont été confirmés par les médias, dont BFMTV et l’AFP : trois activistes de Greenpeace seraient à l’origine de cette opération. Déguisés en touristes, ils ont d’abord visité les lieux discrètement, avant de se changer et revêtir des tenues d’ouvriers du bâtiment. Ce subterfuge leur a permis de sortir la statue d’Emmanuel Macron sous une couverture, empruntant une issue de secours sans éveiller les soupçons.

Le coup de théâtre ne s’arrête pas là : peu de temps après, la statue a été exhibée par Greenpeace dans le 16e arrondissement de Paris. L’association écologiste a expliqué son geste dans un communiqué : cette action visait à dénoncer la position du chef de l’État concernant les relations commerciales entre certaines entreprises françaises et la Russie, malgré le contexte géopolitique tendu.

“Il y a eu une action qui a été opérée. Cette action est désormais terminée”, ont précisé les journalistes de BFMTV. Toutefois, le lieu exact où se trouve actuellement la statue reste inconnu, et les autorités n’ont pour l’instant pas récupéré l’œuvre de cire.

Vianney s’invite dans l’affaire avec légèreté

La statue de cire d'Emmanuel Macron volée au musée Grévin... et déposée  devant l'ambassade de Russie - Nice-Matin

Dans un tout autre registre, c’est le chanteur Vianney qui a détourné cette affaire sérieuse avec humour. Il faut dire que l’artiste de 34 ans est lui-même entré récemment dans le prestigieux musée Grévin. Pour célébrer l’arrivée de sa propre statue, il avait réalisé un canular en se faisant passer pour sa réplique de cire, immobile au milieu des autres statues. La vidéo, publiée sur les réseaux sociaux, a fait le tour d’internet, provoquant l’hilarité des visiteurs comme des internautes.

Profitant de ce buzz et de sa nouvelle notoriété statuaire, Vianney n’a pas hésité à commenter la disparition de la statue d’Emmanuel Macron avec un trait d’esprit bien senti :
“Vous inquiétez pas, c’est la partie 2 de la caméra cachée”, a-t-il publié en story sur Instagram, sous-entendant avec ironie qu’il pourrait être derrière ce coup monté.

Cette blague n’a pas manqué de faire réagir ses fans, ravis de voir l’artiste surfer sur l’actualité avec autodérision et créativité. Certains internautes se sont même demandé si Vianney n’allait pas continuer cette série de caméras cachées avec d’autres statues du musée…

Une affaire qui mêle politique, art… et humour

Si la disparition de la statue d’Emmanuel Macron soulève des questions de sécurité et d’engagement politique, elle révèle aussi à quel point les lieux culturels peuvent devenir le théâtre d’actions symboliques. Dans ce cas précis, entre une revendication écologiste et une réaction pleine de légèreté d’un artiste populaire, l’épisode aura marqué les esprits par son originalité.

Reste désormais à savoir où se cache la statue du président. En attendant, Vianney, lui, continue de faire parler de lui, prouvant qu’un peu d’humour peut parfois adoucir même les situations les plus inattendues.

Emmanuel Macron : sa statue dérobée au Musée Grevin, Vianney se saisit de l’affaire  

À 80 Ans, Sylvie Vartan Brise Son Silence, Laissant Le Monde SOUS LE CHOC

teur qui plongea le couple dans une tristesse insondable. Sylvie, profondément meurtrie, confia plus tard que cette perte avait laissé une empreinte indélébile dans son cœur, bien au-delà des mots. Johnny, de son côté, bien qu’endeuillé lui aussi, eut du mal à exprimer sa douleur autrement que par le silence ou la fuite.

Sylvie Vartan biểu diễn tại Grand Rex với một màn tri ân tuyệt đẹp dành cho Johnny (video)

Le lent effritement d’un amour mythique

Peu à peu, les fissures apparues dans leur mariage devinrent des failles béantes. Malgré les tentatives de réconciliation, les promesses renouvelées, les espoirs renaissants, la distance émotionnelle s’était installée. En 1980, après près de deux décennies de hauts spectaculaires et de bas déchirants, Sylvie Vartan et Johnny Hallyday divorcent officiellement, mettant un terme à une histoire d’amour qui avait enflammé la France entière.

Mais si l’amour s’éteint parfois, le respect, lui, peut survivre. Sylvie et Johnny, même séparés, ont toujours conservé une tendresse discrète l’un pour l’autre, un attachement lié non seulement à leur fils David, mais aussi à la mémoire d’un passé partagé, fait d’éclats de lumière et d’ombres longues.

Une renaissance discrète aux côtés de Tony Scotti

Après l’ouragan Johnny, Sylvie trouva peu à peu la paix auprès de Tony Scotti, producteur américain qu’elle rencontre dans les années 80 et épouse en 1984. Avec lui, elle construit une relation plus stable, plus douce, plus rassurante, loin des projecteurs excessifs de la scène française. Tony lui offre ce que Johnny ne pouvait jamais lui garantir : la sérénité.

Installée entre la France et la Californie, Sylvie mène une vie équilibrée, entre spectacles nostalgiquesémissions téléviséesconfidences rares, et surtout, une vie de famille apaisée auprès de son fils David et de ses petits-enfants, qu’elle chérit plus que tout.

À 80 Ans, Sylvie Vartan Brise Son Silence, Laissant Le Monde SOUS LE CHOC

Un amour éternel… mais transformé

Et pourtant, même des années plus tard, lorsqu’elle parle de Johnny, une lueur passe dans ses yeux. Pas celle d’un amour encore brûlant, mais celle d’un feu sacré qui a forgé son histoire. Sylvie Vartan ne renie rien : ni les douleurs, ni les trahisons, ni les blessures. Car tout cela faisait partie d’un amour trop vaste pour être contenu, trop vif pour durer, mais assez profond pour ne jamais s’effacer.

Dans une interview récente, elle confia :

« Johnny restera pour toujours le premier homme qui m’a bouleversée. Avec Tony, j’ai appris la paix. Mais Johnny, c’était la tempête. Et parfois, on n’oublie jamais vraiment la tempête. »

 

Aujourd’hui, Sylvie Vartan incarne plus qu’une icône des années yéyé. Elle est le témoin vivant de l’amour dans toutes ses dimensions : flamboyant, destructeur, réparateur. À travers ses chansons, ses prises de parole discrètes mais toujours justes, et son éternelle élégance, elle continue de faire résonner une vérité simple :
Même les cœurs brisés peuvent encore battre.

"Tôi không thể tin anh ấy đã ra đi": Sylvie Vartan chia sẻ về cái chết của Johnny

espace de vie harmonieux, empreint d’authenticité et de complicité. Loin de l’agitation médiatique européenne, cette maison est devenue le théâtre discret de leur bonheur apaisé. On y imagine Sylvie cuisinant des plats méditerranéens pendant que Tony fait jouer un vieux vinyle dans le salon, ou les deux marchant main dans la main dans leur jardin au coucher du soleil, profitant de l’instant sans penser au lendemain.

Cette retraite californienne ne signifie pas l’oubli de leurs racines, mais plutôt une manière pour Sylvie de préserver sa flamme artistique dans un environnement serein, où l’amour ne se crie plus sur les toits, mais se vit dans les silences partagés et les regards complices. Chaque détail de leur quotidien reflète une tendresse patinée par le temps, une affection qui n’a rien perdu de son intensité, mais qui s’est transformée en une présence constante et rassurante.

Pour Sylvie, Tony n’est pas seulement l’homme qui l’a aidée à se reconstruire, il est celui qui l’a aidée à se retrouver, à embrasser pleinement qui elle est devenue après les tempêtes. En évoquant leur lien, elle parle rarement de grands mots, préférant des expressions simples, mais pleines de sens : « Il me connaît mieux que personne, et parfois, il suffit qu’il me regarde pour que je sache ce que je ressens vraiment. »

Aujourd’hui, alors qu’elle entame le dernier chapitre de sa carrière musicale, Sylvie Vartan sait qu’elle ne monte plus sur scène seule. Elle est accompagnée par l’esprit de Johnny, par la présence bienveillante de Tony, et par les échos d’un public qui l’a vue aimer, souffrir, renaître, et aimer encore. Son chant est devenu une célébration de la vie entière – de ses douleurs comme de ses renaissances.

Et lorsqu’on lui demande ce qu’elle souhaite désormais, elle répond simplement :

« Continuer à aimer, chanter tant que je peux, et remercier chaque jour cette chance d’avoir trouvé, un jour à Tokyo, l’homme qui a su réparer doucement mon cœur. »