Énora Malagré : ses confidences glaçantes sur ce patron qui l’a “félicitée d’avoir fait une fausse couche”

Invitée de Nicole Ferroni dans Piquantes sur Téva, Énora Malagré s’est livrée sur ses pires remarques sexistes au travail.
Samedi dernier, Nicole Ferroni était aux commandes d’un nouveau numéro de Piquantes sur Téva. Fidèle à son humour acéré, l’animatrice vedette a reçu, pour l’occasion, Énora Malagré.
Au fil de l’émission, elle n’a d’ailleurs pas hésité à lancer une question intime à son invitée : “Quelle est la remarque la plus sexiste qu’on vous ait faite ?”
Énora Malagré face au sexisme dans le travail
Sans prévenir, Énora Malagré a laissé tomber une lourde vérité. Elle a d’abord confié avoir entendu bien “pire” qu’un banal “sale gonzesse“.
“Ce que j’ai eu de pire, pour vous dire la vérité, c’est… J’ai fait un arrêt naturel de grossesse alors que je travaillais en matinale et mon patron m’a dit : ‘Ah c’est bien, tu nous as débarrassés de ça, là. Tu vas pouvoir revenir bosser’“. Une phrase d’une violence sidérante, dont l’écho a mis plusieurs secondes à se dissiper sur le plateau.
Par souci d’apaisement, et peut-être aussi pour ne pas détourner l’attention du fond du problème, Énora Malagré a refusé de nommer son supérieur.
“C’est la première fois que j’en parle. Je pense que vous avez une vague idée de qui ça peut être“, a-t-elle simplement lancé avant d’avouer avoir déjà relaté l’épisode dans un livre, mais jamais à la télévision.
Une séquence qui secoue les réseaux
Après ces révélations, Énora Malagré a aussi expliqué qu’elle ne souhaitait plus utiliser le terme fausse couche, car “il n’y a rien de faux dans la fausse couche“. Une manière d’affirmer que la douleur vécue est réelle.
La diffusion de l’extrait sur TikTok a transformé cette confession télévisée en véritable onde de choc. Les internautes n’ont pas manqué de réagir : “D’une violence extrême“, “Mon Dieu quelle horreur“, “Wow c’est violent“, ont commenté plusieurs utilisateurs.
En quelques minutes seulement, la séquence est devenue plus qu’un moment télé. Il s’agit ici d’un rappel nécessaire que certaines violences verbales restent banalisées et qu’il faut parfois le courage de les dire à haute voix pour que, enfin, elles ne passent plus.

Énora Malagré : ses confidences glaçantes sur ce patron qui l’a “félicitée d’avoir fait une fausse couche”
Invitée de Nicole Ferroni dans Piquantes sur Téva, Énora Malagré s’est livrée sur ses pires remarques sexistes au travail.
Samedi dernier, Nicole Ferroni était aux commandes d’un nouveau numéro de Piquantes sur Téva. Fidèle à son humour acéré, l’animatrice vedette a reçu, pour l’occasion, Énora Malagré.
Au fil de l’émission, elle n’a d’ailleurs pas hésité à lancer une question intime à son invitée : “Quelle est la remarque la plus sexiste qu’on vous ait faite ?”
Énora Malagré face au sexisme dans le travail
Sans prévenir, Énora Malagré a laissé tomber une lourde vérité. Elle a d’abord confié avoir entendu bien “pire” qu’un banal “sale gonzesse”.
“Ce que j’ai eu de pire, pour vous dire la vérité, c’est… J’ai fait un arrêt naturel de grossesse alors que je travaillais en matinale et mon patron m’a dit : ‘Ah c’est bien, tu nous as débarrassés de ça, là. Tu vas pouvoir revenir bosser’”. Une phrase d’une violence sidérante, dont l’écho a mis plusieurs secondes à se dissiper sur le plateau.
Par souci d’apaisement, et peut-être aussi pour ne pas détourner l’attention du fond du problème, Énora Malagré a refusé de nommer son supérieur.
“C’est la première fois que j’en parle. Je pense que vous avez une vague idée de qui ça peut être”, a-t-elle simplement lancé avant d’avouer avoir déjà relaté l’épisode dans un livre, mais jamais à la télévision.
Une séquence qui secoue les réseaux
Après ces révélations, Énora Malagré a aussi expliqué qu’elle ne souhaitait plus utiliser le terme “fausse couche”, car “il n’y a rien de faux dans la fausse couche”. Une manière d’affirmer que la douleur vécue est réelle. Elle a souligné l’importance de la prise en compte des souffrances vécues par les femmes dans ces moments difficiles, et le fait que les mots utilisés pour les décrire devraient toujours refléter la réalité de la douleur émotionnelle et physique que ces femmes traversent.
La diffusion de l’extrait sur TikTok a transformé cette confession télévisée en véritable onde de choc. Les internautes n’ont pas manqué de réagir : “D’une violence extrême”, “Mon Dieu quelle horreur”, “Wow c’est violent”, ont commenté plusieurs utilisateurs.
En quelques minutes seulement, la séquence est devenue plus qu’un moment télé. Il s’agit ici d’un rappel nécessaire que certaines violences verbales restent banalisées et qu’il faut parfois le courage de les dire à haute voix pour que, enfin, elles ne passent plus inaperçues.
Les réactions sur les réseaux sociaux ont révélé une onde de solidarité et de soutien envers Énora Malagré, mais aussi une prise de conscience collective sur la normalisation des comportements sexistes dans certains milieux professionnels. Cette confession bouleversante a ouvert une porte de discussion importante sur le sexisme systémique que subissent de nombreuses femmes, et sur le silence qui entoure souvent ces injustices.
Le sexisme au travail : un sujet encore tabou
Si les propos d’Énora Malagré ont choqué, ils sont loin d’être isolés. De nombreuses femmes, en France comme ailleurs, continuent de vivre des remarques et des comportements sexistes dans leur milieu professionnel, souvent de la part de leurs supérieurs ou de leurs collègues. Pourtant, beaucoup de ces violences restent silencieuses, ignorées, ou minimisées par ceux qui les subissent. L’idée que ces commentaires, parfois même jugés “anodins”, font partie de la norme dans certains environnements de travail révèle l’ampleur du problème.
Les témoignages de figures publiques comme Énora Malagré permettent de briser ce silence et ouvrent la voie à un dialogue nécessaire. Bien qu’il reste encore beaucoup à faire pour éradiquer le sexisme dans les milieux professionnels, cette prise de parole publique représente une étape importante. Elle incite à un débat sur les droits des femmes, leur dignité au travail, et sur la façon dont leurs souffrances sont parfois traitées comme invisibles.
Dans ce contexte, la démarche d’Énora Malagré ne se limite pas à une simple dénonciation d’un cas personnel. Elle incite, avant tout, à une réflexion collective sur les discriminations subies par les femmes dans des situations où elles devraient normalement se sentir respectées et valorisées. Cette histoire est un appel à l’action : un appel pour que la société prenne conscience des injustices persistantes et pour que les victimes de sexisme ne soient plus laissées seules à porter ces fardeaux invisibles.
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