Un milliardaire a ramené chez lui une fille sans-abri sans savoir qu’elle était un serpent

Il était tard. Tout le monde avait fuit le froid pour rentrer chez soi. Mais Abel, un chef d’entreprise milliardaire, roulait encore dans sa grosse voiture, rentrant d’une longue journée. En approchant d’un carrefour, ses phardes illuminèrent une silhouette. Il plissa les yeux.
Une fille était assise sous un arbre tremblante, sans chaussures, trempée jusqu’aux os. Elle serrait ses genoux contre elle comme si elle avait tout perdu. Abelle ralentit, regarda autour de lui, personne. Il abaissa sa vitre. Et toi, qu’est-ce que tu fais là ? La fille ne bougea pas. Il répéta plus fort. Je t’ai dit, que fais-tu ici ? Elle leva lentement la tête.
Ses yeux fatigués rencontrèrent les siens, puis elle détourna le regard. Je je n’ai nulle part où aller monsieur. Je viens juste du village. Abel sourit légèrement. La puie se mit à tomber plus fort. On monte avant d’attraper la mort, dit-il. Elle hésita. Il rit doucement. Je ne vais pas te manger. Monte. Elle se leva enfin, marcha pied nuus dans les flaques et entra dans la voiture.
Mais Abel ne savait pas encore que cette fille n’était pas ordinaire. Abelle conduisait lentement sous la pluie battante, jetant des regards curieux à la jeune fille assise à côté de lui. Elle semblait fragile, ses cheveux mouillés collés au visage, ses vêtements trempés.
Malgré son apparence misérable, elle avait une beauté naturelle qui intriguait Abelle. Il brisa le silence. “Ton nom ?” demanda-t-il d’une voix calme mais autoritaire. “Nour”, murmura-t-elle, les yeux baissés. Il hocha la tête, un sourire en coin. La voiture s’arrêta bientôt devant une immense grille en fer forgée. Derrière, une demeure somptueuse s’élevait et éclairée par des lampes dorées.
Noura carquilla les yeux, impressionné par tant de luxe. Abel gara la voiture et lui fit signe de descendre. “Entre”, dit-il simplement en ouvrant la porte d’entrée. L’intérieur était encore plus impressionnant. Des lustres en cristal, des tapis épais, des meubles en bois précieux. Noura, piednu, hésitait à avancer sur le sol impeccable. Abel la guida vers un grand salon et la fit asseoir sur un canapé moelleux.
Une domestique apparut, une femme d’âge mur au regard discret. À apportei à manger et des vêtements secs, ordonna Abelle. Quelques minutes plus tard, un plateau fumant arriva. Soupe chaude, pain frais, viande rôtie. Noura, affamé, mangea timidement, ses mains tremblantes saisissant la cuillère.
Abelle l’observait intrigué par son silence. Quand elle eut fini, il lui tendit une pile de vêtements propres, une robe simple mais élégante, des chaussons doux. “Suis-moi”, dit-il en la menant à une chambre d’amis. La pièce était immense, avec un lit à bal d’quin et des rideaux en soi. “Nour n’en croyait pas ses yeux.
” “Ne tu peux rester ici aussi longtemps que tu veux”, ajouta Abelle. “Tu es en sécurité maintenant.” Noura murmura un faible. Merci monsieur, encore méfiante. Abelle lui sourit, referma la porte et la laissa seule. Pour la première fois depuis des jours, peut-être des semaines, Noura s’allongea dans un lit confortable. L’oreiller était doux, les draps sentaient la lavande.
Elle ferma les yeux, épuisé et s’endormit presque instantanément, enveloppé par la chaleur de la pièce. Mais au milieu de la nuit, un léger grincement la tira de son sommeil. La porte de sa chambre s’ouvrit lentement. Une silhouette se dessina dans l’obscurité. Le cœur de Noura se serra. Elle ne savait pas encore ce qu’il attendait.
Mais une chose était sûre, cette maison, malgré son apparence accueillante, cachait quelque chose de sombre. Abel n’était pas l’homme généreux qu’il prétendait être. Ses intentions, bien qu’encore flou, semblaient loin d’être désintéressé. Noura, seul et vulnérable, sentit une boule d’angoisse montée dans sa gorge.
Elle n’avait pas d’autre choix que de rester sur ses gardes, car cette nuit-là marquait le début d’une étrange et dangereuse aventure. Abel, de son côté, regagna sa chambre, un sourire satisfait sur les lèvres. Il pensait avoir trouvé une proie facile, une fille désespérée qu’il pourrait manipuler à sa guise. Mais il ignorait tout de Noura, de son passé, de sa véritable nature.
En l’accueillant sous son toit, il venait d’ouvrir la porte à un destin qu’il n’aurait jamais pu imaginer. La pluie continuait de tomber dehors comme un avertissement silencieux. La nuit était profonde, silencieuse, seulement troublée par le crépitement de la pluie contre les fenêtres.
Abel, vêtu d’un peignoir en soi, ouvrit discrètement la porte de la chambre de Noura. La lumière du couloir projetait son ombre sur le sol. Il s’approcha du lit où elle dormait, s’est pas étouffé par l’épé tapis. Il tendit la main, effleurant presque ses cheveux. Soudain, Noura ouvrit les yeux, son regard vif et alerte.
Chef, que que faites-vous ici ? Balbuiat et elle se redressant brusquement. Abelle recula d’un pas, mais son sourire restait froid. Calculateur ! “Tu ne pensais pas que je t’aidais gratuitement ?” “Non, répondit-il, sa voix douce mais menaçante.” Noura recula contre la tête de L, serrant la couverture contre elle. Son cœur battait à tout rompre.
Elle comprenait maintenant. L’hospitalité d’Abelle n’était pas un acte de bonté. Il attendait quelque chose en retour, quelque chose qu’elle n’était pas prête à donner. Je je comprends bredouill. Mais donnez-moi juste jusqu’à demain, s’il vous plaît.
Abelle éclata d’un rire moqueur, ses yeux brillant d’une lueure inquiétante. Ah vous les filles de village ? Toujours si naïves, dit-il. D’accord, demain alors. Profite bien de ta nuit. Il tourna les talons et quitta la pièce, refermant la porte avec un clic sonore. Noura resta immobile, le souffle court. Elle savait qu’il reviendrait et que cette fois, il ne se contenterait pas d’un simple refus.
La por l’envahissait, mais une autre émotion montait en elle, une colère sourde, profonde. Abel ignorait à qui il avait affaire. Allongé dans l’obscurité, Noura repensait à son passé. Elle n’était pas une simple fille de village comme il le croyait. Elle avait grandi dans un endroit isolé près d’une rivière sacrée où les anciens racontaient des histoires de créatures mihumaines mi divines.
Nous rapportait en elle un secret, un pouvoir qu’elle avait appris à cacher. Mais ici, dans cette maison, face à cet homme qui pensait pouvoir la dominer, elle sentait ce pouvoir frémir, prêt à surgir. Elle passa la nuit à réfléchir. Fuir ? Non, elle n’avait nulle part où aller. Affronter Abelle ? pas encore. Elle devait gagner du temps, comprendre ses intentions et surtout protéger son secret.
Car si Abel découvrait ce qu’elle était vraiment, les choses pourraient devenir encore plus dangereuses. Elle ferma les yeux, essayant de calmer son esprit. La maison était silencieuse, mais une tension invisible flottait dans l’air comme une tempête sur le point d’éclater. De son côté, Abel regagna sa chambre sur de lui.
Il avait l’habitude de tout contrôler, son entreprise, ses employés, sa vie. Noura n’était à ses yeux qu’une opportunité de plus, une fille en défense qu’il pourrait plier à sa volonté. Il s’endormit avec un sourire, convaincu que le lendemain lui donnerait ce qu’il voulait.
Mais il ne savait pas que Noura, sous son apparence fragile, cachait une force qu’il ne pourrait jamais comprendre. La nuit s’écoula lentement. À l’aube, Noura se leva déterminé. Elle ne serait pas une victime. Pas cette fois. Elle enfila la robe qu’Abelle lui avait donné, se regarda dans le miroir. Ses yeux brillaient d’une lueure étrange, presque surnaturelle. Elle murmura pour elle-même : “Demain, tout changera.
” Le lendemain soir, la maison d’Abelle était plongée dans un silence oppressant. Noura, assise sur son lit, attendait. Elle savait qu’Abelle viendrait comme il l’avait promis. La peur qu’elle avait ressenti la veille s’était transformée en une détermination froide. Elle n’était plus la fille tremblante qu’il avait trouvé sous la pluie.
Ce soir, elle lui montrerait qui elle était vraiment. La porte s’ouvrit brutalement. Abel entra s’en frapper, son regard chargé d’arrogance. Tu as promis”, dit-il d’un ton sec. “Tu me dois !” Noura se leva lentement, le fixant droit dans les yeux. “Chef, vous ne savez pas qui je suis ?” murmura-t-elle, sa voix étrangement calme.
Abelle éclata de rire, s’approchant d’elle. “Appelle la police si tu veux, personne ne t’entendra”, rikatil. Il tendit la main et lui attrapa le poignet avec force. À cet instant, tout bascula. Noura poussa un cri perçant, un son qui n’avait rien d’humain. Son corps se mit à trembler puis à changer. Saup se couvrit des cailles luisantes d’un verre profond mêlé d’éclat doré.
Ses jambes fusionnèrent, s’allongèrent et devinrent une longue queue de serpent sinueuse et puissante. Ses yeux, autrefois doux, s’illuminèrent d’un jaune intense, fendu comme ceux d’un reptile. Ses cheveux semblaient flotter comme animés par une force invisible. Abel hurla, trébucha et tomba en arrière, son visage déformé par la terreur. Que qu’est-ce que tu es ? Bégaya Til rampant pour s’éloigner.
Je t’avais prévenu, Abel, répondit Noura, sa voix raisonnant comme un écho venu d’un autre monde. La pièce semblait vibrer sous l’effet de sa présence. La queue de serpent s’enroula légèrement, frappant le sol avec un bruit sourd. Abel, paralysé ne pouvait détacher ses yeux de la créature devant lui.
Il avait cru dominer une pauvre fille, mais il faisait face à quelque chose de bien plus grand, de terrifiant. Noura s’approcha, sa silhouette mi humaine, mi serpentine glissant sans effort. “Tu pensais pouvoir me manipuler ?” dit-elle. Mais tu as fait une grave erreur. Abel le souffle court cherchait désespérément uneissu.
La porte était fermé, les fenêtres trop loin. Il était piégé. Pitié, je ne savais pas. Balbuciate et il Mais Noura ne l’écoutait pas. Elle sentait la colère montée en elle, une colère ancienne, nourrie par des années de secret et de douleur. Elle n’avait pas choisi d’être ce qu’elle était, mais ce pouvoir, cette malédiction était désormais sa force.
Elle pouvait détruire Abelle en un instant et il le savait. Pourtant, elle s’arrêta. Tuer Abelle maintenant serait trop facile. Elle voulait qu’il souffre, qu’il comprenne l’ampleur de ses erreurs. Elle reprit lentement sa forme humaine, ses écailles disparaissant, sa queue redevenant des jambes.
Mais ses yeux gardaient cette lueure jaune, un rappel de sa véritable nature. “Tu vivras, Abel”, dit-elle, “ma tu regretteras ce que tu as fait.” Elle tourna les talons et quitta la pièce, laissant Abel tremblant sur le sol. Il ne dormit pas cette nuit-là. Les images de Noura, de son corps serpentin, de ses yeux perçants, hantaient son esprit.
Il comprenait maintenant qu’il avait invité un monstre sous son toit, un monstre qui connaissait ses secrets les plus sombres. Et il savait que ce n’était que le début. Abel, toujours à terre, tremblait comme une feuille. La porte de la chambre était verrouillée, l’empêchant de fuir. Il se retourna, les yeux écarquillés, fixant Noura qui reprenait peu à peu sa forme humaine.
Ses écailles s’effaçaient mais son regard restait glacial, inhumain. “Y pitié, ne me fais pas de mal”, supplia, la voix brisée. Noura s’approcha lentement. C’est pas raisonnant dans la pièce silencieuse. “Je ne suis pas venu ici par hasard, Abel”, dit-elle. Je suis venu pour toi. Abel cligna des yeux confus. Mais je ne te connais pas. Noura pencha la tête.

Un sourire amer sur les lèvres. Tu ne te souviens pas de Cindy ? Ce nom frappa Abelle comme un coup de poignard. Cindy. Un nom qu’il avait enfoui au fond de sa mémoire. Un souvenir qu’il avait cru oublier. Son cœur s’arrêta un instant. Les images revinent en force. Une jeune fille naïve arrivée en ville avec des rêves pleins la tête.
Abel lui avait promis un travail, une vie meilleure, mais il l’avait attiré chez lui, l’avait manipulé, violé et quand elle avait menacé de parler, il l’avait tué. Son corps avait été abandonné dans une ruelle près du marché sous la pluie, comme un déchet. “Les Cindy, était ma sœur”, murmura Noura, sa voix tremblante de colère. Abel s’effondra, les larmes aux yeux.
Non non, ce n’est pas possible balbuatil. Noura s’agenouilla devant lui, ses yeux plongés dans les siens. Tu l’as détruite, Abel ? Elle était tout ce que j’avais. Et toi, tu l’as jeté comme si elle ne valait rien. Les souvenirs défilaient dans l’esprit d’Abel. Il revoyait le visage de Cindy, ses pleurs, ses supplications.
Il avait cru que personne ne saurait, que son argent et son pouvoir le protégerait. Mais Noura était là et elle savait tout. “Comment, comment sais-tu ?” demanda-t-il la gorge serrée. “Les esprits de la forêt m’ont parlé”, répondit Noura. “Ils t’ont vu, ils m’ont guidé jusqu’à toi.” Abel trembla. les esprits. Il n’avait jamais cru à ces histoires de village, ses comptes sur les créatures surnaturelles.
Mais face à Noura, face à sa transformation, il ne pouvait plus douter. Elle était plus qu’humaine, une force née d’un monde qu’il ne comprenait pas. “Je suis désolé, je ne voulais pas”, murmura-t-il désespéré. “Tes excuses ne ramèneront pas Cindy, coupan ! “Mais tu vas payer lentement Elle se releva imposante malgré sa silhouette frê. Abel sentit une terreur profonde l’envahir.
Il n’était plus le puissant milliardaire, maître de son empire. Il était une proie coincé dans sa propre maison face à une créature qui connaissait son crime. Noura ouvrit la porte d’un geste brisant le verrou comme s’il n’était rien. Ne t’avise pas de fuir, dit-elle. Je te retrouverai toujours. Elle disparut dans le couloir, laissant à Belle seule avec ses souvenirs et sa peur.
Il passa la nuit recroquevillé, incapable de fermer les yeux. Chaque bruit, chaque ombre le faisait sursauter. Il savait que Noura ne plaisantait pas. Elle était là pour se venger et il n’avait aucun moyen de lui échapper. Le passé qu’il avait cru enterré venait de ressurgir sous une forme terrifiante. Le lendemain matin, Abel était méconnaissable.
Paul, les yeux cernés, il descendit au salon où sa femme l’attendait pour le petit-déjeuner. Noura était déjà là, vêtu d’une robe simple, un sourire discret aux lèvres. Elle jouait son rôle à la perfection, une jeune fille timide et reconnaissante. Abelle, encore sous le choc de la nuit précédente, présenta Noura d’une voix tremblante.
“Voici Noura, la nouvelle bonne, marmona-t-il. Sa femme, Claire, une femme élégante mais méfiante, ossa un sourcil. Une bonne ? Depuis quand-tu des inconnus sans m’en parler ? Abel bafouilla une excuse vague, évitant le regard de Noura, clair, bien que sceptique, accepta. Noura s’inclina légèrement, jouant la soumission.
Elle commença son travail immédiatement, nettoyer, ranger, servir le thé avec une grâce naturelle. Les domestiques la regardaient avec curiosité. Impressionné par son efficacité, personne ne soupçonnait ce qu’elle était vraiment. Mais chaque nuit, tout change. Quand la maison s’endormait, Noura reprenait sa forme de serpent.
Silencieuse, elle glissait jusqu’à la chambre d’Abelle. Il se réveillait en sursaut, terrifié, la voyant apparaître, ses yeux jaunes brillant dans l’obscurité. Te souviens-tu de Cindy ? murmura elle, sa voix sifflante. Abel, incapable de répondre, tremblait sous ses draps. Il ne dormait plus, ne mangeait presque plus. Ses cheveux grisonnaient, ses mains tremblaient.
Le puissant chef d’entreprise, autrefois si sûr de lui, était devenu l’ombre de lui-même. Noura, elle continuait sa double vie, servante discrète le jour, créature vengeresse la nuit. Claire remarqua le changement chez son mari. Qu’est-ce qui t’arrive, Abel ? Tu es malade ?” demanda-t-elle un soir. Il secoua la tête, incapable d’expliquer.
“Comment aurait-il pu dire la vérité ? Que Noura n’était pas humaine, qu’elle connaissait son crime, qu’elle le torturait chaque nuit. Il vivait dans une prison invisible, sous le même toit que sa femme qui ignorait tout. Noura, de son côté observait tout. Elle savait que Claire commençait à se poser des questions, mais elle n’avait pas peur.
Elle avait un plan et chaque jour, elle resserrait son emprise sur Abel. Elle le forçait à la traiter avec respect devant les autres, à lui donner des tâches légères, à la protéger des soupçons. Les domestiques chuchotaient, trouvant étrange qu’une simple bonne reçoive autant d’égard.
Une nuit, Noura s’approcha encore d’Abel, sa queue de serpent frôant le sol. “Tu pensais que ta richesse te protégerait ?”, dit-elle. Mais l’argent ne peut rien contre moi. Abel à bout de force murmura. Que veux-tu de moi ? Ta souffrance, répondit-elle froidement. Tu vivras avec ta culpabilité jusqu’à ce que tu ne puisses plus la supporter.
Elle disparut, le laissant seul dans l’obscurité. Abel savait qu’il ne pouvait pas lutter. Noura était partout dans ses rêves, dans ses cauchemars, dans sa maison. Il était devenu un esclave dans son propre manoir, surveillé par une créature qui ne lui laissait aucun rép. Pendant ce temps, Noura continuait son jeu.
Elle gagnait la confiance des domestiques, souriait à clair, jouait la parfaite employée. Mais derrière ses yeux doux, elle préparait la prochaine étape de sa vengeance. Elle voulait plus qu’ffrayer Abelle. Elle voulait tout lui prendre, son pouvoir, sa famille, sa vie. Et elle savait exactement comment s’y prendre. Les jours passèrent et Noura resserrait son emprise sur la maison d’Abel. Elle n’était plus seulement la bonne.
Par des manipulation subtiles, elle gagnait en autorité. Elle donnait des ordres domestiques, choisissait les menus, décidé même de l’organisation des réceptions. Claire, l’épouse d’Abel, s’agçait de cette intrusion, mais Abel, terrifié par Noura, ne s’opposait jamais. Un soir, Noura entra dans le bureau d’Abel où il s’était enfermé pour échapper à son regard.
Répudit ta femme et épouse-moi ordonna T elle sa voix froide comme la pierre. Abelle pâle secoua la tête. Non je ne peux pas faire ça. Claire est ma femme. Noura sourit. Un sourire qui glaça le sang d’Abelle. Alors je prendrai ma revanche ce soir murmura-t-elle. Cette nuit-là elle apparut dans sa forme de serpent plus terrifiante que jamais.
Sa queue s’enroula autour du lit, ses yeux jaunes fixés sur lui. Abel, incapable de crier, sentit son cœur s’arrêter. Le lendemain, il s’éda. Lors d’un dîner tendu, il annonça à Claire qu’il la quittait. C’est fini, balbuciaté, évitant son regard. Claire, furieuse, quitta la maison en pleur, emportant ses affaires.
Les domestiques, choqués, chuchotaient dans les couloir. Noura, elle s’installa dans la chambre conjugale, prenant la place de Claire. Elle ne se cachait plus. Elle donnait des ordres à Abel comme à un serviteur, le forçant à lui obéir devant tout le monde. Prépare monter, Abel, disait-elle avec un sourire cruel. Il obéissait la tête basse sous le regard médusé des domestiques.
Noura régnait désormais sur la maison. Elle portait des robes élégantes, dormait dans le grand lit, commandait les repas les plus raffinés. Les voisins commencèrent à jaser. “Abel a perdu la tête”, murmurait-on. Cette femme l’a ensorcelé. Ses amis, inquiets, vinrent lui rendre visite, mais face à Noura, il repartait troublé.
Elle avait une aura étrange, presque surnaturelle. Certains juraient avoir vu ses yeux briller dans la pénombre. Abel, lui, n’était plus qu’une ombre, un homme brisé qui vivait dans la peur. Noura savourait chaque instant. Elle avait transformé le puissant milliardaire en un serviteur docile. Chaque nuit, elle lui rappelait Cindy, son crime, sa honte.
Abel ne résistait plus. Il savait qu’elle pouvait le détruire en un instant d’un simple regard ou d’un mouvement de sa queue serpentine. Les domestiques terrifiés évitait de croiser son regard. Certains quittèrent leur emploi incapable de supporter l’atmosphère oppressante de la maison.
Ce qui restaient obéissaient à Noura sans poser de questions. Elle était devenue la reine incontestée, une souveraine à la fois belle et terrifiante. Abel, lui, vivait dans un cauchemar éveillé. Il revoyait Cindy dans ses rêves, entendait sa voix, sentait son regardateur. Noura ne le laissait jamais oublier.
Elle le forçait à regarder des photos anciennes, à revivre son crime, à affronter sa culpabilité. Un jour, un voisin courageux tenta de parler à Abel. Que se passe-t-il ? Cette femme, elle n’est pas normale. Abelle, les yeux vides, murmura. Vous ne pouvez pas comprendre. Noura, entendant la conversation apparut soudain. Le voisin recula terrifié par son sourire glacial. Il ne revint jamais.
La maison d’Abel, autrefois un lieu de luxe et de pouvoir, était devenue une prison et Noura en était la gardienne impitoyable. Des semaines s’écoulèrent sans nouvell d’Abelle. Sa mère, Rose, une femme à gé énergique, s’inquiéta. Elle vivait loin dans une petite ville, mais les rumeurs sur son fils étaient parvenues jusqu’à elle. Il avait chassé sa femme, vivait avec une étrange jeune fille et semblait avoir perdu la raison.
Rose décida de venir en ville pour comprendre. Lorsqu’elle arriva au manoir, elle fut choquée. La maison, autrefois impeccable, semblait négligée. Les jardin étaient mal entretenus, les fenêtres poussiéreuses. À l’intérieur, elle trouva Abelle dans la cuisine en haluchant des haricots.
Lui, le milliardaire qui dirigeait un empire, était réduit à l’état de domestique. “Abel !” s’écria-t-elle. “Qu’est-ce qui t’arrive ?” Il leva les yeux, le regard vide et murmura. Maman, c’est compliqué. Avant qu’il ne puisse expliquer, Noura entra, vêtu d’une robe somptueuse, un sourire narquois aux lèvres. “Et qui êtes-vous ?” demanda Rose, indigné.
“Je suis sa femme”, répondit Noura avec assurance. Rose, furieuse, se tourna vers son fils. “À ta femme, Claire ! Explique-toi. Abel bafouilla, incapable de répondre. Rose, outré pointa un doigt sur Noura. Vous sortez de cette maison immédiatement. Noura éclata d’un rire froid. Puis, sans prévenir, son corps changea. Sa peau se couvrit des cailles.
Sa silhouette s’allongea en une queue de serpent massive. Ses yeux jaunes brillaient. Ses crosintillaient dans la lumière. Rose recula, trébuchant le cœur battant. “Mon Dieu, qu’êtes-vous ?” murmura-t-elle terrifiée. À cet instant, la porte s’ouvrit. Claire, l’ex-femme d’Abelle, entra alertée par les rumeurs. Elle s’arrêta net en voyant Noura sous sa forme serpentine. “Abelle !” cria-t-elle.
“Qu’est-ce que c’est que ça ?” Noura, impassible, reprit lentement sa forme humaine. “Vous voulez savoir qui je suis ?”, demanda-t-elle. “Je suis la vengeance.” Rose et clair, figé, échangèrent un regard. “Abel, tremblant, s’effondra à genoux. “Je suis désolé”, murmura-t-il. Rose, malgré sa peur, s’approcha de son fils.
“Que as-tu fait, Abel ? Parle !” Mais il ne pouvait pas. La honte et la terreur l’étouffait. Noura, elle observait la scène avec satisfaction. Elle savait que l’arrivée de Rose etclair jouait en sa faveur. Leur présence allait forcer Abelle à affronter son passé devant celle qu’il aimait. “Demain, Dinoura, tout le monde saura la vérité.” Elle quitta la pièce, laissant Rose éclair sous le choc.
Rose prit son fils dans ses bras, mais il tremblait, incapable de parler. Claire, elle regardait autour d’elle, cherchant des réponses. “Cette femme, elle n’est pas humaine”, murmura-t-elle. Roseocha la tête, les larmes aux yeux. “Nous devons faire quelque chose pour sauver Abel.” Mais au fond d’elle, elle savait que Noura était plus qu’une simple femme.
Elle était une force surnaturelle, une créature née de la colère et de la douleur. Rose et Claire passèrent la nuit à discuter, cherchant un moyen de libérer Abelle. Mais chaque plan semblait futile face à la puissance de Noura. De son côté, Noura préparait l’étape finale. Elle voulait qu’Abelle soit brisé non seulement dans son esprit mais aussi aux yeux du monde.
Elle savait que la vérité sur Cindy allait bientôt éclater et elle s’assurait que tout le monde soit là pour assister à la chute d’Abel. Le lendemain, une foule se rassembla devant le manoir d’Abelle. Les rumeurs s’étaient répandues comme une traînée de poudre. Une étrange femme régnait sur la maison. Abelle était méconnaissable et quelque chose de terrifiant se passait.
Voisins, anciens amis, domestique licencié, tous étaient là, curieux et inquiets. Noura se tenait sur le perron droite, imposante, son regard balayant la foule. Abel, pas tremblant, était à ses côtés, forcé de rester là. Rose éclair, dans la foule, le regardait avec un mélange de pitié et de colère.
Udleur ordonna Noura, sa voix tranchante comme une lame. Où je le ferai ? Abel déglit mains moite. Il sentit les regards pesés sur lui, lourd de jugement. Il ouvrit la bouche mais aucun son ne sortit. Noura s’approcha, murmurant à son oreille. Parle où je te transforme en cendre. Il craqua. Le tué Cindy avoit-il des larmes roulant sur ses joues.
Un silence glacial s’abattit sur la foule. Puis des murmurs, des cris d’indignation. Rose porta une main à sa bouche choqué. Claire recula, le visage déformé par le dégot. Cindy murmura un voisin. La fille du marché. Abelle aucha la tête, incapable de les regarder. J’ai abusé d’elle et je l’ai tué. La foule explosa. Des insultes fusaient, des points se serraient.
Ses amis, ceux qui l’avaient admirés, tournèrent les talons et curé. Rose s’effondra en sanglot, soutenu par Claire. Nous appritant comme un verdict. Cindy n’était pas une fille ordinaire, déclara-elle. C’était une fille de l’eau, une créature sacrée. Et toi, Abel, tu as versé son sang. Les gens échangèrent des regards perplexes, une créature sacrée.
Certains connaissaient les légendes du village, les histoires d’esprit et de divinité vivant dans les rivières et les forêts. Mais ici en ville, ces récits semblaient irréels. Pourtant, face à Noura, ils commencèrent à douter. Les esprits de la forêt t’ont vu. Continue à Noura, ils m’ont envoyé. Tu as profané un être sacré et ils t’ont maudit.
Un frisson parcourut la foule. Certains reculèrent effrayés par l’ura de Noura. Elle n’avait pas besoin de se transformer pour imposer sa présence. Ses mots, sa voix, son regard suffisait à glacer le sang. Rose s’avança les larmes aux yeux. “Pourquoi ? Pourquoi mon fils ?” demanda-t-elle.
Noura la fixa sans pitié parce qu’il a choisi de détruire. Cindy était ma sœur et maintenant il pai. La foule resta silencieuse, digérant l’horreur de la vérité. Abel, brisé, tomba à genoux. Il n’était plus l’homme puissant qu’il connaissait. Il était un criminel, un monstre démasqué. Claire, bouleversé, s’approcha de Noura. Et toi, qui es-tu vraiment ? Noura sourit, un sourire énigmatique.
Je suis la justice, répondit-elle simplement. La foule commença à se disperser, murmurant. choqué. Certains appelaient la police, d’autres fuyaient. Terrifiés par Noura. Rose et Claire restèrent incapable de quitter Abel malgré tout, mais elle savait qu’il n’y avait plus rien à faire. Noura avait gagné. Elle avait exposé la vérité, humiliée à Belle devant tous ceux qui comptaient pour lui.
La nuit tomba sur le manoir, désormais silencieux. Noura se tenait seul sur le perron, regardant la ville. Sa vengeance était presque complète. La foule s’était dispersée, laissant Abelle seul face à son destin. Noura, immobile, le regardait s’effondrer sur le perron. Ses aveux avaient tout changé.
Il n’était plus le milliardaire respecté, mais paria, un homme maudit par son passé. Rose, sa mère, s’approcha les yeux pleins de larmes. Prends ma vie, pas celle de mon fils supplie Telle se jetant au pied de Noura. Noura la fixa, son regard aussi froid que la pierre. Non, répondit-elle. La mort serait trop douce pour lui.
Elle s’approcha d’Abelle qui tremblait, incapable de la regarder. Tu vivras, Abel, dit-elle, mais tu seras pauvre, oublié, seul. jusqu’à ta mort. Elle leva une main et une lure étrange brilla dans ses yeux. Puis, sans un mot, elle disparut dans la nuit comme avalée par l’obscurité. Les jours qui suivirent furent un cauchemar pour Abel. Son empire s’effondra.
Ses partenaires d’affaires, apprenant son crime rompirent leur contrat. Ses comptes bancaires furent gelés, c’est bien saisis. Le manoir, symbole de sa richesse, fut vendu aux enchères. Une semaine plus tard, il se retrouva à la rue, vêtu de haon et rend dans la ville qu’il avait autrefois dominé. Ses amis l’avaient abandonné. Claire, son ex-femme, était partie sans un regard en arrière.
Même Rose, sa mère, brisée par la honte, avait quitté la ville. Abel était seul, hanté par le souvenir de Cindy et la voix de Noura. Chaque nuit, il revoyait ses yeux jaunes, entendait ses mots. Tu regretteras ce que tu as fait. Les gens qu’il croisaient détournaient le regard. Les rumeurs s’étaient répandues. Abel, le meurtrier, l’homme maudit.
Certains murmuraient qu’une créature surnaturelle l’avait puni. D’autres croyaient qu’il avait simplement perdu la raison. Mais tous s’accordaient sur une chose, il n’était plus rien. Assis sous un pont, tremblant de froid, Abel pleurait. Il repensait à sa vie d’avant, à son arrogance, à son pouvoir. Tout cela n’était plus qu’un souvenir.
La malédiction de Noura s’était réalisée. Il vivait mais dans une prison de solitude et de honte. Chaque passant, chaque bruit lui rappelait son crime. Cindy, le marché, la pluie. Il tenta de se raccrocher à un espoir de croire qu’il pourrait se relever. Mais au fond de lui, il savait que c’était impossible. Noura ou les esprits qu’elle invoquait l’avaient marqué à jamais. Il ne trouverait jamais la paix.
Un soir, alors qu’il fouillait une poubelle pour trouver de quoi manger, il entendit un sifflement. Il se retourna terrifié, mais il n’y avait rien, juste le vent ou peut-être Noura, qui veillait invisible, s’assurant qu’il souffre jusqu’à son dernier souffle. La ville, autrefois son royaume, était devenue son enfer.
Les passants le regardaient avec pitié ou mépris. Les enfants rient de lui. Abel, l’homme qui avait tout, n’avait plus rien, pas même un nom. Et quelque part, loin de la ville, Noura observait. Elle n’avait pas besoin d’être là pour savoir qu’Abel payait. Sa vengeance était complète. Cindy, sa sœur, pouvait reposer en paix.
Les esprits de la forêt, satisfaits, c’était tu. Mais pour Abel, le cauchemar ne finirait jamais. Il vivrait avec sa culpabilité seul jusqu’à ce que la mort vienne le chercher. Chers spectateurs, quelles leçons tirez-vous de cette histoire ? Partagez vos pensées dans les commentaires. Si l’histoire vous a plu, donnez un pouce levé, partagez-la et abonnez-vous.
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Enceinte Du Fils Du Milliardaire… Il M’a Donné De L’Argent Pour Avorter
Enceinte Du Fils Du Milliardaire… Il M’a Donné De L’Argent Pour Avorter. Débarrasse-ten. Voici 50000 dollars. L’enveloppe heurta la table…
Elle a acheté un homme pauvre a 500.000 pour donner une leçon à ses parents mais tomba amoureuse…
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Une infirmière pauvre a été engagée comme domestique pour laver un milliardaire dans le coma
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Après la disparition de leur fils, un berger allemand frappe quotidiennement à leur fenêtre – et là où cela les mène, ils pâlissent !
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😱Une Fille Sans-Abri Accusée De Sorcellerie Guérit La Fille D’un Milliardaire – Ce Qui Se Passe …
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