Quand la télé-réalité s’embrase et qu’un DJ construit un empire : une semaine électrique entre The Cerveau, Star Academy et Quentin Mosimann

À la veille de son départ de The Cerveau, Nadège Lacroix a tenu à s’offrir un dernier moment privilégié avec Alexandre, son crush assumé depuis plusieurs semaines. La jeune maman ne s’y est pas trompée : ce dîner d’adieu s’est transformé en véritable confidence, le jeune homme révélant à l’ancienne gagnante de Secret Story l’attirance qu’il porte à son égard. Un final à la hauteur d’un feuilleton sentimental qui a tenu les téléspectateurs en haleine.
Mais ce samedi 29 novembre 2025, l’attention du public se tourne vers un autre phénomène : un prime de la Star Academy annoncé comme l’un des plus intenses de la saison. Au cœur de cette soirée, une règle exceptionnelle vient bouleverser tous les repères : la fameuse « semaine des destins liés ». Les évaluations, rendues ce mercredi soir, ont scellé le sort de quatre élèves. Deux binômes se retrouvent officiellement nominés : d’un côté Jeanne et Léo, de l’autre Lily et Théo L.
Pour Théo L., cette nomination sonne comme un coup dur : c’est déjà la deuxième de son aventure. Pour Jeanne, Léo et Lily, c’est une première exposition au danger, une étape souvent redoutée dans le château de Dammarie-les-Lys. Dès à présent, les téléspectateurs doivent trancher entre les deux duos. Le binôme non sauvé verra ensuite son sort départagé individuellement par les votes des autres académiciens : une mécanique rare, redoutée, et qui promet une élimination d’autant plus cruelle qu’elle repose sur les relations internes entre élèves.
Ce prime dramatique accueillera en outre des artistes majeurs : Gims, Tina Arena, Superbus et Linh viendront électriser la scène, promettant des performances inédites et une soirée où tout peut basculer.

Quentin Mosimann, témoin d’une époque et architecte d’un parcours atypique
Cette tension, un ancien gagnant de la Star Academy la connaît bien. Quentin Mosimann, dix-sept ans après sa victoire, observe aujourd’hui son parcours avec une lucidité amusée. À 37 ans, l’artiste franco-suisse est devenu bien plus qu’un chanteur issu d’un télé-crochet : il est désormais un DJ mondialement reconnu, producteur recherché, compositeur prolifique et, récemment, chroniqueur sur France Inter.
Il aime résumer son ascension d’une formule qui lui ressemble :
« Il faut quinze ans pour réussir du jour au lendemain. »
À la sortie de l’émission, son chemin n’a rien eu du boulevard lumineux que l’on imagine parfois. Son premier album, Duel, dévoile une identité musicale double : jazz et variété d’un côté, électro de l’autre. Mais très vite, une évidence s’impose à lui. Ce n’est pas la voix qui le porte, mais la scène. L’énergie. L’électro. En 2012, il assume pleinement cette métamorphose avec un titre manifeste : Je suis DJ.
À partir de là, tout s’accélère. Les clubs s’arrachent son nom, les festivals internationaux aussi. Il s’impose durablement dans le DJ Mag Top 100, devient juré dans The Voice Belgique, multiplie les résidences, affine son identité artistique.
Le phénomène des Dream Tracks : créativité, viralité et renaissance
Ces dernières années marquent un tournant décisif dans sa carrière : l’émergence des Dream Tracks, ces morceaux composés en direct avec des personnalités aussi surprenantes que Alain Chabat, Bob Sinclar, Florent Manaudou ou encore Katseye. Sur TikTok, les vidéos deviennent virales ; l’humour, la spontanéité et la bienveillance de l’artiste séduisent une génération entière qui, pour beaucoup, ne l’avait jamais vu dans la Star Academy.
« Parfois ça marche, parfois ça flop, mais ça commence toujours par une discussion et un peu de folie », explique-t-il.
Un concept simple, authentique, et explosif.

Des collaborations prestigieuses et une carrière qui s’emballe
Parallèlement, Mosimann multiplie les collaborations : Grand Corps Malade, Louane, Patrick Bruel, Cecilia Krull… Une palette artistique large, presque déroutante, mais profondément cohérente avec son ADN de producteur tout-terrain.
Son dernier titre, Halo, défendu lors des NRJ Music Awards, a rencontré un accueil chaleureux. Et l’année 2026 promet de faire encore plus de bruit avec la sortie d’un nouvel album, accompagnée d’un Dream Tour déjà presque sold out, jusque dans les Zénith parisiens.
Depuis la rentrée, Quentin ajoute une nouvelle corde à son arc avec une chronique hebdomadaire sur France Inter, chaque mercredi à 8h55.
« Je ne soupçonnais pas ce talent-là. J’avais besoin d’un espace pour dire des choses plus personnelles », confie-t-il.
Des revenus impressionnants et un empire construit en silence
Au fil des années, l’artiste a bâti un véritable empire financier. Son passage du statut de chanteur à celui de DJ s’est révélé particulièrement payant. Dès 2014, il révélait gagner 7 000 € pour deux heures de set en France, et bien davantage en Asie ou au Moyen-Orient. En 2015, Capital annonçait même qu’il avait dépassé le million d’euros de revenus en une seule année.
Ses exigences de l’époque avaient fait réagir :
jet privé à 10 000 € pour deux jours,
suite d’hôtel minimum 4 étoiles,
chauffeur privé,
cachet de 12 000 € la soirée…
Des conditions qui faisaient parler, mais qui, selon les promoteurs, restaient largement rentabilisées tant la demande était forte.
En parallèle, le DJ n’a jamais cessé d’investir : dans ses productions, dans son équipe, dans sa liberté artistique. Professeur à l’école des DJ de l’UCPA à Lyon, auteur, compositeur… il a structuré sa carrière comme une entreprise, avec méthode et intuition.
D’un milieu modeste à une réussite assumée
Derrière cette trajectoire impressionnante se cache une histoire beaucoup plus simple. Quentin a grandi dans un milieu modeste. Il vit aujourd’hui entre Paris, la Suisse et le Sud de la France, compose parfois dans la crêperie familiale de son père, et rit encore de voir des salles se remplir des mois à l’avance.
Il n’oublie rien de ses débuts :
« J’ai participé à la Star Ac pour aider ma mère », rappelle-t-il.
Dix-sept ans plus tard, il mesure le chemin parcouru. Une réussite artistique, mais aussi économique, bâtie sans fanfaronnade.
« J’ai l’impression qu’on m’écoute plus aujourd’hui », dit-il.
Ce samedi soir, alors que les élèves de la nouvelle promotion tenteront de sauver leur place sur la scène de TF1, son parcours rappelle qu’un télé-crochet peut encore faire éclore de véritables artistes. Et, parfois, même des carrières internationales.
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