Je m’appelle Laeticia Hallyday et, pendant 23 ans, j’ai partagé la vie d’un homme aussi grand que tourmenté : Johnny. Aujourd’hui, je prends la plume pour dire ce que je n’ai jamais osé : ma haine viscérale envers David Hallyday, le fils de mon mari, dont l’ingratitude n’a cessé de me blesser.

Laeticia Hallyday en alerte : les confidences de David Hallyday

Tout a basculé le 5 décembre 2017. Johnny nous quittait, et avec lui, une certaine paix. Le testament qu’il avait laissé était clair : son patrimoine serait transmis à un trust, désignant comme bénéficiaires Jade, Joy et moi. Ce choix représentait bien plus qu’une répartition de biens. Il incarnait sa confiance, son amour, et notre avenir commun. Mais à peine la poussière du deuil retombée, David et Laura ont contesté ce testament. Leur demande ? Un droit de regard sur l’

David, surtout, m’a profondément déçue. Lui que j’ai considéré comme mon propre fils s’est mué en adversaire impitoyable. Ses avocats ont dénoncé les montages financiers, questionné la validité des testaments, et attaqué ma légitimité avec une froideur glaçante. Ce n’était plus une affaire de famille, mais une entreprise stratégique pour renverser ce que Johnny avait décidé en toute lucidité.

Ce n’est pas l’argent qui me ronge. C’est la trahison. La blessure de voir un homme que j’ai tant soutenu se retourner contre moi, nier notre histoire, et salir la mémoire de son père. Chaque réunion, chaque audience, chaque article dans la presse était une nouvelle déchirure. J’ai voulu préserver la paix, mais lui a préféré le conflit, alimentant sans relâche cette vendetta familiale.

Laeticia Hallyday CONFESSE sa haine pour David Hallyday - YouTube

Aujourd’hui, je n’ai plus peur de dire que je ressens de la haine. Pas une haine aveugle, mais une colère née d’années de désillusions. David a trahi Johnny, pas seulement moi. Il a fait passer ses intérêts avant la mémoire, la loyauté, et l’amour. Et je ne peux plus me taire.

Je parle au nom de celles et ceux qui, comme moi, ont été blessés par ceux en qui ils croyaient. Ce combat ne concerne pas un testament, mais la dignité d’un homme qui n’est plus là pour se défendre. Mon devoir est de protéger sa mémoire, même contre ceux qui portent son nom.