Il envoie par erreur une grosse somme à sa femme… au lieu de sa maîtresse.
Dans la grande ville de Maboco, rien n’était jamais vraiment calme. Entre les claxons interminables, les vendeuses de Beignet qui criaient leur prix et les mottaxis qui zigzaguaient comme si la mort ne les concernait pas, vivait Pierre Mabanza. Un homme riche, respecté et dangereusement avar. Mais ça Gabriella ne le savait pas. Pas encore.
Avant leur mariage, Pierre était l’homme parfait. Il l’appelait ma déesse, lui apportait des fleurs chaque jeudi, la sortait dans des restaurants où elle n’avait jamais mis les pieds. Il l’écoutait, la valorisait, lui promettait une vie douce, un foyer solide, un avenir serein.
Avec moi, tu ne manqueras jamais de rien, ma chérie. Je veux que tu sois heureuse. Gabriella avait fondu devant tant d’attention. Elle avait raconté à ses amis que Pierre était un homme rare, différent, prêt à la chérir comme une reine. Mais tout ça n’était qu’un masque soigneusement posé. Le jour du mariage, Pierre avait tout orchestré. Une salle luxueuse, un buffet extravagant, un orchestre qui avait joué jusque tard dans la nuit.
Mais ceux qui le connaissaient vraiment savaient, ce n’était pas de la générosité, c’était du paraître, de l’image, de la façade. Il voulait impressionner, rien de plus. Le vrai visage de Pierre n’apparut qu’après la lune de miel. Une semaine après l’installation dans leur maison, Gabriel a fit une simple demande.

Chérie, j’aimerais acheter quelques provisions pour remplir le frigo. Pierre frança les sourcils, surpris. provision ? Mais on en a déjà. Pourquoi tu veux dépenser inutilement ? Gabriel reste à bouche B. Il avait changé de ton, changé de visage. Le lendemain, elle demanda un peu d’argent pour acheter des produits d’entretien.
Pierre la fixa avec suspicion. Tu as dépensé mille francs hier et aujourd’hui encore. Gabriella, on ne gaspille pas comme ça ici. Il lui donna un billet de 2000 francs du bout des doigts comme s’il arrachait un morceau de son cœur. C’est ce jour-là que Gabriel a compris. L’homme charmant qu’elle avait épousé n’existait plus.
Semaine après semaine, Pierre devint de plus en plus contrôlant. Il surveillait les tickets de caisse. Il questionnait chaque dépense. Il rationnait l’argent comme si Gabriella était une petite fille responsable. 10000 francs pour le marché. Tu crois que je cueille l’argent sur les arbres ? Pourquoi tu veux allumer la climatisation ? Tu veux faire exploser la facture ? Gabriella pleurait parfois en silence.
Elle avait rêvé d’un mariage d’amour et se retrouvait prisonnière d’un homme pour qui chaque franc était une bataille. Le pire était quand il parlait aux autres. En public, Pierre redevenait charmant, poli, généreux. Il tenait Gabriella par la taille et disait d’une voix douce : “Voilà la femme de ma vie.” Ses amis l’applaudissaient. Gabriella, elle se taisait.
Qu’il aurait cru ? Un jeudi après-midi, Pierre devait rencontrer un client dans un hôtel luxueux. Le client annula au dernier moment. Pierre décida quand même de rester boire un jus de gingembre au bar. C’est là qu’il la vit. Jessica. Grande, élégante, parfumée, habillée à la dernière mode. Une femme dont la beauté attirait les regards comme un brasier attire les papillons.
Elle sourit à Pierre, un sourire qui frappa son cœur comme la première fois qu’il avait vu Gabriella. “Bonjour monsieur. Vous avez un style particulier ?” dit-elle en jouant avec une mèche de cheveux. Cette phrase suffit. Pierre était déjà ensorcelé. Avec Jessica, il redevint miraculeusement généreux. Il paya l’addition, puis il l’invita à dîner.
Puis il commença à lui offrir des cadeaux que Gabriella n’avait jamais reçu. La double vinais ce soir-là. Et il ne fallut pas longtemps pour que Pierre s’enfonce dans un piège qu’il croyait contrôler. Il ignorait que Jessica n’était pas intéressé par ses promesses, mais par son portefeuille. Et bientôt, elle allait réclamer beaucoup plus.
La relation entre Pierre et Jessica grandissait à une vitesse inquiétante. Pour elle, c’était un jeu. Pour lui, c’était une obsession. Dès qu’il recevait un message de sa maîtresse, il souriait comme un adolescent amoureux. Jessica, elle savait exactement quoi dire pour le manipuler. Pierre, je n’ai jamais rencontré un homme aussi spécial que toi.
Toi, tu comprends les femmes. Toi, tu prends soin de moi. Elle le flattait, le complimentait, l’écoutait. Elle lui donnait ce que Gabriella ne lui donnait plus, l’illusion d’être indispensable. Sauf que Gabriella ne lui donnait plus rien parce que Pierre se comportait comme un tyran. Forcément. À la maison, il devenait encore plus critique, encore plus avar.
Il surveillait tout. Un soir, Gabriella demanda timidement : “Pierre, j’aurais besoin de me faire coiffer.” Ça fait 3 mois que Il explosa. 3 mois, c’est encore trop tôt. Tu veux gaspiller l’argent pour rien ? Tu crois que les coiffures poussent des fruits dans les arbres ? Tu peux tenir encore un mois ou deux. Gabriel serra les dents, retint ses larmes et se dit : “Cet homme n’est plus le mien.
” Pendant que Gabriella souffrait en silence, Jessica devint de plus en plus exigeante. Elle voulait des robes. Il paya, elle voulait un nouveau téléphone. Il acheta, elle voulait un voyage. Il promit, mais ce n’était pas suffisant. Un jour, Jessica passa à la vitesse supérieure. Pierre, j’ai un projet, un business, mais j’ai besoin d’un capital, une grosse somme.

Pierre sentit la panique le gagner. Combien ? Elle annonça un montant si élevé qu’il reste à bouche ouverte. Mais Jessica posa sa main sur sa cuisse, rapprocha sa bouche de son oreille et murmura : “Je crois en toi, chérie. Fais-moi confiance et je te montrerai combien tu comptes pour moi.” Pierre n’hésita pas longtemps.
L’amour l’aveuglait. Enfin, ce qu’il croyait être de l’amour. Un samedi matin, Pierre se leva tôt. Gabriella, fatigué par son comportement, dormait encore. Dans son bureau, il s’assit, ouvrit son ordinateur, prit une profonde inspiration et tapa les chiffres du compte bancaire de Jessica. Il vérifia une fois, puis deux, mais il reçut à ce moment-là un message de Jessica.
J’attends mon argent aujourd’hui. Pas de retard. Son cœur s’emballa. Il se précipita. Il tapa sur le clavier trop vite et il valida. Virement effectué. Il souffla rassuré. Il allait impressionner sa belle maîtresse une fois de plus. Du moins, c’est ce qu’il croyait. Dans la chambre, le téléphone de Gabriella vibra.
Elle tendit la main, à moitié endormie et ouvrit les yeux. Notification virement reçu. Elle regarda le montant. Elle se redressa brusquement. Quoi ? Elle relu trois fois. C’était une grosse somme. Une somme qu’elle n’avait jamais vu sur son compte. Expéditeur Pierre M. Son cœur se serra. Elle comprit immédiatement.
Cet argent n’était pas pour elle. Pierre n’était pas capable de donner autant à sa propre femme. Elle descendit à la cuisine, s’assit, posa son téléphone sur la table et resta silencieuse. Quelque chose se brisa en elle. Mais ce n’était pas de la douleur, c’était de la lucidité. Elle avait toujours été patiente, toujours compréhensive, toujours prête à pardonner.
Mais cette fois-ci, elle ne dirait rien. Elle profiterait de ce que la vie ou le destin lui envoyait. Gabriella décida de faire quelque chose qu’elle n’avait plus fait depuis longtemps. Pensez à elle. Elle alla au grand marché de Maboko avec une amie. Elle acheta des robes élégantes, des perruques de qualité, du maquillage, de nouvelles chaussures.
Puis elle se rendit dans un salon de beauté réputée, celui où elle rêvait d’aller depuis des années mais que Pierre trouvait trop cher. Elle ressortit transformée, belle, rayonnante, métamorphosée. Quand elle rentra à la maison, Pierre ne remarqua rien. Il était trop occupé à regarder son téléphone, attendant un message de Jessica pour célébrer son geste généreux.
Mais Jessica ne dit rien. Elle ne remercia pas parce qu’elle n’avait rien reçu. Une heure plus tard, Pierre reçut un message sec. Où est l’argent ? Il répondit : “Je t’ai envoyé. Vérifie ton compte.” Jessica répondit immédiatement. Pierre, ne joue pas avec moi. Je n’ai rien reçu. Le sang de Pierre se glaça. Il courut dans son bureau, ouvrit sa banque en ligne et là, il vit l’impensable.
Destinataire, Gabriel AM. Montant, il sentit son cœur s’arrêter. Sa main trembla. Il comprit qu’il venait de commettre l’erreur qui allait détruire sa vie. Et ce n’était que le début. La découverte du transfert fut pour Pierre comme un coup de massu. Il relut les informations encore et encore, espérant un bug, un miracle, n’importe quoi.
Mais non. La vérité brillait en lettre noire. La grosse somme destinée à Jessica avait atterri sur le compte de sa femme. “Non, non, non, non !”, murmura-t-il en paniquant. Il tenta aussitôt d’annuler l’opération, mais le délai était passé. L’argent appartenait désormais légalement à Gabriella. La sueur coulait sur son front.
Il se leva d’un bon, sortit de son bureau et appela Gabriella. Gabriella, tu es où ? Elle était dans la chambre, calme, en train de plier soigneusement les nouvelles tenues qu’elle avait acheté. Elle leva les yeux vers lui avec un petit sourire. Oui, Pierre. Quelque chose ne va pas. Pierre, déstabilisé, ne savait même pas comment aborder le sujet.

Il tenta d’être subtil, mais la panique le trahissait. Tu n’as rien reçu aujourd’hui ? Je veux dire un message, un dépôt, quelque chose ? Gabriella joue parfaitement son rôle. Aussi, j’ai reçu quelque chose. Un très joli cadeau de ta part. Merci beaucoup. Elle sourit. Un sourire calme, mais c’était un sourire qui se plantait comme une aiguille dans la conscience de Pierre. Il devint blanc.
Elle savait, elle avait compris, elle se moquait de lui. Pendant ce temps, Jessica était en train de devenir folle. Elle appelait Pierre toutes les 10 minutes. Elle envoyait des messages longs comme des parchemins. Pierre, tu crois que je suis une idiote ? Où est l’argent ? Si tu te fiches de moi, je vais tout dire à ta femme.
Dernier avertissement, tu m’envoies la somme aujourd’hui. Dans la soirée, elle débarqua devant son bureau sans prévenir, sans discrétion. Elle hurla dès qu’elle le vit descendre les escaliers. Où est mon argent ? Pierre, tu m’avais promis. Tu te moques de moi ? Les collègues de Pierre se retournèrent. Le vigile, embarrassé tenta d’intervenir.
Madame, calmez-vous. Me calmez ? Cet homme m’a volé. Pierre essaya de la tirer à l’écart, mais Jessica était incontrôlable. Elle se dégagea brusquement. Tu veux jouer avec moi ? Je vais dire tout à ta femme. Tout. Les passants s’arrêtaient. Les téléphones se levaient. Certaines personnes commençaient déjà à filmer.
Humiliation totale et ce n’était que le début. Pierre rentra à la maison le visage trempé de sueur, détruit, humilié. Quand il ouvrit la porte, il trouva Gabriella assise sur le canapé, ce rèine comme une reine. Elle portait une robe qu’il ne lui avait jamais vu, des boucles brillantes et un maquillage délicat qui la rendait encore plus belle. Pierre reste à bouche B.
Gabriela, tu moi je profite de mon argent Pierre de Thon argent du cadeau que tu m’as fait. Pourquoi tu sembles surpris ? Il s’assit lourdement. Gabriella, rends-moi cet argent s’il te plaît. Je t’expliquerai. Elle le coupe à net. Je n’ai rien à t’expliquer, Pierre. Tu m’as menti, trahi, humilié. Et ce qui t’arrive maintenant ? Ce n’est pas mon problème.
Pierre sentit un frisson de peur. Il n’avait jamais vu Gabriella comme ça. Deux jours plus tard, Jessica ne décollérait pas. Elle revint devant l’immeuble de Pierre avec une amie encore plus agressive, encore plus bruyante. Pierre, tu es un menteur, un tricheur. Tu n’honores pas tes promesses. Les vidéos circulèrent rapidement sur les réseaux de la ville.
Pierre devint la risée de Maboko. Les gens commentaient. Le radin s’est fait avoir par sa propre maîtresse. Sa femme, elle doit rire maintenant. Quand tu joues avec deux femmes, faut être prêt à perdre tes dents. Pierre perdit sa crédibilité professionnelle. Des clients annulèrent leur rendez-vous. Son patron le convoqua.
Il n’était plus respecté. Il n’était qu’une blague ambulante. Une semaine après l’incident, Gabriel a pris une décision définitive. Elle retira le reste de l’argent, rangea quelques affaires dans une valise et déposa une lettre sur la table. Quand Pierre rentra ce soir-là, la maison était silencieuse. Trop silencieuse. Il vit la lettre.
Il l’a prit, ses mains tremblant. Pierre, tu as voulu impressionner ta maîtresse au lieu de respecter ta femme. Tu m’as méprisé, humilié, négligé. Aujourd’hui, je récupère ce que tu ne m’as jamais donné. Ma liberté. Tu peux garder Jessica. Moi, je garde ma dignité. Gabriel. Pierre s’effondra sur le sol. Il essaya d’appeler. Trop tard.
Elle avait bloqué son numéro. Sa maîtresse partie aussi. Elle n’avait plus rien à tirer de lui. Son argent diminé. Sa réputation détruite, son mariage mort. Pierre avait tout perdu à cause de sa propre avarice. Gabriella, longtemps prisonnière de la radinerie et du mensonge de son mari, finit par reprendre le contrôle de sa vie au moment où Pierre pensait tout contrôler.
Le destin ou plutôt son erreur a ouvert les yeux de Gabriella et révélé au grand jour la double vie de Pierre. Quant à Jessica, elle découvre elle aussi qu’on ne construit rien de solide sur le mensonge ni sur l’argent volé. Au final, Pierre se retrouve seul, honteux et sans respect, tandis que Gabriella avance avec dignité vers une nouvelle vie, plus libre, plus sereine et surtout en paix avec elle-même.
Moral de l’histoire, la vérité finit toujours par remonter comme l’huile sur l’eau. Les mensonges et la tromperie finissent toujours par détruire ceux qui les entretiennent. Ne sous-estime jamais quelqu’un que tu crois avoir écrasé. Le jour où il se relève, tu pourrais ne plus le reconnaître. Et surtout, l’argent peut acheter des envies, mais jamais le respect ni la fidélité.
Voilà les amis, c’était notre histoire du jour. Si tu as aimé cette histoire pleine de rebondissement, n’oublie pas d’aimer, de t’abonner à la chaîne et d’activer la cloche de notification pour ne rien rater des prochaines histoires incroyables. Dis-moi en commentaire, à la place de Gabriella, tu aurais fait quoi avec l’argent envoyé par erreur ? Je veux tout savoir.
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