Fille de Johnny Hallyday, Laura Smet balance sur son père : “C’est très malsain”

Laura Smet, actrice émérite, est la fille de Johnny Hallyday et Nathalie Baye. Elle évoque ses souvenirs d’enfance auprès de ses célèbres parents sous le feu des projecteurs.

Non, Laura Smet n’a pas choisi la voie de la chanson comme papa. Malgré quelques duos, de-ci de-là, notamment avec son frangin, David Hallyday, la fille de Johnny a suivi les pas de sa mère, Nathalie Baye. De fait, celle-ci devient actrice, de cinéma comme de théâtre. Au début des années 2000, Laura Smet a 20 ans et trouve un rôle de premier plan dans Les Corps impatients. Elle revient sans détour sur son enfance pas forcément toute rose auprès de ses célèbres parents.

Laura Smet, fille de Johnny Hallyday

1987 : Johnny Hallyday, taulier de la chanson française, le plus américain des chanteurs français, accouche de Laura. Un hit qui célèbre la naissance de sa fille, Laura Smet, grand bouleversement dans sa vie d’artiste mais surtout d’homme. En réalité, celle-ci est née quelques années auparavant, en 83. Un succès de plus dans le répertoire musical de Johnny.

Laura Smet est la fille du rockeur et de l’actrice de renom, Nathalie Baye. Dès son plus jeune âge, cette enfant de la balle côtoie la célébrité, autant de la musique que du cinéma. Laura Smet met du temps à trouver sa voie, voire sa voix. Dans les studios d’enregistrement ou sur les plateaux de tournage ? Elle se décidera sur le tard, un choix de carrière cornélien.

Elle est révélée à 20 ans au cinéma

En 2002, Laura Smet a seulement 19 ans. Elle est repérée par le cinéaste Olivier Assayas. La jeune femme perce l’année suivante, à 20 ans, dans Les Corps impatients signé Xavier Gianolli. Drame sulfureux conjuguant érotisme frontal et chronique ordinaire. L’actrice en herbe incarne une vingtenaire atteinte d’un cancer. Sa prestation est remarquée par la critique comme le public.

Pour ce rôle difficile, mise à nue de la féminité comme de la maladie, elle glane une nomination aux César. Mais la statuette lui file sous le nez au profit de Julie Depardieu pour La Petite Lili. Pas grave, Laura Smet empoche le prestigieux prix Romy Schneider comme lot de consolation. S’ensuit une carrière au cinéma guidée par des choix exigeants…

Laura Smet cash sur ses célèbres parents

Flashback : nous sommes en 2024 et Laura Smet donne une interview à Paris Match. L’actrice revient sur ses souvenirs d’enfance à l’image de cette fameuse couverture de magazine datant de 1983. L’année de la naissance de Laura Smet. Pour l’occasion, père et mère, Johnny Hallyday et Nathalie Baye, posent avec la fraîchement née Laura entre eux deux. Une première page qui devient un instantané culte dans la presse people, la carrière de l’artiste et la vie de Laura Smet.

Elle revient sans fard sur cette photo symbolique et son impact direct sur sa vie d’enfant de stars. “C’est très étrange, très intime comme photo, et en même temps ça fait partie de ma vie et de mon héritage.”, raconte Laura Smet avec un sourire de prime abord. “ Elle renchérit : “C’est deux personnes extrêmement connues et ils ont fait ça pour avoir la paix.” Puis, Laura Smet change de fusil d’épaule, son air se fait plus fermé : “Moi, je suis contre l’exposition des enfants sur les magazines.” Elle évoque ensuite des souvenirs de cour de récré: “Ça leur a, peut-être eux, foutu la paix mais moi, à l’école, après, je ne l’ai pas eue la paix !” Avant de conclure : “Mais ça fait très bizarre de me voir. Ça m’émeut et en même temps ça me gêne, parce que c’est quelque chose d’extrêmement privé. Moi, ça m’effraie les gens qui se servent de leurs enfants comme un appât à gain ou quelque chose comme ça. Je trouve que c’est très malsain, que l’enfant ne s’en aperçoit pas vraiment, et que plus tard, ça peut faire des dégâts.” Voilà qui est dit !

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“Voilà, c’est fini” : 2 jours après l’annonce de son éviction, Anne-Sophie Lapix reprend le tube de Jean-Louis Aubert pour conclure le “20 Heures” de France 2

Quelques semaines avant son dernier JT, la présentatrice s’est lâchée à l’antenne en lançant plusieurs sujets en chanson.

Malgré les circonstances, Anne-Sophie Lapix garde le sourire. Huit ans après son arrivée à la tête du “20 Heures” de France 2, la journaliste a annoncé à son équipe qu’elle arrêtait la présentation du JT à la fin de la saison. Son dernier journal est prévu pour la mi-juillet, et d’ici-là, l’originaire du Pays Basque continue d’annoncer les grands titres de l’actualité. Dans son édition du jeudi 29 mai, elle a même lancé une grande partie de ses sujets les plus “légers” en poussant la chansonnette, piochant dans le riche répertoire de la chanson française. Avec une certaine justesse…
Pas une première
Tour à tour, Anne-Sophie Lapix a entonné “Il en faut peu pour être heureux”, morceau tiré du “Livre de la jungle”. Puis, elle a repris “La java de Broadway” de Michel Sardou, “La Grenade” de Clara Luciani, “J’me voyais déjà” de Charles Aznavour ou encore “Voilà, c’est fini” de Jean-Louis Aubert pour conclure ce “20 Heures” à la tonalité particulière. Sa bonne humeur s’est révélée contagieuse, les internautes partageant en masse les extraits sur les réseaux sociaux.

La journaliste est coutumière de ce genre de parenthèses musicales. En décembre dernier, elle avait décidé d’alléger l’atmosphère en chantant, par surprise, les notes du refrain d’”On va s’aimer” au moment de lancer un reportage sur la condamnation de Gilbert Montagné pour plagiat. Puis elle s’était essayée au titre “Une fille de France” de l’artiste italien Gianni Nazzaro, avant de saluer les téléspectateurs le sourire aux lèvres. En octobre 2022, déjà, la présentatrice avait dévoilé un autre de ses talents en célébrant les années 80 avec une petite danse sur un morceau de “Earth, Wind and Fire” en introduction d’un sujet sur le musée des arts décoratifs. En 2021, pour célébrer les 100 ans de Georges Brassens, Anne-Sophie Lapix avait chanté “Chanson pour l’Auvergnat”.

Qui pour remplacer Anne-Sophie Lapix ?

La direction de France Télévisions a encore quelques semaines pour trouver le ou la successeur(e) d’Anne-Sophie Lapix à la rentrée. Plusieurs noms sont à l’étude, à commencer par celui de Caroline Roux. La présentatrice de “L”événement”, l’émission politique de France 2, et de “C dans l’air”, le magazine de débats diffusé sur France 5, ferait figure de favorite, selon “Le Parisien”. Les noms des jokers Maya Lauqué (“13 Heures”) et Sonia Chironi (“20 Heures” du week-end) pourraient eux aussi figurer sur la short-list. Quant à l’actuelle titulaire du poste, elle devrait rester dans le groupe audiovisuel public, avec qui elle “travaille sur de nouveaux projets”.