À Paris, une riche femme humilie un jeune réparateur algérien… puis elle tombe amoureuse !

La riche femme de Paris s’est moquée du jeune réparateur algérien. Elle a humilié et méprisé. Mais un seul geste du jeune homme allait bouleverser la vie et le cœur de cette femme hautine. Point cette histoire commence un mardi matin glacial de novembre dans le 16e arrondissement de Paris.

Marguerite, une femme de 52 ans aux cheveux soigneusement coiffés chez Jean-Louis David, vivait seule dans un appartement de 200 m² face au Trocadéro. Héritière d’une fortune familiale construite dans l’immobilier parisien depuis trois générations, elle n’avait jamais travaillé un seul jour de sa vie.

Son quotidien se résumait à des déjeuners interminables avec ses amis bourgeoises au Meuris, des achats compulsifs ruides de Rivoli dans les boutiques de luxe et des soirées à l’opéra de Paris où elle s’ennyait profondément en regardant sa montre quartier serti de diamants. Ce matin-là, la riche femme découvrit avec un agacement profond que sa machine à lavée italienne de luxe qui lui avait coûté 4000 € l’année précédente, ne fonctionnait plus du tout.

Le tambour ne tournait plus et un bruit métallique inquiétant et inhabituel raisonnait quand elle tentait désespérément de la faire démarrer en appuyant sur tous les boutons. Furieuse à l’idée de devoir reporter son rendez-vous chez le coiffeur de la rue du faubau Saint-Honoré, elle appela immédiatement la société de réparation la plus chère et la plus réputée du quartier.

“J’exige absolument que quelqu’un vienne aujourd’hui même”, cria-telle au téléphone d’une voix stridante et autoritaire qui ne laissait absolument aucune place à la discussion ou à la négociation. et envoyez-moi votre meilleur technicien. Je paye assez cher pour avoir un service absolument irréprochable et professionnel. L’employé au bout du fil tenta absolument de lui expliquer que l’agenda était déjà entièrement complet pour la journée.

Mais le ton et méprisant de Margaret, ainsi que la mention prestigieuse de son adresse du cés arrondissement fait rapidement plier la société. On lui promit avec une déférence évidente qu’un réparateur expérimenté viendrait dans l’heure qui suivait.

Soze minutes plus tard exactement, on sonna énergiquement à sa porte dorée aux moulures ornementées du Xe siècle. Marg traversa lentement son salon au plafond de 4 m de hauteur, décoré de meubles Louis X authentiques hérités de sa grand-mère aristocrate et de tableaux de maîtres impressionnistes achetés aux enchères chez Sbes.

Elle s’attendait fermement à voir un homme d’âge mû en costume cravate impeccable avec une mallette professionnelle en cuir italien et des références absolument irréprochables. Mais ce qu’elle découvrit allait tout bouleverser. Mais c’est un jeune homme d’environ 25 qui se tenait devant elle dans l’embrasure de la porte d’entrée. Karim portait un jean usé au genoux et complètement délavé par les nombreux lavages, un sweetshirt gris fatigué par l’usure quotidienne et tenait une boîte à outil visiblement ancienne qui avait manifestement beaucoup servi au fil des années. Ses cheveux noirs étaient légèrement ébourfés par le vent froid de novembre parisien et ses mains caleuses

portaient les traces évidentes de son travail manuel quotidien et laborieux. Bonjour madame, je viens spécialement pour réparer votre machine à laver”, dit le jeune réparateur avec un accent léger qui trahissait immédiatement et sans aucun doute possible ses origines maghrébines. Le visage de la femme aisée se durcit instantanément comme du marbre.

Ses yeux bleus parcourent le jeune homme de la tête au pied avec un mépris si évident, si brutal et si déplacé qu’il en était presque palpable dans l’air froid. Elle fronça profondément les sourcils avec des goûts, comme si elle venait de découvrir quelque chose de profondément déplaisant et malodorant sur le tapis perçant précieux de son entrée bourgeoise.

“Vous, vous êtes vraiment ce que vous savez réparer des machines de cette valeur exceptionnelle et de ce standing ?” demanda-t-elle d’un ton glacial et méprisant qui aurait pu faire fondre un iceberg en plein hiver. Cette machine coûte largement plus cher que votre salaire annuel ? J’en suis certaine.

J’espère sincèrement que votre petite entreprise possède une excellente assurance tour risque parce que si jamais vous l’abîmez ou l’endommagez. Karim baissa instinctivement les yeux vers le sol de marbre italien, mais ne répondit absolument rien à cette agression verbale. Il avait malheureusement l’habitude amè de ce genre de remarque désobligeantes et humiliantes.

Dans les quartiers chices de Paris, c’était devenu presque quotidien et systématique. Les regards suspicieux et méprisants, les commentaires désobligeants sur ses capacités, les sous-entendus racistes sur sa compétence professionnelle. Le jeune homme sera sa boîte à outil un peu plus fort contre lui et attendit patiemment que cette tempête d’humiliation passe.

“Et d’abord, quel âge avez-vous exactement ?” continua impitoyablement Margarit en croisant fermement les bras sur sa poitrine. “Vous me paraissez bien jeune et inexpérimenté pour ce genre de travail délicat et technique. On ne confie pas des machines de luxe de cette valeur à Enfin, vous comprenez parfaitement ce que je veux dire.

” Le jeune réparateur serra les dents mais garda le silence, habitué à encaisser ce genre d’attaque personnelle. Il savait que répondre ne ferait qu’aggraver la situation et risquer de lui faire perdre ce travail dont il avait absolument besoin pour payer le loyer.

“Bon, entrer rapidement, je n’ai vraiment pas toute la journée à perdre”, soupira finalement la femme bourgeoise en lui montrant sèchem le chemin vers la buanderie, une pièce au tirement carelée de marbre blanc situé près de sa cuisine ultramoderne. Elle le suivit de très près comme si elle craignait sérieusement qu’il vole quelque chose de précieux ou qu’il laisse des traçales et dégoûtantes sur ce tapis perçant hors de prix.

Son mépris allait bientôt se transformer complètement. Et attention à ne rien casser du tout, insista-t-elle lourdement. Absolument tout ici a une valeur considérable contrairement à Enfin, vous comprenez parfaitement ce que je sous-entends. Le réparateur s’agenouilla silencieusement devant la machine sans prononcer un seul mot de protestation.

Il ouvrit sa boîte à outil avec des gestes précis et méthodiques. Puis commença son diagnostic professionnel en examinant minutieusement les branchements électriques et en écoutant attentivement les bruits suspects que faisait l’appareil défaillant. La femmeit rester debout rigidement derrière lui, les bras obstinément croisés, l’observant avec une suspicion grandissante et malveillante.

“Vous venez de quel banlieu exactement ?” demanda-telle avec un ton méprisant et dégoûté qui chantait littéralement le racisme. Belleville, Barbesse, ces quartiers sordides où on ne respecte absolument rien et où tout finit systématiquement par être cassé, vandalisé ou détruit. Karim leva brièvement la tête, ses outils professionnels toujours fermement à la main. De clichés sous bois, madame, répondit-il calmement.

Ah, je m’en doutais parfaitement bien. Ricanel avec une satisfaction mauvaise et évidente. Et vous avez appris ce métier où exactement ? dans la rue avec les autres voyoux ou alors dans ces formations bidon et inutiles qu’il donnent aux jeunes de banlieu pour les occuper et éviter qu’il fassent des bêtises.

J’ai obtenu un BTS électrotechnique avec mention très bien répondit posément le jeune homme en continuant à examiner professionnellement les circuits internes complexes de la machine. Sa voix restait parfaitement posée et contrôlé malgré l’humiliation évidente et cruelle qu’il subissait depuis son arrivée.

Cette réponse inattendue dérangea légèrement Marguerite, mais elle ne voulait absolument pas l’admettre ouvertement. Un BTS avec mention très bien. Cela ne correspondait pas du tout à l’image stéréotypée et raciste qu’elle se faisait des jeunes issues des banlieux difficiles. Mais plutôt que de remettre honnêtement en question ce préjugé tenace, elle préféra obstinément insister et continuer ses attaques. Un BTS.

Bon, on verra bien concrètement si vous savez vraiment vous en servir intelligemment ou si c’est juste du papier sans valeur, marmonate et elle en tapotant nerveusement le sol de son talon louboutin. Mais elle ignorait ce qu’il attendait vraiment. Pendant plus d’une heure entière et pénible, elle ne cessa absolument pas de faire des commentaires désobligeants et blessants.

Elle critiquait systématiquement sa façon de travailler qu’elle trouvait beaucoup trop lente et peu efficace, ses outils de mauvaise qualité qui ne peuvent certainement pas réparer du matériel haut de gamme et même ses mains pas assez propres et soignées pour toucher ses affaires de luxe. À plusieurs reprises insistantes, elle lui demanda s’il était vraiment sûr de savoir ce qu’il faisait exactement, sous-entendant lourdement qu’il valait probablement mieux faire appel à quelqu’un de plus qualifié et compétent.

Le jeune réparateur encaissait absolument tout en silence, se concentrant uniquement sur son travail avec une patience remarquable que seul des années d’humiliation quotidienne et de discrimination avait pu lui enseigner durement. Il démonta méthodiquement les panneaux de la machine, testa minutieusement chaque composant électronique, vérifia scrupuleusement les connexions électriques avec un multimètre professionnel de qualité.

Pendant ce temps, Marguerite continuait ses commentaires venimé. “J’espère que vous n’allez pas salir mon sol avec vos outils d’outux”, disait-elle. “etchez surtout pas au mur avec vos mains sales.” Chaque phrase était une nouvelle gifle morale pour le jeune homme qui travaillait conscientieusement.

“Franchement, votre entreprise aurait pu m’envoyer quelqu’un de plus présentable et expérimenté”, continua-t-elle impitoyablement ? Quelqu’un qui connaît la valeur des choses et qui sait comment se comporter dans un appartement de standing. Karim serrait les mâchoires mais continuait son diagnostic. Il avait identifié plusieurs anomalies dans le système électrique mais quelque chose de plus grave commençait à l’inquiéter.

Les connexions principales montraient des signes de surchauffe ancienne. “Vu comptez encore mettre combien de temps ?” demanda Marguerite avec agacement. J’ai un rendez-vous important cet après-midi, moi je n’ai pas que ça à faire, contrairement à certains. Soudain, l’impensable se produisit dans un fracas terrifiant.

Soudain, alors que Karim testait précautionneusement les connexions électriques principales pour identifier définitivement l’origine de la panne mystérieuse, un court-circuit violent et spectaculaire se produisit brutalement. Une étincelle bleue et aveuglante jaillit dangereusement du tableau électrique principal, accompagné d’un crépitement inquiétant et assudissant.

Toutes les lumières de l’appartement s’éteignirent instantanément d’un coup dans un claquement sec et brutal. L’électricité avait complètement sauté dans tout l’immeuble Osmania, plongeant les huit étages dans l’obscurité totale et inquiétante.

“Qu’est-ce que vous avez fait, espèce d’incompétent dangereux ?” lur là la femme complètement paniquée dans l’obscurité soudaine et terrifiante. “Vous avez tout cassé. Vous avez grillé toute mon installation électrique. Je vais immédiatement vous faire licencier. Je vais porter plainte contre vous. Votre minable entreprise a payé absolument tous les dégâts considérables.

Sa voix tremblait violemment de colère et d’inquiétude profonde. Dans le noir complet et désorientant, elle tâonnait désespérément le long des murs, complètement perdu et désorientée dans son propre appartement pourtant familier. L’idée qu’un petit réparateur de banlieu incompétent ait pu endommager gravement son installation électrique de luxe la rendait littéralement folle de rage et de frustration.

Mais le réparateur resta étonnamment et inexplicablement calme face à cette crise majeure. Sans dire un mot, sans paniquer le moins du monde, il sortit immédiatement une lampe de post professionnel épuissante de sa boîte à outil et se dirigea avec une assurance déconcertante vers le tableau électrique complexe de l’appartement.

Marguerite le suivit en trébuchant dangereusement, tremblant de colère et d’inquiétude, continuant à proférer des menaces et des insultes. “Madame, le problème ne vient absolument pas de votre machine à laver”, dit-il doucement et calmement en éclairant précisément les disjoncteurs avec sa lampe professionnelle. Je vous demande instamment de regarder attentivement ici, s’il vous plaît.

Il pointa précisément et méthodiquement sa lampe vers un coin spécifique du tableau électrique. La riche femme se pencha prudemment et vit quelque chose qui la glaça littéralement d’effroid et de terreur. Des fils électriques complètement noircis et carbonisés à moitié fondus par la chaleur intense qui dégageait encore une légère odeur acre de plastique brûlé et de métal en fusion.

Ce qu’il révéla la terrorisa au-delà de l’imaginable. Ses fils sont en court circuit dangereux depuis plusieurs semaines, peut-être même plusieurs mois, expliqua patiemment Karine d’une voix professionnelle et posée. Regardez attentivement cette corrosion avancée, cette décoloration inquiétante.

Dans quelques heures seulement, peut-être même quelques minutes, cela aurait inévitablement provoqué un incendie majeur et dévastateur. Votre appartement, absolument tout aurait brûlé entièrement et vous avec si vous aviez été endormi cette nuit. Le silence qui suivit cette révélation terrifiante était absolument assouissant et glacial.

Seul le bruit de la respiration sacadée et paniqué de Margrite troublait l’obscurité oppressante. Elle réalisait lentement, avec une terreur grandissante et paralysante, ce qui venait exactement de se passer. Si ce jeune homme n’était pas venu réparer sa machine à laver aujourd’hui, si le court circuit salvateur ne s’était pas déclenché maintenant en plein jour en sa présence, vous vous en êtes absolument certain balbuciatelle pathétiquement.

Sa voix haute et méprisante ayant complètement disparu pour laisser place un murmure terrifié et enfantin. Hélas oui, j’en suis totalement professionnellement certain, répondit gravement Karim en éclairant d’autres parties dangereuses du tableau. Regardez également ici aussi. Ces connexions sont dangereusement corrodées depuis longtemps.

Et là, voyez-vous clairement ces traces évidentees de surchauffe ? Ces fils auraient pu prendre feu à tout moment, de jour comme de nuit. Le fait que votre machine à lavait tombe en panne aujourd’hui, c’était un véritable signal d’alarme envoyé par le destin. Dans l’obscurité oppressante, éclairé seulement par la faible lumière jaunâtre et tromblotante de la lampe de poche, Marguerite regarda fixement cet homme qu’elle avait humilié, insulté et méprisé pendant plus d’une heure.

Ce jeune homme qu’elle avait traité comme un moins que rien, comme un incompétent bon à rien, venait peut-être de lui sauver la vie de la façon la plus inattendue. Les mots cruels qu’elle avait prononcé plutôt lui revinent en mémoire comme des gifles douloureuses. Votre salaire annuel, ces quartiers, on ne respecte rien.

Formation bidon assez propre. Comment avait-elle pu être aussi cruelle, aussi aveugle, aussi injuste ? Sa vie entière venait de basculer en quelques secondes. Qu’est-ce qu’il faut absolument faire maintenant ? Demanda-t-elle d’une petite voix d’enfant effrayé. Toute son arrogance et sa suffisance ayant fondu comme neige au soleil.

Karim était déjà en train de couper méthodiquement l’alimentation des fils les plus dangereux avec ses outils spécialisés. Je vais sécuriser temporairement tout ce qui peut l’être, mais il va absolument falloir refaire complètement toute l’installation électrique de cette partie de l’appartement. C’est un travail considérable de plusieurs jours, peut-être même une semaine complète avec les vérifications.

“Une semaine entière”, répéta la femme, soudain inquiète de se retrouver sans électricité pendant tout ce temps. Mais je ne peux absolument pas rester sans courant pendant toute cette période. J’ai besoin de lumière, de chauffage, de mon réfrigérateur, de tout. Bien sûr que non, vous ne resterez pas dans l’obscurité”, répondit patiemment et rassurante le réparateur.

“Je vais rétablir immédiatement l’alimentation électrique partout dans l’appartement, sauf dans cette zone spécifique qui reste dangereuse. Vous pourrez vivre tout à fait normalement en attendant que les réparations complètes soient terminées.

” Pendant les trois heures qui suivirent cette découverte, Karim travailla sans volage dans des conditions particulièrement difficiles. À l’allueur de sa lampe de poche et d’une lampe de secours qu’il était allé chercher dans sa camionnette. Il répara non seulement la panne originelle de la machine à laver, mais sécurisa également toute l’installation électrique potentiellement dangereuse de l’appartement bourgeois.

Marguerite l’observait en silence complet, profondément troublé par ce qu’elle découvrait progressivement. Cet homme travaillait avec une précision chirurgicale impressionnante. Ses gestes étaient sur méthodique parfaitement professionnel. Il connaissait visiblement son métier sur le bout des doigts avec une expertise remarquable.

Comment avait-elle pu douter si cruellement de sa compétence ? Comment ses préjugés aveugles avaient-ils pu l’aveugler à ce point sur ses qualités évidentes ? Elle observait ses mains expertes, manipuler les fils électriques avec une dextérité remarquable. Chaque geste était calculé, précis, sûr.

Ce n’était pas le travail d’un amateur, mais d’un véritable professionnel expérimenté qui maîtrisait parfaitement son domaine. Elle découvrait enfin qui elle était vraiment. Quand les lumières se rallumèrent enfin dans un déclic libérateur et rassurant, la riche femme réalisa quelque chose d’étrange et de complètement nouveau pour elle.

Pour la première fois depuis des années, peut-être même des décennies entières, elle se sentait reconnaissante, vraiment, sincèrement, profondément reconnaissante envers quelqu’un, pas habitué du tout à ce sentiment si éloigné de son quotidien égoïste et superficiel, elle ne savait absolument pas comment l’exprimer correctement.

Je merci, dit-elle maladroitement, cherchant pénement ces mots comme une enfant qui apprend à parler. Vous m’avez sauvé la vie. Littéralement sauver la vie. Karim rongea soigneusement ses outils dans sa boîte sans lever les yeux vers elle. C’est mon travail madame. Rien de plus. Non, insista Marguerite avec une conviction soudaine et inhabituelle.

Votre travail c’était uniquement de réparer ma machine à laver. Tout le reste, découvrir ce problème électrique mortel, m’expliquer clairement les risques, sécuriser l’installation. Vous auriez très bien pu ne rien dire du tout et partir tranquillement avec votre chèque. Pour la première fois depuis son arrivée, le jeune réparateur leva les yeux et la regarda vraiment, intensément, directement.

Dans son regard, elle ne vit aucune rancune malgré toutes les humiliations cruelles qu’elle lui avait fait subir. Juste une gentillesse naturelle, une bonté inée qui la bouleversa complètement. Je ne peux pas laisser quelqu’un en danger répondit-il avec une simplicité désarmante. Peu importe qui sait, peu importe comment cette personne me traite.

Cette phrase raisonna dans l’esprit de la femme bourgeoise comme un écho lointain venu d’un monde qu’elle ne connaissait absolument pas. Quand avait-elle aidé quelqu’un pour la dernière fois ? Quand s’était-elle souciée sincèrement de quelqu’un d’autre qu’elle-même ? Quand avait-elle eu un geste véritablement désintéressé ? Vous vous accepteriez de revenir demain pour commencer les réparations électriques ? demanda-telle timidement, prescomteuse de sa propre question après tout ce qu’elle avait dit.

Karim sembla sincèrement surpris par cette demande inattendue. Si vous le souhaitez vraiment, madame. Oui, je le souhaite. Et appelez-moi Margarit, s’il vous plaît. Ce simple prénom allait bientôt révolutionner son existence. Le lendemain matin, quand le jeune homme sona sa porte à huit heures précises comme convenu, Marguer avait préparé un petit déjeuner complet, café fraîchement moulu dans sa machine expresso, croissant encore sur de la meilleure boulangerie du quartier, confiture maison aux abricots, jus d’orange fraîchement pressé, beurre de Normandie. Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle avait fait tout cela avec tant

d’attention. C’était comme si quelque chose de profond et d’inexpliqué en elle avait radicalement changé pendant la nuit blanche qu’elle avait passé à réfléchir intensément. Vous avez déjà appris votre petit- déjeuner ?” lui demanda-t-elle presque gêné de sa propre gentillesse qui lui semblait si étrangère et inhabituelle.

Karim parut véritablement décontenancé par cette attention délicate et inattendue. Dans tous les appartements bourgeois où il intervenait habituellement, on ne lui proposait jamais rien. Au mieux, on le tolérait comme un mal nécessaire. Au pire, on le surveillait comme un voleur potentiel.

“C’est vraiment très gentil de votre part, madame Marguerite ?” dit-il en hésitant légèrement sur le prénom. Merci beaucoup, j’accepte avec grand plaisir. Pendant qu’il buvait son café dans la cuisine au meuble laqué blanc, la riche femme l’observa discrètement avec une curiosité nouvelle. Elle remarqua ses mains fortes mais étonnamment délicates quand il tenait la tasse de porcelaine.

Ses yeux d’un marron profond et intelligent révélait une intelligence vive et une sensibilité qu’elle n’avait pas pris la peine de voir la veille. Sa façon de parler correcte et réfléchie témoignait d’une éducation soignée malgré son origine modeste.

“Vous avez toujours voulu être réparateur ?” demanda-t-elle, cette fois sans la moindre trace de condescendance dans la voie. “En fait, ce n’est qu’un tremplin temporaire”, répondit le jeune homme en posant délicatement sa tasse sur la soucoupe. “J’aimerais monter ma propre entreprise dans quelques années, mais pour ça, il faut du capital de départ, des contacts professionnels, de l’expérience.

Une entreprise dans quel domaine exactement ? Rénovation énergétique et développement durable. Aider les particuliers et les entreprises à réduire leur consommation électrique. Installer des panneaux solaires, optimiser l’isolation thermique. C’est vraiment l’avenir avec tous les défis écologiques qui nous attendent.

Elle découvrait un univers qu’elle ignorait totalement. Marguerite fut sincèrement surprise par l’ampleur de sa vision et la maturité remarquable de ses projets. Cet homme qu’elle avait jugé si rapidement et si cruellement la veille avait des ambitions concrètes, des rêves parfaitement réalisables, une intelligence entrepreneuriale qu’elle n’avait même pas cherché à entrevoir. C’est effectivement un secteur d’avenir admielle honnêtement.

Et vous pensez que c’est vraiment réalisable avec du travail acharné et de la persévérance. Oui, mon BTS m’a donné les bases techniques indispensables et je complète actuellement ma formation suivant des cours du soir en gestion d’entreprise et en comptabilité.

Des cours du soir, en plus de son travail de jour, Marguerite réalisa soudain que pendant qu’elle passait ces soirées à regarder paresseusement la télévision ou à feu des magazines de mode superficiel, ce jeune homme étudiait, se forma, construisait méthodiquement son avenir avec une détermination admirable. Vous devez être épuisé avec un rythme pareil”, dit-elle avec une empathie naissante.

“C’est le prix à payer pour réussir quand on part de rien !” répondit Karim avec un sourire. “Mes parents n’ont pas pu m’offrir des études longues, alors je rattrape par la volonté.” Cette phrase toucha Marie plus qu’elle ne l’aurait imaginé. Elle qui avait toujours tout sans effort découvrait la valeur du mérite et du courage.

Les jours suivants prirent un rythme particulier et nouveau. Karim arrivait chaque matin à huit heures précises pour continuer les travaux électriques complexes et Marguerite préparait systématiquement le petit- déjeuner avec un plaisir grandissant. Ils commencèrent à discuter de plus en plus longuement et naturellement de Paris et de ses transformations sociales de leurs familles si différentes, de leur vision de la vie qui n’avait absolument rien en commun.

Marguerite apprit progressivement que le jeune homme se levait chaque jour à six heures du matin pour prendre le RR depuis Cliché sous bois, qu’il travaillait parfois jusqu’à 20h quand les urgences s’accumulaient et qu’il envoyait religieusement une partie de son salaire à sa mère pour l’aider à payer le loyer et les charges. Mais elle ignorait encore son secret le plus douloureux.

“Votre famille vit aussi à Clichi ?” demanda-t-elle un matin en servant le café fumant. Le visage du réparateur s’assombrit légèrement comme traversé par un nuage douloureux et persistant. Ma mère ? Oui, elle y vit depuis 30 ans maintenant. Mon père, il est mort tragiquement quand j’avais seulement 15 ans. “Oh, je suis vraiment désolé”, murmura Margarit, sincèrement touché par cette confidence douloureuse.

“Si ce n’est pas trop indiscret, qu’est-ce qui se passait ?” Il était ouvrié sur un grand chantier de construction dans le trése arrondissement. Un échafaudage mal fixé s’est soudainément effondré. “Trois ouvriers sont morts ce jour-là, dont mon père La voix de Karim se durcit légèrement. L’entreprise a immédiatement prétendu que c’était entièrement de leur faute, qu’il n’avaiit pas respecter les consignes de sécurité.

Ma mère a passé deux années terribles à se battre pour prouver que c’était de la négligence pure de l’employeur, mais elle n’a jamais réussi. Pas d’avocat, pas d’argent, pas de relation. Marguerite sentit quelque chose se serrait douloureusement dans sa poitrine. Elle connaissait ce genre d’histoire tragique ? Bien sûr, dans son milieu privilégié, on en parlait parfois autour d’un dîner, mais comme de fait divers lointain, presque abstrait.

Là, face à cet homme qui avait personnellement vécu cette tragédie, cela devenait terriblement concret et humain. “Se profondément injuste,” murmura-t-elle avec une sincérité qui l’a surpris elle-même. “C’est la vie”, répondit Karim avec une résignation qui brisa littéralement le cœur de la riche femme. “Les ouvriers ne pèsent pas l’eau face aux grandes entreprises du bâtiment.

Ce soir-là, seul dans son grand appartement silencieux et feutré, Marguerite réfléchit longuement et profondément à cette conversation bouleversante. Pour la première fois de sa vie, elle réalisait concrètement à quel point son existence était vide, Creuse, complètement dénué de sens. Ces amis bourgeoises ne parlaient que de leurs dernières vacances au séchelle et de leur nouveaux bijoux quartier.

Ces journées n’avaient aucun but, aucun impact positif sur le monde, aucune utilité sociale. Et voilà qu’un jeune homme de 25 ont lui montré ce que signifiait vraiment avoir des valeurs, des projets concrets, du courage face à l’adversité et aux injustices de la vie. Le lendemain allait tout changer entre eux.

Quand Karim arriva ce matin-là avec sa ponctualité habituelle, il trouva Marguerite visiblement différente. Elle semblait nerveuse, agitée comme si elle avait quelque chose de très important à dire, mais n’arrivait pas à trouver les mots justes. “J’ai beaucoup réfléchi à votre projet d’entreprise.” comment sat- elle pendant qu’il prenait le café dans la cuisine baignée de soleil matinal.

Le jeune réparateur leva les yeux vers elle, visiblement surpris par cette entrée en matière inattendue. “Combien exactement vous faudrait-il pour commencer votre affaire ?” continua- elle d’un trait. “Madame”, Margé dit Karim en posant sa tasse, “vo n’êtes absolument pas obligé de vous préoccuper de répondez simplement à ma question, s’il vous plaît. Combien ?” Le jeune homm hésita longuement, visiblement mal à l’aise.

Environ 50000 € minimum pour acheter le matériel de base, une camionnette équipée, les assurances professionnelles constitué un stock de pièces détachées. Je peux vous prêter cette somme sans aucun intérêt. Vous me rembourserez quand votre entreprise sera rentable.

Le silence qui suivit cette proposition était chargé d’une émotion palpable. Karine la regarda avec des yeux incrédules comme s’il n’arrivait pas à croire ce qu’il venait d’entendre. “Pourquoi ?” demanda-t-il finalement d’une voix étranglé. “Pourquoi feriez-vous ça pour moi ?” La riche femme chercha ses mots, bouleversé par l’intensité de la question.

“Comment expliquer qu’en une semaine, cet homme avait complètement révolutionné sa vision du monde ? Comment dire qu’elle avait découvert en elle des sentiments qu’elle ne connaissait même pas ?” Parce que vous le méritez, dit-elle finalement avec une simplicité désarmante et parce que j’ai besoin de donner enfin un sens à mon existence.

Mais elle n’osait pas encore avouer ses vrais sentiments. Karim secou fermement la tête. Je ne peux pas accepter une somme pareille. C’est beaucoup trop. Et puis nous nous connaissons à peine. Cette somme ne représente rien pour moi insista Margarit avec une passion soudaine. Mon appartement vaut 2 millions d’euros.

J’ai des placements qui rapportent plus de mille eur parant que j’ai à lever le petit doigt. C’est ce que je dépense en si mois en robe que je ne porte jamais et en bijoux qui restent dans mes tiroirs. Justement, répliqua le jeune homme, nous ne vivons pas du tout dans le même monde. Vous ne pouvez pas comprendre ce que représente cet argent pour quelqu’un comme moi.

Et alors ? La voix de la femme bourgeoise devint soudain passionnée, presque veillémente. Qui a décidé que nos monde ne pouvait absolument pas se rencontrer ? Qui a écrit cette règle stupide ? Cette question resta en suspend dans l’air matinale. Karim termina ses travaux électriques dans un silence pensif et troublé.

Quand il rangea ses outils pour la dernière fois, après l’avoir testé minutieusement toute l’installation remise aux normes, Marguite sentit une boule douloureuse se former dans sa gorge. “Vous allez me manquer”, avit-elle malgré elle. Sa voix tremblant légèrement. Le jeune homme s’arrêta dans ses gestes.

Il la regarda longuement, intensément, comme s’il cherchait à comprendre quelque chose de mystérieux dans ses yeux. “Vous aussi, vous allez me manquer ?”, dit-il finalement avec une sincérité bouleversante. Ces mots allaient la hanter pendant des semaines. Après le départ définitif de Karim, la riche femme sombra dans une mélancolie profonde et inexpliquée. Son appartement lui semblait encore plus vide qu’avant.

Sa vie encore plus dénuée de sens. Elle n’arrivait plus à s’intéresser à ses activités habituelles. Les déjeunés au Meuris lui paraissaient insipides. Les boutiques de Luxland y profondément. Même l’opéra la laissait complètement indifférente. Ses amis remarquèrent rapidement son changement d’humeur préoccupant.

“Tu as une mine épouvantable, ma chérie”, lu dit Marie, sa plus vieille amie depuis l’école privée. “Pendant un déjeuner au Plaza Athéné. Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu es malade ? Tu as des problèmes financiers ?” Marguerite hésita longuement. Comment expliquer qu’elle pensait jour et nuit à un réparateur de 25 ans ? Comment avouer qu’elle était en train de tomber amoureuse pour la première fois de sa vie à 52 ans ? Je repense à ma vie ces derniers temps dit-elle évasivement en tripotant sa salade de Omar. À ce que j’en fais, à ce qu’elle représente vraiment. Oh là là, tu ne vas pas te

mettre à faire de la philosophie de comptoir maintenant. Ce moaie en riant. Tu traverses juste un petit passage à vide. Viens plutôt voir les nouveaux bijoux chez quartier Place Vandom. Cela te changera les idées. Mais Margarit n’avait plus envie de bijoux, plus envie de shopping, plus envie de cette vie superficielle.

Elle n’avait envie que d’une seule chose, revoir Karim et retrouver cette sensation d’être enfin vivante. Elle allait prendre une décision qui changerait tout. Trois semaines plus tard, n’y tenant absolument plus, elle téléphona à la société de réparation avec le cœur battant.

“Bonjour, j’aurais absolument besoin que Karim revienne chez moi, mentiffrontément. J’ai un gros problème avec mon lave-vaisselle qui ne fonctionne plus du tout. Une heure plus tard, le jeune homme était devant sa porte. Quand elle lui ouvrit, Marguerite sentit son cœur s’emballer comme celui d’une adolescente de 15 ans. “Bonjour, madame”, dit-il avec la politesse professionnelle qu’elle connaissait bien.

Où se trouve le problème exactement ? Il n’y a aucun problème avec mon lave-vaisselle, à voir la femme bourgeoise en rougissant comme une collégienne. J’avais juste terriblement envie de vous revoir. Karim parut complètement décontenancé par cet aveu si direct. Madame Marguerite, je ne comprends pas. Marguerite et tutoyez-moi, s’il vous plaît. J’en ai assez de ce politesse qui nous sépare.

Marguerite, reprit-il doucement, prononçant son prénom comme une caresse. Qu’est-ce que vous voulez vraiment de moi ? Cette question si simple la déstabilisa complètement. Qu’est-ce qu’elle voulait exactement ? Elle ne le savait même pas elle-même clairement.

Je depuis que vous êtes parti, je n’arrive pas à penser à autre chose qu’à vous balbutiatel en baissant les yeux. Je sais parfaitement que c’est complètement fou. Je sais qu’on a absolument rien en commun. Mais je crois que je suis en train de tomber amoureuse de vous. Sa confession allait tout bouleverser entre eux. Le silence qui suivit cette déclaration spontanée parut durer une éternité.

Karim la regardait avec une expression totalement indéchiffrable, mélange de surprises, de troubles et d’émotions. “Marguerite”, dit-il finalement avec une infinie douceur. “tu 52 ans, moi j’en ai 25. Tu es riche, moi je suis pauvre. Tu vis dans le seème arrondissement, moi en bon lieu difficile.” Et alors ? Répath- Telle avec passion, “En quoi tout cela nous empêche-t-il de nous aimer ? Les gens vont dire que je suis avec toi uniquement pour ton argent. Ils vont dire que tu es une vieille femme ridicule qui se perd un

gigolot. Ces mots la blessèrent profondément, mais elle ne se découragea pas. Et toi ? Demanda Margarit en retenant ses larmes. Qu’est-ce que toi tu dis ? Karim s’approcha lentement d’elle, très lentement, avec une tendresse infinie, il posa sa main sous sa joue.

Moi, je dis que depuis trois semaines, je n’ai pensé qu’à ton sourire quand il me servait le café le matin. Ces mots la bouleversèrent. Ils s’embrassèrent tendrement. selon leur amour naissant contre tous les préjugés du monde. Les mois qui suivirent furent les plus beaux de la vie de Marguerite. Avec son aide, Karim monta son entreprise qui connut rapidement le succès.

Elle vendit son appartement du 16e pour s’installer avec lui à Clichi, créa une fondation pour les familles d’ouvriers et découvrit enfin le vrai bonheur. Et c’est ainsi qu’une femme orgueilleuse appris que l’amour n’a pas de frontière. Point léz-vous. Qu’auriez-vous fait à sa place ? Auriez-vous tout quitté pour l’amour comme Marguerite ? Où auriez-vous cédé à la pression de la société et renoncer à cette relation ? La différence d’âge et la différence de classe, est-ce vraiment un obstacle à l’amour ? Et si vous étiez à la place de Karim, accepteriez-vous la proposition d’une femme qui vous avait

humilié ? Même si tout le monde autour de vous était contre, seriez-vous prêt à tout sacrifier pour le vrai amour ? Écrivez vos réponses dans les commentaires, je les lis tous un par un. N’oubliez pas d’aimer la vidéo et de vous abonner à la chaîne. Merci. Yeah.