Vidéo choc : la Première ministre japonaise ignore Emmanuel Macron

L’image ne dure que quelques secondes, mais son impact est sismique. Elle a balayé les réseaux sociaux, déclenché une avalanche de moqueries et, plus grave encore, ravivé une blessure profonde dans l’orgueil national français. En plein sommet du G20, alors qu’il s’avançait avec son éternel sourire de conquérant – celui que les internautes ont surnommé le « sourire Colgate » – le président Emmanuel Macron a été snobé, ignoré de la manière la plus totale et la plus délibérée, par la Première ministre japonaise, Sanae Takachi.

Elle est passée à côté de lui, droit devant, comme s’il était un simple décor de fond, un meuble transparent dans la salle des grands de ce monde. La vidéo, qui a explosé sur la plateforme X, n’est pas un simple incident diplomatique malheureux ; elle est, pour des millions de Français, le symptôme d’une maladie plus profonde : le ridicule croissant de la France sur la scène internationale, une humiliation à laquelle les citoyens disent désormais “ça suffit”.

Pour ceux qui rêvent encore d’un “Jupiter planétaire” capable de dicter sa loi au monde, cette séquence est une douche froide. Pour les autres, ceux qui observent avec une lassitude grandissante les maladresses de leur chef d’État, c’est le camouflet de trop, une nouvelle preuve que l’arrogance et les politiques théâtrales ne suffisent plus face à la realpolitik et au pragmatisme. Cet événement n’est pas un accident isolé ; il s’inscrit dans une série d’humiliations internationales qui, mises bout à bout, dessinent le portrait d’une diplomatie française en pleine déroute, un pays qui n’est plus craint ni même respecté, mais tout simplement moqué. C’est un coup de poing direct à la fierté nationale.

L’Incident de la “Transparence” au G20

Revivons la scène : un couloir bondé, l’atmosphère lourde des enjeux du G20. Emmanuel Macron, drapé dans l’assurance de son statut, s’approche, sans doute dans l’intention de saluer son homologue nippone, Sanae Takachi. Il tend la main, ou du moins, amorce un mouvement pour engager la conversation, pensant que, comme d’habitude, le monde s’arrêtera pour l’écouter. Mais Takachi, elle, incarne la nouvelle génération de leaders : pragmatique, orientée vers les intérêts nationaux du Japon d’abord, et manifestement peu impressionnée par le panache français. Sa réponse fut un non-geste dévastateur : l’ignorance absolue. Elle a continué sa route, royale et indifférente, faisant du président français l’homme le plus transparent du sommet.

L’onde de choc fut immédiate et virale. Sur X, la vidéo a engendré des millions de vues, des milliers de partages et une prolifération de mèmes hilarants. Les titres étaient impitoyables : « Quand ton ego est plus grand que le mont Fuji, mais que personne ne te calcule ». L’ironie est cinglante. Le président qui se voit en maître des horloges, en influenceur européen incontesté, se retrouve réduit au rôle d’un touriste lambda, un vulgaire opportuniste que l’on snobe sans remords.

Les réactions en France dépassent la simple blague. Elles sont le reflet d’une exaspération profonde. Un utilisateur résumait le sentiment général : « C’est le karma pour toutes ses leçons de morale à l’international ». Un autre dénonçait l’image d’un pays représenté par un « clown qui nous fait passer pour des rigolos ». L’incident Takachi n’est pas qu’une gaffe ; il est une preuve que les politiques de posture d’Emmanuel Macron ne passent plus les frontières. Les leaders internationaux ne sont plus dupes de la « folie macronienne » et choisissent d’opter pour le silence dédaigneux plutôt que pour l’échange poli. Takachi, identifiée comme une leader pragmatique et favorable aux intérêts japonais, a snobé Macron précisément parce qu’elle voit en lui un opportuniste qui parle fort mais fait très peu.

La Blessure Profonde de la Fierté Nationale

Le fond du problème, c’est l’usure de l’image française. Les Français en ont « ras le bol » de voir leur pays, terre des Lumières, de la diplomatie et d’une histoire riche, être constamment ridiculisé. Les sondages sont accablants : 60 % des citoyens estiment que le style diplomatique du président nuit gravement à la réputation internationale de la France. L’arrogance, mêlée à des positions perçues comme belliqueuses sur des théâtres comme l’Ukraine, crée une aliénation. Au lieu d’être un leader écouté, Macron est un personnage qui effraie ou, pire, que l’on ignore. L’avalanche de commentaires sur les réseaux, affirmant que « Macron nous fait honte » et que nous passons pour des « clown internationaux », confirme cette crise de l’égo national.

L’incident Takachi est d’autant plus dévastateur qu’il s’ajoute à un cahier de doléances déjà bien rempli, une série de rendez-vous manqués qui ont fait de l’Élysée la risée du globe.

Chapitre 1 : Le “Petit Napoléon” Face à l’Ogre Américain

Il faut remonter le fil du temps pour comprendre l’ampleur du désastre. Souvenons-nous de l’ère Donald Trump. Les rencontres entre les deux hommes étaient un festival d’humiliation non dissimulée, un « festival d’humiliation ». Qui pourrait oublier la poignée de main légendaire, où le président américain, par sa seule force physique et sa posture dominante, traînait littéralement Macron par la main, « comme un gamin récalcitrant » ? C’était la France traitée comme une petite puissance, sous le regard amusé des caméras du monde entier. Trump, dans son style brutal, se moquait de la “petite armée” française et de ses idées sur l’Europe.

Mais l’apogée de l’affront fut atteint lors du sommet de Gaza. Là, Trump ne s’est pas contenté d’un geste. Il a dégainé la blague assassine, traitant Macron de « petit Napoléon qui parle beaucoup mais agit peu ». Le surnom est resté, chargé d’une ironie historique terrible : le leader qui se rêve en héritier de la grandeur impériale française est publiquement rabaissé à une figure de comédie, une caricature. L’assistance, y compris d’autres chefs d’État comme Giorgia Meloni – elle-même sur le point de distribuer sa propre humiliation – a assisté, amusée ou gênée, à cette remise en place. L’humiliation n’était pas seulement celle de Macron, mais celle de la nation qu’il représentait. Trump, pragmatique et direct, avait ridiculisé la France pour ses confusions géopolitiques et son incapacité à traduire ses grands discours en action concrète et respectée.

Chapitre 2 : Le Roulement d’Yeux Épique de Rome

Si les snobs de Trump étaient souvent frontaux, celui de Giorgia Meloni, la Première ministre italienne, fut d’une subtilité et d’une viralité encore plus dévastatrices. Lors du G7, la tension était palpable. Emmanuel Macron, fidèle à son habitude de jouer la proximité forcée, s’est penché pour chuchoter à l’oreille de Meloni. Et là, ce fut le moment de grâce pour l’humiliation : Meloni a levé les yeux au ciel, un roulement d’yeux d’une intensité épique. Un « Ace Roll of the Century », titrèrent les médias américains.

Ce geste, capté par une caméra, est immédiatement devenu un mème mondial. Plus qu’une simple expression de lassitude, ce fut une prise de position politique. Meloni regardait Macron « comme si c’était un moustique agaçant », et pour cause. La Première ministre italienne, en refusant d’inclure des termes pro-avortement dans la déclaration finale du G7, avait infligé un camouflet direct aux « postures progressistes » de son homologue français.

Les commentaires sur les réseaux sociaux étaient unanimes : « Meloni en a marre de ses leçons françaises », postait un internaute italien. Ce n’était plus une question de protocole, mais une guerre de leadership au sein même de l’Europe. Le président français, obnubilé par son rôle auto-proclamé de leader du camp progressiste, s’est retrouvé démuni face à une dirigeante qui, elle, privilégiait une ligne politique claire, n’hésitant pas à humilier publiquement Macron pour son ingérence et son ton professoral.

Le Prix du Complexe de Jupiter

Ces incidents successifs — le bras de fer avec Trump, le rejet par Meloni, et maintenant le snob de Takachi — ne sont pas le fruit du hasard. Ils sont le prix de ce que l’on appelle le « complexe de Jupiter » : cette propension à l’arrogance, à l’idée que la parole de la France est une vérité universelle à laquelle le reste du monde devrait se plier.

La « folie guerrière » de Macron, ses postures béliqueuses en Europe de l’Est et ses tentatives d’envoyer des troupes en Ukraine, loin d’impressionner, effraient et irritent. Des leaders pragmatiques comme Sanae Takachi voient en lui un opportuniste qui parle fort mais n’a pas la substance pour soutenir ses paroles. Ils préfèrent l’ignorer, le sanctionner par le silence, plutôt que de légitimer son agitation diplomatique.

Le résultat est une France perçue comme arrogante, isolée, et moquée. Les Français, qui ne veulent qu’une France « respectée », sont exaspérés de voir leur président collectionner les revers, les « snubs et les Eye Rolls ». L’ego du président est devenu un fardeau national, un poids qui écrase la fierté et la dignité de tout un peuple. Quand seulement 11 % des Français peuvent encore le « voir en peinture », il n’est pas étonnant que son aura à l’étranger soit également en chute libre. L’international n’est que le miroir de l’interne.

Conclusion : La Demande du Peuple

La question n’est plus de savoir si Emmanuel Macron a commis une erreur. La question est de savoir combien d’humiliations la France peut encore supporter avant que la fierté nationale ne soit définitivement brisée. La réaction virale et la colère en ligne témoignent d’une rupture : les Français exigent un changement d’image, un retour à une diplomatie digne et efficace.

Le message, relayé par des milliers de citoyens sur les réseaux, est clair et sans appel. Au président qui se rêve en figure historique, le peuple répond par une injonction brute, un appel à la réalité : « Réveille-toi Emmanuel » ou, plus directement et plus fortement, « Dégage ». L’ère de Jupiter est terminée. L’ère de la dignité doit commencer. L’humiliation japonaise est la dernière goutte d’eau d’un vase rempli de la honte mondiale.