RETAILLEAU S’EN PREND À BENZEMA… LA RÉPONSE DE ZIDANE FAIT TREMBLER LA FRANCE !!
Et si le silence d’un homme avait bouleversé toute une nation en une phrase, il a été traité de pas vraiment français. Ce qu’il a fait ensuite va vous surprendre. Une soirée télévisée comme tant d’autres. Le générique sobre face à la nation s’éteint. Autour de la table politiciennaliste, un ancien préfet et le ministre de l’intérieur Bruno Rotaillot costumraite. Regard fermés.
Le thème du soir. République identité cohésion. Faut-il revoir nos repères ? L’animateur Charles Roussell enchaîne les questions convenues. Le ton est poli, presque ennuyant. Dans les foyers français, on zappe ou on laisse en fond sonore le repas sur les genoux. Mais l’air se char d’électricité. À la 37e minute, alors qu’on évoque les symboles de la République esté.
Exemple à suivre pour notre jeunesse, Charles Roussell pose une question anodine. Monsieur le ministre, Karim Benzema reste un modèle pour des millions de jeunes malgré les polémiques. Faut-il séparer l’homme du citoyen ? Bruno Rota ajut cravate, lève légèrement le menton, puis il regarde droit dans la caméra comme s’il s’adressait directement au français.
Écoutez, on ne va pas faire semblant. Benzema n’est pas vraiment français, il est algérien, on le sait tous, qu’il arrête de jouer au héros républicain. Un silence brutal tombe. Une journaliste tousse nerveusement. L’ancien préfet lève un sourcil. L’animateur tente un demi-sourire maladroit. Monsieur le ministre, peut-être faudrait-il nuancer, mais Rotaillo coupe froidement.

Non, à un moment il faut dire les choses. La France ne doit pas avoir honte d’elle-même. Sur les réseaux sociaux, la phrase devient virale en moins de 2 minutes. Pas vraiment français, grimpe à vue d’œil. Les écrans s’embrasent en banlieu dans les stades, dans les salons, les regards s’échangent. Incrédule.
On vient de toucher un air profond. Sur le plateau, le malaise est palpable. L’ambiance a changé. L’animateur essaie de relancer le débat mais les regards sont ailleurs, les téléphones vibrent, quelque chose vient de se passer et tout le monde le sent. Dans un appartement discret du 16e arrondissement, Karim Benzema regarde l’émission.
Entouré de deux amis d’enfance de son frère. Son téléphone vibre. Des dizaines de messages, des captures d’écran, des insultes, des appels au boycottes, des encouragements aussi. Il reste silencieux. Puis sans prévenir, il décroche son portable, compose un numéro. Ses amis le regardent fig, je suis Karim Benzema. Passez-moi le standard de l’émission.
Oui, maintenant sur le plateau, l’oreillette de Charles Roussell Grzy. Il blmait en On me signale que Karim Benzema est en ligne. Il souhaite réagir en direct. Il il est au téléphone. Panique feutré derrière les caméras. Le réalisateur hésite puis donne le feu vert. Pas de délai, pas de filtre. L’antenne est ouverte.
La voix de Benzema raisonne calme, posée, légèrement grave d’un ton qui glace plus sûrement que n’importe quel cri. Monsieur le ministre, court silence. Toute la France retient son souffle. Vous venez de réveiller une autre France, celle que je connais depuis l’enfance. Celle qu’on regarde avec méfiance, celle qu’on insulte mais qui reste debout. Maintenant, écoutez-moi.
L’appel de Benzema n’a duré que 47 secondes, mais la France entière est suspendue à ces mots. Sur les réseaux, le ton change, les réactions se fragmentent. Certains l’applaudissent, d’autres le provoquent. Pas maintenant alors, tais-toi plus longtemps. Mais Karim Benzema ne répond pas tout de suite.
Il raccroche, calme, en plein orage médiatique. Il sait ce qu’il va faire et ce ne sera pas sur Twitter ni avec des crit. TFA organise une édition spéciale le lendemain. Plateau en configuration, grande interview. En face de lui, le même animateur. Autour de lui, le silence respectueux d’un pays qui attend. Karim Benzema s’installe. Pas d’équipe de communication, pas de note, juste lui et les fait.
Il commence doucement avec une voix maîtrisée. Quand j’étais plus jeune, je pensais qu’il fallait répondre à tout, me justifier, crier ma loyauté. Puis j’ai compris que les cris ne changent rien dans un monde qui a décidé de ne pas écouter. Alors, j’ai choisi le silence. Non par faiblesse, par stratégie et par paix intérieure.
Parce que pendant qu’on parlait de moi, moi je faisait l’écran derrière lui s’anime. Tf1 a préparé un montage que Benzema a validé à une seule condition, ne pas montrer son visage dans les actions. Bamaco, Mali Caméra Discrète, une école de football moderne terrain synthétique, dortoir cantine, les enfants en maillot, academique à Bf, pas de logo Adidas, pas de sponsor, seulement un mur blanc où est écrit là où il y a du talent, il doit y avoir une chance.
Aan Algérie hôpital régional reçoit du matériel médical de pointe, ventilateur, brancard, ambulance. Un médecin chuchotte, c’est venu d’un donateur anonyme, un ancien footballeur. Il ne veut pas reconnaissance. Saint-Denis, France, un petit club de quartier, étoile banlieu reçoit de nouveaux équipements, des vestiaires rénovées.
Le président ému, on n’a jamais su officiellement si c’était Benzema, mais il a changé notre vie. Karim regarde la caméra. Son regard se durcit légèrement mais son reste posé. Vous parlez de silence ? Zidane et moi, on a financé un programme éducatif dans trois quartiers : His, Mantel Jolie et Marseille, un programme qui mèle sport et soutien scolaire.
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On l’a fait sans nom. On a juste signé les anciens du terrain. Cours de tonner, les réseaux explosent. Des vidéos refont surface de jeunes lycées en parlant de sponsors anonymes, de voyages offerts, d’opportunités nouvelles. Zidane, contacté par France I confirme par SMS : “C’est vrai, on n’a jamais voulu que ce soit une opération de communication, juste une main tendue.
” Le journaliste lance timidement. Karim, certains disent que vous jouez sur les deux tableaux, ni totalement français, ni totalement algérien. Que leur répondez-vous ? Benzema pense la tête. Son regard perce l’écran. Il répond lentement en articulant chaque mot : “Je suis français et je suis algérien. L’un ne pas l’autre, mais surtout je suis quelqu’un qui agit pendant que d’autres bavardent. La salle reste silencieuse.
Aucun bruit, même les caméraman oublient de bouger. L’écran noir apparaît. Puis un simple message. L’impact réel ne fait pas de bruit, il change des vies. Le lendemain de l’intervention de Benzema, la France est en ébullition. Je suis aussi en français mon en tendance mondiale. TikTok. Twitter, Instagram, Facebook.
Le visage de Karim Benzema sobre, silencieux. et partout. Mais surtout ce ne sont pas les médias qui parlent, c’est le peuple de Courneuve à Marseille de Lyon à Saint-Brieux des témoignages jaïsent spontanés Amina 17 ans en story Instagram. On m’a dit que j’avais un prénom de terroriste. Alors oui, moi aussi je suis pas vraiment française.
Ali, 64 ans, retraité à Roubet. J’ai combattu pour la France en 197. Mon fils né ici, mais on lui demande toujours tu viens d’où ? Mireille 54 ans, prof en zepp, on m’a dit de laisser tomber les cas sociaux. Je suis fier d’enseigner à ces enfants. Ils sont la France. Les témoignages se comptent en milliers. Les visages sont variés.
Noir, arabe, asiatique, blanc aussi. Tous répètent la même phrase comme un montant. Moi aussi, on m’a dit que je n’étais pas vraiment français. C News BFM TV France 2 LCI les émissions spéciales se succèdent les invités s’investive politiciens sociologu ancien joueur citoyens un débat en direct dégénère lorsque le frère d’un jeune tué lors d’un contrôle polycyclique.
Quand Benzema parle, c’est nos morts qu’il réveille. Vous entendez ? Où vous allez encore nous traiter de parasite ? La tension devient presque ingérable. Le pays retient son souffle. Le coup de massu tombe à 13h12, relayé par Mediap, une vidéo fitée d’une réunion en interne quelques jours avant l’émission. On y voit Bruno Rotaillot dans une salle confidentielle entourée de sa cellule de communication.
Un conseiller lui dit “Si vous provoquez Benzema en direct, il va répondre. Ça détournera les médias du rapport sur les violences policières de Saint-toi. Il faut provoquer un autre débat. Retaillo à qui ?” Une autre voix ajoute : “Cique, on aura les tweets, les clashes, les plateaux. Ça tiendra de semaines. Choc national ! Les journalistes relaent la vidéo partout.
Une vague d’indignation traverse même les parties les plus modérées. Dans les coulisses de l’Élysée, l’ambiance est tendue. Macron est en déplacement à Berlin. Son conseiller presse l’église. Monsieur le président, soit vous condamnez la stratégie du ministre, soit vous perdez une partie du pays. Macron répond : hésitant.
préparer une allocution, une courte, pas d’excuses, mais de la hauteur. Pendant ce temps, un tweet celle un retournement émotionnel. Français Anto Griezmann, on a joué ensemble, on a gagné ensemble et on est français ensemble. Respect Benzema, puis vient Kyan Mbappé. Quimbappé. Quand tu respectes les autres sans faire de bruit, tu es plus fort que ceux qui hurlent. Force à toi, frérot.
Et enfin, la surprise ultime déclaration vidéo de DJ Deschamp. Karim et moi, on a eu une désaccord. Mais aujourd’hui, je suis obligé de dire qu’il fait honneur au maillot et à son silence. Cette phrase là venant de Deschamp lui-même, l’homme du clash, fait exploser les audiences. Elle est diffusée en prime time sur TF1, France 2, même Canal Plus.
Dans les quartiers, dans les grandes villes, des marches silencieuses organisent. Pas de slogan, pas de violence, juste des citoyens. Drapeau tricolore à la main qui avancent en silence. En tête de cortège, une banderole blanche. Être français, ce n’est pas un certificat, c’est une mémoire. Une vue aérienne sur la baie de Marseille au lever du jour.
Une école flambante neuve ouvre ses portes dans les quartiers nords. Une fresque murale montre des enfants en train de jouer avec cette inscription. La dignité commence par la chance d’essayer. Pas de logo, pas de nom célèbre, juste un discret panneau. Fondation Horizon Ké. Karim Benzema n’est pas là, du moins pas officiellement.
Mais les habitants le savent, tout ça, c’est lui. Les médias veulent en faire un héros. Les politiques veulent le récupérer, on le presse pour qu’il se positionne. Mais Benzema décline toutes les invitations, sauf une. Un documentaire Netflix, sobrement intitulé dans le silence le suit discrètement pendant 6 mois. Pas de voix off, pas d’effet, juste sa voix, ses gestes. Karim face caméra.
Calme, je ne veux pas qu’on m’applaudisse. Je veux juste qu’on arrête de mépriser les nôtres. Je ne suis pas un symbole, je suis un homme et j’ai choisi d’agir loin du bruit. On y découvre un terrain à Bamaco l’académie forme des jeunes filles au foot. Une première, un partenariat avec un hôpital marseillais pour financer des soins gratuits aux enfants sans papiers.
Des bourses silencieuses offertes à des jeunes méritants de toutes origines sans jamais exiger de mentions publiques. Un conseiller de l’Élysée tente un dernier coup de communication. Nous voulons remettre à Karim la légion d’honneur en grande pompe. Un geste fort. Réponse du joueur. Une lettre manuscrite transmise en privé. Merci pour l’intention.
Mais la seule médaille qui m’importe c’est quand un gamin croit nouveau en lui. Le président garde le silence. Il comprend. Scène finale dans un grand amphithéâtre parisien. Cérémonie d’accueil des nouveaux élèves de l’ENA. Un jeune homme à la peau brune, costume simple, monte à la tribune.
Il s’appelle Nassim Benaïsa, 22 ans, fils d’ouvriers algériens de Trappe. Je suis ici aujourd’hui pas pour représenter une origine, mais pour honorer un silence qui a changé ma vie. Quand j’étais en décrochage, j’ai vu un homme se taire alors qu’on l’insultait. Il n’a pas crié, il a construit. Il m’a donné envie de bâtir moi aussi.
Je suis fils d’Algérien né en France et je suis ici grâce à Karim Benzema. Dans la salle, certains ont les larmes aux yeux. D’autres applaudissent longtemps. Dernier plan. Une ruelle poussiéreuse d’Alger en fin d’après-midi. Des enfants rient court. Benzema en t-shirt simple leur tend des maillots neufs. Il ne parle pas, il sourit.
Un petit garçon lui demande timidement : “Tu reviendras ? Benzema se penche, l chuchote quelque chose qu’on entend pas. L’enfant hoche la tête avec un grand sourire. Il ne voulait pas faire de bruit, mais son silence a parlé plus fort que tous les discours. Et dans ce silence, des générations entières ont entendu l’essentiel.
Tu n’as pas besoin de crier pour exister. Tu dois juste être vrai. Et toi, que choisis-tu ? Le bruit ou l’impact silencieux ? Karim Benzema aurait puulte avec colère. Il aurait pu entrer dans le jeu médiatique, devenir un porte-rapo enchaîner les plateaux pour exister dans les yeux des autres. Mais il a choisi la dignité du silence, la force de l’action invisible, la fidélité à ses valeurs plutôt qu’à l’opinion du moment.
Tu n’as pas besoin de crier pour être entendu. Parfois, ce que tu construis dans l’ombre aura plus d’effets que 1000 mots hurler dans la lumière. La reconnaissance ne doit pas être ton moteur. L’impact réel, c’est ce que tu laisses dans la vie des autres, même s’il ne connaissent jamais ton nom. Choisis la constance, pas la réaction. Quand on t’attaque, tu as deux choix.
Réagir par instinct ou répondre par stratégie. Retiens ceci. Le silence choisi accompagné d’ juste est un langage de géant. Reste fidèle à ce que tu es, pas à ce qu’on attend de toi. Benzema n’a pas cédé à la pression. Il n’a pas voulu être un symbole ni une marionnette. Il a juste été un homme debout, libre. Fait de même.
Et maintenant, si toi aussi on t’a déjà dit, tu n’es pas vraiment français, pas vraiment français, pas vraiment légitime, pas vraiment digne, alors dis-le aujourd’hui à ta manière, par tes choix, par ton exemple. Je ne cherche pas à appartenir. Je cherche à construire. Je suis là, je reste et je ferai ce que j’ai à faire.
Partage cette histoire si elle t’a touché. Écris ton propre chapitre et surtout agis sans avoir besoin d’être vu parce qu’au bout du silence, il y a parfois un écho plus puissant que tous les cris. M.
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