Elle lui a mis une claque — le boss de la mafia a abaissé l’arme et a murmuré «Je n’obéis qu’à vous.

Il était trois heures du matin quand elle a reçu l’appel. Le genre d’appel que tout médecin redoute et espère en même temps. Une urgence, un patient mourant, une chance de sauver une vie. Elle ne savait pas encore que cet appel allait la plonger dans un monde où la vie et la mort n’obéissaient pas aux mêmes règles qu’à l’hôpital.

 Un monde où un seul homme détenait le pouvoir de décider qui vivait et qui mourait. Et ce soir-là, cet homme allait la rencontrer. Le docteur Isabelle Laurent conduisait à travers les rues désertes de Paris, ses mains serrées sur le volant.

 À 32 ans, elle était l’une des chirurgiens traumatologues les plus brillantes de l’hôpital européen George Pompidou. Cheveux noirs attachés en chignon strict, yeux vers Perçant derrière ses lunettes à monture fine, elle incarnait le contrôle absolu. Dans la salle d’opération, elle était une déesse. Rien ne la déstabilisait. Rien ne lui faisait peur, ou du moins, c’est ce qu’elle croyait. L’adresse qu’on lui avait donné n’était pas un hôpital, c’était un entrepôt dans le 19e arrondissement.

 Son instinct lui criait de faire demi-tour, mais elle avait juré de sauver des vies. Toutes les vies. Sans poser de questions, elle gara sa voiture et sortit sa mallette médicale à la main. La porte métallique s’ouvrit avant même qu’elle ne frappe. Un homme massif en costume noir la dévisagea.

 “Vous êtes le médecin”, demanda-t-il en russe. Elle comprenait le russe. Sa mère était moscovite. “Oui, où est le patient ?” Il ne répondit pas. Il se contenta de la conduire à l’intérieur. L’entrepôt était glacial. Des néons industriels créaient une lumière blafarde qui faisait tout ressembler à une scène de crime.

 Ce qui, elle le réalisa avec un frisson, était probablement le cas. Au centre de l’espace vide, un homme était allongé sur une table improvisée. Du sang coulait d’une plaie par balle à l’abdomen. Autour de lui, une demi-douzaine d’hommes en costume noir, tous armés, tous figés dans une tension palpable. Mais ce n’était pas eux qui captèrent la tension d’Isabelle.

 C’était l’homme debout à côté du blessé, grand peut-être mre90, épaule large sous un costume trois pièces parfaitement coupé, cheveux noirs légèrement argentés sur les tempes. Un visage sculpté avec une précision presque cruelle, mâchoire carré, pommettes haute, lèvres pleines. Mais c’était ses yeux qui la clouèrent sur place.

 Gris acier, froid, vide d’émotion, les yeux d’un homme qui avait vu la mort tant de fois qu’elle était devenue une vieille amie. Il tenait un pistolet dans sa main droite et ce pistolet était pointé directement sur elle. Vous allez le sauver, dit-il en français avec un accent russe à peine perceptible. Ce n’était pas une question, c’était un ordre.

 Isabelle ne bougea pas. Son cœur battait à tout rompre, mais elle refusa de montrer sa peur. Elle avait appris très tôt que montrer sa peur c’était perdre. “Baissez votre arme”, dit-elle calmement. Un silence de mort tomba sur l’entrepôt. Les hommes en costume échangèrent des regards incrédules.

 Personne ne parlait ainsi à Dmitri Volkov. Personne. Il pencha légèrement la tête comme s’il étudiait une curiosité. Vous n’êtes pas en position de donner des ordres, docteur. Détrompez-vous, répliqua Telle en avançant d’un pas. Si vous voulez que cet homme vive, vous allez me laisser travailler et je ne travaille pas sous la menace d’une arme.

 Alors soit vous la baissez, soit vous trouvez un autre médecin. Mais je vous préviens, dans 15 minutes, il sera mort. Restez avec moi. Cette histoire va vous faire remettre en question tout ce que vous croyez savoir sur le pouvoir, le danger et l’attraction la plus interdite qui soit. Le temps sembla se figer. Dmitri Volkov la dévisagea intensément comme s’il cherchait à percer le mystère de cette femme qui osait le défier.

 Personne ne lui avait parlé ainsi depuis des années, des décennies peut-être. Les gens tremblaient devant lui, supplient, se prosternit, mais pas elle. Et quelque chose en lui, quelque chose de sombre et de dangereux se réveilla. Lentement, très lentement, il baissa son arme. “Sauvez-le”, dit-il d’une voix basse, presque un murmure.

 “Et peut-être que je vous laisserai partir.” Isabelle ne perdit pas une seconde. Elle se précipita vers le blessé, ouvrit sa mallette et commença à évaluer les dégâts. Balle logée près de la rate. Hémorragie interne, tension artérielle en chute libre. Elle avait besoin d’un bloc opératoire, d’une équipe, de matériel.

 Elle n’avait rien de tout cela. Elle avait ses mains, son cerveau et 15 minutes pour accomplir un miracle. J’ai besoin de lumière, plus de lumière maintenant. Les hommes se précipitèrent pour obéir. Dimitri ne la quittait pas des yeux. Il observait chaque mouvement de ses mains, chaque décision qu’elle prenait. Elle travaillait avec une précision chirurgicale, littéralement.

Pas de geste inutile, pas d’hésitation, une concentration absolue. “Qui est-il pour vous ?” demanda-t-elle en insérant une perfusion intraveineuse. “Mon frère !” Elle leva les yeux une fraction de secondes. Son frère. Cela expliquait l’intensité dans son regard, la tension mortelle dans l’air. “Il va s’en sortir”, dit-elle. “Mais pas ici.

 Il a besoin d’un vrai bloc opératoire.” “Non, pas d’hôpital. Alors, il va mourir. Vous allez le sauver ici. Isabelle se redressa brusquement et se tourna vers lui. Leur regards se croisèrent et à cet instant précis, quelque chose passa entre eux. Quelque chose d’électrique, de dangereux. “Écoutez-moi bien”, dit-elle en plant son doigt dans son torse. “Je ne sais pas qui vous êtes, je m’en fiche.

 Mais si vous voulez que votre frère vive, vous allez arrêter de me dire ce que je dois faire et vous allez m’obéir. Est-ce clair ? Le silence qui suivit fut assourdissant. Un des hommes fit un mouvement vers son arme. Dimitri leva la main pour l’arrêter, son regard toujours fixé sur Isabelle. Et puis il fit quelque chose que personne n’avait jamais vu. Il sourit.

 Un sourire lent, prédateur, absolument terrifiant. Dites-moi ce dont vous avez besoin. Pendant les trois heures qui suivirent, Isabelle transforma cet entrepôt glacial en salle d’opération de fortune. Elle retira la balle, côérisa les vaisseaux endommagés, sutura les organes internes. Elle sauva la vie de cet homme avec rien d’autre que sa volonté de faire et ses mains expertes.

 Et pendant tout ce temps, Dmitri ne la quitta pas des yeux. Pas une seule seconde, quand elle eut terminé, l’aube commençait à pointer. Elle retira ses gants ensanglantés et se tourna vers Dmitri. Il va vivre mais il a besoin de repos, d’antibiotiques et de surveillance constante pendant les prochaines 48 heures. Vous allez rester.

Pardon. Vous allez rester et veilleer sur lui. Je ne peux pas. J’ai un travail, une vie. Il s’approcha d’elle si près qu’elle pouvait sentir son cologne, mélange de bois de santal et de quelque chose de plus sombre, de plus masculin.

 Si près qu’elle pouvait voir les minuscules cicatrices sur son visage, témoin d’une vie de violence. “Vous venez d’entrer dans mon monde, docteur”, murmura-t-il. “Vous avez vu mon visage ? Vous avez vu mes hommes ? Vous pensez vraiment que je vais vous laisser partir comme ça ?” Le sang d’Isabelle se glaça. Elle avait été tellement concentrée sur sauver une vie qu’elle n’avait pas réalisé ce qu’elle venait de faire.

 Elle était devenue un témoin et les témoins dans ce genre de monde ne vivaient généralement pas très longtemps. “Je suis médecin”, dit-elle, forçant sa voix à rester stable. “Je ne dirai rien à personne. Secret médical. Je ne prends pas ce genre de risque. Alors quoi ? Vous allez me tuer après que j’ai sauvé votre frère ? Il la regarda longuement, intensément, puis il leva la main et caressa sa joue du dos de ses doigts.

 Le geste était étrangement doux, presque tendre et c’est ce qui le rendait encore plus terrifiant. “Vous tuez, répéta-t-il. Non, docteur, je ne vais pas vous tuer.” Il se pencha plus près, ses lèvres près de son oreille. Je vais vous garder. Ce qu’Isabelle ne savait pas, c’est que ces quatre mots venaient de sceller son destin et que l’homme devant elle, le boss le plus dangereux de la mafia russe à Paris, venait de prendre une décision. Une décision qui allait tout changer.

Elle était à lui maintenant. Que cela lui plaise ou non. Les 48 heures suivantes furent les plus surréalistes de la vie d’Isabelle. On l’installa dans une suite luxueuse d’un pantous surplombant la scène. Pas une prison, mais elle n’était pas libre de partir non plus. Deux gardes du corps la suivaient partout.

 Elle avait tout ce dont elle pouvait avoir besoin, sauf sa liberté. Elle passa son temps à surveiller l’état de santé du frère de Dimitri qui se remettait remarquablement bien. Et elle passa son temps à essayer de comprendre l’homme qui l’avait capturé. Dimitri Volkov était un mystère. Boss de la Bradvarus à Paris, il contrôlait tout, le trafic d’armes, les casinos clandestins, les préusuraires.

 C’était un homme de pouvoir absolu, mais avec elle, il était différent. Il ne la traitait pas comme une prisonnière, il la traitait comme Elle ne savait même pas comment décrire ça. Le troisième soir, il vint la voir dans la suite. Elle était debout près de la baie vitrée, regardant les lumières de Paris saintillé dans la nuit.

 Combien de temps comptez-vous me garder ici ? demanda-telle sans se retourner, aussi longtemps que nécessaire, ce qui signifie que j’y réfléchis encore. Elle se tourna vers lui, la colère montant en elle. Je ne suis pas un objet que vous pouvez garder sur une étagère. Je suis un être humain.

 J’ai une carrière, des patients qui dépendent de moi, une vie plus maintenant. Ses deux mots la frappèrent comme une gifle. Elle traversa la pièce et se planta devant lui, les yeux flamboyants. Vous ne pouvez pas faire ça. Je peux faire ce que je veux, docteur Laurent. Isabelle ? Mon nom est Isabelle. Isabelle, répéta-t-il lentement comme s’il goûtait son prénom.

 Un beau nom français, élégant comme vous. Ne faites pas ça. Faire quoi ? Me parler comme si j’étais, comme si nous étions quoi ? Il s’approcha, réduisant l’espace entre eux, comme si nous étions quoi, Isabelle. Son cœur battait la chamade. Elle aurait dû avoir peur. Elle aurait dû être terrifiée. Mais ce qu’elle ressentait était bien plus dangereux que la peur.

C’était quelque chose qu’elle refusait de nommer. “Laissez-moi partir”, murmura-t-elle. “Non !” “Pourquoi ?” Parce que quand je vous regarde, je vois quelque chose que je n’ai pas vu depuis très longtemps. Quoi ? Quelqu’un qui n’a pas peur de moi. Quelqu’un qui me regarde et voit un homme, pas un monstre. Vous êtes un monstre, dit-elle.

Vous tuez des gens. Vous vivez en dehors de toute loi. Vous, je suis exactement ce que ce monde m’a forcé à devenir, coupatile. Mais avec vous, avec vous, je pourrais peut-être être différent. Si vous ressentez déjà cette tension, cette chimie impossible entre une femme qui sauve des vies et un homme qui les prend, abonnez-vous maintenant parce que j’ai 10 histoires comme celle-ci, chacune plus intense que la précédente. Et laissez un like si vous en voulez plus. L’histoire ne fait que commencer.

Isabelle secoue à la tête. Vous ne pouvez pas mettre ce poids sur moi. Je ne peux pas vous sauver. Je ne peux sauver personne de même. Je ne vous demande pas de me sauver. Il leva la main et caressa doucement sa joue. Je vous demande juste de rester. Elle aurait dû le repousser. Elle aurait dû crier, se débattre, exiger qu’il laisse partir. Mais son corps ne lui obéissait plus.

 Son corps était attiré vers lui comme un aimant. Malgré toute logique, malgré tout bon sens. “Je ne peux pas”, murmura-t-elle. “Si vous pouvez.” “Vous ne me connaissez même pas. Alors laissez-moi apprendre.” Il se pencha et pendant un instant terrifiant et merveilleux, elle crut qu’il allait l’embrasser. Mais il s’arrêta, ses lèvres à quelques millimètres des siennes.

 “Je vais vous donner un choix, Isabelle”, murmura-t-il. “Quelque chose que je n’ai jamais donné à personne. Vous pouvez partir. Je vais vous laisser rentrer chez vous, reprendre votre vie. Mais si vous restez, si vous choisissez de rester ne serait ce qu’une nuit de plus, alors vous m’appartenez complètement. C’est du chantage. C’est une proposition. Une proposition qu’on ne peut pas refuser.

 Au contraire, il recula d’un pas, créant une distance physique entre eux. Vous pouvez partir maintenant. Je vous le promets, aucun de mes hommes ne vous suivra. Aucune menace. Vous serez libre. Isabelle le dévisagea, cherchant le mensonge, le piège, mais elle ne trouva rien. Il était sérieux.

 Pourquoi ? Pourquoi me laisser partir maintenant ? Parce que je ne veux pas d’une prisonnière. Je veux Il s’arrêta comme s’il cherchait les mots justes. Je veux que vous choisissiez. Je veux que vous me choisissiez. C’était de la folie. Pure folie. Elle devrait courir vers la porte, ne jamais regarder en arrière, retourner à sa vie normale, sûre, prévisible.

 Mais quelque chose en elle, quelque chose qu’elle n’avait jamais connu, une part sombre et affamée, voulait rester, voulait voir jusqu’où cela irait. Voulait découvrir qui elle deviendrait dans ce monde d’ombre et de danger. “Une nuit”, dit-elle finalement. Le sourire qui illumina son visage était à la fois magnifique et terrifiant. “Une nuit, acceptail. C’est tout ce que je demande.

” Ce qu’abelle ne réalisait pas, c’est qu’une nuit avec Dimitri Volkov ne serait jamais suffisant. Une nuit allait se transformer en deux, puis en une semaine, puis en un mois, parce qu’il avait raison sur une chose. Elle l’avait déjà choisi. Elle l’avait choisi au moment où elle avait décidé de ne pas partir. Cette nuit-là, ils ne dormirent pas. Ils restèrent debout jusqu’à l’aube, parlant de tout et de rien.

 Il lui raconta son enfance en Russie, la pauvreté, la violence, la mort de son père quand il avait 12 ans. Comment il avait dû devenir un homme avant d’être un enfant ? comment il avait gravi les échelons de la Bradva, non pas par ambition, mais par nécessité. C’était survivre ou mourir.

 Et il avait choisi de survivre. Elle lui parla de sa mère russe, de son père français, de grandir entre deux cultures sans vraiment appartenir à aucune, de sa décision de devenir médecin après avoir regardé son grand-père mourir lentement d’un cancer, de son besoin de contrôler quelque chose dans un monde chaotique.

 “Nous ne sommes pas si différents”, dit-il alors que le soleil commençait à se lever. Vous combattez la mort avec vos mains. Moi aussi. Nous la combattons juste de manière différente. Vous ne combattez pas la mort, réplique Athel. Vous la causez seulement pour ceux qui la méritent. Et qui décide de qui mérite de mourir ? Moi. La simplicité brutale de sa réponse aurait dû la choquer, mais d’une certaine manière, elle comprenait.

 Dans son monde, il était Dieu. Il décidait du destin et elle venait de pénétrer ce monde volontairement ou non. Les semaines qui suivirent furent un tourbillon. Isabelle découvrit que vivre dans le monde de Dimitri signifiait vivre selon des règles complètement différentes. Elle avait ses propres gardes du corps maintenant. Elle ne pouvait aller nulle part seule.

 Mais étrangement, elle ne se sentait pas prisonnière. Elle se sentait protégée. Dimitri lui donna accès à tout. Elle assista à des réunions avec ses lieutenants, vit comment il gérait son empire avec une précision chirurgicale. Il ne tuait pas par plaisir, il tuait par nécessité. Chaque décision était calculée, pesée. Il était impitoyable, oui, mais pas cruel.

 Et lentement, inexorablement, elle tomba amoureuse. Elle tomba amoureuse de l’homme qui se réveillait avec des cauchemars et ne voulait en parler à personne, sauf à elle. de l’homme qui lisait Dostoyevski en russe dans son bureau tard le soir. De l’homme qui était capable de tuer un ennemi d’une balle entre les yeux puis de caresser ses cheveux avec une tendresse infinie.

 Mais le problème avec l’amour dans ce monde, c’est qu’il rendait vulnérable et la vulnérabilité était une faiblesse qu’on ne pouvait pas se permettre. Deux mois après cette première nuit, tout s’effondra. Isabelle était dans le pantous quand elle entendit les coups de feu. Des dizaines. Un véritable massacre. Elle se précipita vers la fenêtre et vit des hommes armés envahir le bâtiment. Pas les hommes de Dimitri, des ennemis, les Italiens.

 La guerre entre la Bradva et la mafia italienne couvait depuis des mois et ce soir, elle venait d’éclater. Un des gardes de Dimitrie fit éruption dans la suite. Docteur, nous devons partir maintenant. Où est Dimitri ? Il se bat. Mais vous n’êtes pas en sécurité ici. Je ne pars pas sans lui.

 Il nous a ordonné de vous protéger, de vous sortir d’ici quoi qu’il arrive. Avant qu’elle ne puisse protester, il la souleva et la porta vers l’escalier de service. Des coups de feu éclatèrent derrière eux. Le garde s’effondra. Mort ! Isabelle hurla et c’est là qu’elle le vit. Dmitri, couvert de sang, tenant deux pistolets, abattant les Italiens un par un avec une précision mortelle, ses yeux la trouvèrent à travers le chaos.

 “Cours !” cria-t-il, mais elle ne courut pas. Elle ne pouvait pas, pas sans lui. Elle vit l’italien derrière Dimitri, levant son arme. Elle ne réfléchit pas. Elle se jeta en avant, poussant Dimitri sur le côté. La balle la frolla, brûlant sa peau. Le temps ralentit. Dmitri se retourna et vida son chargeur dans l’italien, le tuant sur le cou.

 Puis il se tourna vers Isabelle, ses yeux fous de peur et de rage. “Qu’est-ce que tu as fait ?” cria-t-il. “Qu’est-ce que tu as fait, bordel ?” “Je vous ai sauvé !” dit-elle simplement. “Commentez ci-dessous.

 Auriez-vous risqué votre vie pour l’homme le plus dangereux de Paris ou auriez-vous couru sans regarder en arrière ? Parce que je dois savoir, je ne suis pas la seule folle ici, n’est-ce pas ?” Il la serra contre lui avec une force presque brutale. Son visage enfouit dans ses cheveux. “Ne refais jamais ça”, murmura-t-il. “Tu m’entends ?” “Jamais.” “Je suis médecin”, dit-elle. “Je sauve des vies. C’est ce que je fais. Pas au prix de la tienne.

” Elle se recula et le regarda dans les yeux. “Vous ne comprenez pas”, dit-elle doucement. Ma vie ne vaut rien si vous n’êtes pas dedans. Le regard de Dimitri s’adoucit et pour la première fois depuis qu’elle le connaissait, elle vit des larmes dans ses yeux. “Je t’aime”, dit-il. Dieu me pardonne, je t’aime.

 Alors arrêtez d’essayer de me protéger comme si j’étais une porcelaine fragile. Je suis là, je suis avec vous dans ce monde. Il l’embrassa. Enfin, après de mois de tension, de désir refoulé, de combat contre l’inévitable, il l’embrassa comme un homme qui se noie et qui trouve l’air, comme un homme qui a traversé l’enfer et qui trouve le paradis.

 et elle lui rendit son baiser avec la même intensité, la même faim, la même désespération. Mais ce moment de perfection fut interrompu par d’autres coups de feu. Il n’était pas sorti d’affaires. “Nous devons partir”, dit Dmitri. “maintenant, ils coururent à travers les couloirs remplis de fumée et de sang par les escaliers de service jusqu’au garage souterrain où une voiture blindée les attendait.

” Dmitri conduisit à travers Paris à une vitesse folle, prenant des virages impossibles, grillant les feux rouges. Derrière eux, des voitures italiennes les poursuivaient. “Où allons-nous ?” demanda Isabelle, “Quelque part où ils ne nous trouveront jamais. Un tel endroit existe pour toi, je vais le créer. Ils roulèrent pendant des heures, quittant Paris, traversant la campagne française.

 Finalement, ils arrivèrent à un vieux château dans le périgor. Un de ses refuges secrets, expliqua Dimitri. Personne ne connaissait cet endroit. Il serait en sécurité ici au moins pour un temps. Cette nuit-là, dans ce château qui avait survécu à des siècles de guerre et de trahison, ils se donnèrent l’un à l’autre complètement, sans retenu, sans peur.

 Leur corps se découvrirent dans la pénombre, leurs mains explorant chaque cicatrice, chaque courbe, chaque secret. Dmitri la toucha comme si elle était sacrée. Isabelle le caressa comme s’il était humain. Et dans ces heures d’obscurité, ils devinrent quelque chose de plus que ce qu’ils étaient séparément. Ils devinrent entiers. Quand l’aube se leva, elle se réveilla dans ses bras.

 Il était déjà éveillé, la regardant avec une intensité qui la fit frissonner. “Épouse-moi !”, dit-il. Elle cligna des yeux, certaine d’avoir mal entendu. “Quoi ? épouse-moi, deviens ma femme, pas dans le secret, pas dans l’ombre, devant tout le monde. Que tout Paris sache que tu es à moi et que je suis à toi.

 Dimitri, je sais que c’est de la folie. Je sais que je te demande de renoncer à tout pour moi, mais je te promets quelque chose en retour. Je te promets ma vie, chaque souffle, chaque battement de cœur, tout ce que je suis, tout ce que je serai. Les larmes coulaient sur les joues d’Isabelle.

 Tu réalises que je vais passer ma vie à essayer de te rendre meilleur, à essayer de te faire arrêter de tuer ? Je sais. Et tu es d’accord avec ça ? Je suis d’accord avec tout temps que tu es avec moi. Elle sourit à travers ses larmes. Alors oui, oui, je vais t’épouser Dmitri Volkov. Il l’embrassa. Et dans ce baiser, il y avait une promesse, une promesse de protection.

 d’amour, de loyauté absolue. Mais ce qu’aucun d’eux ne savait, c’est que leur plus grande épreuve était encore à venir parce que le passé de Dmitri était sur le point de ressurgir et ils allaient mettre leur amour à l’épreuve d’une manière qu’ils n’auraient jamais pu imaginer. 3 jours plus tard, Isabelle découvrit le secret que Dmitri avait gardé caché.

 Le secret qui changeait tout. Elle était dans son bureau cherchant un stylo quand elle trouva la photo. Une photo de Dmitri, plus jeune, souriant, tenant une petite fille dans ses bras. Et à côté de lui, une femme magnifique, blonde, regardant la caméra avec un amour évident. Isabelle sentit son cœur se briser en mil morceaux.

 Il était marié, il avait une famille et il ne lui avait rien dit. Elle était là debout avec la photo tremblante dans ses mains. Quand Demmit entra dans le bureau, il vit la photo, il vit son visage et il comprit. Isabelle, qui sont-ils ? Sa voix était froide, morte. Ma femme, ma fille, ta femme ? Elle rit mais c’était un son brisé.

 Tu as une femme et tu m’as demandé de t’épouser. Avais. J’avais une femme. Elle leva les yeux vers lui. Quoi ? Elles sont mortes. Il y a 5 ans, un attentat à la voiture piégée destinée à moi. Mais elles étaient dans la voiture. Sa voix se brisa. Elles sont mortes à ma place. Isabelle laissa tomber la photo.

 Dimitri, c’est pour ça que je suis devenue ce que je suis. C’est pour ça que je ne laisse personne m’approcher parce que tout ce que je touche meurt. Il se tourna pour partir mais elle l’attrapa par le bras. Non. Non. Quoi ? Non. Tu ne vas pas partir. Non. Tu ne vas pas me repousser. Non. Tu ne vas pas utiliser ta douleur comme excuse pour fuir. Elle le força à se retourner et planta ses yeux dans les siens.

 Je suis désolé pour elle. Je suis désolé pour ta perte. Mais elles ne sont pas mortes parce que tu les aimais. Elles sont mortes parce que des monstres les ont tué. Et si tu me repousses maintenant, si tu m’éloigne pour me protéger, alors ces monstres auront gagné. Je ne peux pas te perdre, murmura-t-il.

 Je ne survivrai pas à te perdre toi aussi. Alors ne me perds pas. Garde-moi, protège-moi, mais laisse-moi t’aimer. Laisse-moi être avec toi. Il la serra dans ses bras avec une force désespérée. J’ai peur moi aussi. Mais tu restes quand même. Je reste. Si votre cœur est aussi brisé en ce moment, commentez. Et si vous connaissez quelqu’un qui a besoin d’entendre cette histoire d’amour impossible, partagez-la.

 Les mois qui suivirent ne furent pas faciles. La guerre avec les Italiens s’intensifia. Il y mort, plus de violence, plus de nuit où Isabelle ne savait pas si Dmitri rentrerait vivant. Mais elle teint bon, elle resta et lentement quelque chosea en lui. Il commença à déléguer plus, à s’éloigner des aspects les plus violents de son empire.

 Il ne pouvait pas tout arrêter, pas complètement, mais il essayait pour elle parce qu’elle le lui avait demandé. Isabelle, de son côté trouva un équilibre. Elle ouvrit une clinique clandestine dans le 19e arrondissement, soignant ceux qui ne pouvaient pas aller à l’hôpital. Les sans papiers, les criminels, les gens du monde de Dimitri. Elle utilisait sa fortune pour faire du bien.

 Ils se marièrent 6 mois plus tard dans une petite église orthodoxe russe. Ce fut une cérémonie simple, intime. Juste deux, son frère et quelques amis proches. Elle porta une robe blanche simple. Il porta le costume que son père avait porté le jour de son propre mariage et quand il glissa l’alliance à son doigt, il murmura : “Tu es ma rédemption.” Elle sourit à travers ses larmes et tu es mon choix.

 Mais leur bonheur fut de courte durée parce qu’une semaine après leur mariage, les Italiens frappèrent à nouveau. Cette fois, ils ne visèrent pas Dimitri, ils visèrent Isabelle. Elle était à sa clinique soignant un jeune homme qui avait été poignardé quand ils débarquèrent. Six hommes armés. Le chef était un homme que Dmitri avait croisé des années auparavant.

 Carlo Rossi, le fils du boss de la mafia italienne. “Vous êtes la femme de Volkov”, demanda-t-il en français avec un fort accent italien. Isabelle ne bougea pas. “Oui alors, vous allez venir avec nous ?” “Non”, il rit. Ce n’était pas une question et ma réponse n’était pas une négociation. Il pointa son arme sur elle.

 Je n’ai pas envie de vous faire du mal, docteur, mais je le ferai si nécessaire. Alors, faites-le. Elle croisa les bras. Parce que je ne vais nulle part avec vous. Carlo la dévisagea, surpris. Les femmes de ce monde ne parlaient pas ainsi. Elle obéissaient. Elles avaient peur. Mais pas elle. Volkové en quelque chose de dangereux, dit-il finalement. Non, j’étais déjà dangereuse.

 Il m’a juste donné une raison de le montrer. Avant que Carlo ne puisse répondre, les fenêtres de la clinique explosèrent. Les hommes de Dmitri débarquèrent armes levées et au milieu d’eux, Dimitri lui-même, ses yeux gris en feu de rage.

 “Éloignez-vous de ma femme”, dit-il d’une voix si basse, si mortelle, que même les hommes les plus endurcis frémirent. Carlo fit un pas en arrière. Volkov, nous ne sommes pas venus pour la guerre. Nous sommes venus pour négocier. Il n’y a rien à négocier. Vous avez pointé une arme sur elle. Vous avez scellé votre mort. Attendez. Isabelle s’avança entre les deux hommes. Attendez. Dimitri la regarda. Incrédule.

 Isabelle recule. Non. Écoutez-moi tous les deux. Cette guerre ne mène nulle part. Combien de personnes doivent mourir encore ? Combien de familles doivent être détruites ? Ils ont essayé de te kidnapper, dit Dmitri. Et vos hommes ont tué le frère de Carlo il y a 6 mois, répliqua elle en regardant l’italien. N’est-ce pas ? Carlo ne répondit pas mais son silence était une confirmation.

Alors vous êtes quit ? Elle regarda les deux hommes. Vous êtes quit. Arrêtez cette guerre maintenant avant qu’il n’y ait plus personne pour la gagner. Le silence qui suivit fut si intense qu’on aurait pu entendre une épingle tomber. Puis, incroyablement, Carlo baissa son arme.

 “Vous avez des couilles, docteur”, dit-il, plus que la plupart des hommes que je connais. Il regarda Dimitri. Votre femme a raison. Cette guerre nous coûte trop cher à tous les deux. Peut-être qu’il est temps de trouver un terrain d’entente. Dimitri regarda Isabelle pendant un long moment, puis il baissa son arme. On parle mais pas ici et pas maintenant. Demain, terrain neutre. D’accord.

Carlo et ses hommes partirent. Quand ils furent seuls, Dmitri attrapa Isabelle et la serra contre lui. “Ne refais jamais ça”, dit-il. “Ne te mets plus jamais entre moi et une arme.” Quelqu’un devait le faire. Pourquoi toi ? Parce que je suis la seule que vous auriez écouté. Il la regarda et malgré la peur et la colère, il y avait aussi de l’admiration dans ses yeux.

 Comment es-tu devenue si courageuse ? J’ai épousé le boss de la mafia russe. Le courage est devenu une nécessité. Il rit un vrai rire. Le premier qu’elle entendait depuis des semaines. “Je t’aime”, dit-il. plus que je ne pensais pouvoir aimer à nouveau. Je sais. Elle sourit. Et je t’aime aussi. C’est pour ça que je ne vais pas te laisser te détruire avec cette guerre.

 Le lendemain, Dmitri et Carlo se rencontrèrent. Isabelle insista pour être présente. Les négociations durèrent 6h. Ce fut tendu. Il y crut que tout allait exploser. Mais finalement, ils trouvèrent un accord. Un cesser le feu, une division du territoire, une paix fragile, mais une paix quand même. Quand ils sortirent de la réunion, Dimitri l’a pris dans ses bras.

 Tu as réussi, dit-il. Tu as arrêté une guerre. Nous avons réussi. Ensemble, ensemble, répéta-t-il. J’aime ce mot. Si vous êtes arrivé jusqu’ici, si vous avez ressenti chaque mot de cette histoire d’une femme qui a transformé le boss le plus dangereux de Paris en un homme capable d’aimer à nouveau, alors vous êtes ma personne. Abonnez-vous si ce n’est pas encore fait.

 Laissez un like si cela a touché votre cœur et commentez quel a été le moment pour vous. Celui où vous avez su qu’ils étaient fait l’un pour l’autre ? Un an passa, un an de paix relative, un an pendant lequel Isabelle et Dmitri construisirent une vie ensemble. Ce n’était pas une vie normale. Ça ne le serait jamais. Mais c’était leur vie. Isabelle continua à diriger sa clinique.

 Dimitri continua à gérer son empire mais de manière moins violente. Il investit dans des entreprises légitimes. Il blanchit son argent. Il se préparait pour le jour où il pourrait sortir complètement de ce monde pour elle, pour eux, pour la famille qu’il voulait construire. Et puis un matin, Isabelle se réveilla avec des nausées. Elle suit immédiatement. Elle était médecin. Après tout, elle était enceinte.

 Quand elle l’annonça à Dmitrie, il ne dit rien pendant un long moment. Il resta juste figé, la regardant avec des yeux incrédules. “Tu es sûr ?” demanda-t-il finalement. “Oui, un bébé.” Il posa sa main sur son ventre encore plat. notre bébé. Tu es content. Il leva les yeux vers elle et elle vit des larmes coulées sur son visage.

 Content Isabelle, je sa voix se brisa. J’ai cru que je ne serais plus jamais père. J’ai cru que je ne méritais pas cette seconde chance. Mais tu tu me l’as donné. Il s’agenouilla devant elle et embrassa son ventre. Je te promets murmura-t-il. Je te promets que tu grandiras dans un monde meilleur, que tu ne connaîtras jamais la violence qui m’a construit, que tu seras libre de choisir qui tu veux être.

 Isabelle caressa ses cheveux, son cœur débordant d’amour. Nous allons y arriver, dit-elle. Ensemble, ensemble, répéta-t-il. Et pour la première fois, depuis qu’elle l’avait rencontré dans cet entrepôt glacial, elle vit quelque chose dans ses yeux qu’elle n’avait jamais vu auparavant.

 L’espoir, l’espoir d’un avenir, l’espoir d’une rédemption, l’espoir d’une vie où l’amour triomphit de la violence. 9 mois plus tard, par une nuit pluvieuse de Mars, Isabelle donna naissance à une petite fille. Ils l’appelèrent Natalia, du nom de la première fille de Dmitrie. Non pas pour la remplacer, expliqua Isabelle, mais pour honorer sa mémoire.

Dimitri teint sa fille dans ses bras, ce géant d’homme qui avait tué sans hésitation, qui avait terrorisé Paris. et il pleura comme un enfant. “Elle est parfaite”, murmura-t-il. “Absolument parfaite comme son père”, dit Isabelle, il leva les yeux vers elle. “Je ne suis pas parfait.” “Non, mais tu es à moi et c’est tout ce qui compte.

” 3 ans plus tard, Dmitri Volkov quitta officiellement la Bradva. Il passa le contrôle à son frère qui avait survécu et s’était rétabli grâce aux soins d’Isabelle. Il investit tout son argent dans des entreprises légales. Il devint un homme d’affaires respectable. Enfin, presque, il gardait encore des contacts. Il gardait encore le respect.

Une fois dans ce monde, on n’en sortait jamais vraiment complètement. Mais il essayait pour Isabelle, pour Natalia, pour la vie qu’il construisait ensemble. Isabelle, de son côté ouvrit une fondation médicale. Elle continua à soigner ceux qui en avaient le plus besoin. Elle forma de jeunes médecins. Elle fit une différence. Ensemble, ils transformèrent l’obscurité en lumière.

Et chaque soir, quand il mettait Natalia au lit, quand ils se retrouvaient seul dans leur chambre, Dmitri la prenait dans ses bras et murmurait : “Merci.” Pourquoi ? pour ne pas avoir eu peur, pour être resté, pour m’avoir sauvé. Tu m’as sauvé aussi, répondait-elle toujours.

 Comment ? Tu m’as montré qui je pouvais vraiment être ? Pas seulement un médecin, pas seulement une femme, mais quelqu’un de complet, quelqu’un de courageux, quelqu’un capable de choisir l’amour, même quand tout dit de fuir. Il l’embrassait alors et dans ce baiser, il y avait tout ce qu’ils avaient traversé, toute la douleur, toute la peur, tout l’amour.

 Et ils savaient que peu importe ce que l’avenir leur réservait, ils l’affronteraient ensemble. Parce que c’est ce que signifie vraiment aimer. Non pas trouver quelqu’un de parfait, mais trouver quelqu’un d’imparfait et choisir de l’aimer quand même. Choisir de rester quand tout dit de partir, choisir de croire en la possibilité d’un avenir meilleur.

 Et Isabelle et Dmitri avaient fait ce choix encore et encore chaque jour et c’est ce qui les rendait invincible. 10 ans après leur première rencontre, Dimitri emmena Isabelle dans cet entrepôt duème arrondissement. L’endroit où tout avait commencé, il l’avait acheté et transformé en centre médical gratuit portant son nom. “Pourquoi ?” demanda-t-elle les larmes aux yeux. “Parce que c’est ici que j’ai rencontré ma rédemption”, dit-il.

 “C’est ici que ma vie a vraiment commencé et je voulais que cet endroit qui a vu tant de violence devienne un lieu de guérison.” Elle le regarda, cet homme qui avait été un monstre et qui était devenu son héros. “Je t’aime”, dit-elle. Je t’aimerai toujours. Et moi ! Répondit-il en la prenant dans ses bras. Je t’obéirai toujours, docteur.

Elle rit. Ce rire qui avait le pouvoir de le faire sourire même dans ses jours les plus sombres. Tu te souviens de la première chose que tu m’as dite ? Demanda-t-elle. Je t’ai dit de sauver mon frère. Non, après quand j’ai refusé de travailler sous la menace d’une arme. Il sourit. Ce sourire dangereux qui la faisait toujours frissonner.

 Je t’ai dit que j’allais te garder et tu as tenu ta promesse toujours. Il l’embrassa doucement pour toujours. Et dans cet entrepôt transformé, dans ce lieu où tout avait commencé, ils sélèrent à nouveau leur amour. Un amour qui avait survécu à la guerre, à la violence, à la mort. Un amour qui était plus fort que tout.

 Parce que parfois l’amour le plus vrai n’est dans les endroits les plus sombres. Parfois les âmes les plus brisées trouvent leur guérison chez l’autre. Et parfois il suffit d’une femme courageuse pour transformer un monstre en homme et d’un homme dangereux pour montrer à une femme qu’elle est capable de tout. Leur histoire n’était pas un compte de fait.

C’était mieux, c’était réel et c’était à eux. Prochaine histoire, elle s’est réveillée dans une limousine en mouvement. Le boss de la mafia a dit qu’elle n’avait plus le droit de rentrer chez elle. une femme, une limousine, un kidnapping et une décision qui changera sa vie pour toujours.

 Parce que parfois on ne choisit pas sa destinée, parfois elle nous choisit. Cette histoire sort dans 48 heures. Abonnez-vous pour ne rien manquer. La prochaine histoire est encore plus intense, encore plus dangereuse, encore plus impossible à quitter. D’ici là, restez dangereusement amoureuse.