Une Belle-mère jette un bébé dans la rivière sans savoir qu’elle est la fille de la déesse de l’eau.

il y a longtemps dans un petit village entouré de forêts épaisses et de rivières sinueuses vivait un homme nommé Vlad il était grand fort et reconnu pour son travail acharné Vlad avait un cœur rempli d’amour surtout pour sa belle épouse Giselle leur amour était comme le soleil du matin éclatant chaleureux et plein d’espoir lorsque Giselle tomba enceinte Vlad fut transporté de joie il chantait dansait sous la lueur de la lune et promettait d’aimer sa femme et leur enfant à naître pour l’éternité mais la vie réserve parfois des épreuves cruelles Giselle mourut en donnant naissance à leur fille Abigail son décès

brisa le cœur de Vlad en 1000 morceaux pourtant lorsqu’il plongea son regard dans les petits yeux innocents de sa fille il trouva une raison de vivre à nouveau Abigail devint son monde son rayon de soleil après la tempête 6 mois après la mort de Giselle Vlad fit quelque chose d’inattendu il se remaria sa famille et ses amis chuchotaient dans son dos un jour son plus proche ami Darius lui demanda pourquoi sitôt la tombe de Giselle est encore fraîche Vlad poussa un profond soupir avant de répondre Abigail a besoin d’une mère je

ne peux pas l’élever seule elle n’est qu’un bébé elle a besoin de la chaleur et des soins d’une femme c’est ainsi que Paula entra dans la vie de Vlad elle était magnifique avec sa police et sombre et ses yeux perçants qui brillaient comme des pierres de rivière mais la beauté peut-être trompeuse dès qu’elle franchit le seuil de la maison tout commença à changer au début Paula faisait semblant d’aimer abiguel mais bien vite son vrai visage apparut ce bébé pleure trop se plaignait-elle en fronçant les sourci les mains sur les oreilles tu ne peux pas la faire taire

je ne t’ai pas épousé pour devenir nourrice Vlad aveuglé par l’amour et la peur d’élever abiguel seul ignora les paroles cruelles de Paula il croyait qu’avec le temps elle finirait par aimer l’enfant il avait tort un après-midi brûlant Paula proposa à Vlad allons à la rivière l’air frais fera bien à Abigail Vlad accepta portant sa fille contre lui Abigail riait doucement inconsciente du regard sombre qui la fixait la rivière scintillait sous le soleil ses eau dansaient comme des serpents d’argent la

brise murmurait des secrets entre les arbres Vlad s’installa sous un grand arbre tenant abigel contre son cœur pala afficha un sourire mais son cœur était empli d’amertume elle voulait se débarrasser d’abiguel pour elle ce bébé n’était qu’un fardeau un rappel constant de soudain Paula se leva et s’étira Vlad j’ai besoin de quelques herbes dans la forêt peux-tu aller m’en chercher je veillerai sur abiguel sans méfiance Vlad acquessa et s’enfonça dans la forêt ses pas s’éloignèr jusqu’à disparaître dès

qu’il ne fut plus en vue le sourire de Paula s’effaça elle observa Abigael qui jouait avec ses petits doigts innocente et pleine de vie sans une seconde hésitation elle prit le bébé s’avança jusqu’au bord de la rivière et d’un cœur aussi froid que la pierre la jeta dans les eaux tumultueuses un cri faible un tourbillon d’écume puis le silence Paula s’effondra sur le sol se frotta de la terre sur le visage et déchira son pagne pour donner l’illusion d’une lutte puis elle se mit à hurler pleurant à grand cri comme si son âme était brisée Vlad accouru les bras chargés d’herbes

l’inquiétude gravéit sur son visage que s’est-il passé Paula sanglota la rivière la rivière a pris Abigael elle a glissé des mains j’ai essayé de la sauver mais le courant était trop fort Vlad s’effondra à genou le cœur brisé une fois de plus il fixa la rivière déchaînée refusant de croire ce qui venait de se produire des larmes coulèrent sur ses joues il se maudissait si seulement je n’étais pas parti mais la rivière c’est la vérité les arbres ont été témoins du crime et parfois les âmes innocentes ne restent pas silencieuses les jours passèrent Vlad ne mangeait plus ne plus la maison semblait

plus vide que jamais Paula feignait de le réconforter mais la culpabilité est un poison qui s’insinue dans l’âme comme une ombre qui ne disparaît jamais puis d’étranges événements commencèrent chaque nuit Paula entendait des pleurs de bébé elle se réveillé en sursaut en sueur cherchant la source du bruit mais il n’y avait rien juste un silence pesant jusqu’à la nuit suivante un soir alors que la lune était pleine et basse Vlad s’assit sous l’arbre près de la rivière les yeux remplis de larmes soudain il l’entendit un faible pleur semblable à celui d’abiguel son cœur

s’emballa le son devint plus fort l’attirant vers la rive là flottant sur l’eau il vit un petit bracelet celui que Giselle avait fabriqué pour abiguil avant sa naissance Vlad le ramassa les doigts tremblants le métal froid s’enfonçant dans sa paume comme pour lui chuchoter une vérité qu’il refusait d’entendre le cri fantôme continuait d’écoer dans son esprit un doute naquit en lui une peur sourde un pressentiment grandissant quand il rentra chez lui la main toujours serrée sur le bracelet il trouva Paula assise près du feu feignant

de raccommoder sa chemise elle leva les yeux et lui adressa un sourire forcé sans un mot Vlad lança le bracelet sur la table je l’ai trouvé près de la rivière dit-il d’une voix rau et tremblante un instant Paul la blémit mais elle se reprit rapidement et rit nerveusement et alors abiguel était-elle la seule enfant du village à porter un brass tu deviens fou Vlad tu laisses ton chagrin te faire délirer le cœur de Vlad se serra à ses paroles fau peut-être était-il en train de trop réfléchir il se frotta les tempes tentant d’éloigner les doutes qui s’insinuaient en lui

Paula continua sa voix douce m tranchante si tu continues ainsi tu vas perdre la tête laisse abiguel reposer en paix mais cette nuit-là Vlad ne trouva pas le sommeil le bracelet qu’il avait trouvé semblait lui brûlait l’âme comme une vérité refusant d’être oubliée le lendemain matin alors que le soleil teintait le ciel d’orange Darius fit irruption dans la cour de Vlad le visage assombrit par la colère il ne prit même pas la peine de saluer Paula qui balayait nonchalamment près de l’entrée Vlad s’écria-t-il comment peux-tu être aussi aveugle comment peux-tu croire au

mensonge de Pola tu penses vraiment que la rivière a emporté Abigail comme ça un bébé de 6 mois en plein jour le visage de Vlad devint rouge de rage il se leva si brusquement que sa chaise s’écrasa au sol sors de chez moi Darius hurla-t-il tu es jaloux parce que ma femme est plus belle que la tienne c’est pour ça que tu remplis ma tête de bêtise Darius serra les points furieux jaloux tu es un imbécile Vlad un imbécile aveugle Vlad n’attendit pas d’en entendre davantage il fonça sur Darius l’empoignant par le col ils luttèrent comme des bêtes sauvages leurs point volant roulant sur le sol poussiéreux

les voisins accoururent criant tentant de les séparer mais Vlad était incontrôlable ne remet plus jamais les pieds chez moi cracha-t-il reste loin de ma famille et de moi Darius se releva lentement s’épousant le visage marqué de bleu mais l’esprit intact il pointa un doigt tremblant vers Paula qui se tenait sous le Porsche les bras croisés une lueur moqueuse caché derrière ses yeux froids un jour Vlad siffla Darius la vérité te frappera plus durement que mes points et ce jour-là je ne serai pas là pour te rattraper sur ces mots il tourna les talons et s’éloigna laissant vladal temp

le cœur battant comme un tambour cette nuit-là les pleurs du bébé revinrent doux lointain en temp Paula se réveilla en sueur les yeux affolés dans l’obscurité elle secoua Vlad sa voix tremblante tu as entendu ça Vlad tourna la tête vers elle son visage fermé non répondit-il froidement avant de se retourn contre le mur 5 ans passerm l’ombre de la perte d’abiguel planait toujours sur la maison de Vlad comme un esprit invisible l’homme autrefois fort portait désormais la tristesse dans son regard même s’ilenterrait sous des

couches de dur laabur la vie continuait mais quelque chose en lui resta brisé une fissure que le temps ne parvenait pas à refermer PAA elle était devenue agitée malgré toutes ses prières et ses effort elle n’avait pas conçu d’enfant les années s’écoulaient implacables et toujours aucun signe de gros C chaque mois elle espérait pour être à chaque fois accueillie par la déception mais ce n’était pas le désir d’être mère qui pesait sur son cœur non ce qui la hantait c’était la peur la peur que Vlad prenne une autre femme une plus jeune une qui lui donnerait enfin un héritier un soir PAA était assise près du feu des

larmes silencieuses roulant sur ses joues ses sanglots raisonnèrent dans la petite maison arrachant Vlad à ses pensées il s’approcha inquiet PAA pourquoi pleures-tu demanda-t-il doucement elle essuya précipitamment son visage comme honteuse d’avoir été surprise en pleine faiblesse Vlad j’ai peur murmura-t-elle j’ai peur que tu me quittes parce que je ne peux pas te donner d’enfant et si tu trouvais une autre femme quelqu’un de plus jeune quelqu’un qui te donnerait des enfants Vlad lui prit les mains son regard

s’adoucissant je ne te quitterai jamais Paula promis il tu es ma femme enfant ou non je resterai à tes côtés ses paroles semblèrent l’apaiser un instant mais au fond d’elle PAA savait les promesses sont comme les feuilles elles s’envolent facilement lorsque la tempête arrive un après-midi brûlant le soleil frappait impitoyablement le village l’air vibrait de vie des enfants riaai des femmes pil liignam des oiseaux chantaient leurs mélodies infinies allongé à l’ombre Paula se plaignit d’une voix languissante Vlad je suis

trop faible pour aller chercher de l’eau aujourd’hui peux-tu aller à la rivière pour moi Vlad ne discuta pas il attrapa sa calebasse et se mit en route ses pas écrasant la terre sèche sous lui le sentier était familier mais aujourd’hui quelque chose semblait différent l’air était lourd comme si les arbres mêmes retenaient leur souffle arrivé au bord de la rivière Vlad se pencha pour remplir sa calebasse l’eau fraîche reflétait son visage fatigué mais alors qu’il s’apprêtait à se relever une voix douce s’éleva derrière lui monsieur pouvez-vous m’aider s’il vous plaît Vlad

se retourna brusquement à quelques pas de lui se tenait une petite fille pas plus âgée de 5 ans ses cheveux bouclés étaient emmêlés ses vêtements en lambau et ses grands yeux bruns reflétaient une tristesse qui lui serra le cœur qui es-tu demanda-t-il en se redressant lentement la fillette baissa la tête ses petits doigts s’entortillant nerveusement je je ne sais pas chuchotat-elle je ne me souviens pas de mon nom ni de mon village ni de mes parents je suis perdu le cœur de Vlad se serra comment une enfant si jeune pouvait-elle être seule dans la nature il scruta les alentours s’attendant à

voir quelqu’un à courir mais la rive était déserte seuls les murmures de l’eau et les cris lointains des oiseaux brisaient le silence il s’agenouilla plongeant son regard dans celui effrayé de la petite tu ne te souviens de rien elle secoua la tête les larmes aux yeux Vlad poussa un profond soupir le cœur lourd il pensa à biguel à ses petites mains à ses rire doux à son visage innocent son torse se serra comme si la rivière elle-même s’était installée en lui il ne pouvait pas l’abandonner ici viens avec moi dit-il doucement je

prendrai soin de toi la fillette hocha la tête et sans hésitation sa petite main glissa dans celle de Vlad comme si elle y avait toujours appartenu d’une main il tenait la calebasse de l’autre les doigts fragile de la fillette ensemble ils prirent le chemin du retour mais lorsqu’ils atteignirent la maison Paula est vite arrivé de loin son visage se tordit d’abord de confusion puis d’autres choses de jalousie elle força un sourire en voyant Vlad entrer qui est cet enfant demanda-t-elle d’une voix trop sucrée pour être sincère Vlad expliqua ce qui s’était passé comment il

avait trouvé la fillette seule au bord de la rivière elle ne se souvient de rien même pas de son nom dit-il je ne pouvais pas la laisser mourir là-bas le sourire de Paula s’effaça remplacé par une mou crispée mais elle ne dit rien de plus cette nuit-là Vlade installa un petit tapis près du feu pour la fillette elle s’y roula en boule sans un mot sa respiration douce et régulière alors qu’il observait dormir quelque chose s’éveilla au fond de lui il ne comprenait pas ce sentiment mais c’était comme si une pièce manquante venait enfin de retrouver sa place allongé à

ses côtés Paula fixait l’obscurité son esprit en ébullition elle n’aimait pas la présence de cet enfant il y avait quelque chose chez elle ses yeux se visage tout en elle la mettait mal à l’aise les jours devinrent des semaines là fillette faisait désormais partie de leur foyer elle était silencieuse mais observatrice ses grands yeux scrutant toujours leur environnement comme si elle cherchait quelque chose de familier Vlad s’attacha à elle la traitant comme sa propre fille il alla même jusqu’à lui donner un nom espoir parce qu’elle avait apporté une lumière nouvelle dans son

cœur assombri et peu à peu espoir s’enracina dans la vie de Vlad comme un arbre robuste elle n’était pas comme les autres enfants du village elle parlait peu mais quand elle le faisait ses paroles portaient une sagesse étrange bien au-delà de son jeune âge ses grands yeux bruns semblaient receler des secrets profonds insondables comme la rivière où Vlad l’avait trouvé en sa présence Vlad trouva une pai qu’il croyait perdu à jamais le poids sur son cœur s’allégeait jour après jour son champ souffrait toujours sa terre refusait de produire comme autrefois

mais avoir espoir à ses côtés comblait un vide en lui un vide qu’il pensait impossible à guérir une soirée paisible le soleil se couchait peignant le ciel de teintes oranges et violettes assis sur un vieux tabouret en bois Vlad réparait un outil de ferme cassée espoir était assise à côté de lui soudain elle se tourna vers lui et murmura doucement papa je ne veux plus que tu m’appelles espoir Vlad s’arrêta net les mains figées en plein mouvement il la regarda intrigué pourquoi ma chérie tu n’aimes pas ce nom la fillette secoua lentement la tête ses yeux rencontrèrent les siens et l’espace d’un instant vlat du

l’étrange impression de plonger dans un souvenir lointain comme le reflet d’une mémoire enfouie appelle-moi abiguel chuchota-t-elle l’outi s’échappa des mains de Vlad et tomba au sol dans un bruit sec son cœur s’emballa un frisson glacé parcourut son échine alors qu’il a fixait la gorge soudain sèche que as-tu dit souffla appelle-moi abigel répéta telle calmement comme si c’était la chose la plus naturelle au monde le souffle de Vlad se fit court son esprit tourbill onit il cligna des yeux tentant de chasser le malaise qui s’emparait de lui Abigael était le nom de ma fille

dit-il à voix basse mon bébé elle a été emportée par la rivière lorsqu’elle n’avait que 6 mois ses yeux s’embuèrent tandis que les souvenirs refaisaient surface le dou rire d’abiguel la chaleur de son petit corps dans ses bras puis le vide glacial qu’elle avait laissé derrière elle je sais tout ce qui s’est passé répondit la fillette d’une voix calme aussi paisible que l’eau d’une rivière avant l’orage je sais que ce jour-là tu es parti chercher des her je sais comment Paulat a dit que la rivière m’avait emporté je sais pour Darius et pour le bracelet les yeux de Vlad

s’écarquillère son cœur cogna violemment contre sa poitrine il recula lentement ses mains tremblantes comment comment sais-tu ces choses balbutia-t-il la voix presque éteinte la fillette posa sa petite main sur son torse juste au-dessus de son cœur ne t’inquiète pas papa dit-elle doucement maintenant que je suis là je apporte des bénédictions tu verras tes récoltes pousseront vite tu seras riche bientôt l’obscurité qui te poursuit disparaîtra Vlad ne pouvait plus parler sa gorge était sèche son cœur battait comme un tambour au milieu d’une fête villageoise cette nuit-là il ne dormit pas il resta assis près du feu

les yeux rivai sur les flammes ses pensées emmêlé comme un filet de pêcheur se pouvait-il que ce soit abiguel comment était ce possible le lendemain un miracle le point qu’envlade se rendit à son champ il s’arrêta net les cultures autrefois sèches et mourantes se tenaient maintenant haute et verdoyante la terre qui n’avait été que fissure et désolation était à présent riche et fertile les mains tremblantes il toucha les feuilles l’incrédulité se peignant sur son visage c’était de la magie non c’était un miracle Vlad se précipita

chez lui le cœur battant entre peur et espoir il entra en trombe Hal temp et trouva espoir ou Abigail assise calmement fredonnant un air doux comme si rien d’extraordinaire ne s’était produit c’est vrai souflati sa voix tremblante les cultures elle pousse un sourire éclaira le visage de la fillette ses yeux brillaient comme des étoil je te l’avais dit papa répondit-elle doucement je t’apporte des bénédictions Vlad tomba à genou des larmes coulants sur son visage il la serra contre lui son cœur débordant d’amour et de confusion le lendemain Vlad décida de parler à

Paula de ce qui le tourmentait il resta assis en silence un moment réfléchissant à la meilleure façon d’aborder le sujet finalement il leva les yeux vers Paula et dit Paula je dois te dire quelque chose occupé avec ses tâches ménagères elle répondit sèchement quoi encore Vlad s’éclaircit la gorge et dit espoir a changé de nom elle ne veut plus être appelée espoir elle veut qu’on l’appelle abiguel dès que Paula entendit ses mots elle s’arrêta net son visage se tordit de colère et sa voix éclata comme un coup de tonner cette petite peste

s’écria-t-elle les yeux remplis de fureur je t’avais prévenu Vlad je t’avais dit que cette fille était venue pour détruire notre mariage soudain elle éclata en sanglot pleurant bruyamment comme si son cœur se brisait en 1000 morceaux oh mon beau bébé abiguel tu me manques tellement comment cette fille ose-t-elle prendre le nom de ma fille comment ose-t-elle se moquer de ma douleur ainsi elle pleura longuement sa voix emplissant la maison puis elle se redressa essuya ses larmes et déclara d’un ton amer Vlad nous devons la

chasser je ne veux plus la voir dans cette maison je ne supporte pas sa présence Vlad secoua fermement la tête non je ne peux pas faire ça elle est ma fille maintenant jusqu’à ce que je trouve ses vrais parents je ne l’abandonnerai pas le visage de PAA devint rouge de rage si tu refuses de la chasser alors c’est moi qui partirait je refuse de vivre sous le même toit que cet enfant maudit Vlad la fixa droit dans les yeux et répondit calmement tu es libre de partir Paula après tout tu ne m’as jamais donné d’enfant à quoi bon

rester ici Paula reste figé la bouche entrouverte les larmes montant à nouveau dans ses yeux alors tu choisis une inconnue plutôt que moi s’écria-t-elle après tout ce que j’ai fait pour toi après toutes ces années de mariage Vlad garda le silence et ce silence en disait bien plus que des mots Paula pleura encore plus fort espérant que Vlad changerait d’avis mais il ne flancha pas au bout d’un moment elle essuya ses larmes redressa le dos et déclara d’une voix froide et tranchante je ne quitterai pas mon mariage à cause de cette petite sorcière puis avec une

lueur de détermination amère dans les yeux elle ajouta puisque tu refuses de la chasser je ferit en sorte que cette maison devienne un enfer pour elle elle finira par supplier de partir Vlad la coupe sèchement ne t’avise pas d’essayer quoi que ce soit sinon je te ferai regretter de m’avoir connu puis il se détourna et s’éloigna laissant PAA sur place tremblante de colère un étrange calme point Vlad alla retrouveré abiguel qui était assise tranquillement dans la petite pièce il s’assit à côté d’elle et

lui dit doucement Abigail je veux que tu saches que je suis là pour toi quoi qu’il arrive je serai toujours là abigil leva les yeux vers lui son regard calme et profond elle sourit légère et murmura ne t’inquiète pas papa je peux m’occuper d’elle Vlad sentit son cœur rater un battement comment une enfant de 5 en pouvait-elle parler ainsi il y avait dans sa voix une confiance étrange une sérénité et une force qui ne correspondait pas à son âge une guerre silencieuse point dans les jours qui suivirent l’atmosphère devint lourde fidèle à sa promesse PAA transforma la

maison en champ de bataille elle refusait de cuisiner lorsque’abigil était présente elle renversait de l’eau salle là où elle s’asseyait et elle lançait des insultes chaque fois qu’elle la croisait mais tabiguel ne pleura jamais elle ne se plaignit pas elle se déplaçait dans la maison avec une sérénité troublante comme si rien de ce que Paula faisait ne pouvait l’atteindre un jour Paula hurla c’est ma maison tu n’as rien à faire ici abiguel la regarda avec calme et répondit c’était ma maison bien avant que tu n’arrives Paula se figea son cœur se mit à battre plus vite

que voulait-elle dire par là une ombre de peur s’insinua en cette nuit-là des choses étranges commencèrent à se produire Paula entendit des chuchotements dans l’obscurité des pleurs de bébé doux et lointain qu’elle seule semblait percevoir elle frissonnait même lorsque le feu brûlait fort Vlad lui dormait paisiblement mais Paula elle se retourna dans son lit toute la nuit hanté par l’impression qu’abiguel était bien plus qu’une simple enfant perdu le retour d’un amioint le lendemain Vlad se réveilla le cœur lourd les paroles

d’abiguel et la antion qui pesait sur sa maison lui donnait l’impression de porter une pierre sur son dos il savait qu’il n’avait qu’une seule personne à qui se confiait Darius celui-là même quiilavait insulté et rejeté des années auparavant lorsqu’il s’était aveuglément rangé du côté de Pola Vlad marcha lentement sur le sentier poussiéreux menant à la maison de Darius les souvenirs de leur dernière dispute lui revinrent en mémoire il se rappelait comment il avait crié sur son ami l’accusant de jalousie et lui avait interdit de revenir chez lui quand il

arriva Darius était assis sous un grand manguier aiguisant sa machette son visage était paisible mais dès qu’il vit Vlad approcher son sourire s’effaça Vlad s’arrêta un instant son orgueil luttant contre son remord puis il prit une profonde inspiration et dit Darius je suis désolé Darius ne répondit pas il continua à aiguiser sa machette comme s’il n’avait rien entendu Vlad s’approcha un peu plus j’ai eu tort Darius j’étais aveuglé j’ai cru au mensonge et j’ai repoussé c’est le seul ami qui se souciait vraiment de moi s’il te plaît pardonne-moi enfin Darius leva

les yeux son regard était froid te pardonner après m’avoir traité de jaloux et m’avoir banni de ta maison que veux-tu de moi maintenant Vlad le cœur de Vlad se serra mais il ne recula pas je sais que je t’ai blessé et je regrette chaque mot que j’ai dit je pensais protéger ma famille mais aujourd’hui je vois que j’ai été un imbécile Paula n’est pas la femme que je croyais Darius Ussa un sourcil un éclair d’intérêt traversant son regard bien qu’il resta silencieux Vlad continua la voix chargée d’émotion j’ai besoin de

mon ami tu m’as manqué Darius j’ai cru t’avoir perdu pour toujours mais aujourd’hui je suis là pour arranger les choses Darius poussa un long soupir puis se leva lentement ils se fixèrent un instant puis Darius laissa tomber sa machette au sol et esquissa un léger sourire tu as de la chance que je sois un homme indulgent Vlad sentit un poisson vol de sa poitrine merci Darius je croyais que tu ne me pardonnerais jamais Darius rit et lui donna une table dans le dos ne sois pas trop pressé je suis encore en colère mais toi aussi tu m’as manqué espèce d’idiot les deux

hommes rirent ensemble et la tension entre eux se dissipa comme la rosée sous le soleil du matin Darius se gratta la tête confut et surpris après une longue pause il dit et bien bienvenu de retour à la raison mon frère il t’en a fallu du temps Vlad éclata de rire ressentant une chaleur qu’il n’avait pas éprouvé depuis longtemps j’ai cru t’avoir perdu Darius j’ai cru que tu ne me pardonnerais jamais merci frère je t’aime mon pote Darius sourit et répondit en plaisantant s’il te plaît ne m’aime pas garde cet amour pour ta femme misérable et stupide

ils éclatèrent de rire ensemble leur amitié plus forte que jamais pendant ce temps à la maison Paula arpentait le salon le cœur rempli de rage elle ne pouvait pas oublier les paroles de Vlad comment il avait choisi Abigail plutôt qu’elle plus elle y pensait plus sa colère grandissait enfin elle fit irruption dans la petite chambre d’abiguil le visage déformé par la fureur se tenant à l’entrée elle hurla toi espoir viens ici tout de suite mais avant que Paula ne puisse ajouter un mot Abigail leva calmement la tête et dit d’une voix ferme correction femme mon

nom n’est pas espoir je m’appelle abigel ne t’avise plus jamais de le changer d’accord espèce de femme maléfique Paula se figea la bouche légèrement ouverte elle n’en croyait pas ses oreilles comment une enfant osait-elle lui parler ainsi son visage devint rouge de rage je sais qu’ils t’ont envoyé pour détruire mon foyer mais tu ne réussiras jamais cria-t-elle je ferai en sorte que tu regrettes le jour où tu as mis les pieds dans cette maison Abigael se leva lentement ses yeux sombres et perçants étaient emplis de quelque chose qui n’appartenait pas à une enfant elle fixa PAA et déclara froidement tu ne feras

rien pauvre femme stupide éloigne-toi de moi où tu ne vivras pas assez longtemps pour voir ce jour le cœur de Paula manqua un battement elle recula d’un pas le corps légèrement tremblant quel genre d’enfant parle ainsi pense à telle elle n’avait jamais ressenti une peur pareille mais les paroles d’abiguel lui firent froid dans le dos sans dire un mot de plus Paula quitta la chambre en claquant violemment la porte elle sait que quelque chose n’allait pas avec cette fille quelque chose qui dépassait son entendement Paula ne perdit pas de temps elle attrapa son pagne l’attacha

fermement autour de sa taille et se précipita vers la maison d’un célèbre herbaliste du village voisin l’herboriste était un vieil homme aux cheveux gris et aux yeux perçants remplis de sagesse on disait qu’il voyait des choses que les autres ne pouvaient pas voir lorsqu’elle arriva Paula ne prit même pas la peine de le saluer Baba j’ai besoin de ton aide dit-elle essoufflé l’herboriste la regarda et hocha lentement la tête assie-toi et dis-moi ce qui trouble ton cœur Paula s’assit et lui raconta tout

tout comment abigil était arrivé dans leur vie les choses étranges qu’elle disaient et comment Vlad était maintenant aveuglé par sa présence elle ne laissa aucun détail de côté l’herboriste écouta attentivement son visage grave lorsqu’elle eut terminé il resta silencieux un long moment puis finit par parler femme tu as affaire à un esprit très puissant Abigail N pas une enfant ordinaire il y a quelque chose de spécial en elle quelque chose qui dépasse notre compréhension les yeux de PAA s’écarquillèrent de peur que veux-tu dire Baba c’est une sorcière une

malédiction envoyée pour détruire mon mariage l’herboriste secoue la tête je ne peux pas dire exactement ce qu’elle est mais une chose est sûre son esprit est fort et sa présence dans ta maison n’est pas un hasard elle a un but mais je ne peux pas encore le voir clairement tu dois être prudente très prudente le visage de PAA se tordit de colère prudente non je ne vais pas rester là attendre d’être détruite peu importe sa puissance je ferai tout tout pour qu’elle souffre ou qu’elle ne voit jamais un autre jour se lever les yeux de l’herboriste se plissè fais attention à tes paroles femme certains esprits ne

pardonnent pas si tu essaies de lui faire du mal c’est peut-être toi qui en souffriras mais Paula n’en avait cure elle se leva le cœur enflammé par la rage et la termination je n’ai pas peur je ferai en sorte qu’elle regrette le jour où elle a mis les pieds dans ma maison sur ces mots elle sortit de la hutte de l’herboriste l’esprit brûlant de sombre dessins alors qu’elle rentrait chez elle le ciel s’assombrit bien qu’il ne soit que l’après-midi le vent soufflait étrangement murmurant à travers les arbres comme si les esprits

eux-mêmes observaient mais Paula ne le remarqua pas elle était trop occupé à élaborer un plan pour se débarrasser d’abiguel elle ignorait encore qu’abiguel savait déjà ce qui se tramait dans son cœur pendant ce temps chez Darius Vlad était toujours là ils étaient assis sous l’ombre du grand manguier le soleil de l’après-midi prjetant de longues ombres sur le sol poussiéreux plongé dans ses pensées Darius brisa le silence Vlad tu viens de me dire queesoir a demandé à être appelé Abigail tu ne trouves pas ça étrange tu ne penses pas qu’il y a quelque chose

qui cloche Vlad soupira se frottant nerveusement les mains j’y ai pensé Darius mais que veux-tu que je fasse Darius se pencha en avant le visage grave nous devons chercher des réponses mon frère allons voir la spiritualiste peut-être qu’elle pourra nous aider à comprendre ce qui se passe sans perdre de temps ils se levèrent et entreprirent la longue marche vers la hutte de la spiritualiste le sentier était étroit entouré d’arbres immenses qui murmuraient au gré du vent lorsqu’il arrivèrent la spiritualiste une vieille femme aux yeux sages et aux perles

colorées autour du cou était assise en silence comme si elle les attendait déjà Vlad la salua et expliqua tout comment il avait trouvé abiguel les choses étranges qu’elle disait et le comportement de paulla la femme écouta sans interrompre haochant lentement la tête après un long silence elle finit par parler tu cherches la vérité sur abiguel et c’est dans la rivière que tu trouveras tes réponses tu dois aller à la rivière et invoquer la déesse des EAU elle seule pourra te dire qui est réellement abiguel le cœur de Vlad se mit à battre plus vite comment dois-je

l’appeler demanda la spiritualiste répondit tu devras y aller seul Vlad prends un tissu blanc comme offrande une fois la rivière tiens-toi au bord de l’eau appelle son nom trois fois et présente-lui ton offrande elle apparaîtra Vlad et Darius remercièrent la spiritualiste et prirent le chemin du retour le voyage du retour semblait plus long l’esprit de Vlad chargé de penser le lendemain matin Vlad se réveilla tôt il trouva un tissu blanc l’attacha soigneusement et partit seul pour Laar le sentier était silencieux les arbres

se dressaient ell des témoins muets le bruit de l’eau qui coulait devenait plus fort à mesure qu’il approchait lorsqu’il atteignit la berge il s’arrêta un instant observant l’eau scintillée sous le soleil du matin il posa le tissu blanc sur le sol leva les mains et appela trois fois déess de la rivière le vent se renforça et l’eau commença à onduler comme si elle répondait à son appel soudain la rivière s’ouvrit légèrement et du milieu de l’eau émergea une femme d’une beauté envoûtante son corps brillait comme la rivière elle-même sa chevelure ondulait comme

des vagues et ses yeux reflétaient toute la profondeur de l’océan c’était la déesse de la rivière Vlad tomba à genou tremblant Grande Déesse je suis venu vous demander la vérité sur abiguel je dois savoir qui elle est réellement la déesse le regarda de ses yeux calmes mais puissants sa voix était douce mais pleine d’autorité abiguel est belle et bien ta fille dit-elle le cœur de Vlad s’emballa mais Paul dit que la rivière l’avait emporté le visage de la déesse s’assombrit Palat a menti elle est cruelle et remplie de méchanceté il y a

des années c’est elle qui a jeté Abigail dans cette rivière de ses propres mains elle voulait se débarrasser d’elle parce qu’elle la détestait lorsque tu es rentré ce jour-là elle a fait semblant de pleurer et t’a fait croire que la rivière avait pris votre enfant le cœur de Vlad se brisa en 1000 morceaux les larmes lui montèrent aux yeux et il secoua la tête refusant d’y croire non non comment ai-je pu être aussi aveugle la déesse poursuivit mais moi je l’ai sauvé je l’ai recueilli et élevé sous ma

protection lorsqu’elle eut 5 ans je l’ai renvoyé auprès de toi car je savais que ton cœur était vide et qu’elle était la seule à pouvoir le remplir elle était destinée à être avec toi Vlad ne put retenir ses larmes il pleura comme un enfant le cœur lourd de culpabilité je suis désolé Abigail je suis tellement désolé je ne savais pas la déesse le regarda avec douceur ce n’est pas ta faute Vlad l’amour peut aveugler même les cœurs les plus sages mais écoute bien j’ai fermé le ventre de pala elle ne pourra jamais avoir d’autres enfants à cause de sa cruauté elle ne mérite pas

le don de la maternité Vlad pleura encore plus fort se blâant lui-même j’aurais dû le voir j’aurais dû savoir qu’elle était malfaisante j’ai failli à mon rôle de père la déesse parla doucement mais abiguel est forte elle a un destin bien plus grand que tu l’imagine retourne auprès d’elle et protège-la elle est bien plus qu’une fille elle est une bénédiction Vlad s’essuya les larmes se releva lentement et s’inclina profondément merci merci Grande Déesse sur ces mots la déesse disparut dans l’eau et la rivière redevint calme Vlad ramassa le panier

vide qu’il avait apporté le cœur lourd mais rempli d’un nouveau sentiment de détermination pendant ce temps chez lui abigel était assise le regard brûlant de colère et de détermination il était temps que la vérité éclate elle se leva et marcha vers la grande pièce où Paula faisait les S pas murmurant de rage la voix d’abiguel était calme mais ferme Paula Paula se retourna brusquement son visage déformé par la haine qu’est-ce que tu veux encore sale gamine maudite Abigael s’avança les yeux remplis d’une

lueur intense je veux que tu avoues tes crimes dis la vérité sur ce que tu m’as fait arrête de te cacher derrière tes mensonges PAA éclata d’un rire mauvais sa voix pleine de venin comment oses-tu misérable orpheline qui crois-tu être pour me parler ainsi ces mots transpercèrent abiguel comme une lame mais au lieu de pleurer sa rage s’embrasa elle serra les points et cria ne parle plus jamais de ma mère ainsi dans un accès de colère abigel leva la main et gifla PAA en plein visage mais ce n’était pas une gifle ordinaire dès

que sa main toucha Paula quelque chose de terrifiant se produisit les yeux de Paula sécarquillèr son visage se figea d’horreur puis elle se mit à hurler à plein poumon non non qu’est-ce qui m’arrive elle agripa sa tête tirant ses cheveux déchirant ses vêtements titubant dans la pièce comme une folle puis soudain sans prévenir elle s’enfuit de la maison pied nuus en hurlant son cri risonnait à travers tout le village les villageois s’arrêtèrent stupéfaits certains murmuraient qu’est-ce qui lui arrive d’autres observaient en silence

paralysé par la peur Paula courait comme une possédée jusqu’à ce qu’elle aperçoive Vlad revenant de la rivière son cœur était encore alourdi par la vérité révélée par la déesse mais il n’était pas préparé à avir PUL à courir vers lui comme une folle elle tomba à genou devant lui pleurant et suppliant Vlade pardonne-moi je l’ai fait j’ai jeté abiguel dans la rivière je t’ai menti j’ai dit que la rivière l’avait prise mais c’était moi je la haïsais parce qu’elle me rappelait ta première femme je suis désolé pardonne-moi Vlad reste à figé sous le choc les mots le

frappèrent comme un coup de tonner la déesse avait dit la vérité Paula rempa jusqu’à lui s’accrochant à ses pieds sanglotant Vlad je t’en supplie pardonne-moi j’étais jalouse je ne voulais pas que ça aille aussi loin Vlad baissa les yeux vers elle le cœur chargé de colère et de douleur sans dire un mot il retira ses pieds de son emprise se retourna et s’éloigna la laissant en larme dans la poussière mais la folie de pala ne s’arrêta pas là elle arracha ses vêtements hurla au ciel puis s’enfonça dans la forêt ses cris s’éloignant peu à

peu personne ne la revit jamais lque Vlad rentra chez lui il trouva abigel qui l’attendait sur le seuil en la voyant son cœur se brisa sous le poids de la culpabilité et de l’amour il se précipita vers tomba à genou et la serra dans ses bras les larmes coulant sur son visage ma fille murmura Vlad la voix tremblante je suis désolé je te promets de ne plus jamais t’abandonner je te protégerai jusqu’à mon dernier souffle Abigail lui sourit doucement et l’enlaassa en retour papa ne t’inquiète pas moi aussi je te protégerai toujours et dans cette étreinte toute la douleur

tous les mensonges et toutes les larmes disparurent car l’amour avait triomphé chers spectateurs quel leçon tirez-vous de cette histoire poignante dites-nous en commentaire si vous avez aimé l’histoire laissez un pouce bleu partagez-la et abonnez-vous à notre chaîne n’oubliez pas d’activer les notifications pour ne rien manquer merci de nous suivre et que la bénédiction vous accompagne