Amir : pourquoi le chanteur refuse catégoriquement de devenir coach dans The Voice sur TF1

Depuis plus de dix ans, Amir occupe une place à part dans la chanson française. Lumineux, accessible, profondément humain, il s’est imposé comme l’un des artistes les plus attachants de sa génération. Mais derrière le sourire solaire qui l’a fait connaître, se cache une sensibilité immense… parfois trop grande pour certains rôles. Dans un entretien accordé à Ciné Télé Revue, le chanteur est revenu sur un sujet qui intrigue les fans depuis longtemps : pourquoi refuse-t-il de devenir coach dans The Voice, l’émission qui l’a révélé en 2014 ?
Une confession sincère et touchante, révélatrice d’une personnalité profondément empathique.
Un parcours marqué par la lumière… et par une sensibilité intacte
Lorsque le public découvre Amir en 2014 dans la saison 3 de The Voice, il n’est pas un parfait inconnu : cet ancien dentiste franco-israélien s’est déjà fait remarquer dans plusieurs projets musicaux. Mais l’aventure sur TF1 va tout changer. Très vite, les téléspectateurs tombent sous le charme de sa voix chaleureuse, de son sourire franc et de son émotion à fleur de peau. Il devient rapidement l’un des candidats les plus aimés du programme.
Même s’il ne remporte pas la compétition – il terminera troisième derrière Kendji Girac – cette édition marque le début d’une ascension spectaculaire. Albums à succès, tournées, Eurovision, collaborations : Amir ne cessera plus de gravir les échelons.
Dix ans plus tard, à 41 ans, sa carrière est toujours florissante. Auréolé du succès de son album C Amir sorti en 2024, il poursuit une trajectoire artistique solide tout en assumant un autre rôle central dans sa vie : celui de père de trois enfants depuis début 2025. Une réalité familiale qui, elle aussi, nourrit sa manière d’être au monde… et sa manière d’être artiste.
Un retour aux sources en Belgique : l’expérience douce et pédagogique de The Voice Kids
Fin novembre, les téléspectateurs belges ont pu retrouver Amir dans un rôle inédit : celui de co-coach invité dans The Voice Kids Belgique. Aux côtés de Typh Barrow – chanteuse et pianiste reconnue, elle aussi dotée d’une sensibilité artistique immense – il a passé une journée entière à accompagner de jeunes talents. De l’autre côté, Helena (Star Academy) épaulait Joseph Kamel.
Une immersion brève, certes, mais particulièrement marquante pour le chanteur.
« C’était évident pour moi d’accompagner Typh, c’est une très bonne coach, très pédagogue et sensible », raconte-t-il à Ciné Télé Revue.
Ce format, plus intimiste, plus doux, plus bienveillant dans son rythme et son approche, lui a permis de renouer avec l’un de ses plaisirs artistiques les plus profonds : transmettre.
« J’ai adoré cette expérience d’une journée. J’avais la sensation d’être utile pour une génération de chanteurs déjà très talentueux. Les enfants étaient super réceptifs, c’était très agréable », poursuit-il.
Pas de mise en compétition brutale, pas de pression écrasante, pas de choix déchirants : juste le plaisir d’aider, de conseiller, de partager. Un espace où sa sensibilité trouve naturellement sa place.
Et pourtant… Amir refuse fermement d’être coach dans The Voice France
Cet enthousiasme pour la transmission pourrait laisser penser qu’Amir serait le candidat idéal pour s’asseoir dans le fauteuil rouge de The Voice France, à l’instar de nombreux artistes passés par l’émission avant lui. Et pourtant, il rejette catégoriquement cette possibilité.
Sa réponse, simple, sincère et sans détour, surprend… mais touche profondément.
« Ça fait mal au cœur de savoir que deux tiers de l’équipe seront malheureusement éliminés », confie-t-il avec une grande honnêteté.
Car au-delà du plaisir d’accompagner les candidats, être coach implique aussi une responsabilité lourde : sélectionner, arbitrer, écarter. En d’autres termes : briser des rêves. Une mécanique propre au télécrochet, mais qui entre en totale contradiction avec la personnalité du chanteur.
Pour Amir, la musique est avant tout un partage, une vibration, un lien émotionnel. Pas une compétition. Il se sentirait incapable de regarder un candidat dans les yeux et de lui annoncer que l’aventure s’arrête là.
« C’est d’ailleurs pour cette raison que je ne serai jamais coach », insiste-t-il, ferme et catégorique.
Un refus absolu, non pas par manque d’intérêt ou de reconnaissance envers le programme qui l’a révélé, mais par respect profond pour les candidats… et par fidélité à ses valeurs.
Une empathie rare, qui façonne chacun de ses choix
Ce positionnement dit beaucoup de la personnalité d’Amir. Dans une industrie où l’on valorise souvent la performance, la stratégie, l’efficacité, lui revendique une sensibilité pure, presque brute. Une empathie qui, loin d’être une faiblesse, se révèle être sa force. C’est sans doute ce qui touche autant son public : cette impression d’authenticité totale, de cohérence entre l’homme et l’artiste.
S’il refuse le rôle de coach, c’est parce qu’il sait qu’il ne pourrait pas le vivre sereinement. Parce qu’il se connaît. Parce qu’il assume pleinement cette sensibilité qui l’a façonné, qui a guidé sa carrière, et qui continue de définir ses choix.
The Voice et Amir : une histoire d’amour… mais pas un mariage
Il y a dans la relation d’Amir avec The Voice une forme de fidélité affective. L’émission l’a propulsé, lui a offert une visibilité immense, et il conserve un attachement profond à cette aventure. Il le prouve encore en acceptant des participations ponctuelles, comme en Belgique.
Mais son cœur, lui, refuse les sacrifices que demande un fauteuil de coach sur TF1. Trop de tensions émotionnelles, trop de décisions difficiles, trop de potentiel chagrin.
Pour lui, la transmission doit rester un moment de douceur et de bienveillance, pas un duel où seuls quelques talents peuvent rester debout.
Un artiste entier, qui suit sa propre voie
À 41 ans, père de trois enfants, artiste accompli et apprécié, Amir continue à tracer sa route avec une sincérité rare. Il préfère privilégier le partage sans contrainte plutôt que la mise en compétition. Il aime accompagner sans trancher. Être présent sans devoir briser des espoirs.
Son refus, loin d’être un caprice ou une stratégie, apparaît comme une déclaration d’intégrité. Une fidélité à lui-même, tout simplement.
Et dans un monde où les projecteurs imposent souvent des rôles à jouer, Amir, lui, choisit d’être profondément humain. Toujours.
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